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Chasse à la bécasse

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Lue : 17198 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 17/02/2010

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Chasse à la bécasse : Où il s’avère que le chasseur ne fut pas celui que l’on pense et où la bécasse ne fut pas une oie blanche !

Qu’il est bon, qu’il est troublant le temps de la chasse, en l’occurrence ce fut une chasse à la bécasse. Quand rarement nous nous rencontrions, quand nos regards se croisaient, quand nous échangions quelques mots, je la sentais flattée, comme fière d’avoir un rapport, fut il aussi bref avec moi. Pourquoi ? Que savait t’elle de moi qui pu l’attirer ? : Mon physique, le goût raffiné que j’avais pour me vêtir, pour soigner mon allure, mon esprit, ma fortune, ma réputation d’homme à femmes ?

J’ai remarqué que cette réputation loin de décourager la gent féminine l’attire au contraire et que les femmes prennent un plaisir extrême à se mettre sur les rangs au détriment de la favorite du moment et qu’elles aiment à se faire remarquer en se mettant bien en évidence devant les autres.

Sans attendre, moi Pierre que vous connaissez, je commençais à traquer ce gibier qui je le pressentais ne demandait qu’à voler autour de moi. Bien que son langage ne dénote pas une grande culture je m’attachais plus que de raison à la prendre en considération. A partir de ce moment je fis l’inventaire de son plumage, du moins à ce qu’elle en montrait car c’était en hiver et elle était emmitouflée par d’épais vêtements de bonne facture ; elle devait se ruiner en fringues.

Comme si cela venait par hasard je m’arrangeais à multiplier les occasions de rencontres, ce fut chose facile car elle semblait faire de même. Nos horaires commencèrent à se rapprocher pour devenir rapidement les mêmes. Nos itinéraires coïncidèrent, dans le car, le train, le métro même, le matin, le soir, nous nous retrouvions presque chaque jour.

Je lui collais des Chère amie et elle partait pour de longs monologues, flattée de mon attention, elle était très bavarde, elle était très sexy aussi j’ai oublié de vous le signaler. Il faut même dire qu’elle avait une sacrée allure, son visage d’une grande finesse, ses formes, sa silhouette endimanchée était parfaite.

Quand nous nous séparions elle était sensible à la tendre pression de mes mains. Les siennes n’étaient pas ce qu’il y avait de mieux en elle, cela dénotait une activité plus manuelle qu’intellectuelle et par la pensée j’imaginais comment ses mains un peu rugueuses pourraient me satisfaire en des endroits précis et je me mis vraiment au travail pour la séduire et la faire tomber dans mes filets.

Au fil des rencontres Sonia, c’est son prénom, se découvrait un peu, physiquement d’abord quand ostensiblement elle entrouvrait son manteau ou sa pelisse sur une paire de seins splendides; je l’encourageais par des Quelle classe ! ou des quelle symphonie de couleurs ! mais ce qui la touchait le plus c’est quand je la gratifiais de Quel bon goût ma chère ! ou de vous m’étonnerez toujours chère amie !

Elle m’apprit tout d’elle, je savais l’écouter et mon attention décuplait ses confidences, manifestement elle était heureuse d’être prise avec une telle considération pour les petits riens de sa vie. J’entretenais sa confiance en lui disant regretter de n’être pas assez souvent avec elle, que son charme, sa classe me manquaient ; quand nous étions proches l’un de l’autre je qualifiais son parfum d’enivrant et petit à petit j’en vins à louer son physique, son regard, sa bouche même quand avec un goût extrême elle fardait ses lèvres pulpeuses.

Mes compliments n’étaient pas feints car elle les méritait amplement et je remarquais qu’au fil des jours elle soignait de plus en plus son apparence. Elle aimait ces flatteries et de son côté m’avoua qu’elle me trouvait beaucoup de charme, beaucoup de classe. Je lui fis entendre que nous formions un couple bien assorti, harmonieux par notre physique, la convergence de nos idées.

Les transports en commun bondés, endroit idéal pour des rapprochements nous donnèrent l’occasion de nous serrer l’un contre l’autre. Nous étions complices sans nous l’avouer chacun trouvant plaisir à sentir l’autre tout proche dans le plus grand respect, je ne voulais surtout pas aller trop vite pourtant un soir en nous séparant je lui serrais la main, un de mes doigts caressant sa paume. J’eus peur d’avoir été trop loin ou trop vite avec ce signe, mais le lendemain quand je la revis rien ne transparut dans son comportement si ce n’est le même geste très marqué sans équivoque d’un de ses doigts au creux de la paume de ma main ; je crus discerner un léger sourire au coin de ses lèvres.

A partir de cet événement nos rapports changèrent insensiblement et se fut un régal de progresser ainsi doucement vers un dénouement que j’attendais impatiemment. J’aurais pu à ce stade l’étreindre, l’embrasser, la posséder, le fruit semblait mûr, ma longue expérience des femmes me l’indiquait. Mais je jouais toujours au gentleman, chevalier servant de grande vertu résistant à nos pulsions coupables.

Mon langage par contre devint moins châtié, tout en louant notre entente morale j’évoquais l’idée d’une communion plus complète si nous étions faibles comme les autres ; ils n’hésiteraient pas, eux, à s’étreindre, à se donner du plaisir. Je parlais de son corps et du mien, je vantais ses charmes, ses appâts, j’imaginais ceux que cachaient ses vêtements et je déplorais notre droiture qui nous interdisait de se laisser aller.

Les moyens de transport étaient propices à ces confidences, mon visage près du sien, mon souffle dans son cou, je lisais dans ces yeux un feu brûlant et nos corps lovés l’un dans l’autre criaient leurs envies de plaisir. Elle se révélait sensible à mes propos et sans mentir je suis sur que mes paroles la faisait jouir debout, quant à moi je bandais plus que de raison.

Les transports devinrent pour nous un moment de plaisir intense, je lui parlais à l’oreille de situations érotiques de plus en plus précises, elle restait digne mais ponctuais mes descriptions par des petits rires crispés. Prétextant la chaleur qui régnait dans les wagons elle entrouvrait ses vêtements et par instant je sentais son ventre presser le mien, ses cuisses entre les miennes, elle devait sentir mon émoi et ondulait, mine de rien, sur mon sexe dressé.

Je lui faisais comprendre que tout cela était impossible et que ce que nous nous disions n’était que fantasme, que si nous étions comme les autres nous pourrions évidemment avec les atouts de nos corps parfaits jouir nus d’une manière intense, nous saouler de caresses nous faire jouir l’un par l’autre avec nos mains, nos bouches nos langues.

J’évoquais le plaisir que j’aurais si sa main se serrait sur ma verge et décalottait mon gland, ce plaisir que je lui rendrais avec ma langue dans sa chatte, le bien qu’elle pourrait me faire quand ses lèvres charnues s’arrondiraient autour de ma hampe qui baiseraient sa bouche, nos folles chevauchées enfin où l’un dans l’autre nous pourrions mourir de plaisir.

Tout cela par respect l’un de l’autre nous ne pouvions qu’en parler et ne le faire que par la pensée. Je l’avais poussée à bout, je la sentais irritée, nerveuse, je savais son impatience aussi forte sans doute que la mienne et je sus qu’il était grand temps d’agir si je ne voulais pas voir s’évanouir la formidable amante que je pressentais en elle et la voir se soulager avec un autre.

Pour un prétexte quelconque elle me demanda de l’accompagner à son travail ce samedi ; elle avait un travail à finir, nous pourrions sortir ensemble après. Son regard était étrange, suppliant même et quand j’acceptais un sourire illumina son beau visage.

C’était un atelier de haute couture au cœur du Marais, nous étions seuls, elle m’entraîna vers une sorte de petit appartement qui jouxtait l’atelier et quand elle referma la porte sur nous elle se précipita dans mes bras me criant de laisser ma dignité et de faire d’elle ma chose, qu’enfin elle voulait faire tout ce dont nous avions parlé.

Comme folle elle me renversa sur le lit et avec une dextérité de couturière m’enleva le pantalon, le slip suivit le même chemin. Un instant en arrêt devant ma verge dressée elle s’allongea sur moi jupe retroussée, m’enfourcha et sans quitter sa culotte elle s’empala sur mon pieu. Cuisses écartées, remontant, à genoux sur le lit face à moi elle ondulait pour se branler la chatte.

