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Bras cassés et main caressante

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 11/09/2023

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BRAS CASSES ET MAIN CARESSANTE



On dit souvent que dans la vie, le Destin nous attend au coin du chemin. Pour moi ça a été au bord de la route. Un de mes copains était venu me chercher une aprem pour aller faire une balade en moto. Ma mère m'avait dit 'Je déteste te voir partir en moto...' Je lui avais répondu qu'avec casque et habits rembourrés je ne risquais pas grand chose. Je n'avais qu'en partie raison. On n'était qu'à cinquante kilomètres de chez moi, une petite route de campagne, et on est partis en travers, des graviers, pour percuter un mur en béton. Tout a pris. La moto, moi, et mon pote. Lui un bon paquet de côtes fracturées, moi ce sont les deux bras qui ont subi l'impact, parce que j'ai eu l'idée stupide, en voyant arriver le mur, de mettre mes mains devant comme si cela pouvait éviter le choc. Quant à la moto...Beaucoup de réparations, ou changer de modèle...
On s'est retrouvés aux urgences. Des radios, des analgésiques...On est rentrés chez nous en ambulance.
Imaginez ma situation. Plâtré de l'épaule au poignet. Difficile de faire grand chose. Par chance, ma mère travaille à la maison, elle fait des traductions. Donc, elle a pourvu comme une mère sait le faire à mes besoins de base. Me donner à manger, me laver, m'habiller...On ne se rend pas compte de la chance qu'on a quand on est totalement valide. Enfin, de la chance, j'en avais quand même, je n'étais pas à plaindre, trois semaines et demi plâtré, après je retrouverais ma mobilité, même si ce serait encore douloureux.
Ma mère avait une très bonne copine. La meilleure sans doute. Pour autant que j'en savais, elles avaient à peu près le même âge. Elles étaient totalement différentes l'une de l'autre. C'est d'ailleurs pour ça qu'elles se complétaient bien. Ma mère était brune, pas très grande, et plutôt introvertie, Sa copine était blonde, elle atteignait le mètre quatre-vingt-dix sans talons, débrouillarde et tenace, elle n'avait pas vraiment de limites, parlait beaucoup, et était sexy quoi qu'elle porte. Je les entendais souvent discuter ensemble, sans qu'elles en aient forcément conscience et comme elle avait peu de pudeur, je connaissais bien sa vie sentimentale et sexuelle. Divorcée, elle avait juré de ne jamais se remarier et multipliait les expériences avec des hommes et des femmes, donnant une multiplicité de détails à ma mère qui d'un naturel pudique n'osait pas lui dire qu'il y avait des éléments qu'il fallait garder pour soi.
Et donc, un mardi matin, il me restait dix jours de plâtre, elle m'a dit:
--Je pars à treize heures, je serai de retour en fin d'après-midi. Mais comme je ne tiens pas à ce que tu restes seul, j'ai trouvé une solution. Clotilde va venir te garder.
Je ne savais pas si je devais m'en réjouir ou au contraire en être affligé. Elle avait un effet dévastateur sur ma libido, d'autant qu'elle avait des tenues ultra sexy et une nette tendance à dévoiler une anatomie dont je connaissais à peu près tout. Ca faisait dix ans qu'on se connaissait elle et moi, et durant ces dix années, on avait partagé, outre qu'elle s'était souvent offerte à mon regard, de nombreux moments de sexe. C'était assez curieux, d'ailleurs, parce qu'il y avait eu ces moments de plaisir, intense, espacés, on se voyait, parfois elle me manifestait une indifférence polie, parfois un côté plus affectueux, se souciant de moi. Elle était en dents de scie, comme on dit, et d'humeur changeante. Mais j'avais appris à m'adapter à la nature humaine. Et puis les moments de plaisir qu'elle m'avait accordés tournaient dans ma tête, comme autant de moments de perfection qui remontaient en moi et me procuraient du plaisir.
Il y avait quelques moments forts qui dominaient.
