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Femmes de médecins partie 2

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Lue : 1606 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 30/07/2019

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On s’est garées à l’entrée de L’I… En ce mois de mai, la petite ville était baignée par la lumière. J’étais déjà venue ici. C’était une ville qui s’était développée au Moyen-âge, et qui comme pas mal de villages du Sud, s’était constituée, à partir d’un centre, et rayonnait en de multiples ruelles qui souvent n’avaient pas de tracé droit, mais tournaient en circonvolutions diverses. En les arpentant, on découvrait toujours quelque chose.
Marie-Caroline avait le talent pour dénicher des endroits où il se passait VRAIMENT quelque chose. Sa dernière trouvaille avait été de nous amener à G… A la sortie de la ville, il y avait un parc qui s’animait trois soirs par semaine. J’avais été totalement remuée de constater que, dès le portillon d’entrée passé (il y en avait quatre) on avait basculé sur un univers Dantesque. Tous les couples qui avaient envie de faire l’amour de manière libre se retrouvaient là… Le premier que nous avions croisé, autour d’un banc donnait le ton. Une femme dans la quarantaine, habillée fort élégamment, en tailleur, était empalée sur le sexe d’un homme sur les genoux duquel elle était assise, la jupe roulée à la taille, son slip rouge tiré sur le côté. Elle avait des cuissardes rouges assorties, hasard ou volonté, au slip, et des bas stay-up. L’entourant, deux autres hommes lui proposaient leur sexe congestionné. Elle en masturbait un, suçait l’autre, inversant le mouvement au moment où nous passions. Son regard avait accroché le mien. Il y avait dedans un mélange de plaisir et de défi. Etait-elle consciente que me trouver ici me tordait le ventre. Mes sécrétions étaient déjà sorties de ma culotte, et dégoulinaient le long de mes jambes, tellement j’étais excitée.
—Comment tu as connu ce lieu ?, j’avais demandé à Marie-Caroline .
—Une amie à moi. Je suis venue essayer la semaine dernière. Je pensais que ça te plairait et qu’on pourrait faire quelque chose à deux.
On a avancé dans le parc. Partout, des gens se rassemblaient ou s’étaient rassemblés, avec une seule idée en tête : vivre pendant quelques heures leurs fantasmes, avant de retrouver une existence monotone. Une jolie jeune femme suçait alternativement trois hommes qui leur présentaient leurs sexes congestionnés. Plus loin, une femme et un homme installés face à face se masturbaient sans se toucher, et tiraient leur excitation de regarder l’autre.
--Hé, les filles !
On a sursauté l’une et l’autre. Une silhouette, installée beaucoup plus loin sur un banc. Quelqu’un qui nous faisait signe. A mesure qu’on s’approchait, on l’a mieux distinguée. C’était Loréna, l’épouse d’un neurologue réputé, qui travaillait à l’hôpital d’ A… Je l’avais déjà rencontrée deux ou trois fois lors de réceptions. Elle était plus âgée que nous, le début de la cinquantaine, alors que nous avions vingt ans de moins. C’était une belle femme, très grande, et avec des formes plantureuses, peut-être quelques kilos de trop, qui aimait s’habiller sexy. Quand je l’avais vue pour la première fois, son look, mais aussi son regard, je m’étais dit qu’elle était ce que Marie-Caroline et moi nous serions d’ici vingt ans. Une femme dont le regard disait clairement son goût pour le plaisir, pour les plaisirs, très divers, quels qu’ils soient, mais dont l’expression disait aussi très clairement son amertume de ne pas avoir connu autre chose que ce qui était un dérivatif pour oublier sa solitude. Avoir un sexe dans la bouche ou se faire prendre par deux hommes en même temps n’était pas une fin en soi, c’était le moyen d’oublier des manques affectifs qui n’étaient pas comblés.
Elle tirait sur une cigarette, installée elle aussi sur un banc. Sous son imperméable entrouvert, elle portait un beau tailleur noir bien coupé, avec des bottes hautes assorties. La jupe avait remonté quand elle s’était assise, laissant voir ses jambes gainées du nylon de bas stay-up et son sexe nu. C’était clair, elle n’était pas venue ici pour faire du tricot.
—Alors les filles, on vient s’encanailler ? Moi je déboule ici dès que j’ai un soir de libre. Mon cher et tendre baise sa secrétaire, alors je n’ai pas vraiment de scrupules.
Elle a fait un petit geste de la main à quelqu’un sur notre gauche. On a aperçu un groupe de jeunes hommes qui avançaient vers nous et semblaient la connaître. Sans doute parce qu’on n’avait pas bien masqué notre surprise, elle nous a dit :
—Les jeunes aiment les MILFS !
On n’a pas eu le temps de parler plus. Ils étaient quatre, et pas un mot n’a été échangé. Ils ont mis leurs queues à nu. J’ai compris qu’ils pensaient que nous étions ensemble. Inutile de les détromper. Ca s’est noué en quelques secondes. Avec avidité, Marie-Caroline a plongé sur un membre, se pliant en deux pour le prendre dans sa bouche. Elle avait une expression ravie. Celui qui semblait le leader du groupe s’est approché de la femme d’âge mûr et il lui a présenté son sexe, qu’elle a caressé des doigts avant de venir donner des coups de langue dessus. Pour ma part, j’ai opté pour une autre approche, prenant les deux membres restant au creux de mes mains et les masturbant doucement. Je sentais leur chaleur et leur dureté dans mes paumes, et c’était une sensation délicieuse. Ce qui l’a été aussi, ça a été de les sentir se dilater. Leur jouissance était au creux de mes mains, ils étaient à ma merci.
Nous avons composé un tableau qui a constamment évolué. Ils étaient venus, apparemment, pour Loréna, et très vite, ils nous ont délaissés pour s’occuper d’elle, en priorité. Celui dont elle semblait le plus proche s’est calé sur le banc, elle s’est faite glisser sur lui. On a regardé la tête gonflée de son sexe venir s’ajuster sur la muqueuse anale. Son vagin dilaté palpitait de désir et laissait sortir un torrent de mouille. Un deuxième garçon s’est avancé, le membre congestionné, et il est venu s’enfoncer dans la vulve ouverte. On regardait Marie-Caroline et moi, aux prises avec une fascination malsaine. On avait déjà vu ça dans des films pornos, mais dans la réalité… On n’imaginait pas ça possible… Même si justement, le porno devenait l’inspiration de beaucoup… De côté, comme on se trouvait, chacune aux prises avec une queue, on a vu les deux membres aller et venir en elle. A en juger par son expression, ça lui faisait vraiment beaucoup de bien…. Elle souffrait, gémissait et bavait. Son sexe aussi bavait, qui crachait des jets de liquide qui sortaient autour de la queue qui la pilonnait. Mais nous étions tout aussi inondées…
Les garçons se sont succédés en elle. Elle nous laissait nous occuper des deux autres, que nous avons caressé jusqu’au moment où nous avons eu, nous aussi, envie de nous faire prendre. Ce qui nous paraissait impossible deux minutes plus tôt est devenu quelque chose de tout à fait envisageable. Marie-Caroline s’est troussée. Les deux garçons qui n’étaient pas dans Loréna ont tout de suite compris où elle voulait en venir. Un des types l’a attrapée par la taille et il l’a faite venir sur lui. Des quatre, je crois bien que c’était lui qui avait la queue la plus grosse. C’était excitant de voir Loréna se faire prendre, ça l’était dix fois plus pour Marie- Caroline, qui était ma copine, mon double. Le gars a amené sa queue dilatée sur son anus, et il a poussé. Je crois qu’il a été surpris de constater avec quelle facilité la queue pouvait rentrer en elle. Ca a poussé mon excitation un cran plus haut de voir le membre rentrer en elle jusqu’à être aux trois quarts absorbé. Fascinée, elle regardait la queue glisser en elle. Elle a fait signe à l’autre type de s’approcher. Il s’est glissé dans sa vulve, sans doute pas aussi dilatée que celle de Loréna.
