Cette femme transparente

Une autre matinée monotone, en route vers le travail, seulement a quelques minutes de chez moi, mais toujours les mêmes voitures qui se croise sans ce croisée vraiment…

Tout a coup, une voiture me coupe devant, vieille Ford brun rouille pour entrer dans le stationnement de la halte garderie du coin. Je klaxonne a maintes reprises et je vois une main timide féminine ma faire un signe de pardon par le rétroviseur. L’apparence de la conductrice, outre le fait qu’elle semble débordée, me permet de remarquer qu’elle est plutôt petite, mince et selon le reflet, ces yeux sont pâles. Je contourne cette Ford et j’entends quelle me dit par sa fenêtre: « Vraiment désolé Monsieur ».

Je poursuis ma route jusqu’à l’école élémentaire où je travail.

La journée se termine au son de la cloche et je retourne chez moi pour préparer le souper pour mes enfants et ma conjointe. Laquelle d’ailleurs n’a pas arrêté de me faire des remontrances à nouveaux par téléphone en quittant le travail… ´´N’oublie pas que c’est ton tour de corvée SOUPER! Arrêter a l’épicerie pour chercher la viande! Passe a la pharmacie pour mon médoc! …´´ La routine habituelle depuis les 10 dernières années. Seule différence, les enfants ont grandis, mais le quotidien et l’attitude détestable de ma femme sont venus à bout de la flamme qui s’est éteint dans mes yeux.

Cette femme qui me plaisait tant et pour qui je compte seulement pour être un pourvoyeur maintenant. La dernière fois que l’on a fait l’amour c’était en mars 2019, facile a s’en souvenir, c’était le début de la COVID-19…

Tout en conduisant vers l’épicerie, j’aperçois le stationnement de la halte garderie de ce matin et mon oeil est attiré par une jolie femme qui tiens un poupon dans ces bras pendant qu’une gamine d’environ 5 ans embarque dans la voiture, LA Ford brune rouille. Plutôt que de replonger dans la frustration de cette matinée, je reste subjuguée par la beauté de cette jeune mère, tellement qu’on me klaxonne après derrière moi et que j’ai empêché quelques voitures de franchir le feu de circulation par mon engourdissement.

Alors que j’attends le prochain feu vert, je vois la voiture brune et la jeune maman sortir par l’autre côté du stationnement de la garderie et je ne peux m’empêcher de voir le sourire ravissant qu’elle m’envoie, oui, oui, a moi. Elle a sûrement reconnue ma voiture. Sans m’en rendre vraiment compte, je lui envoie une salutation de la main et immédiatement me sent ridicule de le faire. Je me fou ma propre main au visage tel un imbécile, mais finalement je remarque qu’elle a vue mon geste et qu’elle en est amusée.

À nouveau, les klaxons dans mon dos! Cette femme me rang vraiment lunatique. Je perds de vue la Ford, mais je roule vers la pharmacie a quelques rues de chez moi. En arrivant sur place, quelle hasard de voir une place libre juste a côté de ce qui semble être la Ford brune rouille. À l’intérieur, un siège pour bébé et un banc d’appoint. C’est vraiment la bonne voiture. Mon coeur s’affole… Pourquoi?

Quoi qu’il en soit, j’entre dans le magasin et je me promène d’une allée à l’autre. Je regarde un peu partout, sans trouver l’objectif : cette belle femme, jeune maman souriante. Je regarde une allée et l’autre sans trouver… Je décide en avançant de regarder le millième message texte de ma femme pour retrouver la raison de ma venue dans cette pharmacie quand par mégarde, j’embouti un panier avec deux bambins à l’intérieur. J’arrête sur le champ et j’entends une femme rire qui me dit: « Il n’y a pas que moi qui semble ne pas regarder où je vais aujourd’hui ! », et elle me regarde son sourire d’ange tout droit descendu du ciel.

Je me confonds en excuse pour ce choc. Elle se présente, Claudia, elle est devant moi, petite nymphe de 1m 52 tout juste. Elle me présente Joliane et Dylane, ces deux petites filles. Je les salut toutes et me présente: « Bonjour, moi c’est Stef et je ne suis pas transparent, désolé pour cette collision, mais pour ce matin, il n’y a pas d’offense. Un si jolie sourire à milles et une raison d’être pardonné ». Elle devient rouge et me dit sans réfléchir que c’est un peu comme ça quelle se sent, TRANSPARENTE. Elle se sent nourrice et bonne à tout faire, tout sauf femme…

Je ne sais pas quoi faire devant cet aveu, je balbutie quelques choses comme: « J’en connais au moins un que vous ne laisser pas indifférente dans mon pantalon ». Merde, elle a entendu mes paroles et se remet à rire et regardant la bosse grandissante dans mon pantalon. À mon tour de rougir. Elle fini par me saluer et me dit quelle aimerait bien me rencontrer dans d’autres circonstances… Je suis bouche bée. Je la regarde passer devant moi et je ne peux que comprendre mon pénis qui s’est emballé devant une telle splendeur.