Elle était souvent à la maison, elle avait les clefs, et donc elle y venait, parfois pour attendre ma mère qui n'était pas toujours là, ou pour faire quelque chose que cette dernière lui demandait, parce qu'elle était absente. Je ne savais pas qu'elle était là, et j'étais occupé à me masturber, allongé sur mon lit. Elle était passé devant la chambre, elle allait sans doute aux toilettes, s'était aperçue que j'étais là, et aussi que j'avais la queue à la main. Elle avait pénétré dans la pièce, et m'avait dit :
--Tu sais, je crois que ca sera plus agréable pour toi avec une main de fille.
Elle avait un jean hyper serré, qui la faisait plus nue que nue, une chemise d'homme sous laquelle se baladaient des seins qui devaient tout, selon son propre aveu, à la chirurgie esthétique, énormes, 'mon meilleur investissement', selon ses propres termes. Elle s'était calée sur le lit, et j'avais écarté la main pour lui laisser la place. Des copines m'avaient déjà masturbé, bien sûr, mais sans nul doute, à l'aube de la quarantaine, elle avait ce que les filles de mon âge n'avaient pas. Une expérience hors normes. Une main chaude, douce, qui glissait sur moi, venait sur des zones sensibles, me poussait vers l'orgasme mais s'arrêtait juste à temps, Elle avait su faire durer longtemps ce qui avait moi n'aurait pris que quelques minutes...Le meilleur avait sans doute été le final, quand elle était venue envelopper mon gland de sa bouche, et frotté jusqu'à ce que mon sperme jaillisse. Elle avait refermé sa bouche sur moi, buvant mon sperme jusqu'à la dernière goutte, et encore plus, lapant ce qui avait coulé après.
C'était le genre de moment que je ne risquais pas d'oublier.
Pas plus que cette fois où, on était dans le living, elle attendait ma mère. J'étais posé sur l'un des deux canapés qu'on avait, elle était venue se caler en face avec un verre de je ne savais trop quoi. Elle avait une robe ultra-courte avec des escarpins aux talons fins et longs. Ultra-sexy comme toujours. Elle m'avait jeté
--Je te propose quelque chose. Je te fais un show et toi tu te caresses. Ca te dit ? Tu auras du plaisir de me voir, et moi aussi j'aurais du plaisir de te voir. Il n'y a rien que j'aime plus qu'un homme qui caresse sa queue et qui jouit en crachant son sperme. Mais c'est un spectacle rare
Et pour m'inciter à accepter, elle avait attaqué le show tout de suite. La robe était déjà très haute, elle dévoilait donc ses jambes, couvertes de nylon. Elle s'est mise à les caresser. Ses jambes étaient serrées, mais peu à peu elle les a ouvertes, basculant sur le côté pour mieux me montrer ses jambes. Moi j'avais déjà tenu mon pari, absolument pas impudique, ma queue déjà bien érigée dans ma main.
Après la deuxième jambe, elle s'était recalée face à moi pour m'offrir son ventre. Elle a écarté les jambes pour me donner une bonne vision de son sexe. Je l'avais déjà vu sous bien des aspects, mais là, curieusement, il était à un point zéro, c'est-à-dire qu'il y avait juste une fente dans ses chairs. Elle avait une moule toute gonflée, avec au-dessus une belle toison qu'elle avait gardée, mais domestiquée, peut-être pour dire qu'elle était vraiment blonde.
--Regarde bien tout ce que tu vas voir...Ce sera ta richesse, tu y penseras dans des moments de tristesse ou quand tu te branleras.
A travers le nylon, elle a commencé à se caresser. Un mouvement circulaire, celui d'une femme qui me masturbe. Son sexe s'est métamorphosé. Je le voyais partiellement alors que sa main tournait dessus. Elle a fait une pause, pour me laisser voir. Sa chatte s'était transformée en quelques minutes. D'abord, il y avait de la mouille qui avait coulé, et qui marquait le nylon, le faisant briller sur certaines zones. Son sexe s'était ouvert, et bien ouvert. Ses lèvres s'étaient sorties, elles avaient gonflé, elles s'étaient étendues. S'écrasant contre le nylon. Je pouvais voir aussi son gland clitoridien pointer, et le rose de son intérieur.
