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Chaudes aventures d'une femme mariée

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Lue : 3618 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/11/2021

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Je pousse la grande porte en fer forgée, et débouche sur le cours Gambetta. Il est dix neuf heures, et une légère brise s’insinue sous ma robe, rafraîchie mes jambes, et fait frissonner mes bras nus, en cette fin de printemps. Je marche rapidement à l’ombre des platanes vers la station de bus, en bonne mère de famille, qui va rejoindre son mari, et ses deux petites filles de quinze et douze ans.
Je m’appelle Karine, trente cinq ans, et très belle...paraît-il. De longs cheveux noirs, de beaux seins, bien fermes, malgré mes deux grossesses.Je fais beaucoup de sports pour entretenir mon corps. Je marche dans ce quartier. Les hommes me regardent passer, le sac en bandoulière, mais personne n’ose m’aborder directement, même si quelques fois, certains osent des réflexions.
Voilà bientôt un an que j’emprunte cet itinéraire, et je dois alimenter leurs rêves, les soirs ou ils veulent s’évader de leur quotidien, et du temps qui passe.
Ce qu’ils ne savent pas, c’est que dix minutes plutôt, j’étais en train de me faire baiser, par John, le directeur de ma société import/export. Société dans laquelle je travaille comme secrétaire de direction. Cette place me revenait, mais il fallait la parapher. Cela faisait parti de mon contrat de promotion. Quand il me fait appeler dans son bureau, et qu’il me demande de fermer à clé, je sais qu’il a envie de se faire tailler une pipe. J’avoue y prendre énormément de plaisir.
Mon mari fut surpris de ma fulgurante ascension, mais ne fit aucune allusion.
Il commença à avoir des doutes, lorsque certaine fois, j’étais obligée d’accompagner John, à des soirées mondaines. Ces soirées là, j’étais la secrétaire à tout faire. Le contrat se signer sur une table, pendant qu’à côté, je me faisais baiser sur le canapé.
Pourquoi moi, bourgeoise de des quartiers chics, femme aimante et aimée, ayant reçu une éducation des plus stricte, je me débauche ainsi, en secret des gens que j’aime.
Mais, petit retour en arrière, pour me rappeler comment cela à commencé.
Je me revois dans ce train, quittant la gare de Florence, assise face à mon mari, nos deux petites filles, près de la fenêtre. Le compartiment était presque vide.
Serge, mon mari, regardait par la vitre. Je tournais la tête, et vu le regard de cet homme, assis eux rangées plus loin, face à moi. Il était de type italien, très séduisant.Je me souviens de ce regard expressif, pénétrant, posé sur mes cuisses légèrement écartées. Je portais une simple robe assez courte, et quand je ne faisais pas attention, elle remontait jusqu’à mi-cuisses, pouvant même, comme c’était le cas, dévoiler la tache blanche de ma culotte. J’ai aussitôt resserré les jambes, et rabattu ma robe le plus possible, en me tournant vers la fenêtre. Mais je sentais le regard de cet homme posait sur moi.
Quelques instant plus tard, je tournais à nouveau le regard vers cet homme. Je le sentis sur de lui. Il s’est levé, ma fait signe de le suivre, et est sorti de compartiment. Curieuse, je me suis levée, et l’ai rejoint, il m’attendait dans le soufflet, entre deux wagons. Quand je suis arrivée près de lui, il m’a entraînée dans les toilettes, et a refermé la porte.
Il m’a plaquée contre la paroi, et immédiatement, a soulevé ma robe, écarté ma culotte, et planté sa queue dans ma chatte, que nôtre petit jeu précédent, avait bien lubrifiée. Il a commencé à me baiser violemment, tandis que ses mains pétrissaient mes seins, tout en me murmurant à l’oreille, que j’étais une salope, et que j’étais faites pour baiser.
Nôtre étreinte n’a pas duré cinq minutes. Il a joui en moi, longuement. Il n’en finissait plus de me remplir la chatte, tandis que l’orgasme faisait vibrer tout mon corps.
Jamais, je n’avais éprouvé un tel plaisir, un orgasme aussi profond. Je découvrais le monde du plaisir trouble et de l’interdit. Le hasard m’avait entraînée sur une piste qui allait me projeter de plus en plus loin, et qui allait dévoiler ma vrai nature, que les règles sociales et mon éducation, avaient jusque là bridée.
J’éprouvais une grande déception quand sa queue a glissé hors de ma chatte.
J’ai rejoint aussitôt ma place, Serge ne s’étant pas aperçu de ma courte absence.
Arrivé à destination, nous avons récupéré notre voiture sur le parking de la gare et avons rejoint notre hôtel à dix minutes, situé en pleine dans la campagne.
Nous avons pris un bain dans la piscine puis après nous être changés, nous sommes allés au restaurant.
J'ai commencé à regarder les hommes autour de moi, les regards furtifs de ceux qui étaient accompagnés, ceux plus insistant des hommes sans femmes, et surtout le zèle empressé du sous directeur toujours près à me rendre service. C’est là, que parmi les clients, je reconnu l’homme du train. Je sentais des picotements dans mon bas ventre tandis que des bouffées de chaleur envahissaient mon visage. Je fis tout pour l’éviter, mais croisais inlassablement son son visage.
Nous nous sommes levés et sommes allés nous coucher, Serge m'a fait l'amour, tendrement, avec délicatesse, attentif à mes réactions, il m'a fait éprouver du plaisir, mais rien de comparable à mon orgasme de l'après midi, et tandis qu'il s'endormait, je me suis mis à envisager de peut-être essayer à nouveau de me faire prendre par cet homme.
Le lendemain la chaleur avait augmenté encore de quelques degrés, et nous avons jugé plus agréable de rester à l'hôtel. Mon mari a amené les enfants se baigner dans la piscine, tandis que pour éviter le soleil je restais dans l'ombre fraîche des arcades ceinturant la façade principale de l'hôtel.
Je n'y étais que depuis quelques instants qu’en un homme m’aborda. C’était l’homme du train. Il me dit est être responsable de la rénovation des chambres de l’hôtel. Il me dit s’appeler Luigi.
- Il fait chaud, l'hôtel vous convient-il ? N'hésitez pas à me demander si vous avez un problème...
Je regardais cet homme, d'un autre œil, je savais qu'il me désirait, je me demandais s'il pourrait me faire jouir, comme la veille. Il devait avoir dans les quarante ans et était assez bel homme, j'appréciais sa gentillesse même si je savais ce qu’il intéressait.
Alors que je pensais à tout cela, il commença à me parler du confort des chambres des modifications à apporter et me proposa d'aller voir une des chambres qui venait d'être rénovée. Je jetais un œil sur mon mari et les enfants très occupés dans la piscine, et j'emboîtais le pas de mon guide. Il m'a fait entrer dans la chambre, m'a montré les changements, importants certes mais qui ne demandaient pas des heures de visite. Comme nous allions sortir, il m'a demandé d’essayer la literie.
Je me suis allongée sur le dos, il s'est assis à côté de moi et sans préambule, a mis sa main dans le bas de mon maillot. Je ne portais qu'un maillot deux pièces et un tee-shirt. Bien sûr je l'ai laissé faire, c'est pour ça que je l'avais suivi et il le savait. Il n'a eu aucun mal à enfoncer ses doigts dans ma chatte juteuse tellement l'idée de cet homme me baisant m'avait excitée. Il m'a retiré le bas du maillot remonté le tee-shirt, et dégrafé le haut. Il a pris mes seins à pleines mains, et s'est penché pour en sucer les pointes, j'ai mis ma main à sa braguette pour sentir son sexe en érection dans son pantalon, geste que je n'aurais jamais osé tenter un jour plus tôt. J'ai baissé sa fermeture éclair mis la main dans son slip et pris le membre dans ma main.
Il a basculé sur moi, je n'avais pas lâché sa queue et je l'ai présentée moi même contre mes lèvres intime, gonflées de désir et il n'a suffi que d’une simple poussée, pour les écarter et s'enfoncer dans ma chatte. Comme la veille, j’ai éprouvé un orgasme terrible au bout de cinq minutes. Il n’avait pas joui, alors il continuait à me baiser tout en me prenant la bouche. Je commençais à perdre pied.
- Plus vite, plus fort, fais-moi jouir encore, enfonce bien ta bite dans mon trou...c'est trop bon, défonce-moi comme une salope...tu te régales à fourrer ma chatte avec ton gros calibre, je te plais, je t'excite .....Vas y vas y...
Tandis qu'il me murmurait à l'oreille des obscénités en Italien que je ne comprenais pas, il a éjaculé en moi, provoquant un nouvel orgasme, le deuxième en cinq minutes.
J'aurais bien continué à me faire prendre par cet homme, mais il m'a fait comprendre, qu'il devait reprendre son service. Je suis allée me rincer dans la salle de bain et j'ai rejoint ma famille au bord de la piscine. Ils n'avaient pas remarqué mon absence et la journée s'est terminée par des jeux et beaucoup de bonne humeur.
Le soir dans la salle de restaurant, Serge était toujours pensif, mais rien dans mon comportement, n'aurait pu faire deviner ce qui s'était passé l'après midi. Plus tard dans la chambre, j'étais allongée sur le ventre et mon mari sur moi, sa bite dans ma chatte, les mains sur mes seins, embrassant la nuque. Je ne pouvais m'empêcher de penser à ma relation de cet après midi et pris d'une subite impulsion je lui demandais.
- Chéri...et si je te trompais, que dirais tu ?
- Mais Karine j'ai entièrement confiance en toi, je te connais s'est impossible.
- Et si cela arrivait quand même ?
-.Je ne peux l'envisager, tu es très belle et les hommes te regardent, mais tu es fidèle, et tu ne te laisseras pas tenter "
Je ne dis plus rien et les yeux fermés je revivais mes deux aventures précédentes ce qui eu pour effet d'accroître mon plaisir et de me faire jouir aussitôt délicieusement, charnellement, avec un long feulement à la grande surprise, et au grand plaisir de mon mari, qui ne m'avait encore jamais fait jouir de cette façon.
A l'hôtel, le chef du personnel avait tenté des rapprochements,mais nous n'avions jamais pu nous retrouver seuls. Le dernier soir après le repas, nous avions lié conversation avec un autre couple. Les filles étaient fatiguées et voulaient aller se coucher, Serge les accompagna dans leur chambre tandis que je restais dans la salle dix minutes de plus pour indiquer à nos nouvelles connaissances les sites intéressantes à visiter.
Dans le couloir menant à la chambre, Luigi m'attendait. Quand je suis arrivée près de lui, il a ouvert une porte, m'a pris par la main et m'a entraînée dans une petite pièce qui devait être la lingerie. Il a refermé la la porte, s'est pressé contre moi, ses mains se sont posées sur mon corps, je le sentais trembler d'excitation, il me parlait en Italien et je ne comprenais rien. Il m'a fait tourner, et pencher en avant appuyée sur une pile de draps, il a remonté lentement la longue robe noire que je portais, il a baissé ma culotte, et s'est penché pour embrasser mes fesses, il s'est redressé, a fait glisser les bretelles de ma robe, et dégager mes seins de leur soutien-gorge. Il les à pris à pleines mains, les serrant entre ses doigts et la paume de la main, puis a délicatement pincé les bouts jusqu'à ce qu'ils atteignent une érection maximum.
Pendant ce temps je sentais sa bite se presser contre mes fesses à travers le tissu du pantalon, ma chatte se mouillait et s'ouvrait, attendant le moment où accueillante, elle recevrait le membre de l'homme en rut. Cela ne tarda pas relâchant mon sein droit, l'homme abaissa son pantalon et son slip, mis son sexe entre mes cuisses et l'enfonça sans difficultés. Sa bite entrait et sortait par à coups de ma chatte, tandis qu'il me tenait fermement par les hanches. Mes seins libres se balançaient au rythme du manche qui me tringlait en cadence.
J'avais été fidèle pendant huit ans et je trompais mon mari pour la troisième fois en moins d'une semaine avec un plaisir et une jouissance que je n'avais jamais atteint jusque là. Pendant que cet inconnu me baisait et que l'orgasme montait dans le creux de mes reins, je prenais lentement conscience que ma vie changeait et que le sexe allait en devenir le centre d'intérêt principal. J'ai joui et cet homme, a envoyé sa semence en moi, au fond du jardin le plus secret de mon être, et j'ai aimé, j'ai gémit quand le liquide s'est répandu en moi, en une douce giclée humide et chaude, j'étais comblée. Nous nous sommes désaccouplés en douceur, je me suis redressée, j'ai remonté ma culotte, réajusté mon soutien-gorge et ma robe. L'homme m'a pris dans ses bras, sa bouche s'est posée sur la mienne, mais je me suis dégagée en lui faisant comprendre que mon mari m'attendait. Je suis sortie du local et j'ai rejoint notre chambre. Serge était déjà au lit, il m'attendait nu sur les draps.
- Tu as été bien longue.
- Oui, ils m'ont demandé tout un tas de renseignements, j'ai cru que je ne pourrai pas m'en débarrasser.
- Viens vite J'ai envie de te faire l'amour.
- J'arrive "
Je suis rentrée dans la salle de bain, j'ai enlevé ma robe et ma culotte souillées de sperme, j'ai passé mes doigts sur ma chatte pour récupérer le jus de mon amant occasionnel. J'ai léché mes doigts pour goûter la saveur de cette liqueur, puis je suis entrée dans la douche et j'ai lavé mon minou, dirigeant le jet à l'intérieur pour éliminer toute trace de sperme. J'ai ensuite rejoint Serge, il était allongé sur le dos nu, sa queue dressée verticalement comme un pieu entre ses jambes. Je l'ai enjambé et me suis empalée sur ce piquet, ma chatte avait été bien préparée et a englouti la bite sans difficultés. Nous avons fait l'amour, Serge me prodiguant caresses et baisers sans se douter un seul instant qu'un autre homme l'avait précédé quelques instants plus tôt.
Le lendemain, nous avons fait les bagages, Serge m'a demandé d'aller payer et accomplir les formalités de départ, pendant qu'il préparait la voiture. Je suis allée à la réception j'ai réglé, en parcourant la note distraitement, quand Luigi s'est approché, m'a pris la note des mains, la regardant en fronçant les sourcils.
- Je crois qu'il y a un problème venez dans mon bureau.
Je l'ai suivi, à peine dans la pièce il m'a appuyée contre le bureau, et a tenté de m'enlever le short que je portais ce jour là. Je l'en ai empêché lui disant .
- Non ce n'est pas possible, mon mari m'attend, je suis pressée, et mes vêtements vont être froissés et salis, il va s'en apercevoir "
Alors l'homme, a pris ma tête entre ses mains, m'a embrassée sur la bouche, et m'a fait baisser, je suis tombée à genoux devant lui, il a ouvert sa braguette, sortit sa queue. Le gros membre était à la hauteur de mon visage, le gland décalotté effleurait mes cheveux, ma joue, mes lèvres. J'ai donné de petits coups de langue sur le méat, l'homme a poussé sa queue entre mes lèvres et j'ai ouvert la bouche. Mes lèvres ont entouré le cylindre, ma langue s'est glissée contre la peau du sexe, à l'endroit le plus sensible, là où elle est attachée au gland par une mince bande de chair, et je me suis mis à sucer. