Charlène invite ses amis à son anniversaire 4

La bite puissante de son papa qui lui dilate la gaine anale, la fait grimacer. Bien qu'elle ait deja subit plusieurs sodomies, celle-ci est particulièrement douloureuse, les deux bites dans son corps, la remplissent comme jamais. Dès le premier va-et-vient entamé, bien qu'il soit très lent, Charlène croit que son corps va se déchirer. Elle serre les dents, en soufflant comme un dragon. Heureusement, petit à petit, la douleur diminue et finit par disparaitre totalement, en laissant la place au plaisir.

Les gaines enserrent parfaitement les bites. Elles coulissent de plus en plus aisément sur les muqueuses sensibles des orifices. Charlène gémir en grognant, le rythme augmente, les deux hommes semblent s'acharner sur elle en poussant des hans de bucherons à chaque pénétration. Elle s'acroche à Marcel, les pénétrations profondes profondes la font geindre comme une bête malade. Elle ne s'agite fortement, jamais, elle n'aurait pensé être la proie de son papa. Le bougre l'encule rudement bien, elle sent qu'elle ne va pas tarder à jouir. C'est Marcel qui décharge en premier, Charlène le suit de près, elle jouit en enfonçant ses ongles dans le corps de Marcel qui pousse un cri de douleur. Sa jouissance est telle, qu'elle se laisse tomber sur le côté en se des-accouplant de marcel, mais dans sa chute, elle a entrainée son papa qui est toujours planté dans son rectum.


Son papa la tient fermement par les hanches et reprend un pilonnage d'enfer. Charlène croit qu'ils sont plusieurs à lui défoncer le cul tellement c'est violent. Elle jouit encore sous les coups de bélier de son papa. L'enculeur ne faiblit pas, il la démonte comme un sauvage.
Sa maman voyeuse, affalée près de Pierrot, ne résiste pas au spectacle. Elle ouvre largement les cuisses et se branle comme une forcenée. Ses longs doigts pénètrent profondément son vagin en ébullition, elle hurle :

-Baisez-moi, baisez-moi mes salauds !

Son mari reconnait bien sa femme, une dévoreuse de bites que seules de pénétrations les plus violentes et variées, peuvent la calmer.
Charlène jouit encore, mais où cette jeunette, va-t-elle chercher toute cette énergie. Son papa se bloque et lui remplit l'intestin de son sperme, en grognant. Il ressort sa queue gluante, il regarde sa femme qui se ramone la chatte comme une malade. Il regarde Pierrot qui semble avoir reprit des forces, il lui fait un clin d'œil complice. Il saisit brutalement sa fille par-dessous les bras et l'entraine jusqu'à une chaise. Il s'assoit dessus et demande à sa fille de s'empaler sur sa queue. Tant bien que mal, Charlène s'embroche sur le pieu toujours opérationnel. Elle fait l'ascenseur, s'agite, fait des contorsions dignes d'une gymnaste. Sa chatte laisse échapper un filet continue de cyprine mêlée à du sperme. Son papa la plaque contre son torse et interpelle Pierrot :

-Aller, Pierrot, c'est à toi !


Mais, le bougre, au lieu de l'enculer, il jui plante sa bite dans le trou deja occupé. Charlène pousse un long râle rauque. Pour elle, deux bites dans le vagin, c'est une première. Les deux manches de chair coulissent dans son ventre en prenant de la vitesse. Charlène gémit, elle est au bord de la syncope, ses yeux sont révulsés, un rictus affreux déforme son visage. Son corps et secoué de spasmes violents, elle se cabre en poussant un hurlement qui fait sursauter sa maman. Elle jouit en s'agitant comme une hystérique sur les pieux, qui avec une alternance parfaite, la font jouir encore une fois. Charlène croit mourir, ses râles deviennent de moins en moins bruyants. Les deux baiseurs envoient dans la chatte étirer plusieurs jets de sperme. Charlène halète, Pierrot doit l'aider à descendre de sa monture et la guider jusqu'à un fauteuil dans lequel elle se laisse tomber. Justine au bord de la crise de nerf Crie tout en se masturbant :


-Putain, baisez-moi, baisez-moi !

Pierrot prend pitié d'elle, il s'avance, et un à un, il lui enfonce ses cinq doigts dans la chatte. Il ne faut pas pousser beaucoup pour que la main entière disparaisse dans la chatte baveuse de la demandeuse. Pierrot lui ramone les entrailles sauvagement, Justine, avant de crier grâce, jouit plusieurs fois. Elle s'écroule sur le sol sans force. Pour l'achever, son mari demande à ceux qui en on envie de lui faire une douche dorée.

Les trois, en forçant leur vessie, pissent sur le corps de Justine, qui ouvre la bouche pour avaler tout l'une qu'elle peut attraper. Charlène n'en croit pas ses yeux, elle les écarquille pour ne rien perdre. Le papa promet à sa fille un doublé anal, lorsque lui et un des deux amis auront repris des forces.