Et moi je faisais aller et venir ma main sur ma queue. Dans un état entre deux, comme je n'avais jamais éprouvé. J'étais déjà monté très proche de la jouissance, à la fois à cause du spectacle qu'elle m'offrait, et de sentir ma main sur ma queue, qui poursuivait sa caresse implacable et persistante. Je me maintenais de force dans une sorte de parenthèse, pour ne pas jouir tout de suite et je sentais à la fois la tension et le plaisir, un plaisir plus fort que si j'avais explosé immédiatement, avec une autre saveur, une autre densité, que je n'avais pas connues avant, donc c'était tout bon.
Elle a changé de tactique, pour glisser sa main sous le collant. Elle est venue se masturber autrement, dans de courtes mini-séquences. Frottant son gland clitoridien, frottant ses lèvres dans un mouvement de haut en bas, puis glissant très lentement un doigt dedans avant de le faire aller et venir, avec une lenteur délibérée.
--Tu t'accroches bien, elle a reconnu. Il y a des gars qui auraient joui il y a longtemps. Si tu voyais comme tu as gonflé. J'ai envie d'une langue sur ma chatte. Tu te sens capable de faire ça ?
J'avais déjà fait un cunni à une fille. Je n'étais pas un expert, loin de là. Il fallait espérer qu'elle ne serait pas trop déçue. Comme pour m'encourager, elle a soulevé ses fesses un instant, pour dégager son ventre du collant qui l'enveloppait. Je l'ai récupéré et descendu jusqu'à ses chevilles.
--Viens...Bouffe-moi la chatte...Dévore-là...Donne-moi du plaisir.
J'ai tenté d'être à la hauteur, la caressant de la bouche et des lèvres, tournant sur ses parties intimes, venant appuyer sur son clitoris de la pointe de la langue, pincer ses lèvres et les tirer, darder ma langue pour la pousser en elle. Elle remplissait ma bouche de la saveur unique de ses liquides intimes...Elle a fini par jouir, explosant, et la rivière s'est faite torrent. Je me suis abreuvé, je voulais tout boire d'elle.
--Viens à côté de moi, maintenant que tu m'as fait jouir.
J'ai obéi, et je suis venu m'appuyer contre elle. Sa chaleur m'a pénétré alors qu'elle masturbait ma queue, que j'avais caressée sans cesser pendant que je la léchais, me retenant toutefois de ne pas jouir.
Quand elle m'a pris en main, je crois bien que je n'avais jamais été aussi gros.
--Tu as une belle queue...J'aimerais la sentir dans mon ventre, frotter mon intérieur pour que j'aie orgasme sur orgasme. . Mais ce sera pour une autre fois.
J'étais tellement au bout du processus que je n'ai pas tenu très longtemps. Elle l'a bien senti.
J'ai bien aimé ce qu'elle a fait de ma queue. Elle s'en est servie comme d'une sorte d'instrument qu'elle a orienté sur ses chairs pour se maculer de sperme. Quand elle a senti que j'explosais, elle a d'abord orienté ma queue vers ses seins. C'était hyper troublant que de voir sa chair nappée par un sperme bien blanc et bien épais...Elle l'a ensuite orienté sur son ventre, finissant par sa toison, dont le blond a été totalement nappé par le blanc du sperme.
--Ben dis donc, tu avais besoin de te vider les couilles. J'ai jamais vu autant de sperme sortir de la queue d'un gars...
Et encore d'autres moments que je n'oubliais pas. Même si les circonstances, du retrait de sa part, du recul, avaient fait que je n'étais jamais venu dans son sexe. Mais avec elle, une simple masturbation c'était très fort, et je n'étais pas obsédé par les pénétrations.
Et puis ce que j'adorais, c'était, quand parfois très rapidement surtout s'il y avait ma mère à côté, je me demande même comment on n'a pas été pris, elle me montrait sa chatte, l'ouvrait avec ses doigts, en fichant deux index dedans par exemple, et me disait :
--Regarde bien, tu y penseras en te branlant.
