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Tony (1)

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Lue : 890 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 19/10/2021

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Je laissai donc Anne un peu à contre coeur. Je l'aurai bien rejointe dans son bureau pour la soulager et me soulager par la même occasion. Car j'étais dans un drôle d'état après ce que je venais d'entendre au téléphone et comment Bertrand avait réussi à soumettre Anne. Il doit quand même dégagé un sacré charisme auprès des femmes pour qu'elles succombent à chaque fois qu'il ouvre la bouche.

Qu'est ce qu'il lui a dit déjà ? D'enfiler un manteau et d'aller prendre une douche. Rien de tel qu'une bonne douche froide pour se remettre les idées en place. J'en aurai bien pris une aussi, parceque là je me sens franchement à l'étroit dans mon boxer. Tout ce que j'espère, c'est que la responsable que je dois rencontrer soit une vieille mégère acariatre qui me fera débander immédiatement.

J'arrive avec dix minutes d'avance au siège de l'entreprise. On me donne un badge et on m'accompagne jusque dans un bureau où est assis un homme à moitié chauve et un peu ventripotent. Si c'est avec lui que je dois négocier, au moins je n'aurai pas à me préoccuper de mon entre jambe. Il se lève, me serre la main et me dit :

- Bonjour, Arthur T. Je suis le directeur financier.

- Enchanté, Tony R. Je pensais avoir rendez-vous avec la responsable du parc automobile pour lui présenter notre offre et pas qu'on passerai directement à la signature du chèque.

Il me regarde fixement. Je suis peut être allé trop loin. Apres quelques secondes il éclate de rire. Je respire.

- J'aime beaucoup votre humour Monsieur R. Vous allez bien rencontrer Madame S. Elle est allé se refaire une beauté. Les femmes....Entre nous, me dit-il sur le ton de la confidence, elle n'en a vraiment pas besoin.

J'entends alors des talons se rapprocher du bureau où nous nous trouvons. Je me tourne vers la porte et la personne qui en franchit le seuil est loin d'être une vieille mégère acariatre. Je comprends ce qu'à voulu dire Arthur. Le déjeuner risque d'être intéressant.

La femme qui s’approche de moi en me tendant la main est envoutante. Ses yeux vert émeraudes m’ont littéralement pris dans leur filet. Sa longue chevelure rousse, légèrement ondulée, semble flottée autour d’elle quand elle s’avance vers moi. Elle porte une petite robe d’été pastelle arrivant un peu au-dessus du genou. Elle semble si légère qu’au moindre souffle, elle pourrait se soulever. Une large ceinture souligne sa taille et met sa poitrine généreuse en valeur. Ses petites taches de rousseur qu'elle a sur le front, les joues, les épaules,....la rendent terriblement craquante.

- Bonjour, je suis Émilie S. responsable du parc automobile. Vous devez être monsieur R. De la concession DLR je suppose.

Je n'arrive pas à quitter ses yeux. Arthur me met alors un petit coup de coude dans les côtes pour me faire réagir. Je sursaute légèrement et reprend mes esprits. Je me saisis alors de sa main mais au lieu de lui serrer je lui fais un baisemain en l'effleurant à peine avec mes lèvres. Que sa peau à l'air douce...je me redresse et lui dis avec un sourire que j'espère charmeur :

- C'est un plaisir que de faire votre connaissance et appelez-moi Tony s'il vous plait

- Nous verrons cela si nous faisons affaire avec vous mon cher. Pour le moment, je me contenterais de vous appeler par votre nom.

- Comme vous voudrez Émilie ! Lui dis-je avec un petit sourire en coin.

- Monsieur est provocateur à ce que je vois. Allons-y ! Nous allons être en retard pour notre déjeuner, me dit-elle en tournant les talons et en se dirigeant vers la sortie.

Arthur la rattrape et commence à discuter avec elle. Quant à moi, je reste planter comme un imbécile dans le bureau, en train d’admirer ses formes et sa démarche chaloupée, surement la bouche ouverte car arrivée au bout du couloir, elle me jette un œil par-dessus son épaule et me dit :

- Au lieu de vouloir gober les mouches, vous feriez mieux de venir. Ce n’est pas en faisant attendre une dame que vous marquerez des points pour remporter le contrat mon cher !!

Je venais de me faire moucher et il fallait absolument que je me ressaisisse si je ne voulais pas perdre ce marché, primordial pour la concession. Je respire donc un grand coup et me dirige vers eux. Je les dépasse et les invite à me suivre sur le parking. Je leur présente la toute dernière Audi A4 Allroad destinée à leurs commerciaux. Je leur propose d’en prendre le volant afin de se rendre compte de ses qualités. Arthur en prend le premier le volant puis le passe à Emilie à mi-chemin. Arthur passe derrière et Emilie prend sa place. Au moment où elle prend place sa robe remonte haut sur ses cuisses. Elle avance son siège et règle les rétroviseurs. Elle touche le cuir du volant ainsi que celui recouvrant le pommeau de vitesse. Elle met le sélecteur sur D et appui vivement sur l’accélérateur pour démarrer. Elle conduit d’une main de maître. Je regarde le plus possible devant moi mais je ne peux m’empêcher d’admirer ses jambes magnifiques. Je n’avais pas fait attention tout de suite mais à chaque feu rouge, elle pose sa main sur le levier de vitesse et le caresse d’une manière plus que suggestive, faisant de très lent va et vient. Est-ce volontaire ou juste un réflexe ? En tout cas, il n’en faut pas plus pour que je sente une réaction dans mon boxer, déjà que j’étais bien avec ce qu’il s’est passé avec Anne. Une bosse déformait maintenant mon pantalon. Il fallait absolument que je me calme car je n’allais pas être très présentable en sortant et je mis ma veste en travers de mes jambes afin de cacher mon émoi mais apparemment ce fut peine perdu car Emilie me dit :

- J’ai l’impression que mon style de conduite vous plaît, me dit-elle en accentuant encore ses vas et vient sur le levier de vitesse et en donnant un grand coup d’accélérateur pour doubler une voiture.

- En effet, dis-je en déglutissant….Vous permettez, j’ai un coup de fil à passer pour la suite de notre essai.

J’essayai d’appeler la concession et Rémi en particulier mais je tombai à plusieurs reprises sur sa messagerie. En définitive, je lui laissai un message lui donnant l’adresse du resto et lui disant de faire comme c’était convenu à la base.

Nous arrivons enfin au restaurant. La conduite, la tenue et les gestes équivoques d’Emilie m’avait donné chaud. En sortant de la voiture, je sens ma chemise me coller au dos. Et mon érection toujours bien présente dans mon boxer. J’enfile ma veste et ferme un bouton. On ne pourra pas voir l’auréole que j’ai dans le dos et cela cachera partiellement la bosse qui déforme mon pantalon.

Le portier ouvre la porte du restaurant et nous la suivons, Arthur et moi, jusqu’à notre table qui se situe sur la terrasse intérieur. Nous devons donc traverser toute la salle principale pour nous y rendre et j’ai donc tout le loisir d’admirer à nouveau les courbes et la démarche plus que sensuelle d’Emilie. De nombreuses personnes dont beaucoup d’hommes en rendez-vous d’affaire cessèrent leur discussion sur son passage.

Nous nous installons à une table ronde à l’ombre d’un arbre. Emilie est en face de moi et Arthur sur ma gauche. Nous commençons par l’apéro et d’entrée Emilie nous commande 3 whiskys. Nous parlons de tout et de rien quand Arthur à son tour commande une deuxième tournée. En bon commercial, je ne pouvais refuser. Nous passons alors aux choses sérieuses et discutons des possibilités d’un prochain partenariat. Nous commandons notre repas et une bouteille de rosé bien frais. Ils sont plutôt durs en affaire et plusieurs fois je dois revoir ma copie dans la mesure du possible.

Je vois alors Rémi arrivé. Je m’excuse et me lève pour aller à sa rencontre.

- Salut Rémi. Tu as bien eu mon message apparemment.

- Oui tout à fait. Excuse-moi de ne pas avoir répondu mais j’ai eu une urgence plutôt chaude à traiter et impossible de répondre. Les deux voitures sont devant avec les chauffeurs comme prévue.

- Pas de souci. Ca peut arriver. C’est nickel je te remercie. Voici les clés de l’A6. Elle est sur le parking.

- Ok. Ah au fait….Anne t’embrasse !! Et il s’éclipsa.

Anne ?! Je regarde mon portable mais aucun appel en absence. Je croyais que c’était Alban qui s’occupait de préparer les voitures pour les essais. Il faudra que j’éclaircisse ça. Bon, en même temps, elle l’a peut-être croisé sur le parking….Je retournai vers mes potentiels clients avec une impression un peu bizarre.
Le soleil a tourné au cours du repas. Nous sommes toujours à l’ombre mais plus Emilie. Elle est désormais en plein soleil. Je lui propose ma place mais elle refuse. Elle me dit qu’elle veut parfaire son bronzage malgré le fait qu’elle ait chaud… très chaud. Des gouttes de sueur se sont formées dans son décolleté et certaines s’échappent à l’intérieur. Des petites auréoles se forment sous ses aisselles. Cette sensation de chaleur doit être renforcée par les verres de rosé qu’elle ingurgite pour se désaltérer. Il ne m’en faut pas beaucoup plus pour retrouver une certaine vigueur.

Nos desserts arrivent et la discussion devient plus légère. Emilie a commandé une coupe Colonel. Elle devrait être complètement saoule avec tout ce qu’elle a bu mais elle semble totalement maîtresse de ses paroles. Elle a juste pris de belle couleur et sa robe à quelques peut souffert. Je peux désormais voir de petites auréoles sous ses seins.

Soudain, je sentis quelque chose contre ma jambe, la remontée doucement puis redescendre. Ma future cliente était en train de me faire du pied. Elle le fait tout en discutant avec Arthur. Elle remonte de plus en plus haut. Je déglutis. Son pied aventureux écarte mes jambes et vient se poser sur la chaise, tend ses orteils et du bout caresse la bosse qui déformait mon pantalon. J’essaye de me redresser afin qu’elle ne m’atteigne pas mais elle tape sur l’intérieur de ma cuisse et fronce imperceptiblement les sourcils me faisant comprendre qu’il ne faut pas que je bouge. Je me remets donc en position et avance même un peu ma chaise. Je la vois sourire. Son pied recouvre entièrement mon sexe bandé et le masse doucement. Elle Appui plus fortement à certains moments. Je déglutis et j’ai du mal à me concentrer sur ce que me dit Arthur. Je passe ma main sous la table et viens caresser sa cheville mais elle la retire immédiatement et fronce à nouveau les sourcils. J’ai bien l’impression qu’elle veut me rendre dingue.

Au moment du café, elle relâche enfin la pression. Je serrais de plus en plus les dents car j’étais sur le point d’exploser dans mon boxer. Elle se lève et nous dit :

- Veuillez m’excuser messieurs mais je vais essayer de me refaire une beauté. Avec cette chaleur et ce délicieux petit rosé je suis trempée.

Et passant à côté de moi je l’entends souffler :

- ….de partout !!

Je déglutis et je n’ai qu’une envie. La rejoindre. Mais je ne peux pas planter le directeur financier. Quoique….Non…On verra si j’ai une opportunité dans la voiture.

Emilie revint au bout de 15 min. Elle paraissait en effet un peu plus fraiche même si sa robe n’était pas tout à fait impeccable.

Nous finissons notre café mais le temps que l’addition arrive, son décolleté brillait à nouveau. Nous quittons le restaurant vers 14h et je sors mon joker de ma poche. Deux Audi A8 Limousine nous attendent devant et je leur dis triomphant :

- Voici le vaisseau amiral de notre flotte qui pourrait également être celui de la vôtre et ainsi convenir parfaitement à votre Directeur Général et à vos directeurs de service. Avec un chauffeur, vous pourrez ainsi continuer à travailler le temps des trajets.

- Je vois que vous avez tout prévu, me dit un brin admirative Emilie.

- Je vous invite à prendre place à bord et à découvrir toutes les possibilités que cette merveille renferme.

Les deux chauffeurs ouvrent les portières arrière et Arthur s’engouffre dans la première. Emilie se dirige vers la deuxième. Je vais pour m’installer à l’avant mais Emilie m’interpelle :

- Vous ne voudriez pas monter à mes côtés afin de me montrer les différentes options. Cela serait plus simple que depuis la place de devant.

- La cliente est reine. J’arrive dans un instant. Installez-vous confortablement.

Je me dirige vers les deux chauffeurs et leur donne quelques instructions. La première étant de ne pas se suivre et pour le mien de prendre le chemin des écoliers. Après cela, je retourne à la voiture, ouvre la portière aux vitres sur teintées et m’installe à côté d’Emilie. Son parfum de femme envahit déjà tout l’habitacle et cette odeur me grise. Je la regarde affalé dans le siège en cuir. Sa robe remontant haut sur ses cuisses. Ses doigts caressent le cuir des différents boutons, les sièges. Son décolleté et toujours luisant de sueur. Je ne peux m’en détacher. Elle le remarque. Elle glisse un doigt à l’intérieur de son décolleté et remonte entre ses seins pour me dire :

- Quelle chaleur aujourd’hui !! C’est rare que je transpire autant. Je suis trempée.

Je ne me démonte pas et lui répond :

- Je pense qu’il serait très mal venu de mettre la climatisation. Vous risqueriez d’attraper froid.

- Je suis d’accord avec vous…Tony. Mais allez-y ! Montrez-moi toutes les possibilités qu’offre cette petite merveille.

Le chauffeur démarre tout en douceur. Cette voiture est un vrai tapis volant. Je lui montre la tablette tactile située dans l’accoudoir centrale et commandant les différentes fonctionnalités. Les écrans descendant du plafond, internet, le téléphone, etc…. elle est de plus en plus proche de moi. Je suis de moins en moins concentré. Mon regard va de ses yeux verts émeraude à son décolleté et à ses cuisses. Je n’en peux plus tellement je me sens serré dans mon pantalon. Je commence moi aussi à avoir extrêmement chaud et une goutte de sueur coule le long de ma tempe. Son parfum m’enivre de plus en plus. Elle me demande alors :

- Pouvez-vous me dire ce que commande l’appli séparation ?

- Cela isole le compartiment conduite de notre compartiment. C’est très pratique dans la cas où votre Président aurait un coup de fil très important à passer et qu’il ne veut pas se faire entendre du chauffeur.

- Je vois, je vois…dit-elle pensive.

Elle me fixe alors droit dans les yeux, me fit un petit sourire et sans regarder la tablette pose son doigt sur l’appli et la séparation entre les deux compartiments remonte.

- Nous serons ainsi plus à l’aise et à l’abri des yeux et oreilles indiscrètes pour finaliser notre négociation. Mais avant je trouve qu’il fait vraiment très chaud dans cette voiture.

Et tout en disant cela, elle commence par défaire sa large ceinture de cuire. Je n’en peux plus. Je relève l’accoudoir central, me rapproche d’elle. Elle se place dans l’angle de la banquette et je vois sa poitrine se soulever au rythme de sa respiration qui s’accélère. Elle soulève une jambe qu’elle place contre le dossier tandis que l’autre reste à terre. Ainsi, les jambes écartées, sa robe remonte jusque sur sa taille découvrant ainsi un string totalement transparent et complètement trempée par sa mouille. Elle me regarde les yeux plein d’envie, le regard presque carnassier, attrape ma chemise et m’attire à elle. Nos bouches se soudent l’une à l’autre, nos langues s’entremêlent fougueusement, fiévreusement. Ses mains enlèvent ma chemise de mon pantalon et passent pour venir caresser mon torse, pincer mes tétons. Mes mains caressent ses cuisses, reviennent sur l’intérieur, effleurent ses lèvres mais sans les toucher. Puis je remonte le long de ses flancs et tire sur le zip qui maintient encore sa robe. Ses doigts déboutonnent ma chemise avec une dextérité incroyable. Torse nu, elle caresse mes pectoraux. Je me décolle de ses lèvres et fait glisser sa robe le long de son corps pour la faire passer par-dessus sa tête.

Je découvre alors son corps presque nu, portant juste son string et un soutif blanc sans bretelle s’ouvrant sur le devant. Elle défait l’attache et ses seins lourds m’apparaissent. En leur centre, de larges aréoles rosées et deux petits tétons pointant de façon arrogante. Son corps m’excitait, ses seins m’excitaient, ses cuisses écartées de façon obscène m’excitaient et par-dessus tout, son odeur de femme me rendait dingue. Je pris ses seins en main pour les caresser, les pincer. Ma bouche fondit sur ses pointes dardées pour les titiller, les sucer, les mordiller. Ses soupirs se transformèrent en gémissement. Je glissai entre ses seins pour laper les gouttes de sueur qui coulaient. Une main pinçait, étirait son téton pendant que l’autre se posa sur son sexe trempé. J’écartai son string pour lui introduire un puis deux doigts dans sa chatte dégoulinante et entamai de rapide va et vient. Mon pouce débusqua son clitoris et l’agaça. Elle gémissait de plus en plus fort. Ses mains dans mes cheveux, je la sentis appuyer sur ma tête afin que ma langue s’occupe de son volcan en éruption.

Je me redressai, me saisit de son string et le lui arrachai. Un cri lui échappa. J’avais l’impression de voir des flammes dans ses yeux. Je m’approchai de son clito, le décapuchonna et lui aspira pendant que je continuais à la masturber de plus en plus rapidement. Elle haletait, me disait des mots de plus en plus grossiers et obscènes. Je retirai mes doigts pour la fouiller avec ma langue. Sa cyprine coulait sur son périnée jusque sur son petit trou. Ma langue descendit et vint le titiller. Il était d’une souplesse incroyable. J’en profitai pour lui introduire un puis deux doigts en même temps dans sa fente et sa grotte. Elle balançait sa tête de gauche à droite, ses cheveux collés par la sueur. Soudain, elle cria plus fort et un jet de cyprine m’inonda le visage. Emilie était une femme fontaine. Cela me rendit fou. Je me redressai, défis mon pantalon et le baissai en même temps que mon boxer. Je pris mon sexe dur comme jamais en main et le frappa contre son clito à plusieurs reprises avant de la pénétrer d’une traite jusqu’à la garde avant de la pilonner avec force. Elle n’arrêtait plus crier et de jouir, se pinçant et s’étirant autant qu’elle le pouvait ses mamelons. Mais j’en voulais encore plus. Je me retirai et la positionnai en levrette, totalement cambrée et la tête posé sur le cuir du siège. Je lui écartai les fesses, présentai ma queue à l’entrée de son petit trou et la pénétrai d’un grand coup de rein ce qui lui coupa la respiration. Mes cuisses claquèrent contre ses fesses. Elle reprit son souffle et me demanda de la défoncer. Je ne me fis pas prier. Je coulissai en elle avec force et vigueur. Elle glissa une main entre ses cuisses et se masturba le clito au même rythme que je la défonçai. Je n’allai plus tenir bien longtemps. Elle jouit une dernière fois dans un long râle de plaisir et un long jet de cyprine. Cette vision eue raison de mes dernières résistances. Je me retirai et déversai de longs jets de sperme sur ses fesses et son dos également dans un long râle rauque.

Nous nous affalons de tout notre long sur la banquette. Moi, contre le dossier et elle devant moi. Nous reprenons lentement nos esprits et notre respiration. L’habitacle sent à plein nez le sexe et la sueur. Après quelques minutes, je caressai sa hanche et elle me dit :

- C’est la plus belle conclusion de contrat de ma carrière. Vous m’avez fait jouir comme jamais. Je ne savais même pas que j’étais une fontaine. C’est puissant, intense comme sensation. Merci, Tony.

- Je crois que nous pouvons nous tutoyer maintenant. Tu étais divine madame la responsable du parc automobile. Mais J’ai bien compris pour le contrat ?

- A ton avis ? J’ai bien l’intention de renégocier les termes du contrat le plus souvent possible.

- Madame est gourmande !! Mais tu sais que j’ai quelqu’un dans ma vie ?

- Emmène là la prochaine fois !!

- Il y a de forte chance que tu lui plaises en effet. Bon par contre, on ne peut pas sortir dans cet état. On n’est absolument pas présentable.

- On va allez chez moi prendre une bonne douche. J’habite à deux pâtés de maison du siège. Descend un peu la séparation pour que je donne l’adresse au chauffeur.

- Mais je n’ai pas de rechange. Je ferai un stop chez moi plutôt.

- Je dois avoir une chemise à ta taille dans mon armoire. Mon ex est parti en laissant certaines affaires. Et il faut que je te remercie du plaisir que tu m’as donné. Me dit-elle en passant sa main entre nos deux corps moites et venant caresser ma verge.

Je risquais d’être en retard pour mon prochain rendez-vous. Il faudra que j’appelle pour prévenir.

Je baisse donc un peu la séparation et Emilie donne l’adresse au chauffeur.
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