Je me suis penchée sur elle pendant que ses deux partenaires bougeaient en elle. J’ai fait sortir ses seins de son décolleté et je les ai travaillés de la bouche. Puis j’ai cédé à mon envie, glissant sur ses orifices dans lesquels les queues bougeaient alternativement. J’ai laissé ma langue errer, allant des queues et de la surface que je pouvais caresser de la langue, à l’ouverture du sexe, dilaté, au clitoris qui pointait tout en haut, recueillant sa mouille qui sortait d’abondance. Elle en a profité, a eu un orgasme, avant que je n’arrache les deux hommes de son ventre, et que je ne les entraine sur le banc pour qu’ils me remplissent aussi. Ce qui m’a rendue à moitié folle, ça a été de sentir leurs queues frotter l’une contre l’autre contre la fine membrane qui séparait mon vagin de mon rectum. J’avais envie qu’ils jouissent en moi, sentir leur sperme sortir trait après trait, mais ils n’avaient pas de capote, c’était trop risqué. Je les ai expulsés et ils ont rempli la bouche de Marie-Caroline et la mienne de semence. Loréna n’avait pas ce genre d’appréhension, et elle a laissé ses deux partenaires jouir en elle. Avec une fascination malsaine, on a vu le sperme sortir de son vagin, alors que, son anus, partiellement refermé en laissait suppurer quelques gouttes. Elle m’a jeté :
—Le sperme reste longtemps dans mon cul, et quand je rentre et que je me couche près de mon mari qui dort et que je n’intéresse plus, et qu’il sort de moi, goutte à goutte, je pense à ces moments uniques que j’aurai pu connaître, alors que lui ne me touche plus et n’envisage pas de me remplir de sperme.
Un beau souvenir. Qui me tiendrait chaud quand je n’aurais plus aucune queue en moi, trop vieille pour intéresser quiconque.
Mais j‘avais encore un peu de temps devant moi.
Marie-Caroline s’est arrêtée devant une grande maison dont les murs avaient été tout récemment enduits de crépi, d’un blanc qui déchirait les yeux. Sans la moindre hésitation, elle a poussé l’un des battants d’une porte de bois épaisse et entrouverte, m’entrainant à sa suite. Je me suis retrouvée dans une grande bâtisse, aussi blanche à l’intérieur qu’à l’extérieur, et fraiche. Elle était surtout immense, plus qu’on ne pouvait le soupçonner quand on la voyait de l’extérieur. Le hall se transformait en un long couloir qui amenait sur la gauche vers un immense living donnant sur un patio, et sur la gauche, sur un magnifique et interminable escalier en colimaçon. Elle m’a attrapée par la main et m’a entrainée dans cet escalier.
—C’est normal qu’on ne voie personne ?, je lui ai demandé.
—Ne te pose pas de questions. Suis-moi et c’est tout. Tu ne seras pas déçue.
J’ai obéi. A l’étage, mais on pouvait encore continuer vers un étage supérieur, un long couloir donnait sur une série de portes toutes closes. J’ai vu deux types, l’air apparemment ravi, de deux portes, mais avec un décalage, c’est-à-dire qu’il y avait une porte entre les deux. Ils sont partis ensemble, côte à côte.
Sans attendre, Marie-Caroline a avancé dans le couloir. Elle examinait les portes. Très classiquement, un peu comme dans les hôtels, le panneau LIBRE ou OCCUPE était accroché, et y était ajouté le symbole qui désignait un homme ou une femme. Elle a enfin trouvé une cabine féminine libre, et elle m’y a entrainé.
C’était un local tout simple, avec une fenêtre qui laissait rentrer la lumière, dépourvue de tout mobilier à part un vieux fauteuil au milieu, recouvert de velours rouge, qui avait connu des temps meilleurs. Marie-Caroline est venue se caler dans le fauteuil, avant de me faire un signe.
—Viens te poser sur mes genoux, tu verras, tu seras bien.
C’est en m’installant sur elle, en percevant sa chaleur, que j’ai remarqué, je n’avais pas encore prêté attention aux cloisons, les trous découpés dans celle de droite comme dans celle de gauche.
—Je me demande où tu m’as…
J’allais dire ‘emmenée’, mais je n’ai pas eu le temps. Avec un décalage de quelques secondes l’une par rapport à l’autre, deux queues en pleine érection sont apparues dans chacun des trous.
—Tu peux en profiter autant que tu veux, il y en aura plusieurs.