Et je gardais imprimé en moi ces images d'un sexe, identique certes, mais toujours différent.
C'était facile si par exemple elle était cul nu sous une jupe ou une robe, même avec un collant, mais nettement plus compliqué quand elle avait un pantalon et un slip. Une ou deux fois, ma mère était de retour dans la pièce, elle remontait le pantalon le long de ses jambes...
Et cet après-midi là, ma mère est passée me dire au-revoir, elle s'était faite belle, elle avait des rendez-vous de travail, elle m'a dit ' Elle arrive dans deux minutes.'
Il m'a fallu attendre un peu plus longtemps, mais Clotilde a finalement fait son apparition dans la chambre. Ca faisait un mois que je ne l'avais pas vue, et j'avais un peu oublié à quel point elle était magnifique. Elle dégageait quelque chose de très fort, que des filles plus jeunes et plus jolies n'avaient pas.
Elle était habillée dans des tons de bleu turquoise. Un caleçon très moulant, comme tous les caleçons, qui disait ses formes jusqu'à l'extrême, un crop top qui enveloppait cette poitrine qui devait tout à la chirurgie, selon ses propres dires, ce qui ne semblait pas la gêner, comme elle avait dit à ma mère un jour, 'Je voulais de gros nichons, j'ai de gros nichons, c'est tout ce qui compte...', une petite veste, des escarpins et puis son sourire, sa présence.
--Alors, ça va, mon pauvre chéri, elle m'a demandé. Bon, bientôt libéré de ce carcan de plâtre.
La retrouver ranimait le désir que je pouvais avoir pour elle, si flamboyante.
Elle s'est assise sur le bord du lit, et elle est venue chercher ma bouche, pour un long baiser, d'abord lèvre contre lèvre, puis sa langue est venue chercher la mienne et l'a frottée.
--Mon pauvre chou...Tu as du avoir mal, et j'imagine que tu as encore mal...J'ai des idées pour libérer des endorphines et de la dopamine dans ton sang...Tu te sentiras mieux après...
Je me demandais toujours s'il y avait quelque chose d'autre qui l'intéressait dans la vie que le sexe. Mais après tout, ce n'était pas un mauvais intérêt. Je la partageais, en tout cas.
--Mais dis donc, elle a soudain réalisé, tu as pas pu te branler pendant trois semaines...Tu dois avoir le feu dans le ventre...Ben écoute, on va vérifier ça tout de suite.
Elle était un rien hypocrite, sans doute, parce que la manière dont le drap était tendu au niveau de ma queue disait parfaitement les choses. Ledit drap, elle l'a soulevé, dévoilant une queue tendue par le désir. Son arrivée avait fait remonter ces trois semaines de manque qui flottaient dans l'air, autour de moi, et mis le feu dans mon ventre, mais aussi tendu ma queue à son maximum.
--Mmmmm...Ca te fait une belle queue...Oh, elle me fait vraiment envie..Elle est bien épaisse, bien dure...Faut dire que trois semaines sans te branler...Ca doit être hyper dur....C'est le cas de le dire.
C'était aussi très gênant quand ma mère me mettait sous la douche, et qu'elle me trouvait en me déshabillant, avec une bite en pleine érection. Je n'arrivais pas à me contrôler...Elle faisait celle qui ne voyait rien. Déjà deux fois, quand elle m'avait savonné, comme elle passait partout, elle avait eu droit à des jaillissements de sperme. Elle n'avait rien dit.
Clotilde a fait glisser sa veste et le crop top est passé par dessus ses épaules, mettant à nu cette énorme paire de doudounes que la nature ne lui avait pas donné, mais que la chirurgie lui avait apporté. Deux seins bien charnus, un ovale dont la perfection disait bien que la médecine faisait des miracles, avec des tétons que l'air ambiant a durci, et qui étaient bien les siens, par contre. Mais vrai ou faux, ils me faisaient sacrément envie.
