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Sexe pour un ramasseur de fraises partie 1

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Lue : 1186 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 23/08/2020

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La crise nous est tombés dessus à ma copine et à moi comme sur des dizaines d’autres. Moi je suis, enfin j’étais plutôt, serveur dans un café. Je me suis retrouvé au chômage du jour au lendemain. Chômage partiel avec un salaire versé par l’Etat, bien maigre eu égard aux primes que ma fonction m’assurait et qui avaient bien évidemment disparu. Ma copine, elle était salariée dans un magasin de prêt à porter. Le même chômage partiel.
On avait quand même la chance d’avoir mis un peu d’argent de côté, d’être logés dans un appart qui appartenait à ses parents, et donc de n’avoir aucun loyer. Mais on ne nageait pas pour autant dans le bonheur. On ne savait même pas si on retrouverait notre boulot en sortie de crise.
J’ai pris ma décision alors que j’avais mon sexe fiché en elle. La seul avantage de la crise, c’était qu’on avait du temps libre, du temps à nous. On faisait l’amour d’une manière frénétique. Furieuse. Sans doute une manière d’oublier ce qui nous rongeait. Elodie était une ravissante rouquine, une fille de toute beauté, que j’étais content d’avoir trouvé sur ma route. On s’entendait vraiment très bien.
—Ecoute, on ne peut pas rester comme ça.
—Si on est bien comme ça.
Elle était à quatre pattes sur le lit, avec juste un soutien-gorge de dentelle rouge sur la peau, et j’étais derrière, faisant aller et venir ma queue dans la gaine de son sexe.
—Je parlais boulot… Ce matin, je suis passé au BIJ….
—C’est quoi ?
—Le BIJ c’est le Bureau d’Information Jeunesse…
Comme elle aimait le faire quand je la pénétrais ainsi, elle venait d’amener ses doigts sur la zone de son clitoris, et elle frottait celui-ci. Elle était très charnue, avec des seins, des fesses, et un clitoris qui m’avait surpris la première fois où je l’avais aperçu. Il s’était décalotté de lui-même, et j’avais vu apparaître cette masse de chair, longue et épaisse. On aurait dit un micro-pénis. A ceci près que c’était bien un clitoris. C’était quelque chose qui me troublait énormément. J’adorais jouer avec son clito, et il y avait effectivement une infinité de possibilités. Elle ne disait de toute façon jamais non quand je venais sur elle, que je remontais une jupe ou que je défaisais un pantalon et que je baissais une culotte, pour mettre son bas-ventre à nu, et venir tourner sur le haut de son sexe. J’aimais bien sentir, sous la chair qui le masquait, le clitoris gonfler, jusqu’à ce qu’il surgisse enfin. Et après le lécher, le sucer, avoir sans doute une sorte d’ascendant sur elle. Elle partait si facilement, sur cette zone dont je comprenais bien, je ne m’en étais pas rendu compte avant, qu’elle était ultra-sensible.
—Dans le Sud-Est, ils ont besoin de monde pour cueillir des fraises. Trois semaines, éventuellement un mois de boulot avec le SMIC, mais des primes. Ca fera rentrer de l’argent.
Je n’avais même pas à lui demander si elle voulait venir avec moi.Elle s’était faite engager la veille par une supérette dont les trois employés étaient en arrêt-maladie. Avec ces deux semblants de salaire, on pourrait arriver à quelque chose.
Je n’ai plus pensé à grand-chose, explosant de jouissance, et crachant jet de sperme sur jet de sperme contre les parois internes de son vagin. Elle a joui, en partie à cause de cette sensation qu’elle adorait, elle me l’avait déjà confié, et parce qu’elle avait suffisamment frotté son clitoris.
Le lendemain matin, je prenais le train à quatre heures, et je débarquais à sept heures à F…
J’avais téléphoné la veille au soir pour savoir si l’accord que j’avais eu par mail la veille était encore valable, et si c’était le cas pour préciser que j’arrivais le lendemain matin. Au téléphone une voix féminine, chaude, qui m’avait troublé.
—Je serai très heureuse de vous accueillir. On manque énormément de bras. Les gens qui travaillent habituellement pour moi ne veulent pas venir. Je vous accueille à la gare.
