Ils ont partouzés mon épouse

Vous savez comment se passe un mariage. Personne ne veut que les jeunes mariés ne quittent la fête, et ce malgré la fin de la traditionnelle jarretière. Mais vers quatre heures du matin, on parvient à s’échapper.
Dans une des salles du centre culturel, gracieusement prêtée par la municipalité, Audrey, ma jeune épouse de vingt quatre ans, parvient à troquer sa robe de mariée, contre une tenue beaucoup plus sobre.
Jupe ultra courte, et petit haut. Sur mes recommandations, elle ne porte pas de culotte. J’avais prévu, pendant le trajet, de lui caresser la chatte. Elle adore ça.

Nôtre nuit de noces est prévue dans un hôtel « Au rendez-vous des copains », situé au village d’à côté.
Sur la façade, le gérant a fixé une banderole.
«A nos jeunes mariés-Audrey et Cyril.»
Et quand nous pénétrons dans le bar, nous sommes accueillis par des «Vive la mariée.»

Trois jeunes chantent et dansent dans le bar, dont Lucas, qui enterre sa vie de garçon. L’ambiance est très fêtarde. Le futur marié prend ma jeune épouse par la taille, et l’entraîne dans une sulfureuse lambada.
Ses copains me prennent par l’épaule, m’emmènent au bar. Tout en trinquant, je surveille ma femme. Je vois Lucas collé derrière elle, passer ses mains sous le petit haut, caresser les seins. Non seulement mon épouse ne le repousse pas, mais elle frotte vicieusement sa croupe, contre son sexe.

Mais ce coquin ne s’arrête pas là. Il retrousse la jupe, découvre, surpris, la petite chatte épilée d’Audrey.
Un doigt lisse la fente ainsi offerte, jusqu’au clitoris. Audrey se tord le cou, pour tenter de lui prendre les lèvres. Ils sont langue contre langue.
J’essaie d’intervenir, mais suis maintenu par les mains fermes de Fred et Hervé, les copains de Lucas. C’est maintenant un doigt qui pénètre la chatte. Audrey s’écarte pour s’offrir d’avantage.
Le patron, sentant que la nuit de noces d’Audrey, s’annonce chaude, libère une table d’un revers de main.
Hervé, un copain à Lucas, s’approche, ôte le petit haut. Les superbes seins de mon épouse, jaillissent dans la salle. Il se penche légèrement, suce les bouts.
C’est maintenant au tour de la jupe. En un tour de main, elle finit au sol. Audrey se retrouve entièrement nue, devant trois jeunes à moitié soul, et avide de sexe. Je l’ai soupçonne même, de l’avoir fait boire.
Je suis scotché au bar, ne sachant que faire.
Petit à petit, deux jeunes entraînent Audrey vers la table, l’allongent dessus, jambes écartées.
Hervé approche son visage de la chatte de ma femme, commence à la lécher. Audrey frémit sous la langue, qui aspire son clitoris, au point de le décalotter.

-Oh mon dieu...mon chéri, regarde ce qu’il fait à la petite chatte de ta femme...comme c’est bon…
-Arrêtes ça mon amour, pense à nôtre nuit de noces.
-Oh non, laisse les...j’ai envie de m’amuser avec eux. Puis, on a toute la vie devant nous.

Lucas, de l’autre côté de la table, offre sa queue à la bouche de ma jeune épouse. Elle l’avale jusqu’aux couilles. Elle saisit la bite de Fred qui rôdait par là.
Commence alors une partouze terrible, dont Audrey et le principal appât. Je suis cloué au bar, n’esquissant aucun mouvement. La dernière image que j’ai, c’est de voir Lucas cracher dans la bouche de ma femme, qui se fait un plaisir de tout avaler.
Lucas pousse la plaisanterie, jusqu’à demander à Audrey, d’aller enfiler sa robe de mariée. Elle court à la voiture, et revient, changée. Lucas lui propose son bras, qu’elle s’empresse de prendre. Les voila tous les deux, se diriger vers la chambre, accompagné par la marche nuptiale, mise par le patron du bar. Fred et Hervé suivent, en garçons d’honneur.
Le groupe se retire pour, je suppose, profiter pleinement de ce qui devait être ma nuit de noces.

Ce n’est que vers dix heures du matin, que je surprend Audrey installée en terrasse, avec les jeunes fêtards. Malgré la distance qui nous sépare de ma chambre, j’entends tous ce qu’ils disent.

-J’en espérais pas tant, pour ma vie de garçon, dit Lucas.
-Moi non plus, pour ma nuit de noces, répond Audrey. Au fait, qui est l’enfoiré qui m’a enculée…
-C’est moi, répond Fred, pendant que tu taillais une pipe à Hervé...t’as aimé.
-J’ai adoré.
-Quoi, dit Fred, d’avoir avaler, ou de t’être fait enculer. -Les deux, mais j’avais promis à mon mari, qu’il serait le premier à déflorer mon petit trou à l’occasion de nôtre nuit de noce. Le pauvre…comme il va être déçu.

Quand je descend de ma chambre, la situation à changer. A travers la baie vitrée, je vois Audrey assise sur Lucas, jambes ouvertes à cent quatre vingt degrés. Sa robe est enroulée à la taille. Lucas joue avec son clitoris, devant ses copains qui ne perdent rien de la scène. Audrey a passé un bras autour du cou de Lucas, caresse sa joue de l’autre main. Je vois son bassin se cambrer sur le doigt qui la chatte.

-Salaud, gémit-elle...vous trouvez que j’ai pas assez joui cette nuit, que tu en rajoutes...
-T’aimes ça hein, te faire cliter, sourit Lucas.
-Oh oui, c’est tellement bon...vas-y...continue…oui…


Je vois Fred et Hervé rire aux éclats en voyant mon épouse crier de plaisir quand elle atteint l’orgasme, le corps cambré sur la pointe des pieds.
Entre temps, Lucas a sorti sa queue de son pantalon.

-T’a pas envie d’une bonne queue maintenant?
-Oh que si...j’ai envie...de plusieurs grosses queues.
-Et dans quel trou, ironise Fred.
-Dans tous les trous, répond mon épouse
-Allez les gars, dit Lucas, à la chambre.

Audrey saisit Lucas par la queue, et l’emmène à l’étage, suivi de prés par Hervé et Fred.
Je n’ai pas vu mon épouse de la nuit, et comme s’est parti, je ne suis pas prêt de la revoir de la journée.
En passant devant la chambre, je temps l’oreille. J’entends Audrey hurler de plaisir.
Je suis en train de me poser une question. Combien de fois l’ont-ils faite jouir. Elle seule pourra me le dire.

Le lendemain, nous quittons l’hôtel vers dix heures du matin. Epuisée, Audrey dort sur la banquette arrière.
Elle refait surface, il est trois heures de l’après midi. Elle me rejoint au salon, s’appuie câlinement sur mon épaule.

-Je suis désolé pour hier. Quand j’ai vu ces beaux garçons chanter et danser, je n’ai pu m’empêcher de les rejoindre. C’est après, avec prise par l’ambiance, que ça à dérapé.
Tu m’en veux mon chéri.
-Non seulement tu as gâché nôtre nuit de noces, mais en plus, tu m’a trompé le premier jour de nôtre mariage, sous mes yeux.
-Je sais mon amour, s’excuse Audrey...mais on aura d’autres moment tous les deux...au fait, regarde le message que j’ai reçu.

« Salut. On te remercie pour cette nuit torride que tu as passé avec nous. Je n’ai pas de cavalière pour le mariage de Lucas. J’ai pensé à toi, si tu es dispo. Ca me ferai plaisir de t’avoir à mon bras. On pourrai même passer le nuit ensemble. Fred serai d’accord pour participer...et pourquoi pas Lucas et Samia, sa ravissante épouse maghrébine. Il paraît qu’elle adore jouer avec la petite chatte des françaises. Bisous...»

-Et alors, tu décides quoi, que je demande.
-Je sais pas encore, me dit-elle, je vais réfléchir.

Toujours est-il, que dans la semaine, elle a fait les boutiques pour s’acheter une toilette, a pris rendez-vous chez la coiffeuse, et chez l’esthéticienne.