Elle redressait son buste pour mieux s’enfoncer et quand elle bougeait ses fesses je sentais ma verge aller et venir dans sa grotte. Elle se mit à jouir immédiatement et je profitais de son émoi pour ouvrir son corsage et faire éclater ses seins, magnifiques ils se dandinaient devant moi et je les pris par dessous dans mes mains pour les pétrir, les faire vibrer et entre deux doigts agacer leurs pointes durcies.

Cette petite attention décupla son plaisir si j’en crus son agitation, elle se mit à geindre, les yeux dans le vague, une légère écume au coin de sa bouche tordu par l’intensité de son plaisir. Entre deux orgasmes elle pouvait me parler avant de replonger dans le stupre ; sa voix était transformée, sa dignité évanouie

« Baise moi bien ohhhh ouiiiiii, tu as été long à comprendre ! dés le premier jour tu aurais pu me baiser, si tu savais comme j’ai du me masturber en attendant ce moment Ahhhh ouiiiiii je jouis encore ahhh c’est bon.... bouge aussi toi.... pelote moi les seins.... c’est bon....je sens bien ta queue dans ma chatte.....ouiiii j’aime quand tu bouges aussi....Attend je me penche....donne moi ta bouche....embrasse moi..... c’est notre premier baiser....c’est bon....tu embrasses bien....je sens ta langue sur la mienne....je me redresse.... ne te fâche pas chéri j’en ai trop envie...attends relève toi un peu....je sors.....ne bouge pas...tu sens ma main sur ta queue ? Tu comprends ? aide moi ouiiiii ouffff ! »

Si je comprenais, elle me guidait entre ses fesses, mon gland glissait dans la raie de son cul lubrifié de son miel, elle le centrait dans son petit trou voisin et quand à nouveau elle s’assit sur mon ventre je sentis la chaleur de ses entrailles, ma verge bien serrée dans l’étroit conduit.

Ce qui suivit me laissa pantois car une formidable jouissance continue cette fois électrisa tout son corps, elle se tenait le buste droit pour bien se faire pourfendre par ma queue raidie et quand passant ma main par devant entre ses cuisses je pénétrais sa vulve avec mes doigts entre ses grosses lèvres ouvertes le pouce titillant son clitoris je crus qu’elle allait mourir de plaisir tant les mouvements de son corps devinrent heurtés, incontrôlés, ils auraient parus grotesques si nous n’étions pas si bien, dans un autre monde, celui du plaisir.

Elle était bien, moi aussi, ma verge allant et venant de toute sa longueur dans son cul arrondi sur moi, chacun s’efforçant de donner du plaisir à l’autre, elle en tordant ma verge en ondulant de la croupe, et moi par des avancées de mon ventre claquant ses fesses pour la pistonner furieusement. Je la fis jouir à plusieurs reprises, de plus en plus fort et quand sa plainte fut continue, quand ses yeux lancèrent des éclairs, quand sa respiration siffla haletante de sa bouche tordue par l’intensité de son orgasme, je fus troublé au plus haut point, ne pouvant plus résister à la montée de mon plaisir, je me tortillais sous elle en feulant, je perdais tout contrôle, elle s’aperçut de mon émoi

Ahhh chéri rejoins moi....remplis moi de ton foutre....jouis bien dans mon petit cul....si tu savais comme ta grosse queue me fait du bien.....ouiiii ....encule moi bien.....ouiiiiii….. Je sens ton jet ....je sens ton foutre qui remonte le long de ton sexe et qui nous inonde….ça glisse encore mieux Ahhhh que c’est bon...c’est bon.. c’est bon une bonne bite dans son cul....Ahhhhh ! continue… fais moi jouir encore !»

« Oui ma chérie profitons de ces instants, tu me donnes plein d’idées… tu m’inspires…. J’ai envie de toi….. je me retire…non ?...si !… tu vas aimer… fais moi confiance….reste à genoux sur le lit….penche toi bien……écarte tes cuisses…..hummmm…je suis derrière toi…. A genoux sur la moquette… Je retrousse ta jupe… »

« Déculotte- moi… vite »
« Oui je vais adorer… approches-toi…ouii….bien au bord du lit. Ecartes-toi bien… »

Je pris le temps de la déculotter, j’adore ce geste, ce moment jouissif où on met à nu ces trésors. J’ai toujours aimé les fesses des femmes, les siennes étaient parfaites, un grain de peau de pêche, rondes, ouvertes sur une raie bien dégagée. Je fis glisser sa culotte le long des cuisses avant qu’elle m’aide à l’ôter en relevant l’un après l’autre ses genoux.

« lèche moi la raie….la chatte et le cul……écarte mes fesses j’aime…..ouiiiii….continue…c’est bon…. Hummmm »

J’avais sous les yeux, au fond de ses fesses ouvertes, le fascinant spectacle des deux puits voisins déjà visités et qui en gardaient encore la trace. Entr’ouverts ils semblaient attendre les caresses de ma langue et quand elle se mit à l’ouvrage longuement, besogneusement passant d’un orifice à l’autre, elle déclencha des déhanchements frénétiques de cette croupe que j’avais de la peine à suivre.

Ce qui faisait le plus d’effet, après que ma langue largement étalée ai visité sa raie allant de la chatte, entre ses grosses lèvres, jusqu’à son anus, c’étaient les moments où le pointu de ma langue devenait indiscret et s’insérait dans sa chatte entre ses petite lèvres tout en titillant son clito avant de s’enliser bien rigide dans le puits voisin.

Sonia ne se lassait pas de ces caresses subtiles, au contraire, la raie de ses fesses était largement enduite de ma salive translucide et sa chatte et son cul s’offraient de plus en plus à ma muqueuse, son cul surtout largement ouvert où ma langue pouvait maintenant s’y enfoncer profondément avant de s’y agiter comme une folle.

Quand une de mes mains, quand mes doigts se joignirent à la fête, ce fut trop pour Sonia qui perdit pied. Tandis que ma langue s’occupait de son cul, ma main paume en l’air gobant par dessous les grosses lèvres de sa chatte, mon pouce dans son vagin, les autres doigts pinçant son clitoris gaillard, ce fut de la folie, j’avais du mal à suivre les mouvements incontrôlés de sa croupe en furie et pour rester maître de la situation je me relevais et d’un coup, sans préparation aucune c’est mon sexe qui remplaçant ma langue empala son cul la clouant sur moi.

Les mains sur ses hanches je l’attirais vers moi, je lui pris les seins qui dodelinaient au rythme de mes assauts. Dans toutes ces péripéties j’étais nu et je pouvais admirer ce corps de rêve, ces fesses mises en valeur par la position et sa taille fine qui ondulaient sous mes coups de boutoirs. Je pouvais voir ma verge disparaître dans son fondement serré sur elle.

Comment avais je pu penser à une bécasse pour cette jeune femme jouissive, j’étais tout attendri de pouvoir la faire jouir si fort, c’est la fierté des hommes de donner du plaisir à celles qui savent se donner sans réserve, sans tabou, des femmes qui n’ont pas honte de jouir et de le montrer. Finalement c’est elle qui m’avait chassé depuis le début et elle était arrivée à ses fins pour notre plus grand plaisir.

Je fus vraiment comblé quand se dégageant, à genoux devant moi, elle prit mon sexe en main et après lui avoir fait une toilette sommaire avec sa petite culotte qui traînait à proximité elle le présenta vers sa bouche. Je vis sa langue rose entre ses lèvres ouvertes ; incroyablement par petites avancées elle engama ma verge en entier, une main sous mes couilles et n’eut de cesse que ces allers et retours onctueux viennent à bout de ma résistance.

Elle sentit venir l’instant où j’allais éjaculer et là, le regard fixé sur mon gland qu’elle découvrait à chaque branlée, bouche ouverte elle m’astiqua la hampe d’une main énergique pour prendre toute ma semence entre ses lèvres, sur son visage et se faire éclabousser jusque entre ses seins.

Je revois encore son air triomphant elle me vit grimacer de plaisir, les yeux perdus et quand elle me fit jouir ainsi sur elle, avec sa langue elle bu mon foutre et avec ses mains étala ma liqueur sur son buste.
« Alors des regrets chéri ? »
« Non chère amie et le désir de recommencer ! »
« Ce sera facile maintenant que tu connais mon tempérament et que je connais ta véritable personnalité....et ta belle queue ! »

Oui ce fut facile et des mois durant, jusqu’à ce que nous gagne une lassitude venant de l’habitude toujours néfaste en amour, nous nous en payèrent, chez moi, chez elle, partout et en particulier dans les transports en commun où à l’insu de tous nous arrivèrent à des sommets de plaisirs épicés par l’incongruité de ses gestes interdits.