Je les ai immédiatement repérées quand je suis descendu du train. J’attendais une femme, il y en avait deux, et elles se ressemblaient étrangement. Grandes, avec des formes pleines qui tendaient leurs vêtements, un visage aux traits extrêmement bien dessinés, des yeux bleus étincelants, du même bleu,et une épaisse crinière blonde. Au-delà de cette apparence physique plus qu’appétissante il y avait chez l’une comme chez l’autre, et cela m’a sauté aux yeux immédiatement, une même sensualité. On comprenait bien, même en le les regardant que quelques secondes, que, si certaines femmes n’avaient qu’un rapport très lointain avec le sexe, ce n’était le cas ni de l’une ni de l’autre.
J’ai avancé vers elles. Je sentais leur regard collé à moi. Etait-ce à dire que je leur plaisais ? Ca ne me tracassait pas vraiment. J’étais ici pour travailler, c’était surtout ça qui me préoccupait, ainsi que le salaire que je pourrais toucher.
—Bonjour, je suis Marie-Adélaide, et voici ma fille Amélie. On est très heureuses de vous accueillir. On manque cruellement de bras. Vous êtes une bouffée d’oxygène. Nos employés sont tous en arrêt maladie, et on n’arrive pas à trouver du monde.
Devant la gare, un gros 4X4 nous attendait. Je me suis calé à l’arrière avec mon sac. A ma grande surprise, Amélie est montée derrière, avec moi, au lieu de passer à l’avant, sur le siège du passager. Ca n’a pas paru surprendre sa mère. Après tout… Je me suis dit qu’elle ne supportait peut-être pas d’être devant, qu’elle risquait de vomir…
C’est une fois que sa mère est sortie de sa place de stationnement qu’elle s’est tournée vers moi. Il y avait dans son regard une lueur nouvelle, quelque chose qui n’y était pas quand elle avait posé ses yeux sur moi sur le quai, mais cette lueur nouvelle était pour ainsi dire le prolongement du premier regard. Je me suis demandé ce qu’elle pensait. J’ai vite eu la réponse, alors que sa mère faisait une centaine de mètres avant de s’engager sur la route. Avec avidité, elle a défait mon pantalon. Je n’ai rien pu faire, pas même le temps d’avoir un geste, quel qu’il soit. Déjà, elle mettait ma queue à nu, en descendant mon caleçon. Elle a eu un sourire triomphal en constatant que j’étais à moitié dur. C’était vrai que les voir à côté l’une de l’autre, et séduisantes, m’avait remué.
—Vous avez fait bon voyage ?
J’ai accroché le regard de la mère dans le rétro.
—Oui, ça s’est très bien passé.
C’était assez incroyable. Elle ne pouvait pas ne pas voir ce qui se passait, et pourtant, alors que sa fille me masturbait pour me faire devenir plus dur, elle discutait avec moi comme s’il ne se passait rien.
—Vous avez fait 400 kilomètres pour venir. Vous n’avez pas peur de vous déplacer, contrairement à beaucoup de monde.
—Quand il faut gagner sa vie…
Maintenant que j’étais plus long et plus dur, la jolie blonde s’est mise à caresser ma queue de sa bouche. Il y avait en elle une frénésie, une envie de sexe comme j’en aimais rarement connu.
—Je suis en bio, je fais plusieurs productions, Je m’en sors plutôt bien. Là c’est les fraises, bientôt les asperges… Je pense que vous pourrez faire les deux. Et vous faites quoi en temps habituel ?
La jeune femme faisait tourner sa langue sur mon gland, lapant le liquide pré-sécrétif qui sortait de mon méat. D’évidence, ce n’était pas sa première fellation, et elle aimait l’exercice.
—Ca va vous changer.
—Je suis prêt à tout quand il s’agit de gagner ma vie. Je n’ai malheureusement pas de fortune personnelle.
—Moi non plus. S’il doit m’arriver une tuile…
Amélie se concentrait sur mon gland, amenant à présent sa langue à l’entrée de mon méat, et appuyant. Je sentais la jouissance arriver, et je craignais à la fois de me trahir en criant,et que mon visage ne révèle mon plaisir. Ce qui était d’ailleurs idiot, puisque sa mère ne pouvait pas ne pas voir ce qui se passait dans le rétroviseur. Amélie a bien compris que j’étais proche de la jouissance, et elle a resserré la bouche sur la partie supérieure de ma queue. J’ai explosé, me mordant les lèvres pour ne pas gémir. Mon sperme est sorti, dont chaque jet est venu taper contre ses joues. Elle serrait bien les lèvres, pour ne pas laisser échapper un seul trait de sperme. J’ai senti que la semence partait dans sa gorge. Même quand j’ai eu cessé d’éjaculer, elle m’a gardé en elle, passant sa langue sur mon gland pour laper les dernières coulures. Une fois qu’elle m’a lâché, elle a affiché un sourire satisfait. Pas une goutte de sperme n’était sortie. Elle a rengainé ma queue qui restait dure, j’étais encore excité et j’aurais eu envie d’autres choses. J’aurais bien pris de défaire son jean et de rentrer ma queue en elle pour la fouiller. Ca aurait été d’ailleurs sans doute tout à fait faisable, et ça n’aurait pas spécialement dérangé sa mère, mais nous arrivions. Elle s’est calée dans le siège, à côté de moi, totalement satisfaite.