Je sors de ma rêverie, termine mes achats et quitte pour la maison. Tout la soirée je suis hantée par ce sourire. Comme a son habitude, ma femme ne cesse de se plaindre durant toute la soirée, mais délivrance, elle décide d’aller au lit tôt. Quelques minutes plus tard, n’en pouvant plus, je vais mon atelier au sous-sol et je me masturbe en passant à cette femme. Ouf, quelle giclée!

Le lendemain matin, en route vers l’école, nous devons tous être prudent puisqu’il pleut averse. Malgré les phares ouverts et les essuie-glaces qui sont à plein régimes, j’aperçois la Ford me dépasser et se ranger devant moi. Dans le miroir, je crois voir la main me saluer de cette femme, Claudia. Sur un coup de tête, je décide de la dépassé, seulement pour mieux la voir. Cependant, je décide baisser ma fenêtre passager pour lui dire le bonjour. Elle m’aperçoit et fait la même chose avec sa fenêtre côté conducteur. Après lui avoir dit bonjour, je l’entends répondre: « Merde! J’ai oublié, ma fenêtre a un problème électrique, elle ne remonte plus ». Je lui dit que je vais la suivre pour l’aider a réparé ça, car elle est tout près de la halte garderie,

Rendu dans le stationnement, je lui dit de s’occuper de rentrer ces deux filles et que je m’occupe de sa fenêtre. Elle me laisse l’accès a sa voiture et elle s’exécute. À son retour, sa fenêtre est en place et je suis au sec dans ma voiture qui la regarde, avec ce corps de rêve malgré la pluie battante.

Elle passe droit et elle entre du côté passager de ma voiture. Elle me dit: « Un grand merci Stef, comment puis-je te rendre la monnaie de ta pièce? Ne sois pas gêné, ma dernière fois au garage pour ce même problème de fenêtre ils m’ont fait payer un max! ». Je la rassure que je ne veux rien et lui nomme que tout est de ma faute, puisque je l’ai invité a descendre cette fenêtre pour lui parler. Elle insiste et je ne peux qu’être hypnotisé par ses yeux et sa splendeur avec ces cheveux mouillés si ravissant. Tout ça, sans compter qu’elle dégage un parfum divin qui m’a immédiatement charmé et qui se traduit à nouveau par une érection de ma part.

Puisqu’elle insiste, je me permet de lui demander: « D’accord, si tu réponds à une question indiscrète de ma part, ton dû sera complété ». Elle accepte.
« Pourquoi m’as-tu dit hier que tu te sentais transparente? parce qu’à mes yeux, tu es tout sauf transparente »… Elle devient le regard embuée et elle me répond: « Je croyais, même plutôt j’espérais que tu me proposes une aventure sexuelle, car depuis ton érection hier soir à la pharmacie, je ne fait que pensé à toi ».
Elle me nomme qu’il y a bien longtemps qu’un homme n’a pas fait attention à elle, dont son mari, qui ne s’occupe pas d’elle depuis quelle a enfanté une deuxième fois.
Encore une fois, mes émotions deviennent transparente et je dis sans trop m’en rendre compte: « Quel imbécile, je te ferais l’amour à chaque occasion que tu en as envie si j’étais lui ».

Du coup, elle se jette sur moi pour m’embrasser, je suis surpris et je résiste un peu. Je lui nomme que nous ne sommes peut-être pas au meilleur endroit pour faire plus ample connaissance.

Elle descend et embarque dans sa voiture. Elle décolle et je la suis sur la route.,. Elle semble se diriger vers l’autoroute. Merde, que m’arrive-t-il, pourquoi je suis cette femme? Je continu et j’en profite pour appeler à mon travail pour leur dire que j’ai un inconfort et que je ne pourrai pas entrer aujourd’hui. Elle sort de l’autre vers une halte routière. Toujours autant de pluie partout. J’emboite le pas et me gare à côté d’elle. Je la vois sortir et se diriger vers une petite cabane. Elle y entre sans problème. Elle connait l’endroit, c’est certain.

Je la suis en courant pour ne pas être tout détrempé… je cogne et j’entre. Ce sont des WC, mais elles sont désertes. Je la vois, me regardant, le corps mouillé. Elle m’allume tellement. Je n’ai jamais trompé ma femme en 15 ans de relation. On dirait que j’ai 15 ans justement! Elle me dit d’approcher. J’obéis.

Elle enlève son survêtement et elle est en lingerie fine. Mon membre n’en peut plus et je laisse tomber mon pantalon au sol. Elle me dit: « Approche, je rêve de te goûter depuis hier »
Je n’en reviens pas, cela fait au moins 5 ans que l’on ne ma pas fait de fellation.
Elle se saisit de mon membre et le lèche goulûment, elle le met en bouche complètement, ouf, je déglutis. Quelques minutes seulement et je sens ma sève bouillir. Elle me sent raidir également. Elle me dit: « J’acceptes d’avaler ta semence, mais tu devras me dépuceler le cul après ». Ma tête répond oui!
Et voilà que je gicle dans sa bouche, je l’entend s’étouffer légèrement car j’ai beaucoup de liquide dans mon sac, puisqu’il n’est pas utilisé par ma femme. Oh mon dieu, sa bouche est divine!

Je perds l’équilibre et reprend mon souffle. Elle se relève et m’embrasse. Première fois que j3 goûte mon foutre de la bouche d’une femme. Elle enlève son dessous et me dit: « Tu dois me faire plaisir maintenant « …

Je lui répond: « Puis-je lécher ta chatte avant de réaliser ton souhait? ». Elle embarque sur le comptoir pour me permettre d’avoir un meilleur accès a son pubis. Je me mets à l’oeuvre et je lui bouffe la moule goulûment. J’entends ses soupirs et elle apprécie les contours de ma langue sur sa vulve. J’ai tout de suite compris qu’elle était clitoridienne puisqu’elle se massait à cet endroit pendant qu’elle me suçait. Je m’attaque au clito et elle se raidit rapidement, ces spasmes sont très saccadés et elle s’écrit: « Oui, mon cochon, tu vas me faire jouiiiir! » Du coup, elle se contracte et ses yeux convulse.

Cette vision a envoyé un message direct à ma queue, elle est au garde à vous à nouveau. Pendant qu’elle se dandine dans son plaisir clitoridien, je l’aide doucement a descendre du comptoir et je la retourne face a la glace. Elle est en extase, ça se voit. J’en profites pour jouer de ma douce langue sur son petit trou. Je la sens se raidir. J’entre un doigt et puis deux dans sa fente pour m’enduire de sa cyprine et je les enfonce aussitôt dans son anus. Ceci a pour effet de la ramener à un petit état de conscience pour me dire: « Merci Stef, il y a plusieurs années que je n’avais pas eu un vrai bon cunnilingus, maintenant je m’offre à toi. Tu seras le premier et je veux que tu me baises le cul comme tu l’as toujours rêver avec une salope ».

J’en reviens pas, c’est tellement un rêve pour moi aussi qui s’accomplit, outre une petite aventurette de 30 secondes dans le rectum d’une copine d’adolescence, je n’ai jamais sodomisé une vraie femme. Au moment ou mon gland s’enfonce dans son petit trou, je me rend compte qye je n’ai pas de préservatif. Je lui nomme la situation par respect et hésitation. Elle me dit: « Personne outre mon godemiche ne m’a jamais pénétré le cul. J’apprécierais que tu ne portes pas de condom si tu le veux bien. Si ça se passe bien, ce trou deviendra le tien tant que tu le voudras ».

J’obtempères et me replace devant la sombre entrée. Je pousse doucement et j’enfonce jusqu’à la base du gland. Je l’observe dans la glace et elle est encore plus splendide que plus tôt, elle est en extase. Je continu mon ascension et ton mon membre est a l’intérieur. Elle s´est cambré et elle me répète: « Vas-y Stef, encule-moi, je suis ta chienne,! ». Je lui demande à se moment: « Tu m’as vraiment dit que ton cul m.appartiendrait pour autant que je le veux pour l’avenir. ».

Elle me dir que oui, je pourrai l’enculer aussi souvent que j’en ai envie. Ceci a pour effet d’accentuer la cadence de mon bassin et elle se doigte en caressant mes testicules qui frappe sont cul sans relâche… Après quelques coups de bassin de plus, je l’avise que je ne pourrai plus me retenir très longtemps. Elle se désempale elle même et s’agenouille a nouveau devant moi pour que je lui vienne sur les seins. J’en peux plus et je déverse mon jus qui va sur son visage, sur ses seins avec 4 grandes giclées. Elle n’en revient pas que j’ai autant de sperme à lui donner.

Elle ramasse le foutre qui est sur elle avec ses doigts et elle boit mon nectar en se regardant devant la glace.

Depuis cette journée, j’ai une crevaison, un problème mécanique, un problème gastrique ou même une migraine par mois. Juste assez de temps pour faire le plein de jus dans mes bourses et de l’éjaculer dans le cul de cette femme qui se croyait transparente…