ACCUEIL > Divers > Récit : Tifaine : soirée au théâtre

Tifaine : soirée au théâtre

+27

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 12/04/2024

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

TIFAINE : SOIREE AU THEATRE
Je crois bien que je n'avais jamais eu une érection aussi rapidement. En, je ne sais pas, trois secondes, ma queue s'est gorgée de sang, et j'ai été dur, très dur. Heureusement j'avais un blouson un peu grand qui descendait sur mon bas-ventre, sinon elle se serait rendue compte à quel point elle avait suscité un désir aussi rapide que fort.
C'était peu dire que la femme qui se tenait devant moi était une véritable bombe.
Sa fille était très sensuelle, elle, c'était une sensualité multipliée par dix, non que devrais-je dire, par cent.
Tout en elle suscitait le désir.
Elle venait d'ouvrir la porte, et je ne savais plus poser les yeux tellement tout en elle m'attirait, j'avais envie de tout voir, tout admirer.
Il était dix-huit heures trente, je m'étais garé un peu plus haut dans la rue, une rue de petites maisons rénovées qui se ressemblaient toutes. Un étage, une façade blanche, un toit rouge. Numéro 36.
J'avais sonné. Je m'étais fait un peu plus beau que d'habitude pour cette soirée, avec une belle veste, et un nœud papillon décalé.
Tifaine m'avait bien confirmé le vendredi qu'on sortait ensemble ce samedi.
Quand on connaît une fille aussi jolie, sensuelle, désirable qu'elle, on se pose toujours des questions sur sa mère.
La plus basique: est-ce que les deux femmes se ressemblent? Parfois, un enfant prend tout du père, de la mère, voire des générations précédentes.
Après il y a cette question tout aussi fondamentale: la mère ressemble-t-elle à la fille? Le temps a-t-il fait son œuvre? J'avais eu une copine, une ravissante brune longiligne, qui m'assurait que sa mère était son portrait craché. Quand j'avais rencontré la mère, je m'étais dit que ça aurait pu être le cas si sa fille n'avait pas fait 52 kilos et la maman 125, à vue de nez.
Clairement, le problème ne se posait pas entre Tifaine et sa mère. Pour faire succinct, sa mère, c'était Tifaine en un peu plus vieux, un peu plus mature, avec une sensualité pas forcément plus forte, mais celle d'une femme de quarante-cinq ans, car, si je m'en souvenais bien, elle avait cet âge.
Aussi grande qu'elle, même chevelure blonde, avec un visage dessiné à l'identique, et un corps dont le dessin n'était pas différent.
Elle portait une tenue que je supposais être de soirée, ultra-sexy. Une robe rouge, qui tenait à son cou, et pas à ses épaules, par une fine lanière qui tendait le tissu de la robe sur ses seins. C'était intéressant parce que, ainsi, ses seins étaient mis en valeur, totalement révélés, à la fois parce que le tissu était transparent et parce qu'il était tendu. La robe empêchait qu'elle porte un soutien-gorge. Elle aurait pu tenter un artifice, il y avait aujourd'hui des soutien-gorge transparents qui ne prenaient pas les épaules, mais ça n'avait pas été son choix. Clairement, elle aimait à donner à voir ses seins. C'était d'elle que Tifaine avait hérité son côté exhib. Elle avait bien raison car ils étaient vraiment beaux, pleins, ronds, et absolument pas tombants, même si le tissu les maintenait. Je me suis efforcé de ne pas laisser mon regard traîner dessus, mais j'avais envie de les regarder, de regarder aussi ces aréoles très larges, et ces tétons qui tendaient très nettement le tissu.
La robe prenait sa taille. Elle me semblait avoir un corps impeccable, long et ferme. Tifaine, si je me souvenais bien, m'avait dit qu'elle faisait énormément de sport pour s'entretenir. Le résultat était là.
La robe était audacieuse, parce qu'à partir de la taille, elle descendait jusqu'aux chevilles, mais elle bénéficiait d'une large fente transversale qui ouvrait sur des jambes aussi bien galbées que celles de sa fille, nettement visibles, prises à la fois par le nylon de bas stay-up et des cuissardes noires et luisantes.