Et sans attendre, elle s’est penchée sur sa gauche pour frôler des lèvres la queue qui a frémi sous sa caresse. On a entendu le type derrière la cloison, totalement invisible, évidemment, gémir. Je me suis tournée vers l’autre queue. J’ai posé le bout de mes doigts dessus, et je l’ai masturbé doucement. J’ai senti sa chair frémir. J’ai compris qu’il ne tiendrait pas très longtemps. Difficile de prodiguer des conseils à quelqu’un qui est de l’autre côté d’une cloison. J’ai posé mon ongle rose et effilé sur son gland, et je l’ai promené dessus. Le sperme a commencé a jaillir, certains traits partant dans le vide, d’autres venant se perdre dans mes cheveux et sur mon visage. J’ai immédiatement regretté de l’avoir fait jouir trop vite, mais mes regrets ne servaient à rien, car déjà une autre queue la remplaçait. Elle était plus longue, et moins dilatée. J’ai jeté un coup d’œil en coin à Marie-Caroline. Je la sentais plus à l’aise que moi. Elle avait du venir ici beaucoup plus souvent que moi. Elle a masturbé la queue dont elle avait une partie dans la bouche. J’ai vu la queue se raidir, et j’ai compris que l’homme jouissait dans sa bouche, et qu’elle ne voulait rien laisser perdre. Un filet de sperme a coulé à la commissure de ses lèvres.
J’ai embouché la queue et je l’ai faite glisser dans ma bouche, jusqu’à ce que le gland vienne taper au fond de ma gorge. J’ai exercé une lente caresse buccale sur lui, le sentant. Ca a été au bout d’un aller-retour que le sperme est sorti coulant dans ma gorge et me remplissant d’une saveur amère.
Dès lors, les queues se sont enchainées. J’ai été surprise qu’à dix heures du matin, il puisse y avoir autant d’hommes disponibles… C’était quoi cette maison ? Un lieu de rendez-vous, un lieu de plaisir ? Sans doute un peu des deux. J’imaginais sans mal les hommes de la ville guettant les femmes qui passaient et qui rentraient ici.
Le temps s’est très vite dissous, et plus rien n’a eu d’importance sauf ces queues qui se donnaient à nous, dures, avides de jouissance comme nous étions avides de sperme. Nous changions de technique à chaque fois, une manière de se rendre compte et de mettre en pratique le fait que même avec une main ou une bouche, on pouvait décliner d’infinies possibilités de prendre une queue en charge.
Nous avons eu combien ? Peut-être trente, quarante queues à notre disposition chacune. Quand les deux dernières ont craché leur jouissance et que nous avons compris qu’il n’y en aurait pas d’autre, nous étions littéralement trempées de sperme. Nos vêtements, nos visages, notre chevelure. Sans parler de nos bouches et nos gorges. Comment se priver du plaisir de laisser le sperme couler dans son gosier, d’en accueillir les traits copieux, amers.
Marie-Caroline et moi nous nous sommes tournées l’une vers l’autre. Elle m’a souri.
—Alors ça t’a plu ?
--C’est trop bon. Avoir une queue et rien d’autre, sans se soucier de la personne à qui elle est reliée, simplement en profiter, faire ce qu’on veut avec. J’ai déjà envie de revenir.


Nous avons quitté la cabine. Elle m’a attrapée par le poignet et elle m’a guidée jusqu’au bout du couloir. Une porte en parallèle ouvrait sur une grande salle de bains. Nous nous sommes débarbouillées, avons arrangé nos cheveux. Comme on partait souvent dans des excursions improbables, on avait pour habitude l’une comme l’autre d’avoir dans nos grandes besaces des vêtements de rechange, à la place de ceux qui étaient souillés par du sperme ou des sécrétions vaginales. J’ai fait passer ma robe par-dessus mes épaules, elle finirait à la machine, pour en faire glisser une autre noire, qui m’allait bien, me mettait en valeur, le long de mon corps. Marie-Caroline a remplacé l’ensemble de sa tenue, même le legging qui avait été arrosé de sperme par un tailleur jupe rouge.
Il était quasiment midi. Ainsi parées, on pouvait aller déjeuner toutes les deux. On s’est attablées à la terrasse d’un petit restaurant, on a commandé des salades, pas question de grossir pour nous, et on a discuté, conscientes de la chance qu’on avait dans notre malheur de pouvoir mener cette vie oisive, sa balader alors que d’autres étaient obligés de travailler et avalaient un sandwich à la hâte. En voyant des hommes passer, dans la rue et autour de nous, je me demandais si nous avions eu la queue de certains dans la bouche une heure plus tôt.
On avait tout le temps devant nous. On a flâné dans le village jusqu’au moment où nous sommes reparties pour A…L’après-midi s’étirait devant nous. Nous profitions généralement de cette longue plage horaire pour aller draguer dans les rues de la ville…Enfin draguer, c’est un bien grand mot…Nous n’avions pas grand-chose à faire, les hommes venaient d’eux-mêmes.
On est arrivées à A… sur le coup de deux heures de l’après-midi. C’était une des premières belles journées de printemps. On est parties dans les rues de la ville. Je repensais encore à ce qui s’était passé le matin même. Ces queues gorgées de sperme qui ne demandaient qu’à le cracher dans la main ou dans la bouche d’une femme.
On était sur une partie de la ville qui faisait promontoire quand on a été abordées par les deux hommes. La quarantaine, et les bleus qu’ils portaient disaient clairement à quelle classe sociale ils appartenaient. Il y avait d’ailleurs un écusson brodé sur leur poitrine, celui d’une grande chaine qui vendait de l’électro-ménager. Un grand type blond, très maigre, et un brun plus trapu, qui devait faire de la musculation. Ils avaient chacun une cannette de bière à la main. Ils se sont approchés, pas intimidés du tout, se disant qu’ils n’avaient rien à perdre.
—Vous êtes vraiment magnifiques, toutes les deux, a lancé le brun. Il avait apparemment une grande gueule et ce devait être lui qui était chargé de la partie négociation. On se baladait, mon collègue et moi, on vient de livrer des frigos en ville, on fait une petite pause avant de repartir…
—Si vous voulez nous baiser c’est possible, a dit froidement Marie-Caroline.
C’était le genre d’attitude qu’elle adorait toujours, qui décontenançait totalement les hommes qui nous abordaient, peu habitués à ce type de franchise.
—C’est-à-dire que…
—Pourquoi tourner autour du pot, a-t-elle continué ? Vous nous avez regardées et vous vous êtes dit : elles ne sont sans doute pas pour nous, mais on va quand même tenter le coup, pourquoi pas ? On aura au moins essayé. Parce que c’est dans votre nature. On vous dit oui, et vous n’avez pas l’air heureux.
—C’est-à-dire…On ne pensait pas que ce serait aussi rapide…Mais…
A présent qu’ils avaient encaissés le choc, ils étaient prêts à profiter de l’aubaine qui se présentait.
—Venez avec nous… On a notre repaire…
C’avait été un an plus tôt qu’on avait décidé, en payant un mois chacune, c’était tout sauf un problème, de louer une chambre au mois dans un petit hôtel de la ville. Deux ou trois fois dans la semaine, on était confrontées au même problème : trouver un lieu pour passer un moment avec des hommes. Et donc on se rabattait sur des chambres d’hôtel. Il arrivait que l’un d’entre eux nous emmène chez lui, mais certains habitaient trop loin, ils étaient mariés. Quant aux hôtels… Il y avait ceux qui étaient complets, ceux qui refusaient parce qu’ils comprenaient qu’on était un couple adultère… Marie-Caroline connaissait la femme d’âge mûr qui tenait l’hôtel-restaurant. On l’avait déjà croisée plusieurs fois, proche de la cinquantaine, elle aimait les tenues sexy. Je l’avais entendue dire à Marie-Caroline ‘Je vous envie, je suis en manque de queues en ce moment…’Marie-Caroline m’avait d’ailleurs suggéré ‘On pourrait l’inviter une fois, trois femmes, deux hommes, c’est une configuration intéressante…Mais on n’en était pas encore là…
Elle nous avait laissé le badge de la chambre, de sorte qu’on n’avait même plus besoin de passer par la réception, de toute façon elle n’était pas toujours là, pour y accéder.
Il n’y avait d’ailleurs personne à la réception quand nous sommes arrivées. On a grimpé la volée de marches jusqu’à la chambre à l’étage qui nous attendait. Le temps que j’ouvre la porte, Marie-Caroline avait mis leurs queues à nu et à genoux, elle en suçait un pendant qu’elle masturbait l’autre, avec envie et conviction. Ils avaient de belles queues bien roides, on ne perdait pas notre temps.
