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Cassandre et Tasha

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Lue : 1281 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 08/10/2019

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Je m'appelle Cassandre, je suis étudiante et j'ai 22 ans. On dit parfois que je suis une belle plante. C'est vrai, je mesure 1 mètre 75 et mes mensurations sont 97-72-102. J'ai toujours été un peu ronde. Quand j'étais petite, j'étais toujours affamée et je grignotais, j'avais l’impression d'un vide en moi à combler. Mais bon, j'ai su me contrôler et ne pas devenir obèse. Il y a quelques temps une copine m'avait parlé des mannequins "grande taille" ou "plus-size models" et m'a dit que je pourrais faire ça pour gagner un peu d'argent. Je n'y croyais pas, je n'avais pas confiance en moi. "Mais si, m’a t-elle dit, tu es magnifique, tu as un très beau visage et de beaux cheveux." C'est vrai après tout, j'ai un visage un peu rond avec des lèvres charnues et des grands sourcils au dessus de mes yeux marrons. Je prends soin à garder ma peau toute douce et à bien me maquiller. J'ai aussi de très longs cheveux qui m'arrivent presque jusqu'aux reins et je les soigne avec des huiles et des masques naturels, veillant à ce qu'ils aient toujours du volume et de l'éclat. Bref, j'ai surmonté ma timidité naturelle et j'ai tenté ma chance auprès d'une agence. J'ai été engagée et je fais souvent des séances de photos pour des catalogues. Je pose avec de beaux vêtements, j'ai beaucoup de plaisir à mettre parfois des robes et des chaussures de luxe. Ah oui, un autre détail à propos de moi: je ne suis pas attirée par les garçons mais par les filles. J'ai eu au début deux ou trois relations avec des filles, mais je les ai trouvées trop petites, trop "brindilles". Bon, je l'avoue, mon fantasme ce sont les femmes rondes et très grandes, mais pas dominatrices, attention ! Je rêve de me blottir tendrement tout contre une immense et majestueuse déesse, comme si j'étais toujours une petite fille. Evidemment, à cause de ma taille et de mes mensurations, ce n'est pas facile à trouver.

Un jour, mon agence m'a contactée pour faire un défilé de mode pour la fashion-week. Je n'en suis pas revenue. J'étais super-contente mais en même temps terrorisée. Je n'avais jamais fait de défilé et je pensais que j'allais être ridicule. J'allais renoncer mais la directrice m'a dit "C’est dommage si tu le fais pas. Tu sais qu'il y aura Tasha W. qui viendra d'Angleterre pour défiler ?" Tasha ! C'était mon idole, c'était elle qui m'avait donné envie d'être mannequin et surtout à accepter ma taille et mes rondeurs, à travers ses interviews et ses vidéos sur internet. Elle était une des plus-size models les plus connues. Il faut dire que son gabarit est exceptionnel. Elle mesure 1 mètre 86 et fait du 110-85-120. Et elle avait à l’époque un des plus magnifiques visages du monde, un peu comme le mien mais en plus beau. J'ai alors immédiatement changé d’avis. Tant pis si je passerai pour une cruche, au pire je démissionnerai après ou bien on me mettra à la porte ; au moins j’aurai rencontré celle qui me fait fantasmer depuis des années.