— Tifaine m'a parlé de vous. Enchantée, je m'appelle Stefanie. On a un point commun. Mon prénom c'est f au lieu de ph et elle aussi.
Je pensais qu'elle allait me tendre la main. Au lieu de cela, elle s'est approchée de moi, et elle a posé un baiser sur chaque joue. Son corps a appuyé contre le mien, j'ai senti ses seins, son ventre et je me suis dit qu'elle ne pouvait pas ne pas avoir senti ma queue toute raide contre elle. Même si elle n'en a rien laissé voir.
— Elle vous apprécie beaucoup.
J'avais pu m'en rendre compte le jeudi et le vendredi. On avait profité des pauses, non pas pour aller fumer, mais pour partir aux toilettes. Rien de compromettant, elles étaient unisexe. Ce qui s'était passé dans l'une des cabines était aussi unisexe. Si Tifaine me plaisait depuis le début, c'était apparemment réciproque. Ce que je n'avais pas su voir.
Le jeudi matin, nos retrouvailles après le mercredi sur les blocs de ciment, elle était arrivée un peu plus tôt que d'habitude, sachant que moi j'étais là en avance. Sans un mot, elle m'avait attrapé par la main et entraîné vers les toilettes. Poussé dans une cabine. Elle avait sorti ma queue de mon pantalon. Pas besoin de me masturber pour me faire durcir, j'étais déjà tout dur tellement simplement la voir me faisait de l'effet. Je ne l'avais pas remarqué, mais elle avait déjà un préservatif dans la main. Elle m'avait gainé très rapidement et elle était venue s'empaler sur moi, dans le sens inverse de la veille. Ca m'avait terriblement excité, de sentir qu'elle me faisait glisser dans sa chatte, ouverte, chaude et humide, et d'avoir devant les yeux à la fois la pente lisse de son dos, et sa croupe, tellement pleine, charnue, rebondie, coupée en deux par un sillon profond. J'étais venu balader mes mains sur ses fesses, dures, les caresser, glisser un doigt dans son sillon aller au plus profond de celui-ci, venir frôler sa muqueuse anale, ce qui avait semblé lui plaire...Elle se faisait aller et venir sur mon sexe...
— Je me suis branlée tout l'après-midi en pensant à ta queue...J'avais envie de la retrouver dans mon ventre...Qu'elle me remplisse à nouveau, qu'elle me caresse et me fouille, qu'elle crache son sperme en moi...Oh, mon Dieu, je suis entrain de jouir...
C'était vraiment bon d'être avec elle. De la complicité, du plaisir, plus qu'avec d'autres.
On en a profité pendant ces deux jours. Je ne savais pas combien de temps ça durerait entre nous, et si ça durerait. Je me disais qu'il fallait profiter de l'instant présent. Point à la ligne.
Elle m'a fait rentrer. Une maison claire et aérée. Elle s'est tournée vers l'étage.
— Tif, ton ami est là. Je vous offre quelque chose à boire? Vous avez encore un peu de temps, ça ne démarre qu'à dix-neuf heures trente...
Je suis passé avec elle dans le living. Il y avait une belle mappemonde dans un coin, dont elle a fait pivoter le sommet.
— Je l'ai sauvée de la destruction. Punch rhum/orange comme moi ?
— Ca me va.
Il y avait aussi un petit frigo et un mini-comptoir. Elle s'est activée pour trois verres bien tassés. La lumière du soir pénétrait dans la pièce et j'ai pu admirer son corps à travers les transparences du tissu, que la lumière créait et fouillait implacablement. Des fesses nues, très proches de celles de sa fille, pleines et rebondies. Je me suis demandé si elle avait un string dessous ou bien si elle était cul nu...Et ces jambes vraiment bien dessinées.
J'ai senti une présence derrière moi et je me suis retourné. Sa mère m'avait filé une bonne érection, ce n'était pas Tif qui allait la faire diminuer. Elle portait un ensemble en vinyle qui la collait et la faisait plus nue que si elle avait été nue.
