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Changement de cap

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Lue : 1212 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/12/2020

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Le patron les avait vus descendre de la voiture et avancer vers lui. Un jeune couple, dans la trentaine. Ils étaient vraiment très beaux, c’était la première chose qui sautait aux yeux quand on les voyait. Alors bien sûr, la beauté c’est quelque chose de difficilement précisable, chacun en a sa définition, mais sans doute que tous ceux qui auraient croisé leur route aurait été d’accord pour reconnaitre cela: Oui, ils étaient beaux. L’homme avec un visage que la nature avait bien dessiné, et un corps sculpté par la musculation…La fille, elle resplendissait d’une beauté sans apprêts, grande, brune, avec un corps bien formé. Elle aurait pu être mannequin. Elle l’était peut-être.
Ce qui le frappait aussi, c’était de voir la tension qui existait entre eux. Elle était là, nettement visible, perceptible dans la manière dont ils se tenaient l’un par rapport à l’autre, dont ils se regardaient, fuyant le regard de l’autre à peine l’avaient-ils accroché. Il y avait eu un orage entre eux il y avait peu, et les choses ne s’étaient pas calmées.
Il les vit arriver vers lui.
—Bonjour, dit l’homme, d’une voix qui se voulait posée, mais qui se faisait l’écho des tensions les plus récentes. On voudrait une chambre pour deux.
—Un lit ou deux lits séparés?
En son for intérieur, il se dit que ce serait peut-être une solution pour le couple de ne pas dormir ensemble. Une manière de calmer les choses. Mais l’homme, après avoir regardé la jeune femme qui l’ignorait sciemment, dit:
—Non, non, on partagera le même lit.
Ils s’engagèrent dans les formalités. Le nom, payer, le numéro de la chambre et quelques indications.
—Vous pouvez manger ce soir à partir de 18 heures 30, jusqu’à 22 heures 30. Si vous sortez, le code du portail, qui sera fermé à partir de 20 heures, c’est 1234. Demain, petit déjeuner à partir de 6 heures jusqu’à 10 heures.
Tout était dit. Il regarda le couple s’éloigner. Il approchait de la soixantaine, sa femme était partie il y avait dix ans de ça avec un homme plus jeune, plus beau que lui, et plus fortuné. Depuis, il avait recours régulièrement à des prostituées qui lui permettaient d’assouvir son besoin régulier de sexe en payant, et sans subir les contrecoups d’une relation affective. Car d’affection, il n’y en a pas entre une prostituée et son client.
La chambre correspondait à ce que l’on pouvait attendre d’une chambre d’hôtel dans un établissement deux étoiles. Elle était propre, totalement impersonnelle, avec un grand lit recouvert d’un couvre-lit pourpre. Il y avait la télévision, un grand placard, une salle de bains attenante. La baie vitrée donnait sur le parking, et au-delà, sur des champs.
Ils posèrent leurs sacs. Elle le regarda. Elle le sentait bien, la tension commençait à retomber. Ces derniers temps, ils ne cessaient de se disputer, pour n’importe quel prétexte. C’était peut-être le signe qu’ils auraient du se séparer. Pourtant, il y avait quelque chose qui les retenait ensemble. Non, pas mal de choses en fait. Le fait qu’ils se vouaient une profonde affection, parce qu’ils se connaissaient depuis longtemps, avant même que leur relation n’évolue, et puis quelque chose de très physique, un désir de l’un pour l’autre, et ça fonctionnait dans les deux sens.
La ravissante brune s’approcha de lui. Généralement les disputes finissaient quasi toujours de la même manière. Ca leur donnait envie de faire l’amour. Une envie très forte.
Elle tendit sa main vers son sexe. Sans surprise, il était tout dur. Mais elle ne valait pas mieux, elle sentait que son sexe s’était ouvert, et qu’il avait déjà eu le temps de tremper largement son slip.
—Tu veux que…?
Elle lui posait la question au cas où il se serait rebellé, mais elle imaginait mal qu’il puisse dire non. Dans de tels moments, ils avaient trop envie l’un et l’autre.
Elle défit son pantalon et alla pécher sa queue dans son caleçon. Voir sa queue surgir à l’air libre, longue et bien décalottée,la sentir dans sa main, chaude et dure, lui fit lâcher un long jet de mouille. Comment aurait-elle pu se passer de ça? Elle ne l’imaginait pas. Elle craignait qu’un jour il n’y ait la dispute de trop. Elle était trop dépendante. Mais elle savait que ça fonctionnait dans les deux sens. Lui aussi était très accroché à elle.
