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Jean-Loup et Fatiha partie 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 29/03/2024

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JEAN-LOUP ET FATIHA
partie 2
Elle brûlait d'envie de retourner le voir dès le lendemain, et en même temps, elle craignait que cela ne fasse trop fille qui a très envie de sexe. Mais le lendemain matin, en s'habillant, sa décision était prise. Quoi qu'il pense d'elle...Elle avait effectivement, désespérément envie de sexe. Avec lui.
Le matin, elle passa une robe qu'elle venait d'acheter, mais qu'elle n'avait jamais encore portée. Une robe en vinyle noire, très moulante, qui la soulignait, courte, dont le charme tenait en partie à ce qu'on la fermait ou l'ouvrait par une longue fermeture-éclair sur le côté. Elle y avait adjoint une paire de cuissardes du même vinyle. Hautes et froissées.
Quand elle l'avait vue arriver, et qu'elle avait ôté son manteau, sa collègue, Adrienne, lui avait dit :
--Mon Dieu, que tu es sexy !!!!! Tu t'es trouvé un chéri ?
--J'ai simplement voulu être belle.
Elle n'allait pas lui dire qu'elle avait voulu être sexy pour Jean-Loup. Elle préférait éviter d'être la cible de ces ragots qui, elle s'en doutait bien, surgiraient tôt ou tard. Car il y aurait forcément quelqu'un qui les apercevrait ensemble. Et qui, même si cette personne ne surprenait rien de précis, construirait une histoire à partir de pas grand chose.
Cela ne l'empêcherait pas d'aller vers Jean-Loup et de céder à l'attirance profonde qu'elle pouvait ressentir, aussi intense qu'instinctive.
Ce fut en début d'après-midi qu'elle descendit et partit en direction du magasin. Elle avait pris un microscope cassé depuis un certain temps. La certitude, rassurante, qu'elle avait, c'était qu'il y avait suffisamment de matériel abîmé au labo pour un bon paquet de prétextes et pendant longtemps.
Quand elle arriva au magasin, il n'était pas au bureau, mais elle l'entendit bien, à l'arrière, farfouillant devant elle ne savait quelle étagère. Elle posa le microscope et attendit son retour.
Elle était restée silencieuse, et Jean-Loup, qui revenait en sifflotant, fut surpris de la trouver là. Il le fut encore plus, car, même si elle avait un microscope devant elle, elle était clairement venue pour s'offrir.
Inconsciemment, Fatiha voulait sans doute le marquer, pour qu'il ait envie d'elle et ne la rejette pas quand elle reviendrait. Sans dire mot, elle se laissa regarder. Elle se savait irrésistible, un apex de sensualité et d'érotisme, et se contenta de se laisser regarder d'abord de face, avant de lui présenter sa partie pile. La robe magnifiait son corps.
Ce n'était pourtant que le début. Elle attrapa la tirette de la fermeture-éclair, au niveau de sa cuisse, et elle la remonta. Jean-Loup était totalement hypnotisé par la remontée du petit morceau de métal, et le fait de voir apparaître une mince bande de chair. Il en vit beaucoup plus quand les deux pans de la robe séparés l'un de l'autre, elle bloqua le pan arrière en même temps qu'elle écartait le pan avant pour dévoiler sa nudité, laissant largement le temps à Jean-Loup de se prendre cette gifle en plein visage, mais aussi d'en profiter. Son regard glissa sur le corps plein, si féminin dans cette explosion de courbes. Elle inversa la tendance, bloquant la partie face pour dévoiler la partie pile, laissant le temps...Pour qu'il grave les images dans sa mémoire et se branle cent fois en pensant à elle. Mais pour l'instant, elle lui proposait autre chose que de se branler en pensant à elle. Elle s'approcha de lui et alla chercher sa queue dans son pantalon. Elle fut heureuse de le trouver déjà bien dur, Il aurait difficilement pu en être autrement. Retrouver sa queue, mais aussi retrouver une queue fut pour elle une source de joie ineffable. Elle vint donner des coups de langue sur le membre, qui se gorgea de sang, s'épaissit. Jean-Loup se laissait faire, tout au charme de cette caresse buccale dans laquelle, de seconde en seconde, Fatiha se sentait, non seulement revivre, reprendre de l'épaisseur, du plaisir, mais aussi retrouver vie avec tout ce que cela pouvait signifier d'amplitude, de joie, de bonheur. Elle avait aussi le sentiment d'être à un étrange confluent, partagée entre une remontée de l'expérience qu'elle avait pu acquérir avec d'autres partenaires, et le jaillissement de nouvelles idées, de nouvelles envies, quelque chose de créatif. Tout en se sentant un rien maladroite. Mais ça ne gênait apparemment pas Jean-Loup, qui sur sa chaise, se tordait et gémissait. Il était enveloppé par des caresses changeantes, par une langue qui venait sur son gland, fouillait son méat, lapait le liquide pré-sécrétif qui jaillissait comme d'une fontaine, qui descendait parcourir la surface ultra-sensible de ses couilles. Elle finit par avaler sa queue, faisant aller et venir sa bouche dessus, et pénétrer le membre en elle un peu plus à chaque fois...Elle en cala une partie en elle, et vint frotter le gland de sa langue.