Clotilde avait en tout cas une qualité, quand on avait des rapports sexuels avec elle, elle savait toujours se soucier de donner du plaisir à l'autre, sans penser uniquement au sien. Elle est venu me caler ses deux énormes nénés juste devant le visage. Impossible de les toucher, avec les deux bras dans le plâtre, mais par contre, je pouvais m'en occuper de la bouche.
A sa façon, je l'ai bien compris, elle avait envie de me gâter, sans fausse pitié, pour adoucir mes moments difficiles. Elle ne m'avait jamais encore offert ses doudounes ainsi et j'ai pu bien en profiter, venant les lécher, puis me concentrant sur ce qui me fascinait, et qui lui a donné du plaisir, ses aréoles et ses tétons. Quand je les ai eu entre les lèvres, frottant ma langue dessus, elle s'est mise à gémir et j'ai bien senti ses tétons gonfler comme peut gonfler une queue en pleine érection.
--C'est trop bon...J'ai l'impression de me pisser dessus, tellement je mouille.
Quand elle s'est redressée, elle avait les tétons distendus, et il y avait une tâche immense sur le caleçon au niveau de son entrejambes.
Elle a étudié la situation, en particulier la position de mes bras avant de me dire :
--Bon, ben je crois qu'on peut tenter un bon 69, ça te fera pas mal...J'imagine bien que tu vas pas tenir très longtemps, vu ton état, mais je pense que vu ton âge, et ton manque, ta queue restera toute raide...Ou redurcira très rapidement.
Elle a fait ce que j'aurais aimé faire moi-même. Elle a descendu le caleçon, très lentement. Sans grande surprise, elle était cul nu dessous.
--Ca fait longtemps que tu m'avais pas vu à poil...Ca t'a manqué ?
--Tu sais très bien que je me branle souvent en pensant à toi...Là, tu peux comprendre que c'est compliqué.
Elle a tourné sur elle-même pour me laisser le temps de l'admirer. Côté face, une chatte que le travail sur ses seins avait lentement dilatée, dont sortait un Niagara de mouille, côté pile un cul à présent en harmonie avec ses seins, selon la fausse règle, stupide, selon laquelle le cul et les seins d'une femme devaient totalement s'équilibrer. J'aimais son cul, épais, charnu, qui semblait littéralement projeté vers l'arrière, fendu en deux par un sillon profond.
Elle est venue se caler au-dessus de moi, tête-bêche,et je me suis retrouvé avec ses parties intimes offertes à mon regard, sa position ouvrait ses fesses et me donnait à voir sa muqueuse anale, plissements marqués dans sa chair, et plus bas, le déploiement de ses lèvres, aussi longues qu'épaisses, le long desquelles ruisselait sa mouille. Juste en dessous de sa chatte, plus loin, je voyais ma queue, d'une dureté que rien ne semblait devoir casser, sur laquelle elle a commencé à donner des coups de langue. Je me suis mis à gémir. C'était...Tellement bon...Je me suis juré que quand j'aurais les bras déplâtrés, je rattraperais cette période vide. Déjà en caressant ma queue autant que j'en aurais envie, mais aussi en allant la chercher, et en partant avec elle sur des chemins sur lesquels originalité et imagination seraient de mise. Elle ne dirait pas non si je la sollicitais plus...
Je me suis mis d'ailleurs en devoir de lui montrer que c'était bien d'avoir du sexe avec moi...Je suis venu sur l'ouverture de sa chatte, et je me suis mis à laper ses liquides intimes, caressant en même temps ses parois internes. La manière que son corps a eu de se tendre, mais aussi l'abondance accrue du jaillissement de ses jus intimes, déjà copieux, m'a dit que ça lui plaisait.
Curieusement, et paradoxalement, alors qu'on pensait tous les deux que j'allais jouir sur le champ, mon érection s'est développée encore plus, mais je suis resté figé dans un contrôle de moi-même qui faisait que je me sentais capable de rester comme ça sans jouir très longtemps. On s'est caressés dans un moment de plaisir partagé, loin de tout. Pour la première fois depuis que j'avais eu mon accident, je ne pensais pas à celui-ci et je ne ressentais pas mes douleurs dans les bras. Et puis, sans doute parce qu'on était arrivés au bout de quelque chose, on a basculé dans la jouissance...Elle la première. Son corps s'est mis à frémir, et elle a éjaculé, comme le fait un homme, crachant des jets copieux d'un liquide blanc qui n'avait rien à voir avec avec celui qui s'écoulait d'elle avant la jouissance. Alors que je gardais la bouche ouverte, pour accueillir sa jouissance, je me suis rendu compte que j'étais entrain de jouir moi aussi. Elle a refermé sa bouche autour de ma queue, recueillant une semence aussi abondante que ses sécrétions. Je n'en finissais pas de me vider, comme si, ce n'était bien sûr pas une réalité biologique, j'avais éjaculé trois semaines d'une frustration qui se serait accumulée.
Remplis de liquide, nous nous sommes détachés l'un de l'autre. Elle m'a dit :
--Je crois que le moment est venu. Tu en as envie, et moi aussi. Je vais attraper ce qu'iil faut.
Ce n'était pas une obsession, mais elle avait raison, j'en avais envie.
Elle a glissé hors du lit pour se pencher sur son sac. Pliée en deux, son cul tendu vers moi, comme une offrande, et une incitation à aller plus loin, elle l'a fouillé, jusqu'à dénicher une boite de préservatifs.
--On va vérifier la date, non c'est bon...
Comme je l'entendais souvent parler de sa vie amoureuse à ma mère, j'avais tendance à penser que les boites n'avaient pas le temps de se périmer. Elle en a en tout cas tiré un préservatif, dont elle a déchiré l'emballage qu'elle a fait glisser sur ma queue.
--On aurait du le faire plus tôt, elle a dit, en ajustant le réservoir. Elle est venue se poser sur mes cuisses...Avec un air extatique, celui d'une fille qui se livre à son activité favorite, elle a attrapé ma queue, et, profitant du décalage de son corps, elle l'a fait frotter contre ses lèvres...C'était une sensation délicieuse, qu'elle seule, j'en était bien conscient, serait capable de me donner, et pas les filles de mon âge. C'était bon pour moi de sentir le relief de ses lèvres, et de son gland clitoridien contre mon gland, mais pour elle aussi de sentir le poids de ma chair dilatée contre elle. J'arrosais le latex de l'intérieur de mon liquide pré-séminal, pendant qu'elle, elle le trempait sur l'extérieur de ses sécrétions qui ruisselaient.
--Ah j'en peux plus....J'ai envie de me sentir remplie.
Elle s'est redressée un peu, a guidé ma queue vers ses lèvres et elle s'est laissée descendre sur moi. J'ai eu la sensation, intense, de sa chair qui me prenait. La chaleur de son intimité, la délicatesse de la muqueuse qui m'enveloppait. Elle a poussé un petit soupir de soulagement une fois que j'ai été totalement en elle.
--C'est bien, hein...Ca sera une journée à marquer d'une pierre blanche. Tu vois, d'un mal peut naître un bien...
En d'autres temps, d'autres moments, j'aurais aimé prendre son cul à pleines mains, le sentir vibrer au cœur de celles-ci, Dans ce contexte ca aurait été difficilement possible. C'est elle qui a pris le contrôle, se faisant monter et descendre sur ma queue, la caressant, la frottant, me donnant un plaisir intense, alors même qu'elle s'en procurait tout autant en se caressant avec ma queue.
--Je suis entrain de jouir, elle m'a dit au bout d'un moment.
Elle a totalement perdu le contrôle, se tordant sur ma queue, éjaculant, gémissant...
--Ca faisait longtemps que je n'avais pas joui aussi bien, elle m'a dit, mon sexe toujours fiché dans le sien, figé dans son érection. Je crois que je n'oublierai pas cet après-midi. Tu te sens pour autre chose ?