On avait quitté la ville, mais on était déjà en sortie de celle-ci, à la gare, pour accéder tout de suite à la nature. Il y avait ici énormément de terrains cultivés. On a finalement tourné sur la droite, pour s’engager dans un chemin longé par des noisetiers. On a débouché sur un vaste espace, dont le centre était constitué par une grande demeure, de type hacienda, qui s’étirait au milieu de champs. Sur la gauche, j’ai remarqué une série de terrains bâchés, et j’ai pensé que les fraises étaient cultivées là. Mettre des bâches permettait de les protéger.
Un homme est venu à notre rencontre. Grand, trapu, ses muscles roulaient sous sa peau. Il avait un bouc et ses cheveux étaient attachés en une queue de cheval. Il m’a tendu la main.
—Renato est notre contremaître. Alors ?
—Il est temps de commencer à ramasser.(Il a fait une grimace.)Et on ne va pas être nombreux pour faire le boulot.
C’est à ce moment là que j’ai réalisé que sur la propriété, il n’y avait pas d’autre ouvrier agricole potentiel que moi. Quatre. Il faudrait mettre les bouchées doubles.
—Je l’installe, et tu lui montres comment cueillir des fraises, après, a proposé Marie-Adélaide.
—Ca marche.
Elles m’ont guidé à l’intérieur de la maison, dont la fraicheur tranchait avec les premières chaleurs de cette région. Meublée simplement, elle était agréable. Marie-Adélaide m’a indiqué la cuisine, présenté le living et un salon attenant, avant de me conduire le long d’un interminable couloir. Elle s’est finalement arrêtée devant une porte.
—Ce sera ta chambre, on peut se tutoyer, je crois, on va passer les prochains jours ensemble. Si tu as envie de prendre une douche, et après un petit déjeuner, tu peux passer à la cuisine. Et ensuite tu iras trouver Rénato, il te dira comment faire.
La chambre qui m’avait été attribuée était basique mais agréable. Un grand lit, une armoire. Surtout, il y avait une grande porte-fenêtre qui donnait sur le domaine et laissait rentrer la lumière. Je me suis dit que la propriétaire, pour gérer pareille exploitation, devait avoir du courage, et encore plus en une période pareille. Où était son mari ? Elle n’était pas trop le genre de femme, ça se voyait bien, à souhaiter partager une vie à deux. Plutôt à prendre un moment de plaisir avec un homme, sans lendemain. Trop forte, trop indépendante. Le père de sa fille avait juste du servir pour l’inséminer et ainsi satisfaire son désir d’avoir un enfant.
J’ai pris une douche, et j’ai retraversé la maison en sens inverse. Marie-Adélaide m’avait déniché des tenues récupérées dans la fripe d’une amie le soir même, des combinaisons vertes qu’elle estimait adaptées à la situation.
Je n’avais pas pris de petit déjeuner avant de partir et j’avais envie de me restaurer.
J’ai déboulé dans la salle à manger sans regarder autour de moi. Ca a été un tort. Amélie était présente, et elle était en compagnie d’une fille devant laquelle elle s’était posée à genoux. Elle avait soulevé la robe de cette dernière et elle lui faisait un analingus. La fille gémissait, debout mais se tordant et se pâmant, les yeux clos. Je me suis trouvé tout bête, me demandant ce que je devais faire. J’ai eu envie de reculer, pour les laisser, mais, délaissant la croupe de sa copine, Amélie m’a dit :
—Tu peux rester et prendre un petit déj. Te gêne pas pour nous, on est deux salopes exhib. Hein, pas vrai ma cochonne ?
La cochonne en question a eu un petit rire qui se voulait sans doute un acquiescement. Je me suis approché de la table, jouant les voyeurs.
—Je te présente Giulia, la fille de Renato. Elle a un cul magnifique, et elle éprouve énormément de plaisir par là.