— Je te plais?
Elle a tourné sur elle-même, me laissant apprécier son anatomie sous tous les angles. Comme sa mère, sans doute ne portait-elle pas grand chose dessous. Il y avait un pantalon et un haut, indépendants, et qui, l'un comme l'autre, bénéficiaient de fermetures-éclair excitantes, comme le sont toutes les fermetures, parce que permettant un accès potentiel à son corps. Pour le haut une fermeture devant, une autre derrière, de haut en bas, soulignant ses seins lourds, aussi nus sous le tissu que ceux de sa mère, un pantalon qui collait à ses hanches, à ses fesses, soulignait le sillon entre, mais aussi devant dessinait son sexe avec une précision dans le détail troublante. Il y avait là une fermeture-éclair qui s'amorçait en haut des fesses, ou sur le pubis et qu'on pouvait tirer pour dégager une nudité dont j'étais sûr qu'elle était totale.
Le tableau était complet avec une paire de bottes sans doute neuves, hautes, noires, bien luisantes, à talons aiguilles, qui prenaient sa jambe jusqu'au genou.
— Tu es...Superbe.
Je n'ai pas pu m'empêcher d'ajouter en direction de sa mère:
— Vous aussi, vous êtes magnifique.
Sans que cela n’entraîne la moindre manifestation de jalousie de la part de sa fille. Elles s'entendaient apparemment très bien, une grande complicité. J'en ai eu la preuve par la suite.
On a dégusté les cocktails en parlant de tout et de rien, avant que Tifaine ne me propose:
— Viens, je vais te faire visiter la maison.
On est partis en direction de l'étage. On n'a pas été très loin, en haut, sur le palier, elle m'a proposé:
— Si tu essayais une des fermeture-éclair ?
Je suis parti sur celle du haut, devant, je l'ai descendue et ses seins ont jailli à l'air libre. Je ne les avais pas encore trop vus. Ils étaient ronds, fermes, et ils pointaient orgueilleusement vers le haut, des pointes dardées par l'envie. Je suis venu les bouffer, me partageant entre dents et langue pour les caresser, pendant qu'elle sortait ma queue de mon pantalon et qu'elle me masturbait. Elle s'est mise à gémir. Je me suis demandé ce que pensait sa mère qui devait l'entendre, commençant à soupçonner ce qui est apparu comme une évidence par la suite.
— J'adore me faire bouffer les seins, je suis très sensible par là...Comme partout en fait...
Je n'ai pas pu, quant à moi me retenir de jouir, maculant le noir du vinyle de traits blancs et crémeux, sans pour autant débander. Elle a ramassé mon sperme, l'a avalé.
— Il faut qu'on y aille.
Pendant qu'elle rentrait ses seins, aux pointes dilatées, dans le haut, et remontait la fermeture-éclair, on a entendu qu'on sonnait, les talons de sa mère qui claquaient et la porte qui s'ouvrait. Tif m'a soufflé:
— Le dernier crush de ma mère. Il est employé dans une banque. Espérons qu'il restera plus longtemps avec elle que d'autres. Viens, ne fais pas de bruit, tu vas voir, c'est chaud entre eux.
On a revenus en haut des escaliers.
Je n'ai pas été surpris par le spectacle offert. La mère de Tif était en compagnie d'un beau mec dans la quarantaine, en costume gris, vraiment élégant. Pliée en deux, elle venait de sortir sa queue de son pantalon comme Tif l'avait fait pour moi, mais elle faisait aller et venir sa bouche, au lieu que ce soit sa main, dessus, en même temps qu'elle lui massait les couilles. Un spectacle hyper-excitant pour Tif comme pour moi. Le gars a gémi, disant:
— Si tu continues, tu vas me faire...
Un long filet blanc a jailli à la commissure des lèvres de la femme, qui a gardé sa bouche bien serrée pour boire tout le sperme de son amant, ce filet blanc constituant la seule fuite de semence qui s'était échappée de sa bouche. Stefanie s'est redressée, et a dit, la bouche pleine de sperme:
— J'en veux partout de ton foutre, dans la bouche, le con et le cul...