Elle m'a fait glisser hors d'elle. Je n'avais jamais été aussi gros avec une de mes petites copines. En équilibre au-dessus de moi, elle a amené mon gland contre les plissements de sa muqueuse anale.
--Tu as déjà sodomisé une fille ? Bon, ça ne me regarde pas...Tu vas voir, c'est très bon...J’espère que ça va rentrer. Tu es énorme...Tu as grossi dans ma chatte...
Mais c'est rentré. Ma queue a glissé entre les plissements anaux, écartant, ouvrant. La sensation était aussi immédiate qu'évidente: celle d'être dans une gaine plus serrée, mais aussi chaude, aussi délicate, aussi génératrice de plaisir.
En se faisant monter et descendre sur moi, elle se masturbait, dans un plaisir aussi intense que lorsque j'avais été dans sa chatte. Celle-ci était dilatée, tellement ouverte que je pouvais voir son utérus, chatte encadrée par des lèvres gonflées à l'extrême, durcies à force d'avoir été gorgées de sang.
--C'est aussi bon de jouir par le cul, elle a lâché, juste avant d'exploser dans une nouvelle série d'orgasmes qui l'ont faite tressauter sur moi. Elle a encore éjaculé, nous éclaboussant tous les deux.
Elle m'a dégagé d'elle. Je n'avais encore pas joui. Elle a viré le préservatif, et s'est mise à me masturber, bouche ouverte devant moi...Le mouvement vif de sa main sur moi a fait monter ce que je retenais depuis un moment : un des orgasmes les plus forts que j'ai jamais pu éprouver, et dont la manifestation physique a été ce jaillissement de jets crémeux qui ont atterri dans sa bouche, sur son palais, et qu'elle a laissé glisser au fond de sa gorge.
On s'est rendus compte qu'il était largement temps de reprendre une posture plus décente. Quand on apprécie les plaisirs du sexe, on ne voit pas le temps passer, mais ma mère n'allait pas tarder.
Elle nous a trouvés tous les deux dans une posture bien sage, Clotilde lisant installée sur un fauteuil et moi calé sur un film sur ma tablette.
--Vous avez été sages à ce que je vois.
--Tu n'as pas idée, à répondu Clotilde.
L'ironie n'était pas le fort de ma mère. Heureusement sans doute.
--Tu viens boire un thé avec moi ?
Et elle est partie préparer le thé.
Clotilde s'est penchée vers moi. Elle a soulevé mon pantalon de survêtement et mon caleçon. Je bandais à moitié. Elle a caressé ma queue, qui a durci très vite.
--Bon, pour ton bien-être, il va falloir que je revienne très vite. Ca t'évitera des tensions internes insupportables.
Elle a rajouté :
--Quand tu auras les bras libres, ça sera bien. On pourra envisager d'autres choses. Mais rassure-toi, je reviendrai avant.
Elle s'est éloignée, me laissant avoir un dernier regard sur ses jambes interminables, son cul qui distendait le tissu, sa chevelure blonde.
Quinze minutes plus tard, j'ai eu la surprise de la voir revenir. Elle m'a trouvé en pleine érection. Les images de l'après-midi tournaient dans ma tête.
--Je peux charitablement pas te laisser comme ça. Ta mère a oublié d'acheter du pain, elle est partie à pied.
Comme on avait peu de temps, je pensais qu'elle allait faire quelque chose de très rapide. Au contraire, elle a esquissé un mouvement très lent sur moi. Cinq ou six fois, ça a été suffisant pour que je jouisse. Elle a bloqué sa main autour de la tête de ma queue, et j'ai joui en crachant encore de la semence, c'était comme si j'avais des réserves inépuisables. Elle m'a gardé tout le temps que mon sperme a jailli, et encore après. En souriant, elle a examiné le creux de sa paume, rempli de sperme, et elle s'est éloignée, le regard rêveur et lointain, en lapant le sperme qu'elle y avait recueilli.





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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Bras cassés et main caressante

Le 12/09/2023 - 17:55 par OlgaT
Volià une garde très dévouée!

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