Giulia devait avoir le même âge qu’elle, une vingtaine d’années. C’était une très jolie fille, mais dont le corps avait été manufacturé par Mère Nature différemment du sien. Alors que le corps d’Amélie avait été réparti de manière harmonieuse, celui de Guilia mettait en contraste une partie hypertrophiée,sa croupe, le reste de son corps était plutôt fin. Ses seins, en particulier, étaient minuscules. Elle avait le ventre plat, des hanches pas vraiment marquées. Peut-être le prix à payer pour qu’une partie de son corps soit réussie, et elle l’était indubitablement. Elle avait deux fesses très charnues, et bien rondes, sans que pour autant, cela tourne à l’hypertrophie. Ce qui donnait tout son charme à sa croupe, cependant, c’était la cambrure du bas de son dos qui les galbaient.
En mordant dans l’un des croissants disposés dans un panier sur la table, et en me versant un verre de jus d’orange, j’ai pensé que cette croupe ne pouvait qu’être l’objet de toutes les fascinations. Elle portait une sorte de perfection qui conduisait immanquablement au désir. D’ailleurs Amélie manifestait une expression hypnotique qui allait tout à fait dans ce sens. Elle avait les mains posées dessus, et elle parcourait la surface de la croupe de la langue. Ce qui était évident aussi, c’était l’intensité du plaisir qu’éprouvait Guilia, comme si, en la dotant d’une croupe hors normes, on avait aussi concentré toute la source du plaisir là, plutôt que dans les lèvres de son sexe ou son clitoris. C’était une hypothèse, et je n’étais pas sûr qu’elle tenait la route. 
 J’avais joui une demi-heure plus tôt, mais j’étais de nouveau en pleine érection. J’aurais aimé me mêler à elles. Il y avait plein de choses à faire. Moi aussi balader ma langue sur cette croupe pour savoir si ça lui procurait du plaisir. Sortir ma queue et la balader aussi sur la chair. J’aurais alterné, la frottant sur ces rotondités charnues, et la glissant dans la bouche d’Amélie. Elle serait venue la chercher.
Les choses ont évolué, alors qu’Amélie posait ses mains à plat sur la croupe et ouvrait celle-ci. J’ai bien remarquée qu’elles se tournaient, basculant de trois-quarts,moins sans doute pour être plus à l’aise, quoi que, que pour s’offrir à mon regard. Et effectivement, je pouvais ainsi tout voir sous une autre perspective. La croupe était ouverte, suffisamment en tout cas pour que je puisse distinguer un anus gonflé, strié de ces plissements qui en faisaient la composition, et plus bas, entre ses cuisses, je pouvais voir aussi une grosse moule, bien gonflée, suffisamment ouverte pour laisser sortir un paquet de lèvres luisantes, et dont pendaient des filaments de sécrétions. Amélie venait de plonger sur la muqueuse anale de sa copine. La sureté de son mouvement laissait clairement penser que ce n’était pas la première fois qu’elle venait ainsi caresser la partie la plus intime de sa copine. Celle-ci s’abandonnait totalement, se penchant en avant pour mieux s’offrir. Les gémissements qu’elle se mit à pousser très vite donnaient clairement à comprendre qu’effectivement, sa muqueuse anale était une partie de son corps qui lui procurait un plaisir intense. Amélie la travaillait d’une langue avide et habile, avec l’intention évidente de la faire jouir. Entre ses cuisses, c’était un véritable ruissellement qui inondait ses cuisses, j’avais rarement vu une fille produire des sécrétions aussi abondantes. Elles étaient sans doute à la mesure de sa jouissance. On aurait pu croire qu’elle se pissait dessus tellement elle mouillait, mais c’était un liquide épais et sirupeux, qui n’avait rien à voir avec de l’urine.
Je suis passé de voyeur à participant quand Amélie s’est tournée vers moi, et m’a dit, d’une voix ferme, en plantant son regard dans le mien :
—Viens m’aider. Ca sera mieux que d’habitude.
D’abord interdit, un rien mal à l’aise, je me suis approché. Ma queue, dans mon pantalon, était tendue à être douloureuse. Je suis venue me poser juste à côté d’Amélie, voir de plus près les chairs de la jeune femme, sa croupe ouverte sur la muqueuse anale couverte de salive, et le sexe qui s’était largement dilaté et dont coulait un flot continu.
—Mets un doigt ou deux dans sa chatte, ça va lui procurer un plaisir intense d’être prise comme ça sous un double angle. Elle va exploser de jouissance.
