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Carré d'As

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Lue : 7572 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 24/10/2014

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Stève vient de partir. Je suis seul dans la chambre d’hôtel. Je viens de prendre une bonne douche, l’eau tiède en ruisselant sur moi chasse comme à regret l’odeur de Stève, de son anus , de son sexe, je vais partir moi aussi . Je suis tout drôle, ne sait que penser, ainsi c’est fait, j’ai franchi le pas, j’ai osé et comme me l’a prédit Steve je me sens bien, mon anus s’est refermé doucement, mon sexe a retrouvé sa flaccidité et repose serein sur mes testicules, je me sens libre, ramoné, alésé. Je viens de réaliser un de mes fantasmes. Je crois que j’en resterai là, enfin, je crois, c’était si bon cette première expérience de sodomies masculines réciproques, un souvenir gravé à jamais dans toute ma chair. J’ai gardé la carte de Steve, on ne sait jamais.

Je descends, Martine la gérante est à son poste, elle semble tout à fait réveillée maintenant, en minaudant elle me dit
« Vous étiez mignons tous les deux, c’est ta première expérience homo, Pierre ?
« Je ne suis pas homo, j’ai voulu assouvir un fantasme et j’ai saisi l’occasion avec Steve
« Lui ! c’est un vrai bisexuel il essayé de me baiser plusieurs fois
« Et alors
« Cela ne s’est pas fait, tu étais attendrissant quand il t’a pris en levrette,
« Que veux-tu dire tu nous a vus ?
« Oui c’était bien, j’aime mater les couples qui ne viennent ici que pour baiser, il y en a tous les jours, cela m’excite au plus haut point. Vu l’ampleur du mouvement des fesses de Steve il a dû te pénétrer bien à fond, j’étais toute mouillée avant que je me fasse jouir seule dans mon cagibi en vous regardant tout en me caressant le clitoris d’un doigt passé sous ma culotte.
« C’est défendu de mater tes clients, punissable…… comment fais-tu ?
« J’ai une planque pour voir la chambre cinq, tu veux que je te montre ?
« Si tu veux
« J’ai tout vu…bon viens.. attends je retire le bec-de-cane de la porte d’entrée, nous serons plus tranquilles, montons, suis moi
« C’est là dans ce débarras sombre, tu vois je bouge cette tirette
« Fais voir

En effet de cette petite ouverture discrète placée en contrebas dans l’axe des deux lits, on voit tout par derrière ; de ce poste discret d’observation Martine a dû en voir de belles
« En plus avec l’armoire à glace on voit aussi sur le côté.
« Ce n’est pas commode il faut se pencher pour voir
« J’ai l’habitude, vois comment je me place, à genoux, bien courbée pour regarder, mon œil collé sur l’œilleton.

Martine se positionne pour me faire voir comment elle mate les ébats des couples illégitimes. Comme elle est, ainsi pliée, penchée en avant, dans la pénombre, je peux voir l’ampleur de ses fesses offertes, ouvertes, moulées sous sa robe tendue qui épouse leurs opulences jumelles. Il faudrait être aveugle pour ne pas voir qu’elle a un beau cul et qu’elle me l’offre ostensiblement en restant ainsi en position de levrette, en ondulant légèrement de la croupe.

D’un coup j’ai envie d’elle, elle ne dit rien quand je retrousse le pan de sa robe, j’ai sorti mon sexe et sans retirer son string, en l’écartant simplement, sans préparation aucune, à genoux derrière elle, je la fourre lentement d’une avancée continue. Elle est prête à me recevoir car ma queue entre en elle, toute seule, de toute sa longueur et je reste un moment bien au fond de sa chatte, mon ventre sur ses fesses. Je l’ai prise par les hanches pour bien l’attirer contre moi et collés l’un à l’autre nous nous animons, complices, en amples circonvolutions pour bien nous ajuster l’un dans l’autre avant que d’un coup en trois allers- retours fulgurants de mon sexe dans sa chatte nous jouissions tous les deux ensemble. Par précaution je me suis retiré et j’ai éclaté sur ses fesses, mon sperme giclant jusqu’au bas de son dos.

« Tu pouvais rester tu sais dit-elle en se relevant…….. « Merci Pierre j’en avais trop envie , mais je dois descendre

« Tu as eu le temps de jouir ?
« J’ai joui dés que j’ai senti ta belle queue en moi car depuis tout à l’heure je suis excitée au possible, j’étais déjà toute mouillée tu as senti ? Il faut que l’on se revoit Pierre, tu es trop mignon ; on ne peut rester sur ce baisage à la hussarde
« Tu crois ?
« Tu n’en a pas envie ?
« Si
« Alors je vais organiser une rencontre où nous pourrions être tous les trois
« Tous les trois ?......Avec Steve ?
« Oui, si il veut…… téléphone moi de temps en temps, je te tiens au courant…….aller je descends, à plus ! bye-bye,!

Martine disparue, je me retrouve dans la rue tout abasourdi, Il faut que j’aille récupérer ma monnaie à la pharmacie, cela me coûte car ce matin je n’avais pas le beau rôle devant cette magnifique laborantine de couleur qui se foutait un peu de moi , quand nous avions besoin de crème et de préservatifs ( voir Stève ) Il est près de midi quand j’entre dans l’officine, Sonia est là, elle a l’air surprise

« Vous avez de la chance j’allais fermer, je ferme d’ailleurs. En toute franchise je pensais que vous ne viendriez pas
Elle me sourit d’un air coquin, je lui dis :
« Pourquoi ?
« Une idée comme ça, vous aviez tellement l’air gêné tout à l’heure
« Oui je l’étais et vous y étiez pour quelque chose
« Oui je faisais exprès d’être indiscrète, je me suis bien amusée…vous êtes homo ?
« Non pas du tout mais j’ai toujours voulu avoir au moins une expérience, pour voir
« Et alors ?
« Je n’étais pas trop chaud mais je n’ai rien fait pour me dérober, Steve a su me décider, je ne sais pourquoi ? j’en avais envie depuis longtemps, il m’a suffi de rencontrer la bonne personne ; tout s’est bien passé
« Vous allez vous revoir ?
« Je ne sais, il m’a laissé sa carte
« Si tu voulais, nous pourrions peut être nous revoir Pierre, j’en ai envie, tu verrais, avec moi, dans mon genre, ce serait un autre genre d’expérience
« Tu m’excites Sonia, de quoi parles tu ?
« As-tu déjà baisé une femme de couleur ?
« Non
« Dommage que là, je doive partir
« Pourquoi ?
« Je ne sais ? Je suis excitée depuis que je t’ai vue matin ; vite fait on aurait pu voir si nous étions compatibles
« Vite fait on pourrait ? quoi ?
« Tu verrais……aller……je reste un instant, tant pis je serais en retard, je prends quelques minutes, Viens vite….viiiite !

Décidément c’est mon jour. vite fait en effet, encore plus vite qu’avec Martine car Sonia m’entraîne dans l’arrière-boutique et m’aide à m’installer, juché, pantalon et boxer abaissés aux genoux, assis fesses nues au bord de la faïence froide de la paillasse du laboratoire ; les jambes pendantes, cuisses ouvertes ; elle lorgne mon sexe et à son sourire je devine qu’il est compatible avec son envie de moi, incroyablement il est dressé, dépucelé et je me retiens de crier quand elle le prends entre ses lèvres, des lèvres comme on en rêve, des lèvres de Black, rouges, bien charnues , entre ouvertes sur sa langue rose qui tourbillonne sur mon gland.
Elle me laisse d’un coup
« J’aurais aimé bien d’autre choses Pierre mais il faut que je parte, je suis désolée
« Sonia ?
« Oui
« Tu veux toujours que l’on se voit ?
« Plus que jamais, si tu le veux toi aussi !
« Oui je le veux moi aussi mais que dirais tu si nous étions à quatre ?
« Comment à quatre ?
« Avec Steve et Martine
« Martine ?
« Oui la fille de l’hôtel nous comptions nous revoir tous les trois, tranquilles chez elle
« Chez elle pour quoi faire ?
« Pour baiser pardi, tu ne voudrais pas te joindre à nous
« Euh……Dans mes conditions, oui ce serait possible, mais chez moi.
« Quelles conditions Sonia ? Tu m’intrigues
« Celles d’être tous les quatre à égalité, enfin presque, autant que ce soit possible
« Comment ?
« J’ai une belle collection de godes ceintures pour Martine et pour moi, de plusieurs sortes, nous pourrions choisir ensemble, en changer…tu vois !
« Tu veux dire de plusieurs grosseurs, de plusieurs longueurs
« Oui de toutes les textures possibles, de toutes les formes, de toutes les couleurs.
« Tu m’excites Sonia, tu veux dire que tu me sodomiserais toi aussi ?
« Oui j’adorerais le faire, te posséder ; tu viens bien de le faire avec Steve, pourquoi pas avec moi, avec nous ?
« Nous ?
« Oui …..vous faire sodomiser par Martine et par moi si elle veut venir dans mes conditions
« Attention nous pourrions vous baiser aussi ?
« Bien sûr, Pierre, nous baiser, nous prendre l’anus