Plaisirs interdits mais oh combien jouissifs de se caresser dans la foule anonyme des usagers des transports en commun. Elle avait ménagé une petite ouverture dans sa jupe et je n’avais aucun mal à y introduire ma main, à glisser mes doigts entre ses cuisses. Pour ma part je laissais ouverte ma braguette pour qu’elle puisse me rendre mes caresses.

Nous nous regardions alors intensément guettant les signes du plaisir qui imperceptibles pour nos voisins se lisaient sur nos visages. Souvent nous réussissions à mieux nous isoler dans un coin et nous pouvions donner libre cours à des jeux plus subtils, elle sortait ma queue et en retroussant sa robe je pouvais glisser mon dard entre ses cuisses.

Sans la complicité active de ma chérie je n’aurais jamais réussi, quelques fois, à la baiser debout. Nous devions alors rester impassibles en jouissant formidablement. Au fil des mois ma Sonia se révéla plus vicieuse que moi et je commençais à deviner qu’elle prenait du plaisir ailleurs, avec d’autres. Cela ne me dérangeait nullement et je la retrouvais de plus en plus inventive.

Cela commença un soir dans le train du retour, comme à notre habitude nous nous caressions, je la sentais un peu distraite et je compris la cause quand éberlué je sentis une autre main que la mienne forniquer sous sa culotte, un coup d’œil me révéla le charmant jeune garçon qui opérait de la sorte, il semblait très gêné alors qu’il aurait du se réjouir le bougre.

Je compris son émoi car c’est Sonia qui lui prenant la main l’avait guidé entre ses cuisses, j’acceptais la concurrence qui venait pimenter nos ébats et abandonnant le devant à mon rival je passais en arrière je lui pris les fesses et d’un doigt je lui fis une petite enculette dans son mignon petit anus qui parut apprécier.

Si j’en crus les ondulations de la croupe de ma compagne le jeune éphèbe devait avoir pris de l’assurance et dans la raie du cul que nous occupions tous les deux je sentis l’araignée de ses doigts triturer la chatte offerte. Cette situation hors norme troubla au plus haut point la femme qui s’offrait ainsi et elle eut du mal à rester de marbre ; moi qui la connaissais bien je vis qu’elle jouissait intensément et quand elle poussa un petit cri attirant sur elle les regards des voisins le jeune homme et moi battirent en retraite abandonnant ces lieux de délices.

Quand nous nous retrouvèrent tous les deux sur le quai elle me regarda fixement guettant ma réaction
« Je n’ai pu résister, il était trop mignon, j’ai pris sa main et il m’a laissé faire ce petit ange, si tu savais comment par son inexpérience il a su me faire jouir ? »
« J’ai vu ! »
« Tu es fâché ? »
« Tu m’étonneras toujours, j’étais troublé moi aussi, tu me révèles une situation nouvelle »

« Que tu as appréciée dis tu ? »
« Avec du recul, oui je crois ! »
« tu n’es pas jaloux ? »
« C’est difficile à dire et pourtant si cela nous permet de vivre des moments encore plus riches en sensations, pourquoi pas ! »

« Tu es formidable, c’est des réactions comme celles ci qui font que j’aime rester avec toi ! »
« Tu aimes mes réactions mais moi m’aimes tu un peu ? »
« Jusqu’à présent j’ai compris qu’avec moi c’est du plaisir que tu cherchais, »
« C’est un peu vrai, et toi ? »
« Moi aussi, du plaisir, de la connivence, de l’amour cela doit se voir ! »

« Tu es mignonne je t’aime comme tu es ! »
« Merci, si tu veux, quand l’occasion se représentera nous referons ce que nous venons de faire »
« L’occasion se représentera t’elle ? »
« Espérons »

Sur ces paroles d’espoir, elle se planta devant moi et m’embrassa fougueusement, jamais jusqu’à présent je ne l’avais sentie si excitée. La suite montra que je n’avais encore rien vu.

C’était devenu une habitude maintenant, serrés comme des sardines dans les compartiments bondés nous nous arrangions de côtoyer des jeunes gens, elle avait le chic pour détecter ceux qui entreraient dans notre jeu, ceux bien de leur personne qui se laisseraient faire par l’attirante sirène.

Son audace n’avait plus de bornes, après avoir guidé leur main sous sa culotte, comme avec moi elle sortait leur verge et lui faisait subir mille agaceries. Quand elle les branlait je scrutais leur visage guettant l’instant où elle viendrait à bout de leur résistance, quand leur souffle devenait court et que leurs yeux se troublaient et qu’ils devaient en jouissant en silence éjaculer entre ses doigts.

Il y eu vite des habitués, ils comprirent assez rapidement que la belle chassait en ma compagnie, qu’ils n’avaient pas à craindre ma présence et souvent nos mains se rejoignaient dans la raie humide de Sonia. Notre préféré était le jeune homme qui le premier avait eu les faveurs de ma partenaire, il prenait de l’assurance et souvent je devais céder ma place à l’arrière lui laissant les fesses qu’il semblait apprécier.

Il devait se défendre car il mettait Julie dans des états d’excitation extrême. Un soir alors que nous arrivions en gare je fus stupéfait d’entendre Julie lui faire une proposition
« Merci jeune homme, seriez vous contre de nous rejoindre samedi chez moi, nous ferions plus ample connaissance ? »
« Vous deux ? »
« Oui nous deux, n’est pas ? » elle s’adressait à moi, demandant mon avis sur cette proposition que je n’avais imaginée possible

« Tu sembles y tenir ! »
« Alors ? cela vous tente ? »
« Evidemment mais que ferons nous ? »
« Ce qui nous semblera bon.... »
« Tous les trois ? »
« Pourquoi pas, nous seront mieux que dans ce train ! Voici ma carte pour l’adresse ! Nous vous attendons samedi à quinze heures ! Vous viendrez ?»
« J’aurai préféré être seul avec vous ! »
« Oui mais moi je désire être avec vous deux, c’est à prendre ou à laisser, je pense que vous ne regretterez pas votre visite.. »
« Je viendrais, j’en ai envie, j’ai envie de vous ! »

Nous arrivions, le jeune homme s’éloigna rapidement
« Mais quel cirque prépares tu encore » dis-je dépassé par les événements
« Je ne sais pas, c’est venu d’un coup, je n’ai rien prémédité, je venais de le faire jouir j’avais encore sa belle queue toute lisse dans ma main, c’est sorti comme ça, excuse moi »
« Tu aurais pu m’en parler ! »

« L’idée te déplaît ? Tu peux si tu veux ne pas venir ! »
« Gentille idiote, cela m’excite au plus haut point ! »
«C’est ce que je pensais, je te connais bien tu sais, cela va nous changer du petit train-train habituel, il me semble que cela te pesait un peu ! On va pouvoir donner libre cours à notre imagination. Un jour peut être je pourrais faire venir une amie, j’en connais des très chaudes ! »
« Une partie carrée, décidément tu m’étonnes encore plus qu’à l’habitude ! »
« C’est pour mieux jouir mon enfant ! »

Nous partirent dans un fou rire partagé, la tête remplie de projets fumeux. Toujours est-il que le samedi suivant, à quinze heures pile, il était là, à notre porte, un bouquet de roses rouges à la main.

Je venais d’arriver chez elle avec un peu d’avance sur mon, comment dirais je, concurrent ? partenaire ? Enfin peu importe, il était là, un peu godiche avec son bouquet, godiche mais bien de sa personne, jeune, bien musclé, un beau visage. Sonia nous fit face en souriant, elle avait revêtu un peignoir soyeux, que cachait- il ?

« J’espère que nous allons bien nous amuser ! » nous dit elle et comme naturellement sans la moindre gêne, face à nous, paumes en avant elle nous saisit sur le pantalon, par dessous, nos deux paires de couilles. Avec une délicatesse extrême elle mit tout son savoir dans ses caresses, ses doigts effleurant nos verges prisonnières de nos pantalons et de nos slips. La caresse était malgré ces gênants remparts assez jouissive.

