Charline et Justine (3ème partie)

Nous retournons auprès de Charline qui vient de s’asseoir à table. Ou plutôt, par-terre, devant la table basse en verre du salon. Elle est adossée au canapé, face à la télé.
Je m’assois à sa droite et Justine se met en face de moi. Je ne remarque rien au début, puis alors que nous sommes tous les trois en train de regarder un reportage à la télé et que je me tourne vers mon assiette pour prendre une bouchée de viande, je me rends compte que j’ai une vue imprenable sur la chatte de Justine. Elle ne remarque rien, ni de sa position, ni de mon regard, alors je ne me gêne pas.
-Ça va mon chéri ? me demande Charline, qui vient sans doute de remarquer que je matte la chatte de sa collègue.
-Très bien ! Et toi ?
-Bien aussi ! Pas autant que toi, visiblement !
-Pourquoi tu dis ça ? Au moment où je prononce cette question, je le regrette aussitôt. Je sais ce que va me répondre ma femme et ça ne loupe pas !
-Vu que tu mates la chatte de Justine, je suppose que tout va bien !
-J’avoue ! Il n’y a pas de mal à se faire du bien !
Justine avale ce qu’elle mâche, à moins que ce ne soit que sa salive ! Toujours est-il qu’elle rougit en essayant de rajuster sa serviette.
-Non, Jus’, ne te cache pas ma chérie. Luc aime bien mater tout autant qu’il s’applique à donner du plaisir ! Il mérite de voir ce qui est beau et ta chatte est très jolie !
-Tu ne m’en veux pas ?
-Bien sûr que non ! Comment le pourrais-je ? Avec ce qu’on a fait ce matin, il a bien droit à une compensation !
-Et ça ne te fait rien qu’il mate d’autres femmes que toi ?
-Bien sûr que non ! Et qu’il baise aussi avec d’autres partenaires non plus ! Hommes ou femmes, d’ailleurs ! Nous sommes amoureux et nous aimons que chacun de nous deux puisse prendre du plaisir là où il peut le trouver, dans la limite du respect mutuel qu’on s’accorde et surtout sans cachotterie !
-Tu veux dire que ton mari couche avec d’autres femmes ?
-Euh, les filles, je suis là !
-Bien sûr Jus’ ! Vas-y, mon Luc, explique-lui notre façon de voir les choses !
-Justine, il faut que vous compreniez une chose. J’aime Charline plus que tout et j’aime à croire que c’est réciproque. Nous ne nous cachons rien et nous partageons tout ! Dans la vie de tous les jours, mais aussi en matière de relations sexuelles ! On s’autorise tout, dans la mesure où on s’en parle à l’avance dans la mesure du possible, surtout si c’est un type de relation qui sort de l’ordinaire. Par exemple, ce matin, Charline n’a pas eu besoin de me prévenir avant de te faire l’amour, puisque c’est un type de relation tout à fait normal. Deux femmes qui sont attirées l’une par l’autre, c’est banal de nos jours ! Elle peut m’en parler après, ou même juste me l’évoquer en deux mots, ça ne changera rien en notre amour.
-Charly, tu en as parlé à Luc ?
-Non, même pas ! Il a deviné tout seul ! Vu nos tenues quand il est arrivé !
-Je suis gênée …
-Ne le soyez pas, Justine. Je suis heureux si Charline a pu prendre du plaisir et vous en donner. C’est aussi ça, être amoureux ! C’est accepter que sa partenaire soit heureuse.
-Et tu sais, Jus’, Luc te trouve tout à fait charmante et je suis sûr qu’il ne dirait pas non à te satisfaire !
-Enfin, Charly, c’est ton mari !
-Et alors ? Tu ne le trouves pas à ton goût ?
-Si, enfin non, je n’y pense même pas, je ne veux pas avoir de relation avec ton homme, ça ne se fait pas !
-Arrête tes conneries ! On a passé ce stade ! Tu as couché avec moi, je te rappelle ! Si on suit ton raisonnement, tu m’as piquée à mon homme !
-Oui, c’est d’ailleurs pour ça que je suis gênée de savoir qu’il sait !
-Honnêtement, ose me dire que même si je te donne mon accord, tu refuseras de baiser avec Luc ?
Justine ne répond pas tout de suite. On voit que les idées se bousculent dans sa tête, qu’elle pèse le pour et le contre. Ses préjugés avec le bien et le mal, tels qu’ils lui ont été inculqués, lui posent un problème. Elle voudrait dire oui, mais ses blocages éducatifs l’en empêchent. Ensuite, elle voudrait dire oui, mais son envie semble la pousser à ne pas se prononcer.
Au bout de quelques instants, elle finit par lâcher un non timide.
-Tu vois, et c’est normal. Et toi mon chéri ?
-Quoi moi ?
-Si Justine te dit oui ?
-Évidemment ! Mais avec ton accord, bien sûr !
-Tu sais que tu l’as, mon amour ! Tu vois Jus’, y’a rien de plus simple ! Il suffit de se dire les choses et tout va bien !
Nous finissons de manger en parlant d’autres choses, comme de l’actualité, du travail ou de notre prochaine soirée.
Après le repas, je m’assois dans le canapé, au milieu, pendant que les femmes débarrassent puis font la vaisselle. Je leur propose de les aider, mais je sens qu’elles préfèrent rester entre elles, sans doute pour discuter entre femmes.
Après quelques minutes, Charline vient s’asseoir à ma droite et Justine à ma gauche. Je ne montre pas ma satisfaction de me retrouver si bien entouré. Nous regardons un film romantique, mais très vite, je me rends compte qu’il ne m’intéresse pas tant que ça. Je continue néanmoins le visionnage, car je me sens bien entre ces deux beautés.
Charline vient poser sa tête sur ma poitrine et me susurre à l’oreille :
-Ne te gêne pas si tu sens une ouverture. En me faisant un clin d’œil.
Je l’embrasse passionnément pendant quelques instants, puis elle reprend sa position initiale, en appuyant sa tête contre le dossier et en se tournant légèrement vers moi.
Au bout de quelques instants, je sens que la respiration de ma femme s’est régularisée et elle semble s’assoupir. Justine, de son côté, continue de regarder le film.
Je pose alors ma main sur sa cuisse et je lui demande si tout va bien.
-Oui, mais j’avoue que le film n’est pas passionnant !
-Je suis bien d’accord avec vous !
-Luc, et si on se tutoyait !
-D’accord aussi ! Tout en discutant, je maintiens ma main sur sa cuisse et je vois qu’elle la regarde, sans manifester le moindre geste pour l’enlever.
-Pourquoi vous êtes comme ça, toi et ta femme ?
-Comment ça, pourquoi on est comme ça ? On est comment ?
-Vous êtes libertins. Vous n’avez pas peur ?
-De quoi ?
-Je ne sais pas, des maladies, des rencontres qui peuvent mal tourner, que la jalousie vous prenne ?
-Tu sais, c’est une question de confiance. On aime prendre et donner du plaisir, et voir ma femme jouir ou même le savoir sans la voir, me rend heureux et c’est pareil pour elle.
-Mon problème est que je ne sais pas en qui je peux faire confiance et ça me bloque dans mes relations.
-Lâche-toi ! Qu’est-ce que tu as à perdre ? Tu es en bonne compagnie et Charline t’a montré et t’a expliqué comment on est.
-Oui, je sais, mais je ne suis pas prête à ouvrir mes jambes à la première bite venue !
-Qui t’a demandé ça ? Pas moi en tout cas, même si cela me ferait très plaisir.
-Je sais.
-Tu as aimé faire l’amour avec Charline ?
-Ouiiiiii … mais je culpabilise aussi un peu !
-De quoi as-tu envie, là, tout de suite, maintenant ?
-Rien, je voudrais juste me relaxer, me détendre, ne penser à rien !
-Eh bien, fais-le ! N’attends rien et laisse-toi vivre ! Tu es ici chez toi, aussi longtemps que tu le voudras !
-C’est gentil !
-Et tu sais, si tu veux passer des nuits avec Charline, dis-le simplement ! Je ne serai pas jaloux et je ne ferai pas la gueule ! Si j’ai envie de baiser, soit j’attendrai mon tour, soit je me masturberai ! Mais surtout, tu n’as pas à culpabiliser parce que tu veux avoir du plaisir ! Tu mérites bien un peu de jouissance pour oublier tous tes soucis de couple !
-Vous êtes vraiment spéciaux, toi et ta femme ! Je vous adore, mais vous me faites peur un peu !
-Tu sais, s’il y a une chose que tu ne risques pas ici, c’est d’être forcée de faire quelque chose dont tu n’as pas envie. Alors cesse de craindre je ne sais pas quoi et laisse-toi vivre !
-Promis, je vais essayer !
-C’est bien !
Je me lève alors et je prends congé des deux dames. Je fais un bisou sur la bouche de ma femme et un autre sur le front de Justine, puis je file à la salle de bain.
Je sens que ma présence n’apportera rien ce soir. Je ne sais pas ce que va décider Charline, mais je préfère les laisser seules. Sa collègue est encore trop fébrile pour se laisser aller complètement ou alors, elle ne le fera jamais, simplement parce que ça ne la tente pas.
Je décide de prendre une bonne douche et de filer me coucher.
-Chéri ! me glisse Charline dans l’oreille, Justine a besoin de ta langue. Elle veut savoir si tu la fais mieux jouir que moi !
Sans dire un mot, je me relève doucement et je me rends compte qu’on est au milieu de la nuit. Le réveil affiche 00h15 et je vois dans la pénombre de la chambre la silhouette de Justine qui s’approche de moi et qui écarte le drap qui recouvre mon corps nu. Charline s’écarte à peu et me fait me rallonger tandis que sa collègue prend ma queue dans ses mains et commence à me caresser. Sa main monte et descend le long de ma hampe et s’amuse à décalotter mon gland à chaque mouvement. De temps en temps, elle passe sa langue sur le sommet de ma bite, juste furtivement, tandis qu’elle se met à malaxer mes couilles. Je sens aussi un doigt venir appuyer sur mon anus de façon plus ou moins régulière.
Justine, sans lâcher ma queue, change de position et vient positionner son bassin juste au-dessus de ma tête. Je sens alors de lourdes effluves agréables de cyprine qui s’échappe de son entrejambe. Je comprends que les filles se sont données beaucoup de plaisir depuis que je suis venu me coucher dans mon lit. J’attrape le cul de ma partenaire et le fait descendre jusqu’à ma bouche. Je passe alors ma langue le long de sa fente, depuis l’anus jusqu’au clitoris, qui est déjà bandé et qui sort de son capuchon. Aussitôt, un râle de plaisir s’échappe de la bouche de la suceuse et je me rends compte qu’elle s’est mise à me sucer la queue, tout en continuant de triturer mon anus. Elle sait ce que j’aime visiblement et je pense tout de suite que ma femme à du lui expliquer ce qui me fait jouir intensément. Je voudrais lui donner un orgasme simultanément au mien, alors je m’applique à lécher son petit bouton. En fait, j’adapte les mouvements de ma langue en fonction de ses réactions et je finis par comprendre assez rapidement que ce qu’elle aime par-dessus tout et le fait que j’aspire son clitoris dans ma bouche le plus fort possible et que ma langue vienne le chatouiller dans le même temps.
Les jambes de Justine se mettent alors à trembler et elle pousse un long râle alors qu’elle jouit et qu’un filet de cyprine s’écoule de sa chatte jusque dans ma bouche. Je déguste un nectar délicieux, très sucré avec un léger coût de cannelle et de vanille. Après quelques secondes de récupération, Justine se relève et vient s’empaler sur ma queue sans aucune retenue et elle commence aussitôt ses aller-retours de haut en bas et d’avant en arrière. Pendant qu’elle gesticule sur ma bite, elle attrape ses longs cheveux blonds dans ses mains et les tient au-dessus de sa tête, tendant ainsi ses seins en avant. Je remarque alors que ses tétons sont proéminents, comme deux petites pointes de plus d’un centimètre. J’attrape alors ses deux seins dans chacune de mes mains et les malaxe avec délectation. Ils sont très fermes, presque durs comme du bois et pourtant si tendres que j’arrive à faire pénétrer mes doigts dans sa chair. A chacun de ses mouvements, elle pousse un petit cri rauque. Elle accélère fortement ses va-et-vient et se met à hennir telle une jument en folie et finit par jouir une nouvelle fois en s’écroulant sur moi. Je sens son liquide intime me couler sur les couilles en même temps que j’éjacule au fond de son ventre par trois gros jets de sperme.
-Chéri ! Chéri ! Tu aimes ce que tu vis, on dirait ! Chéri !