Charlène invite ses amis à son anniversaire 3

Marcel se retire du ventre de Justine, les deux hommes doivent récupérer un peu avant de reprendre les festivités.
Le clito de Charlène, sous les succions très appuyées, de son papa, devient monstrueux, elle grogne en agitant son bassin. Les nombreuses agressions sur son bouton font exploser Charlène, qui jouit en serrant les dents pour ne pas ameuter le quartier. La langue rapeuse de son papa s'enfonce dans son vagin et le fouille longuement. Charlène et au bord du coma, jamais, elle n'a été aussi bien fouillée par une langue, son papa est un expert en la matière. Rapidement, elle rejouit en grognant, le canapé est trempé de sa cyprine abondante. Son papa se redresse, la regarde longuement et ne peut s'empêcher de dire :

-Oh ma chérie, tu es aussi gourmande que ta maman, tes jouissances sont fabuleuses !
Suce-moi ma chérie, je veux sentir sur mon gland ta bouche qui doit être brulante !


Il approche sa bite du visage de sa fille, elle deglutie en saisissant d'une main le manche très veiné surtout de bon diamètre. Elle le regarde sous tous ses angles, le décalotte, elle ravale sa salive en voyant le cèpe gascon. Elle ose enfin donner quelques coups de langue sur le champignon, de faire avec sa langue le tour du propriétaire, d'ouvrir la bouche et de le gober. Son papa se cambre en murmurant :

-Oh oui ma chérie, je me doutais bien, que ta bouche était merveilleuse, vas-y rends-moi fou ma chérie !

Charlène prend de l'assurance, elle suce le gland sans plus aucune honte, sa bouche fait grogner son papa comme une bête agonisante. Il saisit la tête de sa fille avec ses mains et lui baise la bouche comme si c'était un vagin. C'est une nouveauté Pour Charlène qui subit dans sa bouche un délicieux va-et-vient. Enfin, elle serre très fort la bite de son papa, pour qu'il cesse de la faire voyager dans sa bouche
Elle reprendre l'initiative, elle lui dévore le gland, elle veut le faire jouir comme lui, la fait jouir. Charlène s'active avec amour, elle ne pense plus à son entourage qui comme un voyeur regarde le spectacle excitant que Charlène et son papa font devant eux. Sans le vouloir, Charlène presse fortement les couilles de son papa. Cela provoque une jouissance miraculeuse, il se vide dans la bouche de sa fille, en geignant de bonheur. Charlène recrache la bite, un filet de sperme s'échappe, à la commissure de ses lèvres. D'un revers rapide de ma main, elle essuie ses lèvres, puis avale la totalité de la décharge spermatozoïde, avec une gourmandise d'ogre. Son papa est fier d'elle, il lui donne un baiser bruyant sur les lèvres. Sa bite gluante est toujours dressée. Il se place entre les cuisses accueillantes, de sa fille, qui les ouvre le plus possible. Sa maman ne résiste plus, elle serre les poings en grognant :

-Je veux une bite dans le cul et dans la chatte aller la jeunesse au boulot. Éclatez-moi comme vous avez
Démontés ma fille, je suis prête pour une deuxième fournée !

Pierrot s'allonge sur le sol. Comme une fusée, Justine s'empale sur sa bite droite du jeune mâle. Marcel se place derrière et lui enfonce sans ménagement sa bite dans le cul. Les deux la besognent, sans se poser de questions. Justine râle de plaisir, elle souffle comme un bœuf, en agitant son corps insatiable. Le pilonnage sévère qu'imposent les deux hommes fait jouir Justine comme une damnée. Les bougres ne la ménagent pas, il la défoncent tellement que Justine explose de jouissance plusieurs fois de suite. Les cris de sa maman rendent fébrile Charlène, elle se cambre pour recevoir en elle la bite paternelle. Le gland de son papa appuie sur ses grandes lèvres, elles s'ouvrent et laisse le passage au cèpe royal, qui pénètre dans le conduit vaginal.


Charlène râle comme une bête blessée, la verge de son papa est de bon calibre, elle lui dilate la chatte en s'enfonçant lentement en elle. Elle s'accroche aux hanches de son papa en grognant. Inexorablement, la bite gorgée de sang s'enfonce jusqu'aux couilles dans son ventre. Avant de la pilonner, son papa lui gobe un mamelon et le tète avec avidité, il ne delaisse pas l'autre, qui a droit au même supplice. Les bouts deviennent larges et épais, les succions soutenues sur les petits mats de chair, font couiner Charlène. Enfin, le papa décide de lui ramoner les entrailles. Il tire sur les hanches de sa fille pour bien l'empaler, et commence un va-et-vient ininterrompu, jusqu'à ce que sa fille explose de jouissance, en s'accrochant à lui comme une pieuvre à son rocher. Le papa, satisfait du résultat escompté, dit en soufflant comme un bœuf :

-Oui ma chérie, jouis, jouis, agite-toi bien sur ma queue, papa va te faire grimper aux rideaux !


Maintenant l'incestueux papa, la défonce comme jamais, il ne l'a fait avec sa femme. À chaque enfoncement de son glaive dans le ventre de sa fille, elle pousse un long râle de plaisir. La pression ne cesse de monter dans son corps. Elle gémit comme une agonisante. C'est en poussant un hurlement que Charlène jouit comme une malade. La bite vigoureuse voyage dans son ventre à un rythme soutenu. À chaque coup de reins, le gland frappe le col de l'utérus de Charlène qui se cabre en geignant. Elle se cabre, le flot de semence tiède qui se déverse dans son ventre la fait défaillir. La douce chaleur qui envahit son ventre la fait encore jouir encore une fois. Le papa ressort sa bite et l'offre aux lèvres charnues de sa fille qui prend un certain plaisir à le nettoyer avec sa langue agile.

Sa maman râle, halète sous les coups redoublés de ses amants, ses jouissances sont monstrueuses. Les deux baiseurs lui remplissent le cul et la chatte de sperme pour calmer la demandeuse avide. Enfin, ils se retirent du corps qui se met à trembler, elle reste étendue un instant sur Pierrot, à bout de souffle, avant de rouler sur le côté.


Marcel propose de prendre Charlène en double, son papa sourit, il reagrde sa fille qui semble être sur une autre planète. Marcel s'allonge sur le sol, c'est en titubant que Charlène s'approche de lui, elle l'enjambe, saisit sa bite gluante et s'empale dessus. Elle se plaque sur le torse de marcel. Son papa a le champ libre. Il regarde avec intérêt les fesses rebondies de sa fille, les caresse un instant avant d'enduit l'anus de salive. Le bougre est encore entrouvert par la précédente double qu'elle a subi. Le gland est plus important que celui de ses amis, donc, c'est avec précaution que son papa pousse. Charlène serre les dents, grimace, elle s'accroche à Marcel en soufflant comme un dragon. Elle se cabre en disant :


-Oh papa, tu es trop gros, ça fait mal arrête !

Il se penche à son oreille et lui murmure :

-Ça va passer ma chérie, une fois que je serai à fond, tu t'habitueras à ma queue, tu vas jouir du cul comme jamais, tu ne l'as fait, crois-moi ma chérie !

Il pousse doucement, sa fille gémit de douleur, petit à petit la bite s'enfonce dans le rectum pour enfin le remplir entièrement. Charlène halète, elle sent contre ses fesses les couilles de son papa.


A suivre