Elle ne pensait pas qu'il jouirait aussi vite. En même temps, ce n'était pas non plus étonnant. Comme elle il était frustré, et il avait besoin de se libérer de mois, sinon d'années de manque, pour rééquilibrer sa sexualité et pouvoir tenir plus longtemps.
Fatiha fut cependant ravie de sentir le sperme taper contre ses joues puis couler dans son gosier. Elle était tellement excitée, le sexe ruisselant, que, tout en le gardant dans sa bouche, elle vint remonter le zip de façon à avoir accès à son sexe, et elle glissa ses doigts en elle, se fouillant, ses sucs intimes ruisselant autour de ses doigts, ne cherchant pas l'orgasme mais jouissant, tellement elle était excitée. Elle ferma les yeux, balayée par un orgasme, puis encore un autre, éjaculant et se trempant le ventre et les cuisses. Elle n'avait cependant pas lâché la queue, et, bien que traversée par le plaisir, elle continuait de le caresser de la langue...Jean-Loup eut un second orgasme, lui remplissant encore la bouche de sperme qu'elle avala avec avidité. Elle finit par se redresser, bouche ouverte, les commissures des lèvres et le menton souillés de sperme, les doigts enfoncés dans le sexe, les jambes ruisselantes, perdue. Il y eut pourtant ce moment de lucidité, où elle parvint à formuler une phrase qui avait valeur d'engagement.
--C'est trop bon ce qui se passe entre nous...Je reviendrai te voir...Dès que je le pourrai.
Elle avait rabaissé le zip qui maintenait la robe fermée et elle était remontée au laboratoire, la tête ailleurs. Elle avait toujours du linge avec elle, elle avait épongé son sexe et ses jambes avec une serviette de toilette.
Et alors que Jean-Loup et( Fatiha se retrouvaient l'un face à l'autre, remontaient en eux les souvenirs de ces quatre années où elle avait rejoint quasi quotidiennement, voire deux fois par jour, la magasin, et où ils s'étaient accouplés.
Il y avait eu entre eux quelque chose de très fort, qui ne passait pas forcément par les mots, mais par le sexe, le désir, l'envie de l'autre, et la complicité intense qui existait entre eux lorsqu'ils s'accouplaient. L'un comme l'autre, ils n'avaient jamais connu auparavant cette harmonie,
Jusqu'à ce jour où Fatiha avait demandé sa mutation. Elle lui avait annoncé le jour même où elle venait de savoir qu'elle partait à l'autre bout du département.
Ils étaient au magasin, elle était devant lui, plus ravissante que jamais, une robe moulante soulignait ses charmes, des escarpins à talons fins la redessinaient et la galbaient.
--J'ai préféré partir. Je suis totalement accro à ce qui se passe entre nous, mais malheureusement notre histoire ne va nulle part. Tu es marié. Je suis seule. Tu ne quitteras pas ta femme. Nous sommes condamnés à nous voir éternellement dans ce magasin ou on aura oassé des heures exceptionnelles. Je préfère partir en gardant en moi le souvenir de ces moments exceptionnels. A défaut d'avoir un avenir avec toi.
Elle était restée encore quelquesc jours avant de disparaître.
Jean-Loup en avait conçu un dépit immense. Fatiha était pour lui le rayon de soleil qui éclairait une existence bien morne. Quant à Fatiha...Elle avait regretté sa décision. Privée de ces moments qu'elle estimait trop courts, répétitifs, elle s'était rendue compte que, même courts et répétitifs, ils donnaient du sens à sa vie, et que ce peu était déjà beaucoup.
Le temps avait passé. Il aurait pourtant suffi de peu pour renouer. Un appel, un trajet de quelques kilomètres pour retrouver l'autre. Mais la fierté l'emportait.
Et voilà qu'ils se retrouvaient l'un face à l'autre.
Et que tout ce qu'il y avait pu y avoir de négatif entre eux se dissolvait.
C'était comme s'ils s'étaient quittés la veille.
Et il n'y avait plus de ressentiment entre eux.
--Et le magasin?
Jean-Loup désigna un grand type maigre et chauve un peu plus sur sa gauche.
--C'est lui qui le tient, maintenant...
--On peut encore le visiter, non ?
Dans l'ébrieté avancée partagée quasiment par tous, personne ne se rendit compte que Jean-Loup et Fatiha s'étaient éclipsés.
Pour Fatiha, c'était un retour sur le passé. Ses talons tapaient, comme autrefois,sur le sol, et elle retrouvait un chemin qu'elle avait pris cent fois, vers le plaisir.
Jean-Loup déverrouilla la serrure et ouvrit le battant.
Le magasin n'avait pas changé. Toujours cette accumulation de matériaux qui pouvait sembler vaine, jusqu'au jour ou on avait besoin d'une pièce.
Le chemin, pourtant court, qui les avait menés jusqu'au magasin, une porte, un couloir, l'atelier avait fait renaître, et monter fortement le désir entre eux. Dans un geste qui avait autant valeur de test que d'envie, Fatiha avait tendu la main vers l'arrière, et palpé le pantalon de Jean-Loup. Elle y avait senti, sous le tissu, une verge tendue de désir.
Chaque queue était spécifique, et elle retrouvait avec plaisir la forme caractéristique du membre viril de son amant. Cette queue épaisse, bien longue, légèrement courbée au bout, avec ce gland légèrement plus épais que la moyenne. Elle ne put résister à son envie de le mettre à nu, alla le chercher dans son pantalon...
Le magasin c'était leur domaine, et ils s'y retrouvaient comme s'ils en étaient partis la veille. Comme s'il n'y avait pas eu ces quatre ans de séparation.
--Je peux te jurer qu'il n'y a eu aucune autre queue que la tienne dans ma vulve. Mes doigts, des godes. Je n'avais pas envie d'aller avec un autre gars.
--Bah je dois bien avouer que je n'ai pas fait mieux. Je n'ai pas été non plus avec une autre fille. Et j'ai divorcé peu de temps après que tu sois partie. Ca n'a pas été lié à ton départ, c'était prévu de toute façon. Je suis libre.
Elle le caressa doucement, faisant aller et venir sa main sur la queue qui durcissait et prenait de l'ampleur, retrouvant une forme qu'elle avait surtout connu avec lui. Fatiha tomba à genoux et vint balader sa langue sur le gland congestionné, lapant le liquide pré-sementiel qui coulait du méat, liquide toujours aussi abondant. Ca lui faisait un drôle d'effet de se recaler sur ces acquis, ces habitudes, celle d'un couple harmonieux, auxquelles elle avait renoncé quatre ans plus tôt.
Elle descendit sur ses couilles, les caressa longuement de la pointe de la langue comme il aimait qu'elle le fasse.
Fatiha finit par se redresser. Elle lui dit :
Cette combinaison a un secret...Regarde et tu verras.
Il tourna autour d'elle et se rendit compte qu'il y avait effectivement plusieurs fermetures éclair. Une grande, qui partait du menton et allait jusqu'au nombril, une qui traversait ses seins, et une autre qui avait une double entrée, s'amorçant sur son pubis ou en haut de ses fesses.
--A toi de voir celle que tu préfères tirer...Mais il y a toujours plusieurs possibilités.
--J'ai envie de commencer par celles-là, dit Jean-Loup, en tirant les deux zips qui se trouvaient approximativement au niveau de ses mamelons.
Le calcul était bon, parce qu'il fit jaillir successivement un téton, et puis l'autre. Il avait toujours adoré les tétons de Fatiha pour leur capacité érectile, et le plaisir qu'il pouvait lui donner, facilement, finalement, en les caressant de la bouche et de la langue. Il vint les agacer de la langue, les voyant et les sentant durcir de manière exponentielle. On avait toujours l'impression, avec ces tétons, qu'ils avaient une capacité érectile illimitée, s'allongeant de manière extrême. En tout cas, elle gémit et se cambra, en fermant les yeux, pendant qu'il jouait avec eux. Elle sentait contre son ventre sa queue qui frottait contre le vinyle, très dure. Elle l'attrapa, et le fit frotter contre la matière, qui collait très étroitement à son corps, soulignant et sublimant son mont de Vénus, le renflement de son sexe, la fente qui coupait celui-ci en deux. Il eut ce qui s'apparentait à un mini-orgasme, lâchant des jets de sperme, blancs sur le noir du vinyle, sans que pour autant son érection diminue.
Il délaissa ses seins, aux tétons étirés à l'extrême, et céda enfin à ce qui lui faisait le plus envie. Il s'accroupit, et descendit très doucement la fermeture éclair qui prenait le pubis de la ravissante jeune femme. Il vit d'abord une bande de chair, et puis cette toison dont il était fan absolu, épaisse, brune, qu'il caressa de la langue et des doigts, jusqu'à arriver en descendant la fermeture-éclair, au seuil de son sexe. Il y avait, en haut de sa fente, son gland clitoridien, qui pointait, tout gorgé de sang, épais, allongé, et qui grossissait encore...Il était déjà suffisamment gros pour qu'il le prenne dans sa bouche, et qu'il le suce. Elle se mit à gémir, emportée par un plaisir très fort. C'était en grande partie la raison pour laquelle elle n'avait pas cherché ailleurs: elle savait que non seulement ils étaient en symbiose, mais de plus, ils se connaissaient parfaitement, et lui seul était capable de lui donner les caresses qu'elle aimait, dont elle avait envie, et qui lui donnaient du plaisir.
Il descendit un peu plus la fermeture-éclair. Ses lèvres jaillirent, sorties de son sexe, dilatées, gorgées de sang, entre lesquelles coulait un liquide abondant qui les trempait, trempait ses chairs mais aussi l'intérieur du vêtement. Il délaissa son gland clitoridien, pour venir promener sa langue, en l'appuyant, sur ses lèvres. Sous sa langue, se dessinait le relief de l'entrée de son sexe, et ses lèvres gonflaient, elle gémissait sans retenue, et inondait la bouche de son amant de ses sucs les plus intimes. C'était très bon de retrouver tout cela, et Jean-Loup se rendait compte combien sa maîtresse lui avait manqué. Au fil du temps, il s'était habitué à son absence, même si ses moments de masturbation ranimaient toujours des souvenirs. Des souvenirs vifs.
Si jamais il avait une deuxième chance...Il ferait tout pour garder la jeune femme, et tout ce qu'elle lui donnait.
----Descends un peu plus la fermeture-éclair, pour dégager totalement ma chatte...
Il obéit, amenant la fermeture-éclair sur la zone lisse qui séparait son sexe de son anus. Il se redressa. Elle attrapa la queue de Jean-Loup et la fit appuyer contre ses lèvres. Il en sentit l'épaisseur contre son gland mais aussi le ruissellement de liquides intimes.
--Tu dois tout faire pour ne pas jouir. Je veux que ce soit au plus profond de moi, je veux que tu craches des litres de sperme au plus profond de mon ventre.
Et elle se mit à balader sa queue le long de ses lèvres, avant de le faire glisser, tout doucement en elle. Elle voulait juste qu'il rentre de quelques centimètres, pas totalement. Elle le sentit en elle, et fit en sorte qu'il frotte contre ses muqueuses...Elle gémit...Ce plaisir avec lui...Ils étaient très loin de la salle où avait lieu la cérémonie des adieux. Dans leur plaisir, comme autrefois. Certains se doutaient-ils?
Elle fit sortir la queue d'elle, et réenclencha le processus. Frotter contre ses lèvres puis le faire rentrer en elle...A la troisième fois, il ne fut plus capable de se contenir, et des jets de sperme partirent alors qu'elle le faisait à nouveau venir en elle. Elle sentit la semence cogner contre ses muqueuses internes, couler en elle. Heureusement qu'elle prenait la pilule...
--Pardon...J'ai pas pu...
--C'est pas grave...De toute façon je n'ai envie que d'une chose : que tu me remplisses de sperme, que tu m'en mettes partout...
Et elle sentait l'orgasme monter, à la double sensation du sperme qui tapait contre ses muqueuses internes, et de la semence qui, une fois sortie, coulait au fond de son vagin.
--Ce que je veux c'est que tu restes bien raide.
Elle se retourna. Sa croupe tendait le vinyle derrière, la fermeture-éclair comme la promesse de voir son cul nu. Sans qu'elle lui propose, il la descendit, et ses globes généreux jaillirent à l'air libre. Il avait toujours été fasciné par son cul, rebondi et si en arrière d'elle. Il vint les pétrir, glissa un doigt dans le sillon profond,
Il attrapa la tirette et la remonta, poussant la première jusqu'à son ventre. Le vinyle écarté, elle était totalement ouverte, et elle le fut encore plus quand elle se pencha en avant, ce qui eut pour effet d'ouvrir ses fesses, laissant nettement voir sa muqueuse anale, mais aussi la béance de sa vulve dilatée d'excitation. Il vint glisser son gland tout en haut de la fente qui coupait sa croupe en deux, et il fit lentement descendre sa queue, l'appliquant pour aller bien au fond du sillon. Elle gémit de plaisir...Il appuya sur la muqueuse anale, la trouva aussi souple que de par le passé, mais il n'avait pas encore envie de rentrer là. Il glissa plus classiquement dans sa vulve, la trouvant chaude, béante, et surtout dégoulinante de jus qui les arrosaient tous les deux. Il bougea en elle. Elle gémit sans aucune gêne...Ils étaient totalement dans leur plaisir. Si quelqu'un se rendait compte qu'ils s'étaient éclipsés et venait les chercher par ici...Il ne risquait pas d'être déçu...Ou alors pas mal avaient compris, mais ils les laissaient se retrouver.
--Viens plus haut.
Jean-Loup se rappelait la première fois qu'elle lui avait proposé de la sodomiser. Elle était assise sur lui, il avait son sexe enfoncé jusqu'à la garde dans sa vulve, et elle lui avait dit :
--J'ai envie d'autre chose. Tu me laisses faire ?
Fasciné, il l'avait regardée se soulever. Sa queue, luisante de ses jus intimes était réapparue, longue, dure et épaisse. Elle avait posé le gland épais contre les plissements de sa muqueuse anale. Elle s'était laissée descendre dessus avec une facilité qui avait sidéré Jean-Loup. Pas même une grimace de douleur. Elle avait avalé la queue jusqu'à la garde yeux clos, avec un long gémissement de plaisir.
--C'est tellement bon par le cul. Si on me donne à choisir entre le cul et la chatte, une seule pénétration possible, mon choix est vite fait.