J’ai laissé Marie-Caroline faire. On aimait bien, l’une comme l’autre, laisser notre alter-égo prendre un moment la main, en regardant. J’avais toujours admiré l’habileté de Marie-Caroline, la fluidité de ses mouvements, ce qu’on lisait sur son visage, qu’elle aimait le sexe plus que tout. Elle ne vivait que pour ça, et je n’étais pas tellement différente.
Elle allait d’une queue à l’autre, faisant aller et venir sa bouche sur l’un des membres, pendant qu’elle caressait l’autre. Quand elle les a lâchés, ils avaient gagné un tiers de volume.
Je me suis faite basculer sur le lit, me troussant pour révéler mon ventre nu.
—Si vous en voulez plus, il va falloir nous donner du plaisir. J’espère que vous êtes bons pour les cunnis…
Marie-Caroline a suivi le mouvement, se calant à côté de moi en retroussant sa jupe. Juste en face de nous, derrière les deux hommes, je pouvais nous apercevoir dans le miroir, nos ventre nus, et nos sexes offerts, dilatés et luisants. Il y avait quelque chose d’obscène et de provocant dans ce spectacle. Suffisamment en tout cas pour qu’ils plongent sur nous, et, qu’alors que peut-être ils pensaient nous pénétrer sans ambages, ils viennent coller leurs langues sur nos sexes pour nous fouiller, nous faisant éprouver un plaisir que nous nous donnions habituellement l’une l’autre. Ils n’étaient pas très habiles, mais c’était justement leur maladresse qui était gage de notre excitation. Une fois qu’on a eu joui , Marie-Caroline a attrapé des préservatifs dans son sac à main, qu’elle avait posé prudemment près d’elle…Ils se sont gainés de latex, avant de venir s’enfoncer en nous et de bouger avec toute leur envie. J’avais accroché la main de Marie-Caroline depuis que nous avions glissé sur le lit. Ces moments-là, nous les partagions, dans une profonde complicité. Leurs queues nous caressaient à l’intérieur. Nous nous sommes dégagées, et mises à quatre pattes, en restant au bord du lit pour leur faciliter le travail. On aimait toutes les positions, mais celle-là nous était précieuse parce qu’on avait toujours le sentiments quand les hommes rentraient en nous qu’ils allaient bien au fond de nos vulves, remontant de plus en plus haut à chaque fois, à tel point qu’on avait l’impression qu’ils pénétraient à chaque fois un peu plus haut dans nos chairs, comme s’ils avaient creusé un tunnel, jusqu’à arriver à notre gorge. Ils nous ont pistonnées jusqu’à ce que nous explosions dans des orgasmes fulgurants, nous d’abord, eux ensuite, puis nous ensuite en sentant le sperme taper, à travers la latex, contre les parois internes de nos vulves.
Le contrecoup de ce type de relation, c’était qu’elle ne reposait que sur envie de sexe commune, et rien d’autre. On se séparait rapidement après, parce qu’on n’avait plus rien à se dire. On est redescendus rapidement, prenant des chemins séparés.
On a profité de la fin d’après-midi pour faire du shopping. Faire flamber nos cartes de crédit n’était pas un problème pour nous. C’était une autre compensation.
J’ai ramené Marie-Caroline devant chez elle. Personne ne l’attendait. Moi, j’allais rentrer pour attendre quelqu’un qui n’éprouverait aucune joie à me retrouver.
—Une bonne journée, pas vrai ?
Il y avait un soupçon de tristesse dans son regard. C’était à chaque fois pareil. On passait de bons moments ensemble, puis il fallait retrouver la réalité de notre solitude, que l’on avait du mal à affronter.
Je l’ai regardée s’éloigner, avant de reprendre la route.
Je finissais de préparer le dîner quand mon mari est arrivé. Il a déposé un chaste baiser sur ma joue.
—Alors, la journée s’est bien passée ?
—Débordé, comme toujours. Et toi ?
J’ai souri, mais il n’a pas vraiment compris le sens de mon sourire. Des sensations et des images ont remonté. La langue de Marie-Caroline sur mon anus, le sperme giclant sur mon visage et ma gorge, la queue de l’homme me fouillant alors que j’étais à quatre pattes sur le lit.
—Oh, la routine d’une vie banale, tu sais !
Et j’ai amené le dîner sur la table.
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Histoire de JamesB

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