Il gémit alors qu’elle le masturbait doucement, et son liquide pré-sécrétif se mit à suinter de son méat.
—Tu as envie qu’on aille plus loin, ou tu veux qu’on arrête là, lui demanda-t-elle, avec la volonté de le tourmenter. Elle se voyait bien, même si elle n’en avait pas vraiment envie, le planter là, histoire de lui donner une leçon.
—Tu sais très bien ce que je pense. Et tu en as envie toi aussi.
—Ca c’est que tu penses…
Une manière de lui faire comprendre qu’il existait encore de la tension entre eux, que, contrairement à ce qu’il pouvait penser, elle ne céderait pas si facilement à lui. Même si elle avait très envie.
Elle attendit encore avant de se pencher sur lui.
Mais elle avait vraiment envie de sa queue. Elle vint promener sa langue dessus, tournant sur sa chair. Il gémit, sa queue se dilatant, et coulant. Elle lapa le liquide amer. Elle avait envie de boire ce nectar précieux, sans en laisser perdre une seule goutte.
Il arrivait un moment, le miracle du sexe, où la querelle se dissolvait totalement dans l’envie qu’ils avaient l’un de l’autre. Une manière de remettre les pendules à zéro. Même s’ils savaient, au fond d’eux-mêmes que, malheureusement, la prochaine dispute n’était pas loin. Demain, après demain ça reviendrait, dans un cycle qu’ils auraient aimé casser.
Pour l’heure, ils avaient envie l’un et l’autre du corps de l’autre. Et de plaisir.
Quand sa tige fut aussi longue et épaisse qu’elle pouvait en rêver, elle se redressa. Il ne la quittait pas du regard. Elle savait qu’il la désirait intensément. Elle avait au moins une certitude, mais il était vrai que leurs disputes ne tournaient pas autour de ça, il n’allait pas voir ailleurs. Elle non plus elle n’allait pas voir ailleurs. Même si ces derniers temps, elle se surprenait à regarder d’autres hommes.
Elle se redressa et défit le bouton qui tenait son pantalon de coton blanc à sa taille, pour le descendre le long de ses jambes. Dessous, elle avait une culotte blanche sans coutures, qui suivit le même chemin. Il redécouvrait son corps quand elle se déshabillait, comme si ça avait été la première fois. Ses hanches de femme, le léger bombement de son ventre, en partie masqué par son T-shirt, le pubis orné par une toison qu’elle taillait au rasoir, il l’avait déjà vue faire, et il se masturbait, quand elle n’était pas là en pensant à cette image, et à des centaines d’autres, son sexe qui était entrouvert, ses lèvres sorties d’elle, sa chair luisante du jus d’excitation qui coulait d’elle.
Elle glissa sur le lit à quatre pattes, pour qu’il vienne se ficher en elle. elle adorait qu’il la prenne ainsi. Dans toutes les positions, sa queue caressait ses muqueuses internes de la façon la plus délicieuse qui soit, mais là, ce qu’elle adorait, c’était cette impression que sa queue s’enfonçait de plus en plus profondément en elle, jusqu’à la remplir totalement, et ça, c’était irremplaçable.
Elle lui jeta un regard qui signifiait, d’une manière non équivoque, tout son désir. Aiguillonné, autant par sa position que par ce qu’elle lui disait, des yeux, il s’approcha, sa verge congestionnée. Il vint poser son gland contre ses lèvres, et la frotta quelques instants, avant de glisser en elle, jusqu’à ce que son gland vienne buter contre son utérus. Elle poussa un petit gémissement de contentement. De tels moments effaçaient tout le reste.
Il se mit à bouger en elle, et elle retrouva ce basculement vers cette partie, purement fantasmagorique, où il allait et venait en elle, creusant sa chair comme il aurait creusé un tunnel, et remontait haut en elle, l’habitant de son membre épais, et la faisant arriver vers le plaisir. Complément indispensable, elle amena ses doigts vers son clitoris, et le trouva tout gonflé, sous sa calotte de peau. C’était le meilleur signe qu’elle montait vers le plaisir. Elle se frotta, et sentit un premier orgasme arriver, bientôt suivi par un autre. Le troisième, le plus fort, explosa en elle quand son mari jouit, et qu’il commença à cracher des jets de sperme copieux, comme toujours, dans son vagin, la violence des jets contre ses muqueuses vaginales décuplant ses sensations.
