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Chantage-2. Où Axelle initie un jeune couple

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Lue : 1002 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 05/12/2021

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Samedi 11

Vélo, natation, et, le soir, dîner avec nos deux tourtereaux. De peur d’oublier, l’ami Erwan nous transmet tout d’abord le message d’un de mes collègues qui, en vacances pas loin d’ici, a cherché à me saluer. Il n’a pas donné son nom, mais essaiera de repasser. Un drôle de type, pas bien grand, mince, le teint jaune, un imperméable et un curieux petit chapeau rond. Je ne vois pas de qui il peut s’agir, et je m’en fous. Puis il nous présente sa copine, Aziliz - « un vieux prénom de chez nous, mais tout le monde l’appelle Aziz » - une rousse flamboyante, qui m’intéresse beaucoup plus. Elle a l’air d’avoir du caractère, cette fille : nous n’en sommes encore qu’à l’apéritif, qu’elle me demande bille en tête si cette histoire de « boukak » dont lui a parlé Erwan est vraie, parce qu’il fabule souvent. Je corrige le mot et lui demande ce qu’a raconté Erwan. Elle rougit abominablement, comme seules les rousses savent le faire, mais me donne un résumé clair, concis, et… pas trop enjolivé. Je confirme donc, en la regardant dans les yeux avec un petit sourire provoquant. Elle part au quart de tour :
- Je ne comprends pas pourquoi vous faites çà.
- Je vais t’expliquer : quand ça arrive dans une cave à une fille de quinze ans à qui on arrache ses vêtements, c’est ignoble. Et d’ailleurs lourdement puni par la loi. Là, c’est tout différent : c’est moi qui mène le jeu, je me déshabille si je veux, me masturbe si j’en ai envie – c’est souvent le cas – devant des spectateurs, parfois des femmes d’ailleurs, que cela excite, et qui me le montrent de la plus réaliste des manières. Pour ma part, je prends un plaisir un peu pervers, je te le concède, à être tout de même un peu traitée comme une pute. Mais que veux-tu, cela m’excite, je suis faite comme ça. Et puis surtout, j’ai quarante ans. Et avoir la confirmation que je peux encore faire bander des jeunes qui pourraient être mes enfants m’emplit de fierté. Oui, c’est vrai, finalement : je ressens plus de fierté que d’excitation.
- Et votre mari ?
- Demande-lui. Mais je pense que mon plaisir est son plaisir. Un dicton polynésien dit qu’un plaisir partagé fait plaisir aux Dieux.
- Elle parle mieux que moi, confirme Richard. Plus, aussi, malheureusement. En ce qui me concerne, j’y trouve plus d’excitation que de fierté. Quoi que…
- Je renverse la vapeur. Et vous deux ? Ça marche comment ?
- C’est toujours pareil : on n’est pas seuls cinq minutes tous les deux sans qu’il essaie de me sauter…
- Et toi, tu n’as pas envie ?
- Ben, parfois si, mais je suis pas sûre, alors…
- Je vais vous raconter une histoire. Vraie. La mienne. Quand j’ai rencontré Richard il y a plus de 20 ans, il tirait sur tout ce qui bouge. Moi, bêtement, j’avais écouté mes parents, le curé, tout ça, et décidé de me « réserver » pour mon mari, comme disait ma mère. Je ne voulais pas qu’il me saute avant le mariage. Point. Eh bien, pendant deux ans et demi, Richard se l’est mise derrière l’oreille, pour reprendre sa jolie formule. Bon, je n’étais pas de bois, non plus, et nous avions des tas de façons de nous envoyer en l’air. Il ne m’a dépucelée non plus, parce que… parce que… parce que… En fait j’ai commencé à me masturber très tôt, sans doute vers 7 ou 8 ans. Puis vers douze, je me suis dit que si je ne voulais pas rester clitoridienne stricte toute ma vie, il faudrait faire quelque chose. C’est alors que j’ai commencé à me pénétrer avec tout un tas d’objet, surtout des légumes. La jeune fille vire à nouveau au cramoisi. Et toi, tu te masturbes ?
- …
- Tu veux peut-être qu’Erwan sorte ? la moqué-je…
- Non, enfin oui…
- Pardon ?
- Non ce n’est pas la peine qu’il sorte, et oui, je me masturbe.
- Je ne vais pas te demander de détails, c’est ton jardin secret, mais lui serait sans doute très intéressé si tu lui en parlais, ou mieux encore, si tu le faisais devant lui. Richard adore…
- J’en suis pas encore aux légumes, si vous voulez savoir…
- Et côté copines ?
- Pardon ?
- Je ne vais pas toujours parler de moi, mais… Et puis, je ne suis pas certaine que ça intéresse Richard de m’entendre raconter une histoire qu’il connait par cœur. Venez plutôt avec moi.
Nous montons tous les trois à l’étage, qui comporte deux petites chambres, dont une que nous occupons, et la suite parentale, où je les emmène. Nous nous asseyons sur le lit. Je reprends :
- Mes premières expériences ont été homos, avec deux copines de classe. Je ne m’en vante pas plus que je n’en ai honte. J’imagine que ça se fait encore, non ?
- Pas moi. Je n’ai jamais essayé.
- J’avais promis à Erwan de te montrer quelque chose. Je crois que je ne vais pas tenir ma promesse (tête du garçon !), mais plutôt lui montrer quelque chose à lui, qui parle si peu. Tu me fais confiance, Aziz ?
- Ben oui…
- Bon. Déshabille-toi, et allonge-toi.
- Que je…
- Uniquement si tu veux. Tu dis NON quand tu veux, on arrête tout. Immédiatement. C’est une règle. Toujours. NON, c’est un stop absolu.
Autant vous dire que ce ne fut pas le strip-tease du siècle, fait à contre-cœur, sans rythme, la jeune fille pliant ses affaires sur un chaise pour gagner du temps. Heureuse surprise, tout de même : l’absence de soutien-gorge.
- Tu n’en portes jamais ?
- Si, mais j’ai pensé, avec ce que m’avait raconté Erwan, qu’ici, ce serait…
- …Déplacé ? C’est très délicat – et très intelligent - de ta part d’avoir essayé de t’adapter à nos habitudes. Supposées, d’ailleurs. J’espère que ça ne t’a pas trop coûté.
- Non, en fait, j’aime bien. Enfin, mais tétons sont un peu excités en permanence, c’est agréable.
La voilà nue. Elle est superbe : fraîche comme une rose, des seins parfaits, une toison du même roux que ses cheveux – je n’ai jamais encore « connu » de rousse. Mais, mon Dieu, crispée, crispée, bras tendus le long du corps, jambes serrées. Je la complimente en toute honnêteté, Erwan la dévore des yeux. Pas sûr qu’il l’ait déjà vue entièrement nue.
- Si ce que je te propose te déplaît, tu n’as qu’à dire non. J’arrête aussitôt. Regarde, Erwan, comme un corps de femme est sensible.
Je me penche vers elle, et souffle sur son sein. Le mamelon durcit aussitôt.
- Tu vois ? Sans même la toucher… Il ne faut jamais nous brusquer. Chauffer doucement, quoi !
Je lui montre d’autres choses : le duvet des bras qui se dresse quand j’y passe mes ongles, un effleurement des lèvres sur la tempe, le dos de la main glissant sur le ventre (j’arrête aussitôt, elle est chatouilleuse et se crispe).
- As-tu envie de quelque chose, Aziz ?
- Ça me gêne d’être la seule à être nue…
- Il vaut sans doute mieux qu’Erwan reste habillé, mais pour moi, pas de problème. Je me déshabille, lentement, bouton après bouton. Tu vois, j’ai un soutif. Passé un certain âge, il faut un peu aider la nature. Tu noteras qu’il ne fait que soutenir : le téton reste apparent, stimulable et… visible sous la robe ! Un autre désir ? Pas de réponse ? Nous sommes devant une alternative, Erwan : ne rien faire et continuer à la dévorer des yeux, ou prendre une initiative. A ta place, je choisirais plutôt la solution n°2. Mais quelle initiative ? Faut essayer…
Je caresse l’intérieur de ses cuisses, qu’elle écarte un tout petit peu. Encouragée, j’approche du sexe.
- NON. Brutal. Elle tempère : Je ne me sens pas prête.
