Candide

Nous sommes samedi, 8h et le réveil sonne déjà.
En plus de mon boulot, voilà maintenant une dizaine d’années que je donne des cours de musique tous les samedis matins. Bien que cela soit né d’une passion il est parfois difficile de trouver la motivation pour enchaîner.
Il est maintenant 9h et mon premier élève est arrivé. Peu motivé par l’apprentissage, j’attends avec impatience le second. Fils d’une musicienne et amie nommée Gwen, celui ci est un peu plus motivé et un peu plus appliqué que ses camarades.
La porte s’ouvre enfin et j’aperçois Gwen et son fils entrer dans ma salle. Quelque chose d’inhabituel retient mon attention sans savoir exactement quoi.
Après avoir briefé mon premier élève, Gwen s’approche et me fait la bise.
Gwen est âgée de 6 ou 7 ans de plus que moi. Elle vient à peine de dépasser la quarantaine. Elle a déjà les cheveux poivre et sel, un fessier large et une poitrine énorme. Au cours d’une discussion anodine avec son concubin, celui ci nous a confié que sa préférence allait aux petits seins ronds et fermes et que le 90E de Gwen était trop imposant pour lui.
Au contraire, sa poitrine avait déjà provoqué chez moi quelques emois dans mes jeunes années. A l’âge de 15 ans, en rentrant dans les coulisses d’un concert pour y attraper une partition que j’avais oublié, elle était là, en train d’enfiler son chemisier, laissant apparaître un soutien gorge en dentelle blanc qui laissait deviner la taille de ses aréoles. L’image m’avait hantée pendant des semaines.
« Ça y est ! Je sais ce qu’il y a d’inhabituel aujourd’hui, tes cheveux!! »
« Oui ils sont détachés »
« Bizarre, tu as un rencard »
Elle pouffe de rire.
« Oui en mairie pour aller chercher une subvention »
« Ahhh c’est un argument convaincant »
« … »
Pas de réponses… je suis peut être allé trop loin.
Elle se retourne et pars ranger quelques pochettes de papiers.
Pendant le cours de son fils, elle s’affaire, parfois a 4 pattes sous un meuble pour déplacer des caisses, empiler des cartons.
Son jean épouse parfaitement les courbes de ses fesses généreux mais un gilet vient quelque peu gâcher la vue.
Elle s’agenouille maintenant et par chance son gilet dévoile un peu plus le bas de son dos.
C’est alors que j’aperçois , 1 tout petit centimètre de chair et un bord de sous vêtement motif « zèbre ».
A partir de ce moment, impossible de me concentrer sur autre chose. Je croise les doigts pour que ce petit centimètre se multiplie.
En s’enfonçant dans le meuble, apparaît un string un peu banal, en tulle noir avec un motif zébré noir et blanc. Me revoilà dans la situation de mes 15 ans.
Mon sexe se gorge, mon imagination s’emporte.
En se retournant vers moi elle replace son gilet. Voyant mon sourire au coin des lèvres elle m’interroge :
« Qu’est ce qu’il y a ? »
« Rien rien. Juste te voir dans le meuble accroupie la, c’est … drôle »
« Viens m’aider bébête »
J’entre à mon tour une partie du corps dans le meuble, à genoux, parallèlement à elle.
En cherchant ses affaires perdues, et grâce à la position qui étire son décolleté, j’aperçois une fois de plus sa poitrine impressionnante. Le soutien gorge porte le même motif zébré que son string mais est quasiment totalement transparent. Je bloque un peu trop longtemps sur cette vue et me fait reprendre :
« Oh hey! Tu m’aides pas la »
« Pardon »
J’attrape alors la caisse en plastique convoitée et sort du meuble en effleurant les côtes de ma partenaire au passage.
« Hey tu m’as tripoté la ! »
« Mais non enfin…si mais sans faire exprès. »
« Mouais… c’est le zèbre qui te met dans ces états ? »
Mon sang prend 5 degrés et ma tête, trois teintes de rouge.
Je me mets alors à bafouiller.
« Non mais.. si c’est pas ça mais .. »
« Mais quoi ?
« Mais rien je sais pas »
« vilain, tu finis tes cours à quelle heure? »
Ce changement brusque de sujet me remet les pieds sur terre.
« 17h pourquoi? »
« Parce que j’aurai encore des choses à récupérer ici mais je reviendrai quand tu seras parti, je ne veux pas te distraire »
« Tu ne me déranges pas. »
La conversation s’arrête sur un échange de sourire et ma journée défile comme à son habitude.
Mon dernier élève s’en va et je commence à ranger mes affaires.
J’entend au loin la porte. Gwen arrive à nouveau. Elle a troqué cette fois son jean pour une petite jupe au dessus du genou avec une paire de collants noirs et de grandes bottes en cuir. Elle est maquillée mais ses cheveux sont toujours détachés.
Elle me demande alors de l’aider à charger sa voiture.
Je m’exécute et attrape les affaires à ranger.
Lorsque je reviens dans la salle, Gwen a repris ses dernières affaires. Elle tient juste une enveloppe dans sa main qu’elle finit par me tendre.
« Tiens cadeau. C’est pour toi »
« Merci » dit je sans même jeté un œil au contenu.
Son sourire s’appuie alors un peu.