Le patron était occupé à inscrire des clients qui l’avaient appelé pour réserver pour les jours à venir, lorsqu’il vit le couple redescendre. L’un comme l’autre, ils s’étaient changés. L’homme avait opté pour un jean et une chemise rouge, la fille, elle, avait choisi une robe rouge, longue, dans laquelle elle resplendissait. Il sentit sa queue se durcir. Il y avait de jolies femmes dans les prostituées qu’il fréquentait, mais sans doute aucune qui le soit autant qu’elle. Elle avait une grâce et une sensualité comme il n’avait pas souvent vu. Mais comment aurait-elle regardé un homme comme lui, chauve, obèse, plus très beau? Pour avoir des femmes, il lui fallait payer. D’autant qu’elle semblait s’être réconciliée avec son mari.
—Il faut que je retourne aux toilettes, attends-moi.
Le mari s’approche du comptoir.
—Vous êtes originaire de Tchétchénie, non?
Le patron fut tout surpris.
—Oui.
—J’ai reconnu votre léger accent. Je travaille pour une boite d’import-export, et j’ai passé cinq ans là bas…Je comprends un peu la langue, mais j’ai surtout parlé Anglais…Vous êtes parti de la-bas? Le conflit?
—J’ai perdu ma femme et mes deux enfants…J’ai pas envie de retourner là-bas…Je suis bien ici. Et puis j’ai des amis ici…Tiens, il y a deux chauffeurs routiers qui viennent ici deux ou trois fois par semaine. Ils livrent dans le coin. On passe nos soirées ensemble…On boit, on parle du pays. Ils ont leur chambre réservée.
Sa femme revenant, il s’éclipsa.
Le couple fut de retour sur le coup de 23 heures. Il y avait eu de nouveau une crise, et ils avaient retrouvé la même attitude qu’à leur arrivée, mais en pire. La jeune femme tremblait de colère.
Le dîner s’était pourtant bien passé, mais après, ils étaient partis marcher en ville, il y avait une soirée braderie, et la jeune femme avait craqué pour des vêtements. Ils sortaient du magasin lorsque son mari lui avait fait remarquer que, ces derniers temps, ils dépensaient beaucoup d’argent. La dispute avait été inévitable.
Il n’y avait personne à la réception.
Ce fut en montant à leur chambre qu’ils aperçurent les trois hommes, à l’autre bout du couloir. Ils étaient assis dans la coursive qui longeait le bâtiment, avec des bières, et ils discutaient, en tchétchène.
Ils pénétrèrent dans leur chambre. Il s’approcha d’elle, et posa ses mains sur ses hanches.
—Pas ce soir, lui jeta-t-elle en se retournant. Tu me laisses tranquille! Tu prends ton côté du lit, et tu dors!
Il ne répliqua pas. Il passa dans la salle de bains, et fit quelques ablutions avant de passer un pyjama. Quand il en ressortit, elle était sur la terrasse, et elle fumait. Elle fumait rarement, sauf quand elle était contrariée. Ce n’était pas très bon signe.
Vaincu, il se glissa entre les draps. Comme ils avaient conduit une partie de la journée, il ne tarda pas à s’endormir.
Tirant une dernière bouffée de sa cigarette, la jeune femme rentra. 
 Elle regarda son mari. Elle n’avait pas envie de s’allonger près de lui. Pas envie non plus de dormir, encore en colère contre une attitude que lui-même avait reconnu être déplacée.
Ce fut alors qu’elle pensa aux trois hommes.
Ce serait un bon moyen d’avoir du plaisir, et de se venger de lui. Cette fois, il avait nettement dépassé les bornes. Elle allait le lui faire payer.
Il était pas loin de minuit lorsque les trois hommes la virent apparaitre dans le couloir. Cela faisait un bon moment déjà, dans une soirée qui s’éternisait, qu’ils étaient là. Se retrouver leur réchauffait le coeur. Tous trois venaient du même pays, ce pays dont ils ne parlaient pas. Ils avaient dans la tête et devant les yeux des images atroces qu’ils s’efforçaient d’oublier, mais n’oublieraient jamais. Ils savaient la chance qu’ils avaient d’être ici, encore vivants.