- Tu veux te caresser ? Non ? Je peux toucher tes seins ? C’est ce que ton fiancé a fait avec les miens, tu sais… Elle sourit. Conduis moi…
Je prends sa main, y pose un baiser. Elle saisit la mienne et l’amène au-dessus de l’un de ses seins, puis l’abandonne. De la paume, j’effleure le téton, qui durcit immédiatement. L’autre se solidarise. Puis je mets la main en coupe, pour enrober le sein. Ils sont plus gros que les miens. Je ressens une morsure au ventre, jalousie ou désir ? Les deux, sans doute. Je me penche sur elle, dépose un baiser léger sur ses lèvres, un autre dans le cou. Erwan nous dévore des yeux. Je me redresse, pose ma main sur son cou, descend lentement, passe entre ses deux seins – elle semble déçue – approche de sa toison. Les cuisses s’ouvrent un peu plus.
- Les cuisses qui s’écartent, Erwan, voilà un signe positif. On ne peut rien faire d’une femme qui a les genoux serrés. Deuxième signe encore plus encourageant : cette rosée que tu vois perler ici. Hommes et femmes sont construits de la même manière, en ce domaine du moins. Avant de faire l’amour : je lubrifie, tu lubrifies, elle lubrifie, nous lubrifions.
Ses cuisses sont maintenant suffisamment écartées pour que j’y glisse une main en coquille. J’attends qu’elle bouge un peu le bassin. Je la regarde : d’un clignement de paupières, elle m’accorde le feu vert. C’est elle qui demande, tu as vu ? J’enlève la main et approche mon visage pour qu’elle comprenne bien où je l’emmène. Un dernier regard : elle est prête à me suivre. J’écarte doucement ses lèvres, et y pose le miennes. De la pointe de la langue, je longe sa fente. De deux doigts, elle écarte ses lèvres pour dégager son clitoris, qu’elle décalotte elle-même, en habituée des masturbations solo. Elle ne respire presque plus. Je suis consciente du privilège qu’elle m’accorde : ma langue va être la première à lécher son petit bouton. Je le regarde : il me fait penser à un de ces petits œufs de Pâques à la liqueur, dont il a déjà la dureté. Elle gémit doucement, commence à se caresser les seins. Son fiancé risque un baiser léger, qu’elle lui rend avec intérêts. Ma langue se faufile avec précaution dans son vagin, juste assez pour constater qu’elle est effectivement vierge. Je reviens au clitoris. Elle bouge de plus en plus le bassin. J’ai une pensée émue pour Erwan. J’abandonne son sexe, remonte doucement, suce un téton au passage, risque un bref baiser, lui murmure à l’oreille :
- Si tu veux une réponse à la question que tu me posais tout à l’heure… c’est le moment, tu ne crois pas ?
Je fais le trajet en sens inverse, avec les mêmes stations. D’un mouvement impératif du bassin, elle me fourre presque son sexe dans la bouche. Quand j’appuie la caresse, j’ai le plaisir de l’entendre souffler à Erwan :
- J’aimerais que tu te masturbes sur moi. Juste pour voir, nuance t’elle.
Il s’exécute promptement et commence à s’astiquer au-dessus d’elle.
- Pas trop vite, je voudrais jouir avec toi…
Je sens que mon protégé ne va pas tenir très longtemps, alors je m’active. Elle se tortille de plus en plus vite, de plus en plus fort. J’entends les gouttes de sperme qui frappent la poitrine d’Aziz. Presque aussitôt elle pousse une sorte de feulement, ou de grognement, le cri du ventre, elle m’enserre la tête entre ses cuisses qu’elle serre aussi fort qu’elle peut, jouit encore une fois ou deux, puis devient toute molle. Je me redresse pour la regarder. Son partenaire n’y est pas allé de main morte : elle a du foutre partout, cheveux, visage, poitrine. Elle ouvre les yeux, contemple le spectacle, éclate d’un rire étonnamment jeune et frais, et étale la semence sur ses seins.
- Axelle, j’ai quelque chose à te demander…
- J’adore quand tu me tutoies : j’ai l’impression d’être une de tes copines, et pas ta mère. Quoique, avec mes enfants, je n’aurais jamais eu ce genre d’expérience ! Tout ce que tu veux.
- Je voudrais que tu tiennes la promesse que tu as faite à Erwan…
- Ah ! Tu es certaine ? Bon, alors, j’aurais besoin de Richard. Tu veux bien aller me le chercher Erwan ?
- Tu as aimé, Aziz ?
- Oui…
- Tout ?
- J’aime comme tu lèches. Et puis être couverte de sperme. J’ai encore envie de jouir…
- Toujours prêt, souffle mon mari en entrant.
- Je sais que je peux compter sur toi. Aziz voudrait me voir faire une pipe, et son fiancé est momentanément empêché… Tu te mets là ?
Là, c’est debout, sur un côté du lit. Je m’agenouille devant lui, prends son sexe en main pour le rendre opérationnel, ce qui ne me demande guère d’efforts, et l’amène dans ma bouche. Les jeunes semblent surpris par le format - c’est vrai que mon mari est bien monté – et très attentifs à mon mode opératoire. Je sens qu’Aziz apprendra vite ! Tout à ma démonstration, je suis surprise quand elle me touche l’épaule. J’abandonne Ric avec un geste d’excuse.
- Envie de quelque chose ?
- Euh, oui. En quelque sorte…
- Dis…
- T’es la seule à ne pas…. Je voudrais te rendre une partie du plaisir que tu nous as donné.
- Donner du plaisir me fait plaisir.
- D’accord avec toi. C’est bien pour ça que j’ai envie de te lécher…
L’opération ne nécessite guère d’aménagement : au lieu de rester agenouillée, assise sur mes talons, j’écarte les cuisses et lève les fesses pour que ma jeune amie puisse y glisser la tête, et reprend la bite de mon mari en bouche. Elle attaque aussitôt un cunni dont la fraîcheur et la spontanéité me ravissent. La coquine sait parfaitement comment traiter au mieux mon clito. Je me régale, et je ne suis pas la seule : Richard, ne résistant pas au spectacle, jouit dans ma bouche. Je me retourne vers Aziz, qui se lève et me fait face. Mes lèvres frôlent les siennes, mais c’est elle qui passe la main derrière ma nuque, appuie son baiser et met la langue, sa langue pleine de ma cyprine, dans ma bouche pleine du sperme de Richard. C’est électrisant…
- Tu n’aimes pas ?
- Le cunni, ou ton baiser ?
- Les deux…
- Beaucoup. On croirait que tu as fait ça toute ta vie. Elle rit. Mais j’adorerais que ton fiancé me baise en même temps : regarde-le, il est en train de reverdir.
- Non, j’aime mieux pas.
- Jalouse ?
- Non, enfin si, un peu, j’imagine. Mais je voudrais le sucer.
- Pas de problème sans solution : ou bien il te remplace entre mes cuisses et tu le suces, ou bien je m’assieds au pied du lit et je me masturbe, parce que là, je commence à chauffer un peu …
- Je te le prête bien volontiers.
Erwan se couche, je me place à genoux, cuisses ouvertes au-dessus de sa bouche, bras écartés en appui sur la tête de lit. Agenouillée, elle aussi à côté du lit, Aziz commence à le sucer avec application. Du moins, je l’imagine, parce que je leur tourne le dos. C’est tellement frustrant que je ne mets pas longtemps avant de me retourner et de mettre en position de 69. Là, même si je ne fais rien, c’est beaucoup plus bandant : le garçon me lèche, mes seins ballotent sous le nez d’Aziz, qui branle et suce pour la première fois son ami. Sous mes yeux. Et puis tout à coup, elle se retire, et me tend pour ainsi dire la queue dressée d’Erwan. Je me penche, elle aussi, et nous le suçons ensemble, nos bouches n’en font plus qu’une. Il jouit. Je m’offre à Aziz :
- Je t’en prie, finis moi…
- Comment ?
- Comme tu veux, mais vite.
- Je ne t’ai pas encore masturbée… et ça, tu vas voir je sais faire !

Dimanche 12
Le dimanche, en bretagne, la messe est quasi-obligatoire. Pas pour nous. Les jeunes sont restés coucher chez nous : valait mieux, vu l’heure qu’il était après la joyeuse douche collective, et compte tenu des libations prolongées. Donc, lever très tardif, et graaaande balade, tous les quatre, à vélo. En résumé, la première semaine a été idyllique : temps parfait, mari parfait, nouveaux ami.e.s chaleureux.
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