On est descendus pendant qu'elle avalait. Présentations rapides et on est partis tous ensemble, mais pour deux destinations différentes. Eux allaient danser, nous voir la pièce.
Pendant qu'on avançait dans la ville sur laquelle la nuit commençait à s'installer, Tif m'a soufflé :
— J'ai envie de passer la nuit avec toi. Tu restes après?
— Ca serait bien.
— On profitera de mon lit. J'ai envie d'une nuit de sexe. Baiser jusqu'à n'en plus pouvoir.
— Et ta mère ?
— Oh, ils rentreront baiser chez nous, ou chez lui...Ou pas du tout...Ça n'a plus l'air de marcher trop entre eux...Enfin...Eternelle histoire pour ma mère...Elle ne choisit pas forcément les bons partenaires...
On s'est calés dans une salle bien remplie. Une pièce jouée par une troupe amateur...On est restés sages...Difficile de faire autrement. Pourtant, elle m'avait balancé quelques phrases pleines de promesses qui m'avaient mis le ventre en feu...Les paroles pouvaient avoir pas mal de poids... 'Tu pourras me la mettre où tu veux...Je boirai tout ton sperme même s'il y en a des litres...J'ai envie que tu éjacules dans ma bouche, mon vagin, mon anus, et sur ma peau...Je veux que tu boives toute ma cyprine...' De quoi dessiner des perspectives plus qu'alléchantes.
On est rentrés à pied. On était début mai, mais la soirée, réchauffement climatique oblige, était incroyablement douce.
— Tiens, viens, on va se poser là, elle m'a proposé.
Le là, c'était un mini-parc, trois bancs avec des arbres autour, un coin réservé, une enclave devant des villas. On s'est posés sur un banc et nos bouches se sont rejointes pendant qu'elle sortait ma queue de mon pantalon et qu'elle la masturbait doucement, avec un savoir-faire qui m'apparaissait de plus en plus évident, et qui me faisait penser qu'elle avait du commencer à prendre du plaisir avec des partenaires très tôt, mais aussi en avoir beaucoup, du plaisir et des partenaires, au fil du temps. Sans que ce soit surprenant. Elle était tellement attirante. J'avais bien remarqué, au travail que, plus ou moins masqués, plus ou moins lourds, pas mal d'hommes lui tournaient autour, et des filles aussi. Elle était très convoitée. Et c'était moi qui avais la chance de profiter de ses charmes, de son savoir-faire...Nos bouches se dévorant, elle masturbait ma queue, et mon liquide pré-sementiel jaillissait, poissait sa main. Elle se calait sur des rythmes brefs, le temps de faire monter la pression, puis de la laisser redescendre...Pétrissant mes couilles, glissant la pointe de ses doigts pour venir appuyer sur mon anus...
— Viens, on va rentrer...J'ai envie que tu me déshabilles...
Stefanie et son amant se trouvaient devant la maison quand on est arrivés. Mais elle n'était pas accroupie devant lui pour lui sucer la queue. On avait loupé une partie de l'échange, le meilleur ou le pire sans doute, mais il y avait une tension très nette.
— Je ne veux plus te voir. C'est fini. Tu me prends vraiment pour une conne. Tu ne reviens plus.
Elle était nette et cassante. L'homme n'avait pas répliqué, il s'était retourné et il était parti. Il nous avait reconnus. Il avait jeté sèchement à Tif:
— Ta mère finira seule, elle l'a bien mérité.
On avait rejoint Stef qui semblait passablement irritée.
— Ca s'est pas bien passé, maman?
— C'est un con, un point c'est tout. Bon, je vais me coucher. Bonne nuit, et profitez en bien.
Ses talons sur les marches de l'escalier, le plancher du premier, jusqu'à ce que sa porte claque. Tif avait l'air navrée.
— Elle a un caractère impossible. Il a du lui dire un mot ou une phrase qui ne lui a pas plu. C'est toujours pareil avec elle. Bon, allez, viens, nous on va en profiter.