Ils se demandèrent d’abord si l’image qui s’inscrivait devant leurs yeux étaient due à l’ivresse, ou si elle était bien réelle.
Le patron reconnut la jeune femme qui occupait la chambre tout au bout.
Elle avait délaissé sa robe de soirée pour une tenue nettement plus légère. Une nuisette qui lui arrivait à mi cuisse, couleur marron glacé, qui collait à ses formes. Elle était vraiment magnifique. Pour eux dont la sexualité était misérable, voir une aussi jolie femme venir vers eux était quelque chose d’inespéré. D’ailleurs, même si elle avait l’air déterminée, cela ne signifiait pas grand chose…
Consciente qu’elle ne maitrisait pas vraiment le tchétchène, elle s’adressa à eux en Anglais.
—Vous avez envie de sexe, messieurs?
Elle n’attendit même pas de réponse. Elle s’accroupit, leur laissant voir son sexe, nu, un spectacle qui les fascina comme il aurait fasciné tout homme. La position ouvrait son sexe, laissant voir ses lèvres qui en sortaient et ses muqueuses toutes roses. Pour eux comme pour tout homme, il n’y avait rien de plus fascinant qu’un sexe de fille.
La femme tendit la main vers l’un des pantalons, et le défit pour mettre la queue de l’homme à nu. Il bandait à moitié. Elle le massa doucement pour le faire durcir. Les Tchétchènes avaient-ils de plus belles queues que les autres? En tout cas, sa queue érigée était de belles dimensions.
En même temps qu’elle masturbait le premier homme, elle attrapa une deuxième queue, celle de l’hôtelier, qui se dit en son for intérieur, que parfois, les rêves les plus fous que l’on pouvait avoir devenaient vrai. A moins qu’il ne soit totalement ivre, et qu’il s’agisse d’une hallucination. Elle attrapa sa queue, gorgée de sang, très épaisse, et le masturba un moment, avant de mettre la troisième queue à nu, et de la caresser, en tournant.
Le patron avait fait installer un distributeur de préservatifs dans l’entrée, et un autre dans le couloir, bien conscient que pas mal des couples qui venaient chez lui étaient des couples illégitimes, et que c’était leur rendre service que leur proposer ainsi des préservatifs. La jeune femme en avait récupéré un paquet et elle entreprit de les gainer, l’un après l’autre, de latex, rendant ainsi tout possible. Sans hésitation, elle vint attraper la queue de l’homme situé le plus à gauche, et elle se laissa glisser dessus, éprouvant un réel plaisir à sentir un sexe qui n’était pas celui de son mari rentrer en elle. C’était bon que les choses soient différentes.
Tout le temps qu’ils restèrent ensemble, les choses se firent instinctivement, automatiques, sans qu’il soit besoin de prononcer la moindre parole. Les deux autres hommes se redressèrent, et, alors qu’elle se faisait monter et descendre sur le sexe dilaté, vinrent lui proposer leur verge en pleine érection. Elle joua avec de la bouche et de la main, tournant sur leurs queues dilatées, leurs couilles gonflées, venant sur leurs glands congestionnés et suintants. L’un des hommes, incapable de maitriser sa jouissance, cracha des jets de sperme dans le réservoir du préservatif. Il ne débanda même pas, signe sans doute d’un désir pas assouvi. Il se gaina d’un autre préservatif, tandis qu’elle récupérait le premier, et qu’elle lapait le sperme au fond, délaissant un instant les deux queues qui dodelinaient devant elle.
Elle se détacha du premier homme. Elle avait envie de plus. Ce soir, même si ce n’était qu’une seule fois, tout était possible.
Elle appuya sur les hanches du restaurateur pour que ce dernier s’allonge. Elle savait exactement ce dont elle avait envie à présent. Son mari l’avait souvent incitée à regarder des pornos…Au début, elle n’avait pas vraiment envie, puis elle avait été fascinée par ce qu’elle voyait.
Des schémas s’inscrivaient dans sa tête, comme autant de possibilités. Le moment était venu de mettre certains de ces schémas en oeuvre.
Elle se laissa descendre sur l’hôtelier, attrapant sa queue, qu’elle sentit bien longue et bien épaisse dans sa main. Ce soir, elle avait envie de queues. Mais pas de la queue de son mari. Elle la guida vers sa muqueuse anale. Elle sentit la surprise de son partenaire qui ne s’attendait pas à pouvoir la sodomiser. Il ne connaissait pas son passé, bien sûr, ne savait pas qu’elle avait démarré en se faisant prendre par les fesses, il y avait pas mal de temps de cela. A l’époque, elle avait un petit ami qui aimait énormément le sexe,ou du moins l’idée qu’il s’en faisait et qui voulait à tout prix faire l’amour avec elle. Elle ne voulait pas le perdre, et, en même temps, elle était obnubilée par l’idée de tomber enceinte, elle savait que ça pouvait arriver même avec capote et pilule. Alors elle avait trouvé une solution qui lui avait largement convenu, il n’avait plus jamais réclamé de faire autrement. Elle s’était dilatée discrètement, et avait enduit sa queue d’un lubrifiant. Il y avait eu une légère douleur la première fois, mais sa queue avait glissé en elle avec aisance, et elle avait été surprise, alors qu’elle ne s’y attendait pas, d’éprouver un tel plaisir. De telle sorte que, quand ils se revoyaient, ça dérivait très vite vers une pénétration anale, qu’elle s’était mise à adorer, donc elle ne se forçait en rien. Et depuis…Elle avait continué avec ses autres partenaires…De telle sorte que sa muqueuse était très souple…Aussi l’hôtelier fut-il non seulement surpris qu’elle pose son gland contre ses plissements anaux mais aussi de pouvoir rentrer en elle aussi facilement. Elle le fit glisser en elle jusqu’à être totalement remplie…Elle avait la sensation curieuse de revenir loin en arrière, de retrouver l’adolescente qu’elle avait été, qui avait multiplié les partenaires…Elle était restée fidèle toutes ces années…Ce ne serait sans doute plus le cas à l’avenir. S’il y avait un avenir pour eux.
Le restaurateur l’attrapa par les hanches et la fit monter et descendre sur sa queue, serrée par le canal étroit. Il poussa un grognement.
Elle fit signe à l’un des deux hommes. Ils se masturbaient en regardant. Il s’approcha. Elle le guida vers son sexe. Son vagin était bien ouvert, et il glissa en elle sans plus de difficultés qu’avait pu en avoir l’hôtelier pour la prendre par le canal anal.
Avoir ces deux queues en elle, c’était quelque chose de nouveau. D’intense. Elle se sentait pleine, et comblée, avec ces deux hommes qui avaient trouvé terrain d’entente, et la fouillaient successivement, l’un et l’autre. Le dernier attendait en frottant son membre. Son partenaire lui laissa la place et il la pénétra à son tour.
Ca n’était que le début, et dans une sarabande qui se figeait quelques instants avant de reprendre, ils se succédèrent en elle, jusqu’à ce que l’une des jouissances déclenche les autres…Le sperme jaillit dans les préservatifs, venant taper contre ses muqueuses, et la faisant tressauter, en enchainant plusieurs orgasmes, ce qui ne lui était pas arrivé depuis très longtemps. Elle arracha les préservatifs pour laper le sperme.
Le groupe, encore groggy de ce qui venait de se passer, se sépara. Les hommes ne revenaient pas qu’ils aient pu faire l’amour avec une si belle femme, qu’elle ait pu ainsi s’offrir à eux, de manière aussi intime.
Le jeune couple devait repartir le lendemain. L’homme trouva sa femme apaisée le matin. Il ne fut pas question de la dispute de la veille. Elle passa sous la douche, se maquilla. Il séjourna moins longtemps qu’elle dans la salle de bains. Ils descendirent prendre leur petit déjeuner avant de repartir. L’hôtelier était là, qui les salua. Lui et la jeune femme échangèrent un long regard complice que le mari ne remarqua même pas.
Elle le savait maintenant, ce moment avec les trois Tchéchènes l’en avait définitivement convaincue, quand les vacances seraient finies, elle reprendrait sa liberté. Le temps passait vite, elle voulait profiter de sa jeunesse, de son corps, et des plaisirs du sexe sans conflits permanents.
Pendant tout le trajet, et jusqu’à l’arrivée, elle repensa à ce moment si intense.
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Histoire de JamesB

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