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Chaude matinée à l'hôtel

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Lue : 1096 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 10/08/2020

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Elles s’étaient réveillées sur le coup de huit heures. Encore ensommeillées. Elles venaient d’arriver dans la région pour quinze jours de vacances, après une année éprouvante. Quinze jours à vraiment en profiter, à ne rien faire, la tête ailleurs, à profiter du soleil.
Elles avaient loué un chalet dans la montagne, avec l'intention de faire des randonnées, mais la veille au soir, parce qu’elles arrivaient du Nord et avaient roulé toute la journée, elles avaient décidé de faire une pause, non prévue, dans cet hôtel. Elles s’étaient arrêtées. Par chance, il y avait encore des chambres de libre. Elles s’étaient donc retrouvées, sur le coup de neuf heures du soir, dans une grande chambre, avec un grand lit.
—Des lits séparés, leur avait demandé la femme.
—On dort toujours ensemble.
Quelque chose était passé dans leur regard. Pas forcément négatif. Une sorte de fascination trouble.
Sabrina et Yaelle étaient effectivement très proches. Elles avaient vingt ans toutes les deux. Elles s’étaient connues lors de leurs études, et il s’était noué quelque chose entre elles qui s’était développé et approfondi au fil des années. Leur relation avait réellement évolué, changé avec le temps. Avec la base de départ, une proximité qui ne s’était jamais démentie. Elles avaient d’abord été de très bonnes amies, avant qu’un soir, il n’y ait un basculement. Elles s’étaient retrouvées bouche contre bouche, les mains sur le corps de l’autre. Elles avaient passé la nuit à faire l’amour. Se réveillant le matin, plus proches que jamais. Le sexe avait noué entre elles des liens supplémentaires. Aujourd’hui, plus proches que jamais d’une relation intime et intense que rien ne parvenait à briser, elles ne se quittaient pas.
Sabrina n’était pas très grande, blonde et dodue. Elle travaillait dans un salon de coiffure. Yaelle avait, elle, choisi de faire un cursus plutôt technique, dans la mécanique. Elle était plus grande, mais tout comme son amie, elle avait des formes pleines. Les regards des hommes s’accrochaient à elles, mais elles choisissaient, selon leurs gouts, et leur entente sur le sujet, de leur accorder leurs faveurs ou pas. L’une comme l’autre, elles aimaient autant les corps féminins que masculins.
La veille au soir, après un diner léger, elles s’étaient endormies l’une contre l’autre. Pour se réveiller éloignées le lendemain matin, chacune d’un côté du lit.
—Il faut qu’on aille prendre le petit déjeuner, avait fait remarquer Sabrina.
—C’est jusqu’à dix heures.
—Ca sera fait.
—On a le temps de quelques caresses, tu ne crois pas?
Avant que Sabrina puisse répondre, Yaelle avait plongé sous les draps. Une forme imprécise qui n’avait pas été très loin d’ailleurs. Sabrina avait instinctivement ouvert ses jambes, closes, et les avait remontées, pour lui donner son sexe.
Sous les yeux, Yaelle avait la grosse bosse de son sexe, dont dépassait un morceau de lèvre. Elle avait donné un coup de langue dessus. Ca avait suffi pour faire gémir sa partenaire. De ses deux index, elle avait ouvert son sexe, faisant jaillir ses lèvres, dont la chair était déjà arrosée d’un liquide trouble. Yaelle s’était mise à la caresser de la langue. Sans fausse honte, et sans penser aux clients qui pouvaient se trouver dans les chambres à côté, et qui seraient perturbés par cette absence de discrétion, Sabrina s’était mise à gémir. Depuis tout ce temps, il n’y avait eu aucune lassitude entre elles, et le plaisir, dans un sens comme dans l’autre, était là comme au premier jour. Au contraire, se connaître mieux leur avait permis de savoir ce qui plaisait à l’autre, sans pour autant tomber dans la routine. Elles avaient une carte précise, extrêmement bien dessinée, de l’anatomie de l’autre, et elles étaient capables de provoquer sa jouissance comme de la retarder. Surtout, cette proximité était la source de plaisir sans cesse renouvelés.
Le visage et la bouche inondés des jus intimes de Sabrina, qui jaillissaient à chaque fois avec une abondance qui n’était pas la sienne, Yaelle tournait sur elle avec le but de la faire jouir. Elle avait glissé sa main gauche entre ses jambes, contre son sexe, et elle se masturbait, faisant courir sa main sur elle dans un mouvement circulaire, sentant son sexe s’éveiller et s’ouvrir, comme c’était le cas pour sa maitresse.
—Mets tes doigts dedans avait lâché Sabrina dans un souffle, et fouille moi comme si tes doigts étaient une bite…
L’avant veille, Sabrina était arrivée avec un nouveau jouet qu’elle avait acheté à ce que l’on appelait autrefois un sex-shop, et aujourd’hui un magasin pour le couple, gode ceinture, queue de plastique noire, longue et épaisse, et harnachement, et elle avait fouillé sa partenaire, à quatre pattes devant elle, un bon moment, avant de lui demander de lui rendre la pareille. Ca avait été un moment très bon. Mais des doigts qui pénétraient, qui caressaient un intérieur, qui le fouillaient, qui venaient frotter contre les parois internes d’un sexe, c’était bon aussi.
Yaelle avait glissé deux doigts dans le sexe de son amie, venant tourner à la rencontre de la muqueuse souple et chaude, ces deux doigts arrosés de ses jus intimes, épais et visqueux. Comme elle aimait à le faire quand Yaelle la caressait, parce que ses seins étaient ultra sensibles et que les mettre à l’unisson de son ventre démultipliait sa jouissance, Sabrina s’était mise à caresser la surface de ces deux belles rondeurs, qui tendaient ses T-shirts et ses chandails, avant de venir travailler plus précisément ses tétons, qui sans qu’elle les ait encore touchés, étaient déjà semi-érigés, bien durs et bien fermes.
Yaelle avait senti tous les frémissements de son corps, et l’arrivée de sa jouissance. Le corps secoué de spasmes, mais se retenant de crier trop fort, Sabrina avait joui en arrosant la main et le visage de sa compagne de jets de sécrétions. Yaelle avait accentué sa caresse sur son sexe, venant sur son clitoris, pour se faire jouir.
Un quart d’heure plus tard, elles étaient sous la douche, collées l’une à l’autre.
—Hier soir, j’ai vu un mec qui m’a paru intéressant…
—Je crois que j’ai vu le même…
—On pourrait essayer de lui mettre la main dessus avant de partir…
Elles faisaient référence à un grand brun, qui faisait apparemment de la musculation, et qui avait un beau visage. Elles l’avaient vu passer à plusieurs reprises dans le hall, dans les couloirs, portant divers éléments, des serviettes, des cartons…
Sabrina et Yaelle avaient de nombreux plaisirs. Si elles plaçaient un cran en dessus ceux qu’elles éprouvaient ensemble, elles appréciaient de se partager un garçon avec le sentiment enivrant de contrôler totalement le jeu.
—Il est huit heures et demi. D’ici midi, on trouvera bien une solution. En attendant…
Sabrina régla le jet de la douche, un peu plus chaud, un peu plus fort, et l’approcha du sexe de Yaelle. Si Sabrina avait choisi une épilation totale, Yaelle avait toujours gardé tous ses poils, qui commençaient haut sur son pubis, et venaient encadrer son sexe. Le jet chaud et dur acheva de tremper sa toison, en même temps qu’il faisait venir un orgasme très rapidement. Yaelle cria. Sabrina rapprocha encore le jet et Yaelle jouit encore une fois, avant que Sabrina ne ramène l’objet vers elle, et ne jouisse elle aussi.
Dix minutes plus tard, elles quittaient momentanément la chambre pour aller prendre leur petit déjeuner, sans se doutaient qu’elles rejoindraient le buffet plus tard que prévu.
Parfois, on avait la chance de son côté, et les circonstances plus sa bonne étoile faisaient que tout se calait exactement comme on l’avait espéré. Ca n’arrivait pas souvent, mais ça arrivait quand même.
Elles avaient la dernière chambre de la rangée à l’étage. Elles avaient avancé le long de la coursive. Si les chambres étaient réservées de midi à midi, certains clients partaient très tôt, et les employés étaient déjà en plein nettoyage. En face, dans l’autre branche du U que formait l’hôtel, une ravissante jeune femme, en blouse, passait l’aspirateur dans une chambre.
Leurs regards curieux glissaient sur les lieux, alors qu’elles avançaient.
Et puis il y avait eu cette porte entrouverte. Pas très grand, mais suffisamment en tout cas pour que les deux filles voient bien ce qu’il y avait à l’intérieur. Une chambre avec un lit défait, les clients étaient d’évidence partis, un chariot de nettoyage.
Posé sur le bord du lit, basculé en arrière, le gars brun qu’elles avaient aperçu à plusieurs reprises la veille au soir avait baissé son pantalon de survêtement et son caleçon, et se masturbait, le regard dans le vague.
Sabrina et Yaelle s’étaient figées toutes les deux, se demandant si elles n’avaient pas la berlue.
Mais non , à quelques centimètres d’elles, mais sans les voir, le beau garçon était là, qui s’adonnait à l’onanisme dans un moment de détente.
Les deux filles n’avaient pas eu à réfléchir longtemps. Elles avaient commencé à réfléchir à des plans, mais elles avaient là une voie royale pour agir.
Elles se glissèrent dans la chambre, Yaelle poussa la porte derrière elle. Plongé dans les rêveries qui servaient de support à sa séance masturbatoire, le brun musculeux ne les avait pas entendues rentrer. Il revint soudain à la réalité. Un instant déconcerté, il ne paniqua pourtant pas.
—Pourquoi faire tout seul ce que tu pourrais faire avec deux belles filles comme nous?
—La vie est bien faite, répondit le jeune homme. J’avais envie de me branler pour me détendre, et je pensais justement à vos silhouettes, que j’ai aperçues hier soir.
—Tu vas pouvoir en profiter à fond, répondit Yaelle, qui se laissa glisser sur le lit, et vint poser sa main sur la sienne autour de la queue pas totalement érigée, mais déjà bien épaisse, et bien longue. Il écarta sa main pour la laisser le caresser. Au plaisir de sentir autour de lui une main douce et chaude, une main de femme, s’ajouta pour elle celui de gainer, au creux de sa main une queue dilatée, épaisse et tiède, qu’elle caressa avec tout le savoir faire qu’elle pouvait y mettre, allant et venant sur la tige de chair, venant frotter le gland, descendant jusqu’aux couilles gonflées.
Sabrina, elle, enleva rapidement le jean et la culotte qu’elle avait passés pour sortir de la chambre, et se retrouva le ventre nu. Elle grimpa sur le lit, et s’approcha de lui. Il comprit où elle voulait en venir, et il se bascula en arrière. Elle vint se placer juste au dessus de son visage, et se laissa descendre doucement pour lui offrir son sexe, que
l’excitation, mais aussi sa position ouvraient, laissant voir ses lèvres dépliées. Il plongea sur elle, la fouillant de se langue, commençant d’abord par parcourir ses lèvres puis plongeant à l’intérieur du sexe dont l’intérieur, des muqueuses roses, étaient visibles. Sabrina mouillait beaucoup, et elle inonda le visage du jeune homme d’une pellicule visqueuse, celle de ses sécrétions vaginales.
Yaelle cessa de masturber la verge du jeune homme—elles ne connaissaient pas et ne connaitraient pas son nom avant de partir, quand elle la trouva suffisamment bien longue et bien dure. Elle éprouvait un plaisir infini aux multiples jeux auxquels elle se livrait avec sa partenaire et amante, mais elles avaient besoin l’une et l’autre de sexes d’homme, bien durs, qui viennent en elles.
Dans le sac à main qu’elle avait laissé glissé sur le sol, elle attrapa un préservatif qu’elle dépiauta. Elle fit glisser la rondelle de plastique grasse le long du membre, laissant un espace pour le réservoir. Il était fin prêt. Elle enleva sa jupette et le string qu’elle portait dessous, et elle vint se placer, le ventre nu, en équilibre au dessus de la queue en pleine érection. Elle avait pris soin de se placer face à Sabrina, sans lui tourner le dos. C’était important pour les deux filles de partager ce qu’elles vivaient par le regard, les expressions, et tout le langage corporel.
Comme son amie l’avait fait, elle se posa en équilibre au dessus de la queue dilatée. Elle l’attrapa de sa main, et en frotta ses lèvres. Le type se mit à gémir.
—Non, non, pas maintenant; Il faut que tu te retiennes de jouir un maximum. Pour que ma copine te prenne aussi dans son sexe, qu’on ait du plaisir toutes les deux, et que tu en aies aussi. Ce sera bien meilleur si tu attends pour jouir.
Elle se fit descendre pour avaler le sexe. Elle le voulait en elle, la remplissant entièrement, condition essentielle pour du plaisir. Le sexe prit enfin contact avec ses parois internes, et elle éprouva quelque chose d’intense à sentir la chair dure frotter contre les muqueuses ultra-sensibles. La tête de la queue vint buter contre son utérus. Elle eut un instant un vertige. De tels moments étaient sa raison de vivre. Ce qui lui donnait le courage de continuer.
Prenant appui de part et d’autre du jeune homme, qui, cinq minutes plus tôt, n’en espérait pas tant, elle se fit monter et descendre sur le sexe, qui, outre qu’il la caressait bien à l’intérieur, semblait prendre du volume, la remplir plus, et monter plus haut, comme s’il avait dépassé ses limites physiques pour envahir tout son corps.
Sabrina lui fit un petit signe, et elle décida de lui laisser la place. Ca fit un bruit visqueux quand elle s’arracha du membre.
Elle jeta un coup d’oeil à la queue, qui avait effectivement, ce n’était pas une impression, pris du volume dans sa chatte, et qui avait suppuré dans le préservatif, ce même préservatif dont la face extérieur était trempée par les sucs intimes de la jeune femme.
Sabrina descendit le long du corps du garçon, avec le désir évident de prendre le membre en elle.
—C’est moi qui vais m’en occuper, prévint Yaelle. Tu sais que j’aime ça.
Sabrina se plaça en aplomb au dessus de la queue dilatée. Yaelle ferait tout. Elle vint capturer la queue au creux de sa main, la masturba. Le garçon, c’était évident, faisait un effort pour ne pas jouir, alors même qu’il était aux portes de la jouissance. De l’autre main, elle vint caresser de sexe de sa copine, très ouvert, lèvres gorgées de sang, clitoris dardé, se hasarda sur les muqueuses intimes, nettement visibles tellement elle était dilatée. Sabrina gémit. Yaelle amena le gland gonflé à l’entrée de son sexe. Elle attrapa Sabrina par les hanches, et la fit descendre sur le membre, jusqu’à ce la queue soit entièrement fichée en elle, comme elle l’avait été dans sa propre vulve. Sabrina se fit aller et venir sur le sexe. Si Yaelle aimait éprouver du plaisir, elle aimait aussi voir sa compagne en éprouver. Elle se frotta le clitoris en regarda Sabrina perdre le contrôle jusqu’à jouir, secouée par des orgasmes qui se succédèrent. Yaelle savait qu’elle avait beaucoup plus de mal à jouir.
Parce qu’elle sentit que la jouissance du garçon arrivait, elle fit sortir la queue d’elle, et arracha le latex qui le couvrait. Elles amenèrent leurs visages près de la queue qui, dilatée à l’extrême, allait cracher sa jouissance. Il parvint pourtant à tenir, une volonté sans doute de leur montrer qu’il pouvait garder le contrôle, pendant qu’elles baladaient leurs langues dardées sur sa chair. Il lâcha un grognement rauque, en même temps que de multiples jets de sperme qui arrosèrent les visages des jeunes femmes, mais aussi son corps.
il y eut un moment de pause, de calme. Les filles se rajustèrent. Un sourire échangé, puis elles partirent prendre leur petit déjeuner, après s’être essuyées le visage avec une serviette.
Elles prirent leur petit déjeuner, puis remontèrent dans la chambre, sans le croiser. Dix heures, déjà. Mais elles avaient jusqu’à midi. Elles arrangèrent leurs bagages, puis consultèrent les cartes pour leur itinéraire.
A midi moins dix, elles descendirent. Sans le revoir. Elles auraient aimé le croiser une dernière fois, une manière de marquer ce bon moment passé ensemble. Il n’était pas non plus derrière le comptoir. C’était une femme d’âge mur, en surpoids, à qui elles laissèrent la clef, avant de sortir sur le parking. Leur véhicule les attendait, ainsi que la suite de leur voyage.
Elles allaient s’installer dans leur véhicule quand il fit son apparition.
—J’ai fini mon service les filles. Ca vous dirait de me suivre jusqu’à mon loft?Y a de l’espace, et je vis seul. On pourrait passer une bonne après-midi ensemble avant que vous ne repreniez la route?
Elles se regardèrent. Dans leur tête,elles avaient dit oui, avant même qu’il n’ait fini sa phrase.
—On te suit!
—On va passer un bon moment.
—On n’en doute pas.
Elles montèrent, attendirent qu’il ait démarré avant de le suivre sur les routes de la ville moyenne.
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Histoire de JamesB

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