« Je sens que vous commencez à bander messieurs, comment trouvez vous mes mains ? »
Je bredouillais « pleine de doigts ! »
« Oui et vous ? » elle s’adressait à mon compagnon qui commençait à s’offrir à cette main qui l’affolait. Le vous interrogatif appelait une réponse qu’il eu lui aussi bien du mal à sortir
« Moi c’est Paul, votre main, je sais son pouvoir, vous m’avez fait jouir plusieurs fois déjà avec elle, mais que faites vous ? »

Avec son habileté habituelle elle s’activa et nos pantalons tombèrent à nos pieds, nos slip avaient du mal à masquer notre émotion et malgré leur présence les caresses devinrent beaucoup plus précises, je sentais ses doigts virevolter sur ma

verge en pleine érection maintenant et quand d’un coup elle mit nos ventres à nu, c’est deux braquemards qui se dressèrent agressifs devant elle.

Mais déjà Sonia était à nos pieds, à genoux, et sans qu’aucun de nous deux fut délaissé, un sexe dans chacune de ses mains elle commença à nous branler, elle alternait ses caresses passant de la hampe aux génitoires, allait et venait sur nous pour revenir en enfonçant sa main entre nos cuisses dans la raie du cul, bientôt elle porta nos sexes à sa bouche, les inondant de salive nacrée.

Elle nous avait approché l’un de l’autre et je pouvais voir la queue de mon acolyte se vautrer dans la bouche de Sonia , sa langue tourner autour de son gland, lui voyait ma verge luisante serrée dans une main qui l’astiquait. Il était bien monté, sa bitte était bien lisse, la peau cachait son gland. L’instant d’après c’est moi qui baisais la bouche vorace de notre amante et la main qui décalottait son gland.

Je n’en cru pas l’imagination de notre hôte qui prit nos deux verges ensemble dans sa bouche et j’eus un peu honte de sentir ce sexe d’homme serré contre le mien.
« Mettez vous nus messieurs mes amants pendant que je continue à vous exciter ! »

Décidément Paul était bien foutu, un corps svelte, lisse, une poitrine bombée, un ventre plat qui mettait en valeur son sexe dressé, énorme, lisse, décalotté, orné sur le ventre d’une toison rase parfaitement entretenue. En un mot, malgré mes atouts ce jeune homme me faisait de l’ombre et je voyais bien que ma Sonia le détaillait avec intérêt.

Tout les deux nous nous activions entre ses lèvres, Sonia nous attirait vers elle, une main passée entre nos cuisses, elle branlait doucement d’un doigt mon anus et je concluais que mon double avait le même traitement de faveur si j’en croyais son air réprobateur au moment de l’introspection. Puis comme moi il apprécia ce qui nous faisait bander davantage.

Quand Sonia se leva et que debout elle ouvrit son peignoir nous restèrent un instant figés, médusés devant l’érotisme de son corps et de ses atours. Les seins nus, dressés, le sexe à peine caché d’un string translucide laissant libres les fesses oblondes, ses jambes gainées à mi cuisses d’une paire de bas noirs. C’est Paul qui le premier sorti de notre retenue
« Sonia vous êtes merveilleuse ! »

Elle quitta son string gracieusement et se retourna lui présentant ses fesses et elle se frotta sur lui en ondulant son bassin et sa croupe, je pouvais voir sa verge coulisser entre les deux volumes, elle m’attira vers elle et rabattant ma queue elle la glissa entre ses cuisses serrées. Paul par derrière lui avait pris les seins et nous restèrent ainsi en nous caressant, profitant les uns des autres.

Quand elle se tourna les rôles s’inversèrent et j’appréciais à mon tour sa croupe et ses seins. Je faisais aller et venir mon pénis entre ses fesses qui virevoltaient autour de lui, en me baisant un peu mon gland parcourait ce canyon enchanteur et jouissif du bas du dos à l’entre cuisses, là il retrouva la verge de Paul qui s’y vautrait, seul le plaisir qui me tenait aux entrailles me décida à cette cohabitation hors de ma nature, cela par contre n’avait pas l’air de gêner Paul, tout à son affaire.

C’est presque naturellement comme à l’habitude, que mon gland trouva son chemin, délaissant l’entre jambes il se centra sur l’entrée de la chatte humide de Sonia et je n’eus qu’à me redresser un peu pour emmancher mon sexe jusqu’à la garde dans sa grotte.

Alors elle commença à s’énerver, sa vulve centrée sur mon nœud elle délaissa le sexe de Paul en écartant ses cuisses pour profiter pleinement de mes assauts, je l’entendis lui demander de s’asseoir sur la chaise et se pliant en avant elle reprit sa queue mais dans sa bouche. Moi derrière elle j’étais mieux pour la baiser, les deux mains sur sa taille je l’attirais vers moi et la repoussais pour faire aller et venir ma verge de toute sa longueur dans la chatte de Sonia qui commença à jouir.

A un moment je sentis une main me palper les parties et ne pus dire si c’était celle de Sonia ou celle de Paul. Finalement peu importait tant elle mettait du cœur pour mon plaisir, elle pétrissait savamment mes génitoires et quand je sortais ma queue me serrait ma hampe à la base. C’est elle maintenant qui réglait la cadence des pénétrations et ravis je la laissais me surprendre par ses fantaisies, elle sortait ma queue pour mieux la replonger dans la chatte impatiente de la recevoir.

Puis elle me guida autrement et je compris quand de nouveau je m’enfonçais qu’elle m’avait fait changer de trou, délaisser la douceur de la vulve écartelée pour l’étroit conduit de l’anus. Alors ce fut de la folie, j’entendis Paul qui râlait il devait jouir dans la bouche qui le suçait, la main diabolique me quitta à cet instant et je mis les miennes sur sa taille creusées de Sonia.

Les yeux fixés sur ses fesses qui se trémoussaient comme des folles je repris mon activité en enculant durement le gouffre bistre qui amadoué me serrait dans son anneau musculeux. Nous entendions le claquement de mon ventre sur ses fesses et le léger sifflement de son cul à chaque introspection. Sonia s’affaissa, elle pliait les genoux et je la suivis pour rester en elle, je compris l’incroyable manœuvre quand elle s’assit sur les genoux de Paul et que je sentis au voisinage de ma verge dans l’intimité de Sonia la verge de Paul qui allait et venait dans sa chatte. Tous les trois nous nous mirent à jouir en même temps et quand j’éjaculais entre ses fesses elle poussa un cri de bête en rut la chatte pleine du foutre de Paul.

Comme folle, le regard flamboyant elle mena la danse, redressée, debout, elle me tira vers le lit où elle me renversa sur le dos, elle s’installa face à moi à califourchon et me prenant la verge se l’introduit dans la chatte en s’agitant en tout sens, malgré mon émoi à cet instant je voyais Paul dépité debout dans la travée du lit la queue en drapeau et j’eus l’inspiration d’un signe de lui dire de venir.

Il mit un moment à comprendre, son sourire revint alors et il monta sur le lit, à genoux derrière nous il se fit bien comprendre de Sonia, la ployant vers moi, ce qui me permis de lui brouter les seins dans ma bouche et lui relevant les fesses il s’approcha et après un long moment de recherche il sembla avoir réussi et je compris ce qu’il avait cherché à faire quand je sentis de nouveau dans le ventre où ma queue opérait pour mon plaisir et celui de Sonia une queue voisine qui ahanait cette fois dans le derrière voisin.

Nous étions en place pour jouir tous les trois, c’était notre amante la mieux servie par cette double pénétration, une grosse queue dans ses deux trous voisins entre ses cuisses, elle avait perdu sa raison dans le plaisir intense que complices maintenant Paul et moi nous nous efforcions de faire durer.

Nous la firent jouir ainsi à plusieurs reprises c’était de plus en plus fort et je devais me retenir pour ne pas me laisser aller à jouir moi aussi. Dans cette position sommes toute inconfortable nous arrivions malgré tout à faire aller et venir nos queues dans leur étuis respectifs à un moment pourtant ma verge sortit de son gîte, dans sa chatte je vous le rappelle et je cherchais en vain à me recentrer.

L’incroyable se produisit alors quand Paul me prit la verge dans sa main, je crus même qu’il me caressa un instant pour la refaire durcir et je me sentis guidé et en poussant je pus de nouveau rejoindre l’intimité de Sonia qui après avoir poussé un petit cri sembla satisfaite de mon retour. C’est alors que je compris que Paul et moi étions tous les deux ensembles dans sa chatte béante.

Paul avait abandonné l’anus où il opérait pour plonger avec moi dans la vulve abandonnée. Je sentais sa verge contre la mienne, Sonia écartelée, morte de plaisir dans mes bras, ses tétins durcis entre mes lèvres, alors là rien ne pu empêcher la montée inexorable de mon plaisir, je me laissais aller et dans un grand cri j’explosais répandant ma semence dans le vagin de notre amante.

Paul sortit le premier, gavé de plaisir et d’une manière incompréhensible je pris sa verge dans ma main et je le branlais doucement à la même cadence que ma queue dans la vulve de Sonia. Il resta dans ma main qui allait et venait sur lui, je le surpris à gémir quêtant en avançant le ventre des caresses plus énergiques, je le branlais alors franchement en maintenant sa verge entre les fesses de Julie et je sentis son foutre gonfler sa verge et souiller la raie du cul de Julie où il se vautra en gémissant .

Il devint alors comme fou, il nous prit par dessous nous laissant l’un dans l’autre, il nous bascula fesses en l’air et avant d’avoir le temps de réagir il s’avança et ployant sa queue l’incroyable se produisit car sans ménagement il enfonça sa verge dans mon cul offert.

J’étais mal placé pour me défendre et le temps de réagir je fus envahi d’un sentiment de plénitude, sa verge lubrifiée de nos foutre coulissait grassement dans ma tripe et j’avoue que dans la situation que nous venions de vivre tous les trois rien ne pouvait me choquer, je me surpris tout en continuant de baiser de m’ouvrir sur cette queue qui me perforait en ajoutant à mon plaisir. Si on m’avait dit cela avant ce jour je n’aurais pas cru que je me laisserais ainsi remplir l’anus par une verge fut elle lisse comme celle d’un enfant.

C’est encore Julie qui prit des initiatives, nous nous désengagèrent et se retournant dos tourné, pliant ses jambes elle s’assit sur mon visage, sa chatte à portée de ma bouche, Paul debout sur le lit face à elle se laissa prendre la queue qu’elle prit dans sa main pour la porter entre ses lèvres. Elle fit en sorte qu’avec ma langue j’entre dans sa chatte encore dilatée et pour me rendre le plaisir que je lui procurais elle me prit la verge et me branla affectueusement.

Cette fois nous jouirent tous les trois en même temps inondant tout de notre semence, Sonia sur ma bouche, Paul dans celle de Sonia, moi entres ses doigts.

Après un moment, le temps de refaire surface nous nous retrouvèrent tous les trois tout nus, dégrisés presque honteux d’être ainsi réunis dans cette tenue. Avec Paul nous n’osions nous regarder après les attouchements contre notre nature où l’excitation nous avait entraînés.

« Merci messieurs, j’ai passé un bon moment grâce à vous, j’espère que vous aussi vous avez bien profité de moi, de ma chatte et de mon petit cul que vous n’avez pas snobé, maintenant un peu de remontant j’ai préparé un petit en cas pour nous, une condition, on mange à poils, je veux profiter de voir les corps qui ont su me faire jouir si fort et si souvent. A table messieurs ! »

L’en cas était délicieux, nous mangèrent tous les trois joyeusement, en pensant à la bonne partie que nous venions de faire. J’avais un peu mal au cul, rien de bien grave. Julie qui s’était installée entre nous deux nous servait copieusement de mets épicés le tout abondamment arrosé si bien qu’au bout d’un moment l’ambiance remonta d’un cran.

Notre Julie un peu partie recommença à s’exciter, les deux mains sous la table elle avait reprit nos verges et elle n’eut aucun mal à nous faire bander. A un moment elle eut l’idée apparemment saugrenue de prendre le paquet de beurre à deux mains pour s’en oindre ; mais quand elle reprit notre virilité nous apprécièrent l’amélioration de la caresse, nous aurions sans doute juté dans ses mains si elle n’avait organisé d’autres réjouissances.

Elle pria Paul de s’agenouiller sur le divan et de bien mettre ses fesses en évidence. Paul un peu ivre comme moi était prêt pour toutes les fantaisies. Julie se mit à lui caresser les fesses ouvertes par la position, ses mains beurrées glissaient sur sa taille, sur ses fesses, de temps à autre elle reprenait le paquet qui fondait dans ses mains.

Paul commença à s’agiter quand passant sa main par dessous entre ses cuisses elle s’amusa avec ses couilles et sa verge. Debout près d’eux j’étais un peu gêné, un peu voyeur, beaucoup jaloux de ce traitement de faveur. Julie l’enduisait de beurre, ses fesses, son sexe, la raie de son cul, et comme naturellement pointant son index elle l’enfila dans le trou de balle de Paul qui surprit poussa un petit cri.

Je voyais ce doigt aller et venir facilement maintenant dans l’anus de Paul et cela n’avait pas l’air de lui déplaire si bien qu’il ne dit mot quand elle l’encula avec deux doigts cette fois. C’est alors que je compris la manœuvre, elle s’était équipée d’un sexe ceinture, serré sur sa taille et qui maintenait un énorme sexe de plastique tout noir de forme tourmentée, nervuré avec un gland décalotté.

« Pierre guide moi… guide moi entre ses fesses…… »

Envouté je fis ce qu’elle me disait et présentait le bout du gland factice en bonne position. Je la laissais faire et horrifié je vis que d’une brutale poussée elle glissa son gland dans l’anus beurré de Paul.

Paul coincé ne pouvait bouger, le voulait il ? il ne fit aucun effort pour se dégager. Moi je pensais qu’après tout une fois dans sa vie on pouvait se laisser aller à une petite entorse à ses principes d’hétéro, Julie s’activait sur lui le prenant par les hanches je vis sa croupe s’animer de plus en plus vite, de plus en plus fort, je voyais l’énorme hampe aller et venir pour enfin disparaître entre les fesses de Paul emmanchée jusqu’à la garde dans son cul.

Puis tout en continuant de l’enculer, passant sa main graisseuse par devant elle saisit son membre et le branla énergiquement….j’avoue qu’à cet instant j’aurais voulu être à la place de Paul. J’étais là, près d’eux, pantois, jaloux, voyeur.

Que faire pour profiter moi aussi de Sonia ? Pour me joindre à eux, pour jouir moi aussi ? Je me mis debout sur le canapé en enjambant la tête et le dos de Paul, face à Sonia en pleine action. Elle me vit, elle vit ma queue dressée et quand je lui intimais l’ordre de la prendre en main elle ne se fit pas prier.

En main d’abord pour me branler la queue puis en se penchant vers moi la prendre enfoncée à fond dans sa bouche, en m’aspirant, les joues creusées. Je lui pris les seins qui se dandinaient les prenant par-dessous pour les peloter vigoureusement avant entre deux doigts de tirer sur leurs pointes

Je ne sais si vous voyez le tableau Paul en position de levrette sur le canapé, Sonia debout derrière lui fourrant son cul avec l’énorme godemichet sombre ceint sur sa taille tout en lui branlant la verge, et moi debout devant eux la verge dans la bouche de Sonia, mes mains sur la pointe de ses seins. Cela dura le temps où nous purent nous retenir de jouir mais quand ce moment arriva pour nous trois en même temps ce fut merveilleux, chacun s’efforçant de rester en place pour faire durer cet instant.

Mais cette fois ce fut comme un cataclysme nous ne purent garder la position académique qui nous faisait tant jouir, nous nous écroulèrent enchevêtrés les uns dans les autres en nous caressant en nous branlant les uns les autres jusqu’au moment où épuisés nous nous assoupirent.

Quand nous refirent surface la nuit était venue, nous étions nus tous les trois en bonne forme malgré toutes nos incartades, Julie adorable mettait un peu d’ordre et entreprit de réparer les dégâts et les salissures du divan, joyeuse cependant, reconnaissante sans doute des attentions que nous avions eus pour elle elle s’activait avec une éponge sur le sky des coussins
« Heureusement que ce n’est pas du tissu, avec votre semence il serait foutu ...vous en avez mis partout, ce ne sont pas des bittes que vous avez mais des pommes d’arrosoir... » et elle se mit à rire de cette comparaison.

Nous la regardions Paul et moi s’activer elle passait partout avec son éponge sans se douter qu’a genoux sur le canapé elle nous offrait le plus merveilleux, le plus excitant des spectacles ; ses fesses nues offertes à notre convoitise, ses cuisses entre ouverte entre les grosses lèvres de sa chatte que l’on devinait tapis dans sa fourrure.

Je regardais Paul, il avait une trique d’enfer comme la mienne. A mon regard il se cru autorisé à agir et je le vis s’approcher de cette croupe virevoltante, prendre la taille gracile et sans ménagement enfoncer son dard dans la chatte de notre amante. Julie parut surprise mais se laissa baiser, en fait n’était ce pas ce qu’elle attendait ? elle devait bien se douter que nous ne serions pas insensibles à cette position de levrette si commode et si jouissive pour s’emmancher.

J’enviais Paul, il avait l’air de se régaler, il était bien monté le salaud, ce concurrent choisi par Julie pour émoustiller nos ébats, il en profitait, tout les deux seuls au monde du plaisir avec moi comme simple voyeur. Non ce ne pouvait se passer ainsi, je me souvins alors d’une remarque de Rocco Syfrédi disant à un journaliste que pour bien baiser il fallait des bonnes jambes plus qu’un gros sexe. Il pouvait le dire ce salaud qui avait les deux.

La suite s’imposa à moi évidente, je grimpais sur le canapé et m’installais à califourchon entre les fesses de Julie et le ventre de Paul, l’espace était restreint mais suffisant surtout au moment où je du reculer un peu pour que mon gland contourne les fesses mais quand après l’avoir centré sur l’anus je le fourrais nous furent tous les trois bien à notre aise, le jeu de jambes je l’avais et il me fut bien utile pour aller et venir dans l’étroit conduit.

Paul devait se pencher en arrière mais parvenait lui aussi à enfoncer son sexe jusqu’à la garde à l’étage inférieur. Moi penché en avant j’avais pris les seins durcis. Julie se mit à jouir, elle était bien servie, penchée en avant la tête dans les coussins elle se mit à divaguer

« Ahhh oui, bravo les enfants, baisez moi bien , prenez bien ma chatte prenez bien mon cul.....ouiiiii....bien ensemble....ahhhhfff ....bien à fond...... je n’ai jamais joui autant.....vous sentez ma main sur vos couilles....elles sont bien remplies de foutre....aller faîte moi une bonne injection....c’est bon savez vous de se faire arroser....j’aime les jets puissants de foutre dans ma chatte...dans mon cul....pétris moi les seins....plus fort....je jouis aussi par là ! continuez... n’arrêtez pas je veux jouir jusqu’à m’écrouler de fatigue.... ouiiii ... cela me reprend...j’ai des étoiles dans les yeux.... »

Nous la faisions bien jouir Paul et moi, chacun de nous centré sur les puits de son plaisir. Après toutes les péripéties notre plaisir tardait, lui, à venir, nous n’en étions néanmoins pas privé, car de faire aller et venir nos queues raidies dans des gouffres accueillants est déjà une activité jouissive et le glissement de nos muqueuses une sensation des plus agréables.

Cela nous permis de durer, de faire jouir notre Julie de nombreuses fois avant qu’elle ne s’écroule ivre de fatigue. Cela fini comme cela avait commencé, assise face à nous elle avait repris nos sexes et avec ses mains, avec sa bouche, ses lèvres, sa langue, s’occupant à tour de rôle ou ensemble de nos deux queues elle réussit l’exploit de nous faire éjaculer ensemble dans sa bouche ouverte à portée ne nos glands, arrosant son visage, éclaboussant ses seins de notre semence.

Nous n’en pouvions plus, tout les trois, vidés avec un léger mal au cul, nous eurent du mal à nous laver ensemble sous la douche, nous nous séchèrent mutuellement, habillés nous allions sortir après avoir bécoté Sonia, la plus fraîche de nous trois et avant de fermer sa porte sur nous nous confia

« La prochaine fois j’inviterai une amie, vos verrez c’est un sacré numéro ! »

Nous nous regardèrent avec Paul, en cet instant cette perspective était un peu comme un mets délicieux devant des convives repus, gavés de nourriture, peu attrayants, mais nous savions combien ce mets succulent est apprécié le lendemain quand l’appétit est revenu et cela nous fit sourire
« Tu seras d’accord Pierre, pour nous deux ? »
« Nous ne seront pas trop de deux, si la copine est comme il est dit ! »
« Chao ! ! »
« Chao, à bientôt j’espère ! »

C’est au début de l’été que la petite fête fut organisée, nous continuions de nous amuser dans les transports en commun, Paul participait ainsi que d’autres jeunes gens attirés par les formes de l’insatiable Sonia.
Paul et moi, nous arrivèrent en même temps dans l’appartement de notre maîtresse, elle n’était pas seule et comme elle nous l’avait promis une autre femme était là. Elles se levèrent toutes les deux pour venir souriantes à notre rencontre

« Messieurs je vous présente mon amie Agathe, Agathe ! Pierre et Paul les deux amis dont je t’ai vanté les mérites »
« Je vois que tu n’as pas menti, ils sont virils comme je les aime »

Nous dévorions la nouvelle venue des yeux, c’était un sacré châssis, grande, une belle rousse, sa tenue vestimentaire estivale était propice à l’examen de son corps que l’on devinait pulpeux, des seins généreux, des fesses biens galbées, des jambes longues, ce qui frappait aussi et surtout c’était son visage, son regard. Elle aussi nous détaillait, nous jaugeait et j’eus l’impression qu’elle n’était pas déçue

« Alors vous avez fini de nous reluquer, je sais que nous allons nous plaire »

Nous étions très excités et quand nous installèrent les deux poupées à genoux côte à côte sur le divan, très dociles elles se laissèrent faire. Je m’étais installé derrière Agathe et sans un mot je relevais sa jupe vaporeuse dévoilant ses fesses masquées par une adorable culotte brodée ; je baissais cet excitant rempart à mi cuisses et mouillant de salive mes doigts je passais ma main sous l’arc de ses cuisses empaumant sa chatte.

La salive s’avéra inutile car elle était déjà toute mouillée de son miel. Je laissais mes doigts aller et venir entre les grosses lèvres de sa vulve et je la pénétrais avec facilité. Je compris qu’Agathe appréciait ce préambule car elle commença à onduler. A mes côté Paul n’était pas inactif et faisait à Sonia les mêmes caresses.

On peut faire jouir une femme avec sa main, avec ses doigts, c’est facile on laisse le plus long aller et venir dans la vulve, les plus petits en avant titillent le clitoris caché dans l’écrin des petites lèvres et on garde le pouce pour l’anus voisin, on se garde de l’introduire trop vite, on attend que le besoin vienne, on le presse doucement, on l’amadoue en le mouillant du sirop puisé à la source voisine, et cela vient naturellement souvent c’est l’anus qui s’empale sur le plus gros des doigts, le plus court aussi mais qui bien enfoncé joue un rôle essentiel.

Si en plus avec la main libre vous agacez la taille nue pour faire tressauter la belle multipliant les sensations ou si la passant par devant vous soupesez les seins encore prisonniers dans le corsage vaporeux pour voir si votre partenaire peut jouir par la caresse de ses seins, le plaisir doit commencer à naître au creux de ses reins, cela vous remplit de joie et d’espoir et votre membre se dresse prêt pour des attouchements plus substantiels.

De temps à autre on retire sa main pour caresser l’intérieur des cuisses, là où la chair est tendre, le duvet électrique ; l’expérience m’a montré que toute cette zone qui va du genou jusque en haut des cuisses est particulièrement sensible, on frôle simplement, on va d’une cuisse à l’autre, en remontant dans l’arc des jambes les doigts peuvent s’insinuer dans le pli de l’aine entre la chair, les grosses lèvres et la naissance des fesses et là on replonge ses doigts dans la chatte, le pouce retrouve sa place dans le fondement qui s’offre de plus en plus.

Sonia n’avait pas menti, Agathe se révélait sensible à mes attentions. C’est un bonheur pour un amant d’avoir une partenaire qui réagit et qui montre son plaisir, qui vous guide pour d’autres escalades vers la jouissance suprême, vers l’orgasme dont elle rêve. J’avais sous les yeux le spectacle fascinant d’une merveilleuse paire de fesses, bien rondes, fermes, avec une finesse de peau incomparable, un raccord parfait avec les cuisses entre ouvertes. Légèrement écartées je pouvais voir entre les deux lobes une raie profondes qui ne cachait rien des orifices tant convoités.

Agathe devait avoir un système pileux très développé mais parfaitement maîtrisé si j’en crois le léger liseré de poils ras ornant le fond de la raie des fesses, il était régulier bien taillé et contournait gracieusement l’anus pour reprendre son cours jusqu’à la chatte où il s’épanouissait tapissant les grosses lèvres de son sexe tout en laissant libre la faille rose de sa vulve. Charmant tableau, ornement aphrodisiaque pour moi sans cacher l’essentiel.

Agathe gémissait maintenant, sa croupe ondulait, il fallait donner ce qu’elle attendait maintenant avec impatience, il faut savoir respecter les besoins de sa partenaire de plus en plus impérieux, malhabiles ceux qui ne respectent pas le tempo du désir. D’un geste j’avais dégrafé mon pantalon qui tomba à mes pieds, avec un peu d’aide je me débarrassais de mon slip à mi cuisses.

Mon braquemard surgit dressé, énorme, raidit par le désir, tendu vers ce qui l’attirait, je le présentais entre les rotondités. Là aussi il faut du tact que seul l’expérience nous apprend, il faut prévenir de sa présence en lui faisant parcourir la raie des fesses , faire glisser son gland en s’attardant sur les deux choix possibles, faire comprendre par où l’on veut commencer.

J’ai la chance d’avoir un ventre extra plat, une verge très longue bien développée ce qui me permet en écartant bien les fesses de ma partenaire de jouir du spectacle, cela est un avantage pour moi et cela me permet de joindre à la sensation le plaisir des yeux.

Malgré l’attirance naturelle que j’ai pour le cul j’étais centré entre les grosses lèvres poilues du sexe et par de faibles mouvements de mon bassin seul le gland la pénétrait, j’entrais et sortais et durant de longues minutes ce fut la seule et légère pénétration , légère mais rapide, de plus en plus vite, je boutonnais sa chatte et mon gland décalotté forçait l’entrée à l’aller comme au recul dilatant son vagin.

Je fus heureux de voir qu’Agathe appréciait ce préambule que je sais irrésistible pour celle qui aime baiser, elle se mit à geindre, à chanter son plaisir à agiter ses fesses pour tenter en vain d’empaler sa vulve sur ma verge. J’avais le contrôle de la situation et ne perdais rien du spectacle.

Ses cris devinrent si forts que nos voisins qui eux aussi forniquaient devaient se demander ce que je pouvais faire à Agathe pour la rendre si réceptive et je lus dans le regard de Sonia une ombre de jalousie, elle en prenait plein son cul pourtant et Paul en sueur s’appliquait a bien la fourrer.

Je poursuivais mes petites enculettes mais avec une lenteur calculée j’augmentais l’amplitude des pénétrations, je fixais son trou de balle dans son atoll de poils qui le cernait comme un œil, pourtant libre il s’ouvrait spasmodiquement au rythme de ma verge dans son conin.

Je le fixais et cet œil borgne semblait m’encourager par ses pulsations. Je compris le moment où il fallait enfin tout donner et Agathe poussa un grand cri quand d’un coup je m’enfonçais à fond, mon ventre claquant ses fesses. Je l’avais prise par la taille pour mieux la servir, et aussi pour museler les soubresauts de son corps déchaîné.

Comme j’aime ces femmes qui jouissent sans réserve, sans pudeur et je sus la garder dans le plaisir en entrant et sortant ma queue de son puits. Mon sexe énorme, dressé, toujours en bonne position pour la fourrer il se recentrait facilement seul, dérapant quelques fois pour riper inexorablement dans la vulve lubrifiée.

En m’appliquant j’arrivais même à frôler le clitoris avant de plonger. L’effet sur Agathe ne peut se décrire tant son orgasme fut long et puissant, au plus fort de son plaisir je l’entendis hurler m’intimant l’ordre de lui prendre le cul.

Malgré l’envie qui me tenaillait depuis le début je résistais tout en continuant de la rendre folle mais sans crier gare, au bout d’un moment et cette fois sans aucune précaution au sortir de ma hampe je me redressais un tout petit peu et d’un coup pourfendant son œil grand ouvert je l’enculais à fond, quel spectacle que mon énorme verge centrée sur l’anneau poilu avant de la voir s’enfoncer dans le cloaque consentant.

Alors là je n’en cru pas mes yeux ni mes oreilles, un cataclysme emporta le corps d’Agathe. Elle était de celle qui par le cul jouissent encore plus fort que lorsqu’on honore leur chatte. Penché sur elle je lui pétrissais les seins après avoir fait éclaté son corsage.

Moi aussi malgré mon sang froid je sentais que j’allais jouir. A nos côtés je vis que Paul et Julie debout nous contemplaient, inactifs, témoins un peu jaloux de nos ébats, je les abandonnais et me reconcentrais sur ma belle jouisseuse, quand je sentis une petite main par derrière entre mes cuisses qui me palpait les bourses tandis que Paul s’installant debout sur le divan par devant face à Agathe lui présenta ses génitoires et son sexe plein de foutre qu’elle prit goulûment dans sa bouche.

C’était trop je ne pus résister et n’eut que le temps de dire à Agathe que j’allais remplir son cul, la bouche pleine elle ne put me répondre mais à l’agitation de sa croupe je compris qu’elle m’attendait et elle reçut la plus grande giclée de semence qu’un amant de lui ai jamais donnée, pour son plus grand plaisir et pour la sensation qui changea radicalement, ma queue coulissant onctueusement dans sa tripe souillée de foutre. Combien de temps restèrent nous accouplés de la sorte ? Jusqu’au tonitruant

« Changement de cavaliers, changement de partenaire ! ! ! ! »

C’était Sonia qui s’exprimait ainsi, elle m’attira en arrière et sortant ma queue de l’endroit où elle était si bien elle me retourna et me prit dans ses bras en m’embrassant farouchement.

A côté de nous Paul et Agathe n’avaient pas bougés, l’une les fesses en l’air avec son anus dilaté tandis que Paul se faisait toujours sucer la bite par une bouche toujours aussi vorace.

Les réjouissances continuaient. Jamais Sonia n’avait été si ardente, un peu jalouse malgré tout elle semblait vouloir me faire oublier sa copine que j’avais manifestement eu beaucoup de plaisir à faire jouir si fort.

Allongés sur la moquette mais en sens inverse elle me prit dans sa bouche et mit tout son art à s’occuper de ma quéquette ; pour ne pas être en reste je lui écartais les jambes et glissant mon visage dans l’arc de ses cuisses je pris sa chatte à pleine bouche en activant ma langue.

Julie se mit à jouir bruyamment, poussant de longs feulements d’une telle intensité que je la soupçonnais de simuler, d’en rajouter un peu pour montrer qu’elle aussi appréciait ma présence. Paul et Agathe s’étaient désaccouplés et assis sagement sur le divan nous regardaient.

Paul semblait un peu dépité de voir que moi seul arrivait à transcender nos deux femelles au point de les faire hurler de plaisir. Agathe regardait fixement ma verge, manifestement cela l’excitait et elle commença à se masturber.

Tout en continuant de sucer Julie je la regardais intensément, sa main s’activait entre ses cuisses ouvertes, elle se branlait la chatte dans son écrin de poils, nos regards se croisaient, sans un signe évident de ma part elle comprit que je l’invitais à nous rejoindre, elle me sourit, se leva et s’allongea à nos côtés, Paul suivit et c’est à quatre, emmêlés, allongés sur la moquette que nous continuèrent à nous faire plaisir.

Nous avions tous les quatre de quoi occuper nos mains, nos bouches, nos langues sur nos verges, nos chattes, sans oublier nos petits culs. En retour nous étions palpés de toute part sans savoir précisément à qui nous devions les caresses ; peu importait tant nous étions bien.

Quand Paul s’occupa plus précisément de Sonia, je me sentis libre de prendre Agathe dans mes bras, de la soulever et de l’asseoir au bord de la table du salon. Fine mouche elle comprit mon désir elle s’ouvrit ramenant ses pieds en appui sur la table. Elle s’offrait ainsi et m’invita du regard à poursuivre ce qu’elle pressentait.

J’ai toujours adoré cette situation qui présente maints avantages, je m’agenouillais, mon visage face à sa chatte entre-ouverte par la position. Agathe avait ce que j’appelle une moule fruit, charnue, ses grosses lèvres tapissées d’une toison abondante mais entretenue laissaient paraître une faille rose et profonde.

Quand je fis aller et venir ma langue dans cette mystérieuse vallée Agathe me fit comprendre qu’elle appréciait cette caresse subtile et quand de la pointe j’allais dénicher le clitoris qui pointait dans son nid elle commença à gémir en s’agitant. Comme un chat à petits coups rapides je lapais l’entrée de sa vulve.

En ouvrant grande ma bouche plaquée sur son sexe j’arrivais ma langue durcie à l’introduire dans le vagin. Mais tout ceci n’était qu’un préliminaire comme on dit, la chatte d’une femme ardente a besoin de soins plus substantiels, je me redressais et cette fois c’est ma queue qui lui fit face.

Formidable verge dressée par le désir, par la situation qu’elle appréciait ; celle où face à la femme désirée on peut lire sur son visage tout le bien qu’on lui procure. Agathe me souriait, manifestement elle attendait fébrilement la suite qu’elle devinait et quand je lui murmurais une requête, celle de m’enduire ma queue de sa salive elle ne se fit pas prier.

En plusieurs fois portant ses doigts à sa bouche elle m’astiqua la hampe et les parties jusqu’à ce que sa main glisse sur ma verge abondamment lubrifiée. Alors c’est mon gland qui remplaça ma langue en allant et venant dans la faille rose entre les poils de sa chatte.

On ne dira jamais assez la douceur de la peau d’un gland décalotté il est irremplaçable pour faire naître la jouissance de la femme. Servi par la position idéale et sans l’aide de ma main, simplement en m’agitant verticalement en pliant un tant soit peu mes jambes, je le faisais aller et venir doucement bien guidé entre les lèvres velues ; il allait du bord de l’anus découvert au ras de la table jusqu’au ventre.

Durant tout le temps de cette caresse, avec mes mains libres je palpais tout le corps de mon amante, ses seins mais aussi sa taille si sensible qu’un frôlement fait sursauter, ses hanches rebondies, le gras de ses épaules, l’intimité humide du dessous des bras. De temps à autre entre deux doigts je titillais ses bouts de seins raidis.

Mes mains virevoltaient sur le corps magnifique d’Agathe qui perdait pied je le sentais dans ses yeux, je l’entendais au souffle rauque qui fusait de ses lèvres carminées, il me fut facile de la faire plonger plus avant dans le plaisir, je lui pris sa bouche ouverte et nos langues folles ses mêlèrent, je l’attirais vers moi, nos deux torses unis, je sentais ses seins fermes sur ma poitrine.

Agathe réagissait, je sentais bien qu’elle avançait son ventre quand mon gland passait sur sa vulve, je lui laissais l’initiative en allant doucement lui laissant le temps de s’enliser un peu. Reculé je voyais avec délices ma queue se centrer souvent et maintenant rester à l’entrée de la chatte, le gland caché dans la fourrure déchirée de sa rousse toison.

Sans bouger je vis le ventre plat d’Agathe onduler en s’avançant vers moi. Je sentis l’instant où mon gland franchit l’entrée de la grotte, Agathe poussa un petit cri et ce fut le déchaînement, d’un coup ma queue fut engloutie et à mon tour en remuant mon bassin je limais de toute la longueur de ma verge dans la chatte en furie.

Je serrais Agathe dans mes bras, lui caressant le dos, les fesses, pelotant durement ses seins, je lui prenais sa bouche, mordillais son cou, ses oreilles, ses épaules, je lui suçais la pointe de ses tétons. Agathe n’était plus qu’un jouet, pantelante, je la fis jouir à plusieurs reprises, je la baisais durement comme cela semblait lui convenir, mes couilles fouettaient la raie de son cul, je me retenais au bord de l’éjaculation.

A un moment je sentis une main entre mes cuisses passant entre mes fesses s’attardant quelques instants sur mon anus avant de saisir mes couilles par dessous, c’est Sonia vous l’avez compris qui s’invitait à la fête, agenouillée derrière moi elle était bien placée pour pimenter la situation.

Je me reculais un peu tout en laissant mon membre aller et venir à demi enfoncé dans la chatte velue d’Agathe, je pus ainsi voir la main complice faire son œuvre souterraine. Après m’avoir durant un long moment palpée délicatement les parties accompagnant les avancées de mon ventre je la vis dans mon champ de vision et saisir la base de ma verge, je vis son pouce dressé titiller le clitoris d’Agathe qui gloussa d’aise.

Petit à petit cette main annexa de plus en plus long de ma hampe et quand habilement sans a coup elle la sortit de son écrin de fourrure, tout en s’agrippant sur ma queue au moins deux de ses doigts prirent sa place dans la vulve.

Sure du plaisir qu’elle nous procurait cette main s’anima sur moi et sur la chatte, je la vis aller et venir sur moi dépucelant mon gland avant de le recouvrir de sa peau protectrice, ce doux va et viens sur ma queue me remplissait d’aise et je vis ma bite durcir davantage dans cette main diabolique qui fourrait Agathe dans le même mouvement.

Et puis elle se servit de ma queue comme d’un pinceau et l’agita dans la faille rose en lisière des lèvres poilues, elle enlisa mon gland quand elle le passait devant le sexe entre ouvert mais je compris que son but était autre et Agathe aussi le compris car elle s'avança un peu en se penchant en arrière et je vis le petit gouffre, comme l’œil de Caïn dans la tombe qui me regardait.

Fasciné je vis mon gland l’approcher, guidé par une main diaboliquement perverse il se centra sur l’anneau poilu, pressa l’orifice cerné d’une peau plissée de couleur bistre. Je n’oublierais jamais le moment ou je le vis s’enliser dans ce charmant cloaque, quand il s’ouvrit pour mon gland décalotté quand je vis mon énorme queue s’enfoncer, défoncer ce joli petit cul.

Mais la main veillait en me forçant à sortir mon sexe de ce puits pour mieux le renfoncer de plus en plus profond, fini la vue du charmant petit anus serré, ma queue sortie me laissait voir les portes de l’enfer grandes ouvertes sur un monde des ténèbres où je replongeais avec délice.

Bientôt je fus libre de l’enculer bien à fond et je perdais alors la vue excitante de ce cul arrondi sur ma verge, je ne voyais plus que la commissure des fesses écartelées et cette paire de cuisses magnifiques serrées sur mon nœud.

Une douce chaleur naquit entre mes jambes et je compris que Sonia en se dressant avait, à sa main, joint la douceur de sa bouche. Je sentis l’imperceptible caresse de sa langue sur mes couilles enduites méthodiquement de sa salive avant de les sentir aspirées une après l’autre dans l’humide cloaque.

Sans effort j’allais et venais dans l’étroit conduit mais accompagné de ce doux parasite qui me tenait par les bourses, ma vue se troubla, je perdis conscience de l’espace et du temps et j’explosais dans le cul d’Agathe.

Durant mon puissant orgasme je ne vis pas Paul s’installer jambes écartées debout sur la table face à Agathe qui sans se faire prier prit sa verge dans sa bouche. Quand je fis surface au lieu du minois de mon amante je vis une paire de fesses s’agiter sous mon nez, j’en fus fort marri et pour me venger passant mon bras entre ses cuisses je lui saisis les couilles et j’enfonçais mon pouce dressé dans son cul.

Cela ne sembla pas lui déplaire car il s’agita frénétiquement et j’imaginais le traitement qu’il faisait subir à Agathe, d’un coup silencieuse, la bouche remplie par le sexe de Paul.

Quand repus nous nous désengagèrent les uns des autres, fatigués mais heureux, nous n’eurent qu’un désir c’est de se revoir le plus tôt possible. Sonia était radieuse de la réussite de sa petite réunion ; quand à Agathe elle n’arrêta pas de nous remercier en se lovant comme une chatte dans nos bras et en partant, très discrètement elle glissa dans ma poche son numéro de téléphone, son regard alors me transperça et je lus dans ses yeux des promesses de plaisirs partagés.
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Histoire de Pierre le Grand

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Commentaires du récit : Chasse à la bécasse

Le 21/02/2010 - 12:49 par Little_Diary
Je n'ai pas les mots pour décrire cette histoire ! Magnifique vraiment, et très jouissante !

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