En voyant ses fesses de black j’ai une sorte de frémissement nerveux, quel plaisir j’aurais à me noyer entre de telles merveilles, mes premières fesses noires, ma première femme de couleur et quelle femme ! Un autre fantasme aussi puissant que celui que je viens d’assouvir ce matin.

« Je vais leur en parler, je pressens qu’ils vont accepter
« Aller sauve toi, prends ta monnaie, tiens moi au courant, j’aimerais que tu m’embrasses avant de partir, tu veux ?

Je prends Sonia dans mes bras et nos bouches se joignent, elle me dévore ; je me dis que si elle baise comme elle embrasse cela promet, ses seins plaqués sur mon torse. Sous mes assauts sa blouse éclate, elle est complètement nue dessous et je suis sidéré par l’érotisme de ce corps d’ébène. J’ai envie de la baiser d’un coup, elle aussi en brûle d’envie, cela se voit mais elle se fait violence et se dégage de mon étreinte.

« Ne m’en veut pas Pierre je dois m’habiller et partir. Je ne veux pas que tu me fasses l’amour à la sauvette, ce sera une fête tu verras quand nous nous reverrons. Tu me plais énormément tu sais ! J’aime déjà ton petit cul, organise vite cette partie carrée, le plus vite possible !

Elle sort avec moi ; je suis dans la rue Il n’est plus temps d’aller au travail, j’en serai incapable car je suis dans une douce euphorie. Je rentre donc chez moi, des projets plein la tête, je me sens bien.
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Nous sommes tous les trois dans l’escalier qui mène à l’appartement de Sonia. Je n’ai eu aucun mal à convaincre Steve et Martine de venir à ce rendez-vous chez notre belle pharmacienne de couleur.

Steve qui l’a déjà vue est tout émoustillé et il ne peut s’empêcher marche par marche de caresser les fesses de Martine en pleine excitation elle aussi. Je ne leurs ai pas caché ce que Sonia attendait de cette rencontre, de cette partie qui s’annonçait : que chacun dispose des autres comme il l’entend, égalité des sexes, permissivité absolue ; j’ai omis de parler de sa collection de godes ceintures dont elle compte se servir et de nous en affubler.

Quand Sonia nous ouvre et se montre dans l’embrasure de la porte nous sommes tous les trois pantois, c’est le choc, car elle est nue sous une nuisette de couleur violine, translucide, qui laisse deviner ses seins , ses cuisses, son ventre ; éberlués chacun de nous peut voir déformant l’étoffe par devant, le sexe viril d’un gode sombre dont elle s’est harnachée .

Martine a comme un mouvement de recul mais Steve la pousse et referme la porte sur nous quatre. Sonia qui a remarqué son hésitation, s’avance souriante vers elle et lui tend les bras.

« N’ai pas peur Martine, nous allons bien profiter d’eux, tu es jolie tu sais, tu me plais, on va être bien, tu verras
« Je n’ai pas peur, au contraire je suis excitée, mais ce sexe qui pointe….
« J’en ai pour toi aussi
« Pour moi !
« Oui pour toi et pour Pierre et Steve
« Pour eux aussi, mais pourquoi ?
« Tu verras

Steve sans attendre commence à se dénuder, je fais de même et c’est Sonia qui effeuille Martine avec de délicates attentions, elle écarte les bretelles de sa robe, déjà ses épaules sont nues, ses seins aussi, dressés. Martine ne dit mot, on peut lire son émotion qui la submerge, elle ne refuse pas les lèvres qui prennent les siennes avant qu’elles ne mordillent ses épaules, son buste, ses seins ; elle laisse faire les mains qui volettent sur son corps qui se dénude, jusqu’à sentir son string et sa robe tomber à ses pieds. Martine est complètement nue, comme nous d’ailleurs ; Sonia la serre dans ses bras en la couvrant de baisers que Martine lui rend tout en la débarrassant de sa nuisette. Pour mieux l’étreindre Sonia a glissé le gode entre les cuisses serrées de Martine qui le chevauche en ondulant des fesses.
.
Nous sommes nus tous les quatre et Sonia nous invite
« Je vous propose de faire vraiment connaissance en nous serrant les uns contre les autres….oui…plus proches encore… caressons nous…de partout

Nous sommes plus émus qu’il n’y parait Steve et moi, Sonia nous fait vivre une première et à la pensée de ce que qui pourrait se passer avec tous ces postiches que nous voyons sur le guéridon nous bandons comme des malades. Nous nous caressons en nous faisant face, en cercle, bien serrés les uns contre les autres, en prenant notre temps; Steve a enroulé une main sur mon pénis tout en pelotant les fesses de Sonia avec l’autre ; Martine lui caresse les seins d’un doigt elle cherche mon anus . Moi j’ai glissé une main par devant entre les cuisses de Sonia en la passant sous les testicules de son gode, les sangles symétriques laissent libres sa vulve et la raie de ses fesses, sa chatte est toute mouillée et du bout d’un de mes doigts je titille son anus.

Cette petite présentation nous met en bonne condition ; envolés notre respect humain, la réserve que nous avions en entrant, nos instincts libérés, nos envies exacerbées, notre excitation au zénith. Au bout d’un long moment de caresses un premier arrangement se forme, Sonia m’attire vers elle et m’entraîne, laissant Steve et Martine enlacés près du guéridon où ils s’équipent eux aussi.

Je me laisse faire, quand elle m’allonge le dos sur le boulgomme de la table, les jambes pendantes, Sonia est penchée sur moi et je vois son regard qui me brûle, l’envie qu’elle a de moi, je vois sa bouche, ses lèvres ouvertes qui montrent les perles de ses dents carnassières, je vois le modelé de son visage et la finesse de sa peau sans le moindre défaut, ses longs cheveux noirs décrêpés, je vois ses seins superbes pointés de sombre qui frôlent mon torse ; elle s’avance, son ventre entre mes cuisses ouvertes, je sens son gode entre mes fesses sous mon sexe dressé

« Tu veux Pierre ? J’en ai envie tu sais !

Je ne dis mot, je sais ce qu’elle veut, ce dont elle a envie, elle devine mon assentiment, un sourire illumine son visage, elle relève mes jambes avec ses mains et je sens le gland de son gode chercher sa voie, chercher mon anus, il glisse dans la raie de mes fesses et se centre en aveugle sur lui. Manifestement il est bien lubrifié car c’est à peine si je le sens entrer en moi, la suite je l’avoue est plus délicate mais délicieuse tant Sonia est douce, attentionnée; la hampe du gode est longue et épaisse, je la sens bien me sabrer le cul, par de petites avancées et reculs en s’enfonçant chaque fois davantage. J’observe Sonia elle est bien elle aussi, ce désir de possession, celui de me sodomiser l’excite au plus haut point et moi cela me plait d’être ainsi soumis à cette beauté, de me faire posséder par une femme telle que Sonia.

Elle jouit d’un coup en s’agitant, va savoir pourquoi, l’émotion ? L’excitation ? La pression de la base souple de son gode sur sa chatte aussi sans doute, elle m’entraine dans son plaisir, son sexe me fait du bien, je bande, ma prostate est en éveil, je me branle d’une main tandis que l’autre passée par devant entre nos cuisses lui palpe les testicules très réalistes et que d’un doigt je perfore son anus bien réel lui ! Nous sommes comme deux fous, elle s’attarde au fond de moi dans mon anus grand ouvert et elle s’efforce par des circonvolutions de son ventre, de son bassin, de ses fesses ; de l’ouvrir davantage, je l’aide à me pourfendre en agitant mes fesses moi aussi.

Elle me guette, attends mon plaisir ; alors pour bien lui montrer qu’il ne vient que d’elle, que de sa queue qui s’agite au plus profond de moi, que de sa jouissance continue qui m’excite, j’arrête de me masturber , je la serre sur moi en la tenant par la taille, je vais jouir, je le sens, joindre mon plaisir au sien, réaliser son fantasme de possession ; mon souffle devient court, je perds de ma lucidité, je joins mes gémissements aux siens et d’un coup je plonge, j’explose, je sens mon sperme remonter dans ma verge et gicler, jaillir comme jamais, en plusieurs fois ; j’ai quitté le monde l’espace d’un instant et quand je reviens à lui, Sonia toujours en moi est redressée et je la vois souriante étaler mon foutre sur son ventre, sur ses seins ; elle me sourit, elle est heureuse, comblée, cela se voit, se devine. Je remets mon doigt dans son anus.

Martine et Steve nous ont rejoints, Martine est juchée sur la table, à genoux au-dessus de moi mon visage entre ses fesses le sien penché sur mon ventre ; vous voyez ! Je vois Steve derrière Sonia il est équipé d’un gode lui aussi qui fait double emploi au-dessus de son sexe bandé. Je sens le gland de plastique sur mon doigt que je retire de l’anus de Sonia, ma main le guide et je devine la suite aux petits cris qu’elle pousse, possédée par cette double pénétration, le gode dans son cul et le sexe de Steve dans sa chatte. Sonia est toujours en moi bien enfoncée entre mes fesses, Martine me suce le sexe qu’elle a empoigné et moi je bouffe sa chatte à pleine bouche…………. Carré d’as !

Qui ne nous quatre a joui le plus fort et le plus longtemps ? Le plus fort ? Nous quatre ensemble chacun à notre façon ; le plus longtemps ? Nos deux compagnes c’est certain, nous avons su faire durer leur émotion ; moi j’ai joui dans la bouche de Martine sans éjaculer et le sperme de Steve n’a pas tardé à dégouliner de la chatte de Sonia et à inonder mes cuisses, mes testicules.

Nous sommes relevés tous les quatre, nos yeux brillent de convoitise. Sonia m’observe et je comprends qu’elle me voudrait encore pour elle seule. Moi aussi j’ai envie d’elle, elle est debout devant moi et elle tourne pour se faire admirer, elle a des seins magnifiques, haut placés, une vallée profonde les sépare ; mais ce sont ses cuisses longilignes, la cambrure de son bassin qui met en évidence ses merveilleuses fesses de black qui m’attirent et je ne peux m’empêcher de gémir tant mon désir d’elle est grand. Sonia s’avance vers moi et se love dans mes bras ? Nous restons un moment ainsi sans rien faire, sans rien dire. Elle ne dit mot quand je dénoue les lanières qui fixent son gode dont je la débarrasse.

Elle me suit quand je l’entraine vers le lit et que je la ploie pour qu’elle s’allonge. Je veux voir sa chatte, j’ai une envie folle de la prendre, avec ma bouche, mes lèvres, ma langue, de la faire se tordre de plaisir avant de la baiser, enfin. C’est la première chatte de couleur qui s’offre à moi. Offrir est le bon mot car Sonia a bien écarté ses cuisses et avant que je m’agenouille je crois défaillir en apercevant tant de merveilles.

Sonia a une grosse chatte, une chatte fruit, comme je les aime ; ses longues et grandes lèvres sont largement ouvertes elles sont lisses et nues, de couleur légèrement plus sombre que la peau des deux petites dépressions qui les séparent de l’intérieur de ses cuisses et qui mettent en exergue son sexe comme un fruit exotique juteux, éclaté, trop mur. Au sommet, là où elles se rejoignent au bas de son ventre Sonia a laissé une petite touffe un peu folle de poils. A l’opposé elles se fondent dans son périnée entre ses fesses écartelées proches de son anus qui s’est refermé, très sombre lui, presque noir, il est cerné de petits plis rayonnants. Elles ne cachent rien de la vulve, elle est sombre elle aussi ; le capuchon de son clitoris, sorti lui, est bien développé, de la taille d’une grosse noisette et on devine par-dessous l’antre dentelée du gland qui doit poindre quand elle doit se mettre à jouir. Les petites lèvres sont simplement entre ouvertes et descendent jusqu’à l’entrée du vagin que je devine un peu plus clair, presque rose.

Au-delà du vé de ses cuisses ouvertes, au-delà de la jolie touffe de poils sombres et frisés qui orne son ventre plat, les seins dressés avec le visage de Sonia qui me regarde et qui m’invite à la fête.

Ma langue prend les extérieurs de sa chatte si j’ose dire et visite les deux fossettes en haut à l’intérieur des cuisses, creusées de part et d’autre de son sexe ; elle passe, glisse de l’une à l’autre en descendant, léchant l’anus au passage avant de remonter. De temps en temps je mordille le muscle des cuisses en aspirant la chair nue, délicate, tendre à cet endroit et ce n’est pas le moins excitant si j’en juge par les premières approbations de Sonia, ses premiers soupirs.

Je lèche ses grandes lèvres maintenant ma langue bien déployée pour bien les enduire de ma salive translucide, elles brillent. Je suis à genoux entre ses jambes, j’avance mon visage, mes mains, vers ce trésor. J’insère la pointe de ma langue dans les deux sillons qui séparent les grandes lèvres de la vulve, en passant autour du clitoris où je m’attarde plus que de raison car à chacun des passages Sonia me montre le plaisir qu’elle éprouve en avançant son ventre pour mieux se plaquer sur ma bouche, elle s’offre en geignant des mots inarticulés.

Je vois grossir sa vulve, ses petites lèvres sortir toutes gonflées en rougissant ; avec mes doigts je les dégage en écartant ses grandes lèvres découvrant deux larges dépressions toutes roses, lisses comme de la soie, inondées déjà d’une liqueur translucide, filante, où ma langue se noie avec délice. Moi je suis bien, j’aime faire jouir ainsi celles que je désire et qui m’inspirent, mon plaisir est au sommet quand mes caresses poussent à bout les plus sensibles, les plus réceptives au point de les faire crier leur envie de mon sexe en elles ; je crois que je pourrai me contenter de ce que je fais là avec ma bouche entre les cuisses de Sonia, je suis dans un autre monde et je guette son plaisir qui me comble et que je ressens aux petits cris, aux ondulations nerveuses, incontrôlées de son corps.

Ma langue est maintenant au milieu de sa vulve lubrifiée elle va et vient entre les deux boursoufflures exacerbées de ses petites lèvres toutes rouges maintenant, je la fais aller du bouton de son clitoris qui se pointe maintenant jusqu’à l’entrée de son vagin qui s’ouvre. Sonia jouit, elle s’agite, écarte bien ses cuisses pour s’offrir davantage à ma bouche, ses gémissements deviennent des petits cris synchrones avec l’agitation de ma langue qui devient folle, folle comme moi, fou d’excitation, en voyant son vagin s’ouvrir et pulser, son clitoris sortir de son antre et que je dois abandonner tant il est sensible, chaque lippée semble électriser Sonia dont le corps se cambre dans un cri.

Ma langue raidie est à l’entrée de son vagin, rose presque violet il est grand ouvert et je m’enfonce facilement en lui, presque naturellement. Ma bouche est grande ouverte, j’aspire sa vulve, je la suce, je mâchonne ses petite lèvres, les miennes frôlent son clito, mon visage enduit de mouille calé entre les cuisses de Sonia a du mal à suivre les soubresauts nerveux, incontrôlés de son ventre, ma langue s’agite comme une folle au plus profond de son vagin.
« Pierre…….baise moi…..je n’en peux plus

Moi aussi j’ai envie de la prendre mais par plaisir je retarde cet instant ; je la baise mais avec ma langue luisante de salive qui inonde ma bouche comme son vagin qui d’un coup ruisselle de son plaisir. Incroyablement la pointe puis ma langue entière la pénètre je la fais aller et venir doucement en essayant bouche grande ouverte de la faire aller au plus loin, au plus profond de son sexe grand ouvert, c’est facile tant ma langue est raidie, tant sa vulve est ouverte, offerte, lubrifiée.

Je varie mes caresses entre chaque série de pénétrations en remontant ma langue dans le large canyon entre ses petites lèvres congestionnées par le plaisir pour aller titiller son clitoris, chaque lippée sur son bouton tout dur tire des petits cris de Sonia qui avance son ventre en d’énormes avancées. Je descends aussi plus bas au-delà de son vagin, je me centre sur l’anus en passant par le périnée, langue déployée je lèche la raie des fesses, elle s’attarde sur l’anus qui s’inonde à son tour. Cette caresse nouvelle a pour effet d’affoler plus encore le corps de Sonia qui se met à onduler pour mieux s’offrir à la caresse de ma langue de ses fesses à son clito en larges va et viens mouillés.

Mais je reviens à la plus troublante de mes caresses en replantant ma langue dans son vagin et tout en la rebaisant ainsi je présente le bout arrondi de mon index droit mouillé de ma salive à l’entrée de son anus, je le presse et je n’ai aucun mal à faire entrer les deux premières phalanges dans sa rosette serrée et d’ animer mon doigt de lents va et viens comme ceux de ma langue dans sa chatte. Je suis comme fou, je m’accroche à Sonia pour mieux la servir, pour la garder, pour qu’elle ne se dérobe pas à ma bouche, à mon doigt; j’ai passé mon bras gauche, libre, sous sa cuisse relevée et en la remontant, passant sur son ventre je prends ses seins pour bien les saisir, les caresser, les écarteler, pour faire rouler leur tétons entre mes doigts . Qu’ils sont beaux ses seins, je les ai sentis se gonfler, durcir, dresser leurs pointes. C’est de la folie, folie contagieuse car moi aussi je suis dans un autre monde et comme une folle ma langue la baise, la baise, la baise, et cela dure une éternité semble t’il pour notre plaisir sans fin.


D’un coup elle me supplie et je me relève, le visage , ma bouche, mon nez inondés de mouille, la chatte de Sonia m’attend, ouverte grand, je suis à bonne hauteur je me penche, m’incline sur Sonia ; mon ventre épouse le sien et mon sexe remplace ma bouche, il n’est pas encore très raide, comme à chaque fois que je suis excité, concentré à donner du plaisir. Je m’avance et le place bien dans l’axe du sexe de Sonia, calé entre ses grandes lèvres et je le fais aller et venir doucement en m’aidant de ma main ; je fais passer mon gland qui se décalotte entre ses fesses, sur sa vulve de son anus jusqu’à son clitoris, il caresse, glisse, s’enlise petit à petit, se centre à l’entrée du vagin, reste en place en le pressant. J’ai retrouvé ma bandaison et mon gland fait son chemin tel un soc dans une terre meuble.

« Oui…..ouiiii…….ouiiiiiiii !
Je suis en elle, complètement, à fond, mon sexe est entré facilement et la sarabande commence, je m’agite, mes testicules fouettent son anus, Sonia n’est qu’un cri, je vois son visage, Qu’elle est belle quand elle jouit, je suis heureux du plaisir que je lui donne, je le fais durer de longues minutes, elle est en plein orgasme. J’ai envie de la rejoindre au Nirvana, je vais le faire….. penché sur elle je lui ai repris les seins à pleines mains, nos ventres soudés se frottent, les poils de mon ventre caressent son bouton et à ma grande surprise ce n’est pas le moins jouissif pour Sonia qui ondule sous moi. Nos visages se rejoignent et je retrouve la fureur de ses baisers, nos bouches qui se dévorent, nos langues qui s’enchevêtrent, nos yeux qui se ferment sur le monde du plaisir

« Pierre…..prends mes fesses…..tu veux,
Si je veux, oui, bien sûr, depuis que je la connais je fantasme sur ses fesses, sombres, rondes, ouvertes, je me dégage et regarde son anus il est plein de mouille, j’ai un sexe d’acier, mon gland décalotté se pointe, se centre et presse, la porte sombre s’ouvre ; c’est hallucinant, c’est jouissif pour nous deux , je suis en elle, je ne vois plus rien, que son visage ravagé par le plaisir. Ma verge est branlée par l’anus de Sonia qui s’ouvre quand je le pénètre et se referme sur lui quand je me retire, C’est trop fort, je ne peux résister, je vais jouir, Sonia m’appelle

« Viens chéri
J’ai joui sur ces deux mots, violemment, je jouis si fort que le monde tourne autour de moi, j’ai des éclairs plein les yeux et je rugis comme un fauve. Je suis anéanti et pourtant je continue de servir Sonia qui jouit encore, je vais et viens dans son joli petit cul, je l’observe satisfait de moi…….

Je vois face à moi Steve et Martine qui nous regardent, depuis combien de temps sont-ils là ? Apparemment nous les avons inspirés car c’est Martine qui est équipée d’un gros gode ceinture, elle est derrière Steve penché sur le guéridon, fesses offertes et elle fourre son cul par de spectaculaires avancées de son bassin, Steve a l’air d’apprécier cette sodomie féminine……

Nous nous apprêtons à nous séparer, nous sommes satisfaits tous les quatre de cette partie et nous avons fait des projets. Sonia m’a invité à revenir demain…… seul……
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