Le défilé avait lieu dans un endroit magnifique, un ancien palais avec un splendide jardin. Il y avait beaucoup de monde, des couturiers, des journalistes, des gens célèbres. Nous attendions avec des dizaines d'autres filles dans une salle où on nous maquillait et on préparait les vêtements que nous allions porter. Et puis Tasha est arrivée, entourée de journalistes et de personnes importantes qui organisaient le défilé. On l'a présentée à tout le monde. Et puis quand est venu mon tour, après que ma directrice m'a présentée, je suis restée figée sur place. Tasha était si majestueuse, si belle, mais en même temps si impressionnante. J'éprouvais face à elle un mélange d’attirance et de crainte. J’ai cru que j'allais m’évanouir. Je ne disais rien, elle me disait en anglais : "I’m glad to meet you, you're so cute ! Ooh... But you look shy !" Elle m'a fait la bise, je croyais être dans un rêve. Et puis elle s'est éloignée pour discuter avec d'autres personnes. Et peu à peu je me suis reprise et j'ai été dans un état d'exaltation. Je voulais réussir ce défilé, le faire pour Tasha. Quand mon tour est venu, je me suis lancée en pleine confiance, marchant sans faillir avec des escarpins de 13 cm de talon en me déhanchant comme il le fallait, et j'ai fait un demi-tour parfait en faisant tournoyer la jupe de grand couturier que je portais, sous les applaudissements et les flashs. Quand je suis revenue dans les coulisses, ma directrice m'a félicitée. "Tu t'en es très bien sortie ! Tu vois qu’il ne fallait pas en faire un drame." J'ai regardé ensuite Tasha qui défilait. Elle a fait quelques passages avec des tenues différentes. Elle était magnifique, c'était une véritable artiste dans son métier.

Quand le défilé s'est terminé, il y a eu un grand cocktail. J'avais besoin de calme après ces émotions. J'étais seule dans un coin, une coupe de champagne à la main. Je portais une robe verte moulante et fluide que j'aime bien (ma robe porte-bonheur) et des escarpins pas trop hauts dans lesquels je me sens à l'aise. Mes cheveux étaient détachés et flottaient sur mes épaules et dans mon dos. Et puis Tasha est arrivée, exubérante, elle m'a serrée dans ses bras en m'embrassant le front et m'a dit: "Oh darling, you've been so awesome on the catwalk, I watched you !" J'étais confuse. Elle m’enveloppait de douceur et son parfum se répandait sur moi et m'enivrait. Je me suis mise à sangloter. "Come on, don’t cry ! You look lonely, let's have a drink and chat together..." On a donc bu et discuté toutes les deux. De temps en temps un photographe s'approchait, prenait un cliché en nous éblouissant avec son flash puis repartait. Je n'avais pas trop de mal à parler en anglais avec elle. Je lui racontais mon parcours, mon admiration pour elle. Elle me disait des anecdotes sur sa vie de star, quelques ragots qui me firent rire. Je crois que je commençais à avoir un peu trop bu. Et puis elle a lancé : "Let's get the fuck out of here ! I'm tired of all these people ! Please come with me." Elle voulait donc que je l'accompagne, mais où ? Elle m'a prise doucement par le bras pour nous diriger vers un groupe où se trouvait les personnes les plus importantes pour leur dire au revoir. J'en ai fait de même. À la sortie du palais, il y avait plusieurs voitures avec chauffeurs mises à la disposition des organisateurs, des invités de marque et des mannequins du défilé. Un chauffeur nous a ouvert la porte arrière d’une limousine noire où nous nous sommes engouffrées, Tasha et moi. Elle a donné l'adresse d’un immeuble où elle avait loué un appartement pour deux jours. C'était la nuit. Nous ne disions rien. Je contemplais le profil de son visage dans l’obscurité, éclairé par intermittence par les lumières de la rue. Et tout à coup j'ai frissonné. Ses doigts glissaient sur mon collant et remontaient sous ma robe. Allait-elle me doigter là, dans la voiture ? Elle s'est tournée vers moi en me souriant, sans rien dire. Je lui ai souri en retour. Elle a gardé sa main droite sous ma robe le reste du trajet. Nous étions arrivées là où elle logeait, un immeuble assez modeste, sans ascenseur. Nous avons monté l'escalier, elle était devant et j'admirais ses jambes interminables gainées de nylon noir, je tentais de regarder sous sa robe courte.
Arrivées dans l'appartement, elle a fermé le verrou et nous nous sommes jetées bouche contre bouche. Nous avons échangé un très long baiser, nos langues s'enroulant l’une dans l'autre. J'étais sur la pointe des pieds, la nuque en arrière, ma déesse était penchée sur moi et enlaçait ma taille, nos quatre gros seins étaient écrasés les uns contre les autres, formant une masse informe mais qui se gonflait de plaisir. Puis nous sommes allées dans sa chambre, j'ai rapidement ôté ma robe et mes chaussures, Tasha a fait la même chose, dévoilant de très jolis dessous: bas, porte-jarretelles et une très fine culotte de dentelle, le tout de couleur noire. Elle a enlevé son soutien-gorge et ses superbes nichons pendaient un peu par leur lourdeur mais leurs tétons étaient fièrement dressés. Je suis tombée à genoux devant elle, j'ai baissé sa culotte et je me suis mise à lui lécher la chatte profondément. Son pubis, comme le mien, était parfaitement épilé. Elle passait ses mains sur mon crâne et serrait ma tête contre son entrejambe. Elle mouillait abondamment et ma vulve et mes seins se gonflaient à en éclater. Après quelques minutes de lèche intense, nous nous sommes déshabillées complètement et nous nous sommes allongées sur le grand lit. J'étais sur le dos et elle me chevauchait. J'ai pris à pleines mains ses énormes seins, les pétrissant lentement. Puis j'ai pris dans ma bouche son téton gauche qui s’est durci sous mes coups de la langue. Elle s'est mise à gémir puis a voluptueusement glissé vers le bas pour lécher un de mes lolos, tandis que les siens en pendouillant me caressaient le ventre. J'étais comme électrisée par le plaisir qu’elle me donnait. Et puis nous sommes mises sur le côté, la vulve de l'une contre la cuisse de l'autre et nous nous sommes frottées en nous serrant très fort. Mon visage dans son cou, je m'enivrais de son parfum. Nous sommes frottées de plus en plus vite et de plus en plus fort et nous avons joui en même temps. Nous avons ri et pleuré de bonheur après ce moment de tribadisme. Nous étions alors tendrement enlacées, nos longs cheveux s’étaient mélangés en une épaisse forêt dans laquelle nous nous étions abandonnées. Nous ne savions plus à qui appartenait telle mèche de cheveux, ni même à qui était telle partie du corps, nous n'étions qu’Une. Nous savourions ce moment de tendresse hors du temps, le temps qui s'était arrêté. Nos mains erraient sur nos corps comme des araignées aveugles mais affamées. Même les bouts des mes doigts étaient devenus très sensibles, ils goûtaient la douce peau de Tasha. Puis a nouveau, ils s'aventurèrent plus bas. Je commençais à doigter doucement Tasha, sa vulve était comme un lac mystérieux. Elle me doigtait également, chatouillant mon clitoris. À nouveau des frissons m'ont parcourue dans tout mon corps, je voulais m'abandonner entièrement à elle. J'ai cessé de la doigter pour m’allonger sur le dos et faire l'étoile de mer, vaincue par une vague de plaisir. Maintenant elle était en train de me lécher, lentement et profondément. Je poussais des petits gémissements, oh comme c’était bon ! Une nouvelle fois je fondais de bonheur, je voulais m’offrir totalement à ma chérie. J’ai joui une nouvelle fois, à nouveau elle s'est mise à me sucer les lolos qui étaient tout gonflés. Je crois que c'est à ce moment là que je me suis endormie, submergée par autant de joie.

Un peu plus tard je me suis réveillée. Elle avait éteint la lumière et elle dormait près de moi. Je voyais dans la pénombre la grande masse de son corps, la silhouette de ses magnifiques rondeurs. Comme elle me tournait le dos dans son sommeil, je me suis mise derrière elle, enfouissant mon visage dans ses cheveux et frottant mes seins sur son dos. Elle s'est réveillée, s'est retournée et m'a embrassée sur la bouche, un baiser passionné dans lequel s'entortillaient nos langues. Et sans que nous disions un mot elle s’est allongée sur le dos et je me suis couchée sur elle tête-bêche à plat-ventre pour enfoncer ma langue et mes lèvres dans sa vulve. Elle en faisait autant, elle me léchait et elle pétrissait mon cul. Elle faisait ça de plus en plus intensément. Oh, comme c'était bon ! Oui, qu'elle malaxe mon gros cul, qu'elle le bouffe littéralement ! Elle ôtait parfois la bouche de ma chatte pour me mordiller le cul, ce qui m’excitait énormément. J'avais la bouche pleine de sa glaire, en la buvant j'avais l’impression de boire son âme, de fusionner totalement avec elle. Au bout d’un temps on s'est à nouveau endormies.

Plus tard, c’est Tasha qui m’a réveillée en m’embrassant dans le cou. Je crois que c’était le petit matin, il faisait moins sombre. On était affalées l’une sur l’autre. Elle m’a dit: "Let’s do something deeper..." Elle s’est levée et est allé chercher dans une valise un instrument bizarre. J’ai rapidement compris que c’était un double-gode avec une ceinture. Mon dieu, je n’avais jamais utilisé un engin pareil ! Elle voyait mon air paniqué, elle m’a pris la main en me disant: "Don’t worry sweetheart, it will be fun !" Elle s’est assise au bord du lit et a inséré un des bouts du double-gode dans son vagin et l’a attaché autour de sa taille. Je tremblais. Elle m’a invitée à m’asseoir face à elle sur ses cuisses écartées, mes jambes autour de sa taille. Puis elle a introduit l'autre extrémité du double-gode dans mon vagin. Ça m’a fait un peu mal, vu le diamètre qu’avait cet ustensile. Nous étions serrées dans les bras et nous avons commencé à faire des mouvements de reins synchronisés, nous pénétrant mutuellement et de plus en plus vite. Le plaisir montait à l’intérieur de moi, me brûlait, et je me suis mise à hurler en atteignant l’orgasme tout en continuant à sautiller sur ses cuisses, et ce fut son tour à elle de jouir. Je me suis jetée en arrière et elle m'a attrapée par les cuisses et m'a tirée vers elle pour lécher mon clitoris. J'avais alors la tête en bas et j'étais dans un état d'extase incroyable.

Le jour s'était maintenant levé. Nous étions toutes les deux à nouveau allongées sur le lit l'une à côté de l'autre, nous caressant tendrement et nous donnant des petits baisers dans les cheveux. Il était bientôt temps de nous séparer. Je suis allé me laver dans la salle de bain. Comme je n'avais pas d'affaires pour me changer, Tasha m'a filé un ensemble culotte et soutien-gorge en satin (que j'ai gardé en souvenir), très mignon bien qu'un peu trop grand pour moi. Au moment de partir, j'ai sangloté. Elle m'a promis qu'on se reverrait. Mais je savais que ça allait être difficile avec sa vie à elle. Je savais qu'en fait elle était bi, qu'elle avait un copain avec qui elle allait se marier tôt ou tard. Je ne serai jamais qu'une distraction passagère pour elle, mais c'est peut-être tout ce que je mérite.

La semaine suivante, je ne me suis pas senti bien. J'ai traîné chez moi en jogging pendant plusieurs jours, je guettais un message de Tasha: rien. Et finalement, je suis passée à l'agence pour donner ma démission. La directrice n'avait pas trop le temps et m'a invitée à dîner le soir pour en discuter plus longuement, elle espérait me faire changer d'avis. Au dîner, je lui ai confirmé mon intention, elle a fini par comprendre mon choix. Nous avons parlé d'autres choses, des choses plus intimes et nous avons découvert que nous avons les mêmes attirances. Elle a presque 40 ans, elle est ancien mannequin et ses rondeurs se sont épanouies depuis. Je me suis aperçue ce soir-là à quelle point elle était belle et attirante. Elle a fini par me faire oublier Tasha.
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