Avec un rien d’hésitation, j’ai glissé un doigt dans la muqueuse que j’ai trouvée sans surprise très chaude et très humide autour de moi. Amélie a replongé sur elle. Je sentais la jouissance monter en elle, sans doute plus sous l’effet de la caresse buccale d’Amélie que de la mienne.
Sa jouissance a été d’une rare intensité, à la mesure sans doute de cette partie de son corps, de sa sensibilité exacerbée, mais aussi de la caresse habile de son amie. Elle s’est mise à crier en se tendant, un cri qu’on a du entendre dans tout le domaine. Elle a libéré une quantité impressionnante de liquide, qui a trempé ma main, coulé le long de mon avant-bras, et ruisselé le long de ses jambes. Perdant l’équilibre, elle s’est raccrochée à l’évier. Amélie a reculé, tenant encore la croupe comme si elle avait du mal à s’en détacher, ce que je pouvais comprendre,et elle m’a souri :
—Elle a un cul hyper sensible…Les analingus, c’est sa folie. Elle jouit plus par là que si on lui lèche la chatte, crois-moi, j’en a fait l’expérience. Avant de partir, il faudra que tu mettes ta queue dedans. En ce moment, elle est en manque d’hommes. Tous les ouvriers sont partis. C’est un vivier dans lequel on se servait, malheureusement, c’est le désert en ce moment. C’est bien entre filles, et surtout entre nous deux, d’autant qu’on connait parfaitement le corps de l’autre, et on sait quels mécanismes activer pour faire jouir l’autre, mais c’est bien aussi avec d’autres partenaires. En parlant de queue…
Difficile de ne pas remarquer que je bandais. Amélie a dit à sa copine, qui se remettait, essuyant ses jambes avec un torchon de cuisine :
—Il est tout dur. On l’a excité. Tu veux bien t’occuper de sa queue, je l’ai sucé dans la voiture.
Guilia s’est retournée vers moi. J’avais surtout vu sa partie postérieure et son profil jusqu’à présent. Elle avait un joli visage, aussi rond que ses fesses, avec un nez retroussé, et une coupe au carré qui lui allait bien. Avec un sourire gourmand, elle s’est approchée de moi et a mis ma queue à nu.
—Je masturbe très bien les garçons. C’est ma spécialité.
Elle s’est laissée tomber sur une chaise, la robe toujours roulée à la taille, exhibant son sexe dilatée, dont je pouvais voir l’intérieur, les muqueuses roses, très loin, pendant qu’elle me caressait doucement. Elle était effectivement habile, je l’ai vite compris, ce n’étaient pas des paroles en l’air. Ce n’était pas une banale branlette vite menée. Elle a commencé doucement, puis a accéléré, alternant les rythmes, glissant d’une zone à l’autre, d’une surface à l’autre. Pas mal de filles m’avaient déjà branlé, depuis ma prime adolescence.Rarement aussi bien. Je n’étais finalement pas venu dans le Sud-Est pour rien. Au départ je n’avais attendu qu’un peu d’argent. Je découvrais bien plus. Je n’avais pas de regrets à avoir.
On était à présent seuls, Amélie avait disparu. Elle a fini en frottant sa main, à plat, sur mon gland. Je ruisselais littéralement, et ça lui faisait une pellicule luisante qui coulait sur sa paume et descendait le long de son poignet, jusqu’à son avant-bras…Elle avait les ongles coupés courts, travail oblige, mais c’est en venant agacer mon méat avec celui-ci, comme si elle voulait fourrer son doigt dedans, qu’elle m’a fait jouir. Quand elle a senti que j’allais exploser, elle a rapproché son visage et elle a fermé les yeux. Le premier jet de semence est parti en travers de son visage. Elle a eu un petit rire, alors que d’autres traits de semence venaient maculer son visage et ses cheveux. Je me surprenais moi-même de produire autant de semence, alors que j’avais joui une heure plus tôt. Mais tout était différent ici. Je n’étais plus vraiment moi-même.
Amélie m’a accompagné jusqu’aux serres sous lesquelles étaient plantés les fraisiers.Giulia avait fini sa cigarette au moment où on sortait, et était partie un peu devant, comme si elle voulait marquer la distance entre elle et nous. Amélie marchait à côté de moi, et je fixais sa silhouette, fasciné par le contraste entre sa finesse et cette croupe qui dansait devant moi, parce qu’un string n’était pas suffisant pour la maintenir en position. J’ai pensé combien cela devait être excitant de la sodomiser, de voir sa queue s’enfoncer entre les deux globes énormes. Sensible comme elle était, elle devait adorer se faire sodomiser. Sa muqueuse anale était sans doute souple d’avoir déjà été pénétrée. Je me suis également vu sortant ma queue d’elle, et venant cracher mon sperme sur sa chair. Des perspectives bien sympathiques, mais je ne savais pas si on en arriverait là. Et puis, c’était vrai que j’était là avant tout pour gagner de l’argent. C’était ça qui m’importait avant tout.
Les serres étaient immenses, et les fraisiers ornés de gros boutons rouges, bien juteux. Renato était là, en compagnie de Marie-Adélaide. Il avait devant lui un petit chariot, dont j’ai compris que c’était lui qui l’avait fabriqué, avec une partie haute, laquelle était encombrée de barquettes, vides pour le moment.
—Je vais te montrer comment faire. Tu vas voir, ce n’est pas compliqué. Ce qui compte vraiment, c’est de faire ce simple geste, regarde bien…
J’étais à côté de lui. Il a attrapé une fraise, et amorce une torsion du poignet, qui lui a permis d’arracher la fraise sans dommages, ni pour celle-ci, ni pour le fraisier.
—Ton travail ça va être ça, ce geste, répété à l’infini jusqu’à ce que tu tombes de fatigue.
C’est sans doute l’enthousiasme de démarrer ce travail, de savoir qu’il y aurait un salaire au bout qui m’a aiguillonné. En compagnie de mes trois partenaires de travail, j’ai avancé dans les rangs, jusqu’à ce que Marie-Adélaide décrète:
—Pause, on va manger!
Une ratatouille qui avait mijoté toute la matinée nous attendait. Autour de la table, l’atmosphère a été chaleureuse. Et ensuite on a repris jusqu’à 19 heures. C’est seulement quand on a arrêté que j’ai senti la fatigue peser sur moi.
—Bon, ça a été une journée positive. Tu es une bonne recrue.
On a dîné en discutant de tout et de rien. Puis tout le monde s’est éclipsé. J’ai pensé qu’ils étaient tous fourbus, mais ça n’était pas vraiment ça.
Je me suis déshabillé, j’ai calé le réveil et je me suis glissé entre les draps. A peine la tête sur l’oreiller, je sombrais dans le sommeil.
Le rêve était particulièrement érotique. J’étais avec Guilia et Amélie. On se trouvait sur une place, dans un village, mais on était totalement seuls. Elles étaient devant moi, face à un mur. Elles portaient toutes les deux des robes très courtes. Elles avaient la tête tournée vers moi, et elles me regardaient, avec un mélange d’impertinence et de défi. L’une venait soulever la robe de l’autre, exhibant ce qu’il y avait dessous. Pour Guilia un string, elle ne devait porter que ça pour mettre en valeur sa croupe ultra charnue et ultra rebondie, pour Amélie une culotte bleue. Giulia se baissait, et pendant qu’Amélie prenait le relais et tenait sa robe, descendait lentement le slip de sa copine, pour dévoiler ses fesses. Elle n’avait pas une croupe hypertrophiée, mais quand même de très belles fesses, fermes et vraiment rebondies. Elle les malaxait doucement, pour susciter son envie, les écartait, lui laissant voir l’anus sombre, et ses plissements, mais on voyait bien dans son regard qu’elle aussi, elle aimait ce cul charnu, jouer avec, le prendre dans ses mains.
Puis c’était au tour d’Amélie de venir sur les fesses de sa compagne, nues, coupées en deux par le cordon du string qui s’enfonçait entre ses fesses. Comme elle l’avait fait dans l’après-midi, elle les malaxait doucement, avant de baisser le string, et de les ouvrir.
—Je suis sûre que tu as envie de venir dedans. Et ça tombe bien, parce que c’est exactement ce dont a envie Giulia. Pas vrai Giulia?
J’avais le feu au ventre, et je me suis dit que j’allais jouir avant de la pénétrer. Je sentais que ça montait.
Il y a eu un glissement vers la réalité et j’ai compris que j’étais dans un rêve, dont la consistance m’avait trompé.
Mais la réalité était aussi sympathique. Aussi, sinon plus excitante. Les filles n’étaient pas que dans mon rêve, elles étaient devant moi, aussi nues l’une que l’autre. Amélie était posée sur le lit, elle avait écarté le drap, et elle masturbait ma queue, à laquelle le rêve avait donné de la consistance. J’étais très long et tout dur.
—On arrivait pas à dormir, alors on est venues te rendre visite. Tu faisais un rêve érotique?