Ça a redémarré très vite. Son corps contre le mien, des baisers, puis la proposition de défaire les fermetures que je voulais. Je l'ai faite se retourner, et j'ai descendu la fermeture-éclair qui s'amorçait en bas de ses reins.
Contrairement à ce que je croyais, elle n'était pas cul nu sous le pantalon. Un string blanc disparaissait dans sa raie, visible, parce qu'il n'allait pas jusqu'au fond. J'avais descendu la fermeture-éclair tout doucement, dévoilant ses fesses qui n'avaient véritablement jailli à l'air libre que sur les derniers centimètres. Je les avais pétries, glissant dans sa raie, rencontrant le tissu, me glissant dessous pour venir masser ces chairs sensibles dont sa muqueuse anale était l'épicentre sans encore venir sur son sexe. Elle avait gémi de plaisir. Je l'avais contournée, la laissant immobile, récupérant la lamelle métallique pour la remonter par devant. Le tissu, sur le devant, était trempé par ses sécrétions vaginales, transparent. Je l'ai caressée de la pulpe des doigts, à travers, et elle a gémi de plaisir. J'ai défait le bouton qui tenait le pantalon, béant sur son ventre, et je l'ai tiré vers le bas, avant de descendre aussi le string. Je l'ai faite basculer sur le lit, le haut de son corps encore couvert, et empoignant ses fesses, je l'ai amenée à moi pour lui prodiguer un cunni...Au premier coup de langue en travers de ses lèvres qui commençaient à sortir d'elle, et à s'étaler et gonfler, un grand jet de mouille est venu remplir ma bouche. Toutes les filles, même celles qui ne le savent pas, adorent se faire lécher la chatte, c'est un plaisir fort, intense, et Tif ne faisait pas exception. Pendant que je la caressais de la langue, puis que je la fouillais, totalement abandonnée, elle gémissait et m'arrosait de sa cyprine...Son sexe s'ouvrait, gonflait...
Ce qui s'est passé, dans les secondes qui ont suivi et pendant que je remontais sur son gland clitoridien qui saillait décalotté, tout rose, et qui s'étirait tout seul, pour venir le frotter de la pointe de la langue et le faire bander plus haut, plus fort, plus vite ne m'a pas surpris.
Sans doute même que, si on analysait la situation, la manière qu'elle avait de gémir et de crier, alors même que sa mère était pas loin, était un indice plus que significatif.
J'ai senti une présence, quelqu'un qui se glissait dans la pièce. Je me suis dit que c'était une hallucination. Et puis je n'ai même pas cherché à vérifier. J'étais concentré sur ce que je faisais, sur la beauté de Tif, sur son corps, sur le plaisir que je voulais lui donner et sur celui qui montait en moi.
— Je suis venue vous donner un coup de main. A trois, c'est toujours mieux qu'à deux, et puis comme je n'ai pas de partenaire ce soir...
Assez curieusement, j'ai été tout sauf décontenancé. Je n'avais pas vraiment envisagé ce schéma, mais il ne me surprenait pas. J'ai senti qu'elle me défaisait, qu'elle sortait ma queue de mon pantalon, et qu'après s'être exclamée:
— Oh mon Dieu que tu as une belle queue...Exactement ce qu'il faut pour passer une bonne soirée!
elle s'est mise à me caresser, avec une expertise qui me rappelait celle de sa fille.
Elle s'est glissée contre moi, sous moi, pour venir caresser ma queue de sa bouche et de sa langue, la caressant, la frottant, me faisant gémir. Je me suis dit qu'à trois, c'était une combinaison intéressante, pour donner un autre relief au plaisir, le décupler...Je donnais du plaisir à Tif, elle m'en donnait.
Elle a lâché ma queue et elle est apparue dans mon champ de vision. Entièrement nue, elle avait juste gardé ses bas. L'occasion pour moi de la voir nue. Un corps de femme, épanoui, sans failles, qui se dessinait de manière très proche de celui de sa fille, même si l'âge faisait la différence. Elle était pourtant, et je pouvais le constater de visu, ce que j'avais pu voir quand elle était habillée n'était pas un mensonge, ronde, fine et ferme.
