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Chambre d'hôtel

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Lue : 2924 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 02/09/2019

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Chaque année, trois ou quatre fois par an, je viens faire un stage au Centre de Formation des Professions Territoriales. Je suis secrétaire de mairie, et on a malheureusement, ou heureusement peut-être, besoin de se recycler. Lois et règlements évoluent constamment.

Des stages de deux, voire trois jours. C’est l’occasion de sortir de ma routine, de rencontrer des collègues, mais aussi de me rendre dans la métropole locale, riche de sa variété. Le Centre est un bâtiment vieillissant, construit dans les années 80, fait d’une infinité de blocs à un étage qui s’étalent sur un vaste terrain, avec pas mal d’espaces verts. Il est situé à la sortie d’un rond point dans la grande banlieue de T … et à l’entrée de la courte bretelle qui y conduit, on trouve un hôtel dans lequel je séjourne quand je viens. Un hôtel de gamme moyenne avec des prix réduits, mais une ambiance agréable. On y mange bien, les chambres sont simples, mais on s’y sent bien, je connais quasiment tout le monde… Quand j’appelle pour réserver, on sait qui je suis, on me reconnait et me salue quand j’arrive, quand je vais manger, et le personnel s’efforce de me faire plaisir. Le soir, après le déjeuner, je m’attarde au bar, je discute avec le barman, il me raconte sa vie, moi la mienne, et il m’offre pas mal de verres. Même si je fais attention à ne jamais me saouler.
Il est dix heures du soir, je pars du bar, je vais me coucher. Je suis arrivé le soir même et demain j’ai une dure journée à ingurgiter des informations, alors je préfère me coucher relativement tôt.
Je pose la main droite sur la poignée de la porte de ma chambre, alors que je m’apprête à faire passer le badge sur la partie qui le reconnait. Très curieusement, la poignée tourne. Curieux..Je me souviens pourtant d’avoir fermé. Alors je me glisse à l’intérieur.
Je dépasse l’entrée pour pénétrer dans la chambre proprement dite.
Elle a changé depuis la dernière fois où je l’ai vue en un point.
Il y a quelqu’un sur le lit.
Une femme. Très belle, je le constate dès mon premier regard sur elle. J’estimerais qu’elle est dans un début de quarantaine. Elle est grande et fine, même si elle a des formes bien marquées, en particulier une poitrine haute et ferme. Elle est allongée sur le lit, bien calée contre des oreillers. Elle a des cheveux blonds coupés courts, un visage allongé, bien dessiné, de grands yeux noisette et une jolie bouche. Elle a défait un chemisier noir, ouvert sur son torse, et sorti ses seins d’un soutien-gorge, également noir. Elle a remonté sa jupe à sa taille, la roulant, et descendu ce qui constituait apparemment son seul sous-vêtement, un collant, au milieu de ses cuisses. Elle a de belles jambes, très longues.
Elle se masturbe avec vigueur, et elle ne me perçoit pas immédiatement. Elle a les yeux mi-clos, concentrée sur son monde intérieur et son plaisir. Elle tient à la main un gros vibromasseur rose, dont j’entends le bourdonnement, et qui semble lui procurer du plaisir.
Elle se rend compte de ma présence au moment où elle a un orgasme. Elle ouvre les yeux, et me regarde, surprise, mais en même temps, elle jouit, son corps secoué par des tremblements. Son regard se révulse, et elle gémit. C’est tout drôle de voir ainsi deux actions totalement différentes se superposer.
L’orgasme passe, son corps se détend. Froide, elle me jette :
—Qu’est-ce que vous faites dans ma chambre ?
—Je crois que c’est plutôt MA chambre, je lui réponds.
—Ca m’étonnerait, je connais le numéro de ma chambre, c’est la 24.
—C’est très curieux, la mienne aussi porte ce numéro.
C’est assez drôle de discuter comme ça, elle allongée sur le lit, aux trois-quarts nue, et moi habillé.
—Très bien, on va aller à la réception tirer les choses au clair.
Elle sort le gode d’entre ses lèvres, puis remonte son collant. Celui-ci est transparent et ne masque pas son ventre. Elle remet son soutien-gorge en place, descend la jupe, reboutonne le chemisier, Elle glisse hors du lit. Elle est effectivement très grande. Bien sûr, ses chaussures avec des talons qui doivent faire 8 centimètres l’aident, qui allongent encore ses jambes et cambrent sa silhouette. C’est certain, elle est vraiment magnifique. Le genre de fille sur laquelle n’importe quel homme, à moins qu’il ne soit aveugle, se retourne.
On part ensemble vers la réception. Je me dis que j’aimerais bien la garder dans la chambre, ou rester dans la chambre, même si l’un d’entre nous va forcément devoir partir.
Plusieurs personnes se succèdent à la réception. Charles est là, qui parcourt un magazine.
—On a un petit problème.
Le dit problème est vite résolu. Il a effectivement attribué deux fois par erreur la même chambre. Ca semble impossible, mais pourtant, c’est bien ce qui s’est passé.
—Je vais vous laisser la chambre, je dis.
—Pas de problème, me rassure Charles. La 25 est libre.
—Je vais déménager, et je vous laisse la chambre, je dis à la jeune femme, une fois que j’ai le badge de la 25.