Elle était à quelques centimètres de moi, et l’odeur de son corps, une odeur de citronnelle me parvenait. Elle devait s’enduire d’une crème anti-moustique avant de se coucher. Mon regard a glissé le long de son corps juvénile et désirable, ses seins fermes, son ventre, la toison qui ornait son pubis et dont elle n’avait pas jugé nécessaire de se débarrasser, contrairement à bien des filles. Un instant, j'ai cru que j’allais jouir, mais je me suis contenu.
—On t’a fait une surprise.
Giulia se tenait un peu plus loin, elle nous regardait, avec une expression mi-intéressée, mi-amusée, comme si elle avait posé un regard détaché sur tout, et elle se tripotait les pointes des seins. Elle n’avait quasiment pas de poitrine, mais, paradoxalement, deux tétons dont les capacités érectiles semblaient sans limites et qui s’élargissaient et s’allongeaient d’une manière spectaculaire.
Du liquide gras, pré-sécrétif coulait de ma queue.
—Tu vois, Giulia n’a pas seulement une paire de fesses comme on en voit rarement, elle a aussi deux tétons de super-héroine, qui ont la capacité d’être incroyablement érectiles. Ils arrivent à tripler leur taille d’origine, et on peut faire plein de choses avec. On te montrera dans les prochains jours. Mais ce soir, on a envie d’autres choses, toutes les deux.
Giulia s’est approchée, et elle s’est tournée, présentant à mon regard et à celui de son amie sa croupe. Elle n’avait pas vraiment évoluée depuis le matin, très volumineuse, ferme, et rebondie. Elle s’est pliée en deux, sa tête touchant presque le sol, nous offrant son cul en l’ouvrant ainsi. On pouvait voir avec une infinie précision sa chair, le fait qu’à l’intérieur de sa fesse gauche, elle avait une zone de peau plus claire. J’ai eu une sorte de vertige. Cette croupe me faisait envie, j’avais envie de la caresser de mille façons possibles, et de partir à l’assaut de cet anus, avec mes langues, mes doigts, et ma queue.
Il y avait pourtant une différence importante entre ce matin et cette fin de soirée. On ne voyait pas les plissements de son anus, ils étaient masqués par une rondelle métallique.
—Regarde-là cette cochonne… Tu sais qu’elle adore se foutre des objets dans le cul. Ca la caresse à l’intérieur quand elle bouge, et ça lui donne du plaisir. Tu es vraiment une belle cochonne, Giulia. Elle se trimballe avec ça…Si tu savais ce qu’elle peut se fourrer dedans…
Amélie a attrapé délicatement la base de l’anal plug, celle qu’on manipulait habituellement. La tenant fermement, elle s’est mise à déplacer doucement l’objet, qui était un peu comme un iceberg, l’essentiel était invisible, enfoncé dans la muqueuse anale de Giulia. Il a suffi que l’objet se déplace un peu en elle pour qu’elle tremble, frémisse, et qu’elle se mette à gémir.
—C’est bon, elle a dit simplement.
—On le sait que tu trouves ça bon.
Le signe le plus manifeste de son plaisir, ça a été la manière dont son sexe, clos, deux bourrelets alignés l’un contre l’autre, s’est ouvert très rapidement, laissant passer la masse de ses lèvres, qui se sont dépliées et étendues, alors qu’un liquide sirupeux se mettait à suinter d’elle, très vite abondant, qui a noyé ses lèvres, dégoulinant dans ses aines et l’intérieur de ses cuisses, et pendant en de longs filaments de sa vulve…C’était terriblement excitant à voir.
A chaque fois, Amélie donnait plus d’amplitude à sa caresse, sortant de plus en plus l’objet, jusqu’à ce que finalement, dans un bruit visqueux, elle l’arrache de l’anus de sa copine. Depuis combien de temps Giulia l’avait-elle dans sa muqueuse anale? Le début de la soirée? En tout cas, l’objet avait imprimé sa marque sur l’anus de Giulia, creusant une ouverture large qui permettait de voir les parois de sa muqueuse, toute rouge, assez loin, et un fond plus sombre…
Amélie a entrainé sa copine sur le lit, et elles se sont mises toutes les deux à quatre pattes, m’offrant leurs croupes. Celle de Giulia avait un galbe spécial, mais celle d’Amélie était aussi appétissante. C’était bien d’avoir de la diversité. C’était aussi vrai pour leurs muqueuses anales. Giulia était béante, mais ce n’était pas forcément là que j’avais le plus envie de m’enfoncer. L’anus d’Amélie, clos, avec ses plissements anaux dessinés dans sa chair me faisait également envie.
Tout en gainant ma queue d’une capote, je me suis dit que je n’avais certainement pas imaginé un tel séjour. Il me laisserait un bon souvenir, en tout cas…
Je me suis approché, la queue gorgée de sang. Deux filles, la croupe offerte, ouverte sur leurs anus…Une occasion que je n’aurais peut-être pas de sitôt. J’ai posé mon gland tout dilaté contre la muqueuse d’Amélie, et j’ai frotté doucement. Elle a poussé un petit gémissement.
—Moi aussi j’adore qu’on me prenne par le cul. N’aie pas peur, je ne suis pas aussi ouverte qu’elle, mais ce n’est pas la première fois que je me fais sodomiser…
J’ai appuyé sur la muqueuse, et effectivement, celle-ci s’est ouverte, me laissant rentrer. J’ai glissé dans le conduit serré, éprouvant un plaisir intense. Ma compagne n’aimait pas trop que je passe par là, et c’était un peu une redécouverte. J’ai poussé en elle jusqu’à y être quasi totalement, ma queue avalée. J’ai remarqué qu’elle venait glisser une main entre ses cuisses pour se masturber. Je me suis mis à bouger dans son canal anal, ressortant, et rentrant, le préservatif se souillant au fur et à mesure de bribes de merde. Je me suis finalement dégagé, pour aller me planter dans le canal anal de Giulia, qui, en m’attendant, avait repris le plut et se fouillait avec. Elle a crié alors que je glissais en elle, décidément ultra-sensible de ce côté-là. Elle était plus dilatée, et la sensation était différente. Ironiquement, je me suis dit que je préférais fouiller Amélie, plus resserrée.
J’ai été de l’une à l’autre, sentant le plaisir monter en moi, autant parce que je jouissais d’être caressé par leurs muqueuses parce que j’aimais sentir leurs réactions, leurs corps frémissants, leurs petits cris… Amélie, après que je l’aie bien fouillée, a crié:
—Je vais jouir!
Elle s’est tendue, et a laissé échapper de son sexe une quantité impressionnante de liquide, un liquide blanc et abondant, en plusieurs jets, qui a poissé les draps.
Sa jouissance l’a laissée un instant dans le flou, puis elle s’est redressée, retournée, le sexe dégouttant de ses sécrétions.
—Regarde, je vais te montrer ce que Giulia aime vraiment. Et que moi seul, je peux lui donner.
L’anus de sa copine était à présent un rien plus ouvert, on voyait plus loin les parois. Giulia regardait sa copine, attendant quelque chose d’elle. La jeune femme est venue frotter sa main contre le sexe de sa copine, enduisant ses doigts et sa paume du liquide gras qui sourdait d’elle. Une fois sa main bien trempée, elle est remontée sur la muqueuse anale.
—Je vais te faire quelque chose que personne ne te refera jamais. Tu vas voir. Mets ta queue, d’abord.
Je ne voyais très bien où elle voulait en venir, mais je suis venu, une fois encore, sodomiser la jeune femme. J’ai fait glisser ma queue en elle aux trois-quarts.
C’est à ce moment-là qu’elle a commencé à glisser dans l’anus de sa copine. Parce qu’elle avait bien graissé sa main, parce que aussi parce que l’anus était tellement distendu qu’elle pouvait y rentrer. Fasciné, parce que je n’imaginais pas cela possible, je l’ai vue rentrer un doigt après l’autre. Il restait le pouce, qu’elle a ramené contre sa paume, et sa main a disparu, cohabitant dans la muqueuse anale avec ma queue. J’ai senti la présence contre moi. Mais, à ma grande surprise, il ne s’agissait pas juste d’occuper l’espace, d’une sorte de prouesse. Elle avait suffisamment de place pour se servir de sa main, et elle est venue caresser ma queue doucement. C’était tellement exceptionnel, et tellement excitant aussi que je devais me retenir pour ne pas jouir. J’avais la double sensation de la muqueuse anale contre moi, délicate comme du papier soie, et de la main, qui me masturbait doucement. J’ai eu un orgasme d’une rare violence, qui a déclenché celui de Giulia, quand les jets de sperme sont venus remplir la capote.
On est restés un moment ensemble, silencieux, unis par la complicité éprouvée lors de ce moment. Puis les filles sont parties, et je me suis rendormi, cette fois d’un sommeil sans rêves. Mon rêve avait sans doute été un rêve d’anticipation…
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Histoire de JamesB

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