Je jette un œil à l’enveloppe et le motif zébré me saute aux yeux. Encore une fois je ne trouve plus mes mots, je bafouille.
« Comme il avait l’air de te plaire… »
J’esquisse un rire.
« par contre je n’ai pas eu le temps de le laver »
Ma tête se retourne, ma respiration s’accélère. Elle a l’art d’appuyer la ou ça fait mal.
Je sors alors le bijou de son écrin, je l’entortille entre mes doigts.
« J’ai l’impression que cette petite pièce de tissu est mouillée »
« Oui on m’a tripotée ce matin ça m’a fait un peu d’effet »
Comprenant que les feux sont aux vert, j’approche ma main de ces côtes à nouveau. J’effleure son ventre et remonte de suite sur sa poitrine ce qui lui fait fermer les yeux.
Je passe la main sous son haut pour caresser la dentelle de son soutien gorge.
Elle pose alors ses mains sur ma ceinture et enlève la boucle. Elle constate immédiatement qu’elle me fait de l’effet. Elle sort alors mon membre de son étui, récupère le string qu’elle m’avait offert et commende à frotter la dentelle sur mon gland. L’effet est immédiat. Les veines de ma queue se gorge de sang, mon gland passe à l’écarlate. Elle empoigne alors la queue et l’entoure avec son string. Elle commence alors à me masturber pendant de longues minutes.
J’en profite pour lui enlever son haut et en profite pour malaxer ses seins. Ils ont l’air sensibles et Gwen se mord les lèvres à chaque fois que j’attrape un de ces tétons entre les doigts. Elle accélère ses va et viens sur ma queue mais approche ses lèvres de mon gland.
Sans prévenir elle enfonce mon sexe de tout son long au fond de sa gorge et le maintien quelques secondes. Je manque de tomber à la renverse. Elle suce mon
Gland et mes testicules de façon acharnée.
Je sens déjà que le sperme monte. Je l’attrape alors les hanches et la bascule sur une table non loin de la.
Je remonte alors sa jupe et je m’aperçois que ce que je pensais être des collants et en fait une paire de bas. Ma main remonte jusqu’à la jonction entre ses cuisses et son pubis.
Ma main est trempée à l’approche de son petit bouton. Je sens une vague de chaleur au dessus de sa chatte.
Nul besoin de salive j’enfonce directement 2 doigts dans son intimité.
Je fouille son entre jambe à la recherche de son point G. J’écarte ses fesses généreusement pour faire apparaître son œillet. Je frotte ma queue humide sur son intimité, de son Clito jusqu’à son anus.
Je ne résiste pas à enfoncer ma langue dans son petit trou pendant que mes doigts s’activent dans son vagin.
Je sens que la belle apprécie mon initiative. Plus ma langue entre en elle, plus mes doigts sont délicatement humidifiés.
Je finis par la pénétrer sans retenues.
Mon bassin fait bouger le sien contre la table. J’attrape et j’écarte soigneusement son cul pour profiter du spectacle. Ses mots crus me donnent encore des vertiges
« Oui, vas bien au fond ! Encore plus loin »
«comme ça?! »
J’engage alors un coup de rein qui manque de lui cogner la tête contre le mur.
« C’est ça défonce ma petite chatte »
J’accélère encore. Bientôt, j’attrape une poignée de ses cheveux lisses pour l’empiler un peu plus sur mon sexe. Je maltraite ses fesses avec des claques très prononcées. La dernière d’entre elles lui arrachera un orgasme.
« Ah putain trop bon » me dit-elle.
Pendant encore quelques instants, je fais quelques va-et-vient lentement. Gwen caresse ma queue trempée de sa main délicate puis, grâce à la mouille qui inonde celle-ci, lubrifie le bord de son anus. Elle commence alors à guider mon gland jusqu'à sa cible. J'appuie de plus en plus fort mon membre contre son œillet. Gwen écarte son cul pour pouvoir y faire entrer son jouet. En un seul coup, elle avale ma queue en entier sans aucune résistance.
Je suis quasiment immobile mais c'est Gwen qui est en train de se baiser. Elle continue de prononcer des mots vulgaires qui contribuent à mon excitation.
"Pilonne moi vas-y, n'ai pas peur, j'encaisse".
A ces mots, j'accélère alors le mouvement de mon bassin. Mes couilles viennent tambouriner contre son clito gonflé, mon sexe se gonfle et s'apprête à exploser.
Gwen sent alors que mon extase est proche. Elle expulse doucement mon membre de son petit cul et s'agenouille devant moi, en malaxant mes couilles.
-"Petite gourmande. Tu veux boire mon jus?".
-"J'ai bien mérité ma récompense non?"
"Oh oui ! Et tu seras bien payée"
Elle caresse alors ces seins, maltraite ses tétons, elle plonge dans mon regard avec des yeux lubriques.
"Salit moi!"
La formule magique prononcée, je déverse alors mon sperme sur son visage, inondant ses joues, ses lèvres alors qu'une deuxième contraction vient s'écraser entre ses seins.
Je l'aide alors a se relever, attrape le string qu'elle m'avait offert et essuie ce qu'il reste de mon nectar. Je range alors le petit bout de tissu dans une de mes poches
-"Petit souvenir"
-"Tu vas faire collection?"
-"J'adorerais"
Depuis ce jour, chaque samedi, un string m'attend dans une enveloppe dans mon casier.