Et elle s'était faite bouger sur lui. Un moment, il avait attrapé ses fesses à pleines mains, donnant le rythme. Elle était en plein nirvana, et lui très excité, à la fois par la sensation de la sodomie, et de la voir, à la fois disponible pour se faire prendre par le cul, mais aussi appréciant autant une telle possibilité. On voyait bien que c'était un moment vraiment intense, qu'elle renforçait, il ne s'en était pas rendu compte tout de suite, en se masturbant de manière frénétique, chaque fois différemment, en frottant ses lèvres, ou son gland clitoridien, ou les deux, ou en faisant aller et venir son doigt en elle.
S'ils n'avaient été dans un lieu public, elle aurait sans doute hurlé sa jouissance, elle cria dans la silence, bouche ouverte, ce fut son corps qui cria le plus fort, secoué de spasmes, sa vulve crachant des jets de liquide qui étaient de véritables éjaculations, trempant son corps, le sol, et ce qui les entouraient.
Elle lui avait confié plus tard qu'elle avait commencé sa vie sexuelle par se faire prendre par le cul plutôt que par la chatte et qu'elle y avait pris un plaisir immense, qui avait fait qu'elle avait ensuite toujours donné la primauté, quand elle le pouvait, au plaisir anal. Son petit copain voulait absolument la pénétrer, et sa plus grande crainte, même avec pilule et préservatif, c'était de tomber enceinte s'il la prenait par la chatte. Elle lui avait offert son anus. Il n'avait pas dit non, 'tous les garçons rêvent de prendre les filles par le cul, ils ne feraient que ça s'ils le pouvaient' et elle avait découvert un plaisir qu'elle n'avait même pas soupçonné, un palliatif se révélant un véritable moment de bonheur.
Et ce le fut une fois encore. Elle allait jouir, et sa jouissance fut précipitée par le premier jet de sperme qui vint cogner contre la muqueuse de son rectum, suivi par plein d'autres...Elle perdit totalement le contrôle, tressautant d'orgasme en orgasme, jusqu'à qu'il n'y ait plus de sperme à sortir des couilles de Jean-Loup et qu'elle ne se laisse aller sur l'établi contre lequel elle s'était appuyée.
Le plaisir de la jouissance, et de la post-jouissance...Elle se sentait pleine de sperme. Celle-ci ressortait rapidement de la chatte, mais pas du cul, parce que la muqueuse anale se refermait rapidement. Elle n'aimait rien de plus que de se sentir remplie et de bien percevoir la semence s'écouler sur un temps long, sortir d'entre les plissements de sa muqueuse anale, couler paresseusement sur ses chairs, et lui rappeler le délice de se faire fouiller par une queue.
Ils se rajustèrent.
--C'est un one-shot ?, demanda Jean-Loup. Pour me rappeler ce que j'ai perdu.
--Non, au contraire. Une proposition, maintenant que tu es sans femme, et que tu as du temps libre. Du sexe et du plaisir, ailleurs qu'au magasin. Beaucoup, sur de grandes plages horaires, plus fréquemment, plus longtemps. Ca te dit ?
--Je suis heureux de te retrouver. C'est un beau début de retraite pour moi.
--Et tu n'as encore rien vu.
Il n'avait pas encore rangé sa queue, et Fatiha se rendit compte qu'il était encore bien dur. Elle approcha sa cuissarde, cuir luisant, du membre, et, attrapant celui-ci, elle frotta le gland congestionné contre le cuir, lisse et froid. Surpris, troublé par cette caresse, il ne tarda pas à jouir, arrosant la botte d'une semence copieuse, comme s'il n'avait pas fini de se vider du sperme accumulé pendant quatre ans--ce qui était bien sûr une vue de l'esprit.
Elle nettoya la superbe cuissarde avec du papier essuie-tout, il rengaina sa queue qui peinait à dégonfler, il avait encore envie d'elle, tout comme elle avait encore envie de le sentir en lui. Ils partirent rejoindre les invités.
Il y eut quelques regards entendus, et certains ravis de voir que le couple s'était reformé. Car Jean-Loup et Fatiha formaient un beau couple. Qui plus tard, ce soir-là, partit ensemble pour une nuit de sexe, prometteuse de bien beaux moments à venir, mais aussi plus simplement du bonheur d'être ensemble.




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