On repart pour la chambre. Je récupère les deux sacs que j’avais glissés dans la penderie. Elle, elle avait laissé ses affaires à l’extérieur, dans ma chambre, c’est pour cela qu’elle n’a eu conscience de rien.
—Je vous souhaite une bonne soirée, je dis, alors qu’une image s’impose à moi, je la vois se remettre sur le lit, et continuer de jouer avec son gode.
Je suis près de la porte quand elle m’interpelle.
—Attendez !
Je me retourne.
—Je tiens à m’excuser. Je n’ai pas été très aimable. Vous n’avez rien à vous reprocher. Ca vous dit si je vous offre un verre pour me faire pardonner ?
Je me dis que les codes sont renversés. Mais c’est bien ainsi. Je me trouve ainsi à revenir au bar. Jean me fait un clin d’œil quand il voit que je suis en agréable compagnie.
—C’est la première fois que vous venez, je demande à la jeune femme.
—Oui, et au fait, je m’appelle Olivia.
—Jim. Jean que vous voyez a énormément de talent, et il a inventé des cocktails. Il a d’ailleurs eu des prix. Ca vous dit d’en essayer un ?
Elle est d’accord. On s’installe à une table. On est les seuls au bar.
Petit à petit, on se dévoile l’un à l’autre. Elle est représentante de commerce, elle travaille pour une marque de prêt à porter. Je lui parle de mon travail, de la raison pour laquelle je suis ici.
Au bout d’un moment, elle croit nécessaire de justifier ses actes.
—Je me caressais, parce que… Ca me détend après une longue journée de travail et de stress.
—Je n’ai aucun jugement. Ca m’arrive aussi, plus souvent qu’à mon tour.
Un moment est passé, on a senti qu’on s’entendait plutôt bien, quand elle me dit :
—Il y a des choses qui sont plus agréables quand on les fait à deux que tout seul, non ?
On revient dans la chambre 24, mais cette fois, je ne suis pas un intrus. Ca bascule très vite. Je me rends compte que je suis en pleine érection. Elle a envie de sexe, et moi aussi. Elle se laisse glisser sur le lit, et elle attrape ma queue dans mon pantalon. Elle la regarde comme si elle avait trouvé un trésor, et elle porte sa bouche dessus. Elle la suce avec une certaine avidité. Mon ventre s’embrase.
J’ai envie de lui rendre la pareille, et cinq minutes plus tard, le sexe congestionné, je tombe à genoux. Elle se penche en arrière et se soulève pour me faciliter la manœuvre. Je passe les index dans le bord de son collant et je descends celui-ci. L’odeur de ses sécrétions vaginales, signe de son excitation me monte aux narines. Ses chairs intimes sont luisantes, et cette fois, ce n’est pas parce qu’elle a un vibro entre les lèvres. Lèvres sur lesquelles je viens, Je les parcours de ma langue. Ses jus coulent dans ma bouche. Je n’imaginais pas que je passerais la soirée ainsi. J’aurais déjà du être au lit. Je me dis que parfois, le Destin peut être positif, vous allez vers le bonheur et des routes que vous ne pensiez pas prendre.
—Regarde, j’ai des capotes dans mon sac. Mets-en une et viens dans mon ventre. J’ai envie de te sentir dedans.
J’obéis, trouve une boite de capotes dans le sac. J’en récupère une dont je me gaine. La queue emballée, je viens jusqu’à elle. Elle s’offre, jambes écartées. Je rentre en elle, envahi par la sensation de son sexe autour de moi, chaud et doux. Son visage exprime une félicité sans pareil, mais c’est vrai que pour moi aussi, c’est très bon. Je me dégage, je viens me poser sur le lit, elle s’assied pour moi. On enchaine plusieurs positions avant qu’elle ne se mette à jouir. Elle jouit à nouveau quand mon sperme jaillit dans la capote.
On s’endort dans les bras l’un de l’autre. Quand je me réveille le lendemain matin, elle est encore endormie, mais s’est dégagée. Je regagne ma chambre, prend une douche, puis le petit déjeuner. J’aurais bien aimé qu’on le prenne ensemble, mais ca ne sera pas le cas.
Je passe la journée au centre, en formation, en pensant à elle, à ce qui s’est passé entre nous. Ce moment aussi extraordinaire que bon.
Quand je reviens, je demande au réceptionniste si elle est toujours là, mais elle s’est envolée. Dommage… Mais qu’aurais-je pu espérer, sinon une deuxième nuit ? Là où elle habite, je ne sais même pas où, elle doit être mariée.
Je finis le stage, je rentre chez moi.
C’est trois semaines plus tard, je viens de rentrer à la maison après ma journée de travail, qu’on sonne.
Il est 18 heures. Je vais ouvrir.
Ce que j’aperçois en premier, ce sont des cuissardes. Elles sont pourpre, dans une matière qui ressemble à du velours. Mes yeux remontent. Je vois des cuisses gainées du nylon d’un collant, une jupe très courte, un blouson, une chemise dessous, et plus haut encore un joli visage, ainsi qu’un ravissant sourire.
—Il me semble que nous nous connaissons, je lui dis.
—J’ai demandé au réceptionniste ton adresse avant de partir. Il n’a pas refusé, parce qu’il a compris qu’il y avait quelque chose entre nous. Je suis sur le département pour cinq jours. Tu me laisses rentrer ?
Je me suis écarté et je l’ai laissée rentrer, avec la certitude qu’on allait passer une soirée agréable.
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Histoire de JamesB

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