Charlène invite des amis pour son anniversaire 2

Petite erreur, j'ai appelée la maman Laure à la place de Justine, je vous prie de rectifier, merci.

Paul hausse les épaules et répond à sa femme :

-Comme toujours, tu n'en fais qu'à ta tête, si les deux jeunots veulent se payer une femme mûre, je ne vois pas d'inconvénient !

Charlène reste baba en entendant ses parents, elle cherche ses vêtements, mais son papa intervient :

-Non ma chérie, reste comme ça, tu es très bandante, laisse-moi profiter du spectacle

Justine le regarde en souriant et dit :

-Hum cela va me rappeler le club libertin ou je t'ai rencontré mon chéri, je sens que l'on va s'éclater !

Paul regarde Pierrot et Marcel et dit :

-Si le cœur vous en dit, elle est à vous la vieille obsédée mes amis !

Les deux jeunes regardent Justine, leurs yeux brillent de mille éclats. Pierrot répond :

-Moi, je veux bien, elle est bien roulée votre femme, elle doit être bonne !

Marcel approuve et ajoute :

-Madame, vous pouvez vous mettre nue ?

Justine sourit et dit :

-Pas de madame entre nous, nous allons devenir des amis très intimes, appelez-moi Justine !

Charlène ne comprend plus rien, c'est fou, Son papa veut qu'elle reste nue, sa maman, elle veut se faire baiser par ses potes, c'est inouï, cette situation la laisse sans voix. Elle se laisse tomber sur le canapé en serrant les cuisses, honteuse de sa nudité. Elle attend la suite des événements.


Justine, sans aucun scrupules, retire sa jupe et son corsage, le soutien-gorge suit. Comme elle ne porte pas de culotte, elle ouvre largement les cuisses et montre sa chatte qui laisse échapper le surplus de sperme que son mari, y a copieusement déversé. Elle s'approche de Pierrot et de Marcel, se laisse tomber à genoux face à eux, et d'un geste rapide, saisit les deux bites tendues, qui sont encore recouvertes d'une fine couche visqueuse et qui goutte de temps en temps sur le sol.
Justine donne des coups de langue, pour ôter la semence des pieux dont elle raffole. Elle gobe le gland de Marcel et commence une fellation dont elle seule en a le secret. De son autre main, elle branle comme elle le peut la bite de Pierrot.


Charlène est médusée, elle regarde sa maman, sa respiration et saccadée, on l'entend déglutir bruyamment. Son papa prend place à côté d'elle, il se penche vers elle est lui murmure à l'oreille :

-C'est une sacrée salope ta maman hein, j'aime la voir dans cet état d'excitation et toi, cela te fais de l'effet ma chérie !

Charlène soupire profondément sans dire un mot. Elle n'ose pas regarder son papa. Il pose une main sur sa cuisse et la caresse doucement et dit :

-Je ne crois pas un instant, que le spectacle que donne ta maman, te laisse pas indifférent !

Charlène ne répond toujours pas, la main de son papa glisse sur sa cuisse, monte sur son ventre et cherche à descendre, pour atteindre le point le plus sensible du corps. Elle sert encore plus les cuisses, en s'accrochant au canapé. Son papa parvint, du bout de ses doigts, à lui toucher le clito. Charlène se tend comme un arc, en serrant les dents. Les doigts agiles de son papa jouent délicatement avec le point central de tous les plaisirs. Justine, elle ne baisse pas les bras, elle alterne les glands, sa bouche vorace rend les hommes heureux. Marcel regarde Charlène et dit :

-Ouah ce qu'elle est bonne ta mère Charlène, on peut dire qu'elle sait sucer !

Le bougre se cabre et remplit la bouche de la suceuse, Juste se gave du sperme qu'elle affectionne, elle passe à l'autre homme, elle veut boire aussi son jus. Elle est vite récompensée, un flot de doux liquide épais se déverse dans sa gorge. Justine avale, sans se poser de question, pour elle c'est un régal. Elle se lève, s'allonge sur la petite table et dit en écartant les cuisses :

-Aller à qui le tour !

Pierrot est le plus rapide à réagir, il s'agenouille et avance sa main vers le temple débordant de jus. Il caresse la fente, glisse deux doigts dans le sillon et les monte jusqu'au clito, que rapidement, il saisit. La boule est deja gonflée au maximum, elle ressemble à une grosse noisette, Pierrot la branle doucement. Marcel lui caresse la poitrine en agaçant les mamelons. Justine pousse des grognements de bête.


Charlène a les yeux qui brillent, sa chatte suinte de plus en plus, son papa prend entre ses doigts la perle magique de sa fille et la branle doucement. Sa queue est dressée comme un mat, il souffle comme un animal en rut. Sous la douce caresse, Charlène ouvre lentement les cuisses, facilitant à son papa l'accès à son abricot. Il sait, dès à présent, qu'il va être son amant. Il delaisse le clito, se lève et se place devant sa fille. Il s'agenouille et lui ouvre largement les cuisses. Il humme un instant, les effluves odorantes qui s'échappent du puits d'amour, et pose délicatement sa bouche sur la vulve qui suinte comme un fruit trop mûr. Il aspire le jus, le bruit de succion ressemble à un doux clapotis, qui fait cabrer Charlène.

Justine, elle, gémit sous le branlage de son clito et le malaxage de ses seins, les deux hommes la rendent heureuse. Il se cambre lorsque la bouche se pose sur son clito et l'aspire. Pierrot le suce et le tète comme un affamé. Rapidement, Justine jouit en couinant fortement. Pierrot se redresse et d'un coup enfonce sa bite dans la chatte en feu de Justine et la pilonne comme un beau diable. Les râles de Justine sont impressionnants, le jeune homme lui laboure le ventre avec une telle vivacité, que Justine jouit une seconde fois. Pierrot, enfin, déverse sa semence dans le ventre de la jouisseuse. Il se retire rapidement, car Marcel n'en peut plus, il veux aussi baiser cette chaudasse. Justine reçoit le pieu de Marcel avec bonheur, elle agite son bassin en grognant de plus en plus fort. Elle s'accroche à lui en murmurant :

-Oui, oui, baise-moi fort, oh putain qu'elle est bonne ta queue mon salaud, vas-y défonce-moi comme une chienne !


Les assauts ont vite raison de Justine, elle jouit comme une malade. Marcel continue de la déglinguer, comme un soudard, il semble plus brutal que Pierrot. Justine est aux anges, elle jouit en même temps que son pourfendeur.



À suivre.