Et surtout elle avait très envie de sexe.
Elle est venue se pencher sur sa fille, elle a tiré la fermeture-éclair de son haut, en écartant les pans pour mettre à nu ses seins, dont le galbe était proche du sien, venant effleurer de la pulpe de ses doigts les tétons déjà épais et tendus.
— Ma fille a de beaux seins...Tu sais, nous ce qu'on aime, c'est baiser un garçon à deux...On est très complices...Ce soir ça devait être deux plus deux, mais finalement c'est une nouvelle donne, et ce n'est pas plus mal comme ça. Tu ne crois pas ?
C'était un scénario qui était aussi excitant que peu surprenant.
— Viens, Tif, on va lui montrer de quoi on est capables.
Elle m'a fait basculer sur le lit, et mère et fille sont venues autour de ma queue, gorgée de sang par l'excitation.
— Voilà une belle queue à laquelle il faut rendre hommage, tu ne crois pas, Tif?
C'était vrai, j'attendais cette soirée, et j'avais bien imaginé qu'on passerait la nuit à avoir du plaisir, mais sans doute pas que j'aurais la mère et la fille pour m'en donner.
Elles ont commencé à balader leurs langues et leurs bouches sur ma queue, avec une expression avide. Ce qui me troublait le plus n'était pourtant paradoxalement pas leurs corps, leurs expressions qui disaient le plaisir, mais plutôt leur ressemblance. C'était un peu comme si elles s'étaient dédoublées pour m'en donner plus.
C'était bon, leurs caresses étaient habiles, souples, et surtout démultipliées. L'une d'entre elles a finalement gainé ma queue et commencé à la faire aller et venir sur ma verge, pendant que l'autre s'occupait de mes couilles, les caressant de la langue et me faisant comprendre combien cette partie était sensible. Elles se coordonnaient parfaitement, se partageant les zones, les caresses, sans interférence, on sentait bien qu'il y avait entre elles une coordination parfaite, acquise avec l'habitude. Stéfanie a lâché ma queue, avec laquelle Tif continuait à jouer pour venir se caler juste devant moi et m'offrir, jambes écartées, ses parties intimes. Un beau sexe avec des lèvres bien gonflées, un gland clitoridien plus court que celui de sa fille, mais très épais, un sexe bien humide, qui ruisselait littéralement, et les plissements d'un anus, chair offerte. Je me suis mis à balader ma langue sur elle, la faisant gémir, avec l'envie d'être à la hauteur des caresses des deux filles. Elle m'a rempli la bouche de ses liquides intimes avant que je ne glisse jusqu'à sa muqueuse anale, envahi par la saveur amère de cette zone.
— Tif a bien choisi, elle a gémi...Tu te débrouilles bien...
Elle s'est dégagée et a attrapé sur une table une boite de préservatifs que je n'avais même pas aperçue. Signe que les deux femmes étaient vraiment complices et la maison toute entière sans doute leur terrain de jeu. Stéfanie a pris un préservatif et en a gainé ma queue...
Tif suçait toujours ma queue. Stef est venue se caler au-dessus de moi, et Tif a guidé ma verge roide vers sa fente, pour être sûre qu'elle rentrait bien. Sa chatte m'a pris, m'enveloppant et me communiquant sa chaleur intense. Sous le regard de Tif que ça semblait ravir, Stéfanie s'est faite monter et descendre sur mon membre. Tif venait récupérer ma queue, de plus en plus dilatée, la léchait, la suçait, baladant ses doigts sur la fente de sa maman, caressant ses lèvres, frottant son gland clitoridien, comme pour l'aider à attendre la queue qu'elle refourrait finalement dans le vagin béant.
--Allez, à moi, un peu, elle a finalement déclaré.
Stef s'est écartée et elles ont interverti leurs rôles. Tif se faisant monter et descendre sur mon membre, Stef récupérant ma queue pour la caresser, mais venant aussi frôler le corps de Tif, appuyant sur son gland clitoridien, suçant ses tétons...
Le plaisir, un plaisir intense, différent de celui que j'avais imaginé.
On est parti sur une autre figure quand elles se sont calées d'une manière qui m'a terriblement excitée. Il y avait un fauteuil en cuir dans un coin de la chambre. Stef a délaissé le lit pour venir se poser dessus, à quatre pattes, et Tif l'a rejointe, se calant sur elle.
Cette posture a fait monter mon désir d'un cran supplémentaire, même si j'étais déjà très haut. Leurs croupes charnues offertes, ouvertes sur les plissements de leur muqueuse anale, leurs chattes béantes, dilatées, luisantes et ruisselantes. Elles me regardaient, si identiques et leur regard donnait un message commun 'Viens nous remplir. Mets ta queue en nous, donne-nous du plaisir, à l'une et à l'autre. Viens dans nos chattes et dans nos anus, nous sommes totalement offertes.'
Je me suis approché après avoir remplacé le préservatif par un autre, neuf, et j'ai commencé à les fouiller, les faisant gémir et crier de plaisir en allant d'une vulve à l'autre, d'un anus à l'autre, les remplissant et me remplissant du plaisir de sentir ces gaines de chair autour de moi. Elles étaient un seul bloc, un bloc de plaisir, un bloc gémissant, mais je ne valais pas mieux, figé dans une érection douloureuse mais que je voulais maintenir pour leur donner le maximum de plaisir, sans trop me préoccuper de moi. Leurs jus intimes coulaient, ceux de Tif dégoulinaient le long de ses cuisses, venaient rejoindre le dos de sa mère, coulaient sur ses fesses, dans sa raie et venaient se mêler à ceux de Stéfanie, qui ruisselaient sur ses cuisses pour finir sur le cuir du fauteuil, le faisant sombre. Mais il avait du en voir d'autres...
Et puis soudain, la jouissance s'est annoncée. Un point de chaleur dans mon ventre qui s'est élargi. J'ai su que j'allais jouir et que c'était pour tout de suite. Je suis sorti de l'anus de Tif et j'ai arraché le latex qui m'entourait, pour les arroser de sperme, maculant leur dos, leurs fesses, leur anus, leurs vulves...
Ça ne s'est pourtant pas arrêté là. On avait encore envie de sexe, et ma queue était encore dure. On est revenue sur le lit pour d'autres positions, d'autres audaces. On a du s'endormir ensemble sur le coup de deux ou trois heures du matin.
Quand je me suis réveillé, il était neuf heures du mat. Stéfanie avait disparu, mais Tif était toujours avec moi. Elle s'est réveillée juste après moi. M'a souri.
— Voilà une nuit que je n'oublierai pas, je lui ai dit.
— Nous non plus.
On est passés sous la douche. Ma queue avait bien servi toute la nuit, mais j'étais suffisamment reposé pour qu'elle soit de nouveau raide. On s'est savonnés longuement, puis masturbés mutuellement sans que j'aille jusqu'à la jouissance. Ca n'a pas été son cas.
En bas, Stéphanie dressait une table chargée pour le petit déjeuner. Elle était enveloppée dans un simple peignoir tendu sur ses seins et entrouvert sur son ventre. Elle aussi semblait ravie.
— Tu reviens quand tu veux. Je suis là tous les soirs, Tif aussi, et sans qu'on prenne toute la nuit, sauf le week-end, on peut avoir de bons moments à trois.
J'avais trop envie de recommencer, de reprendre certains schémas, d'en tenter d'autres, pour dire non.
On avait fini le petit déjeuner quand elles sont venues se caler sur le divan, côte à côte, ventre projeté en avant, peignoir défait pour l'une, pantalon de jogging baissé pour l'autre, jambes ouvertes.
— Viens nous lécher. Un moment de plaisir avant que tu nous quittes. Et après, si tu as envie, tu pourras mettre ta queue dans nos ventres. Regarde, il y a une boite de capotes là, sur la table.
Elles en avaient disposé partout dans la maison. Il fallait pouvoir prendre du plaisir partout, quand on avait envie.
Je suis revenu très souvent.

27 vote(s)


Histoire de JamesB

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Tifaine : soirée au théâtre


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :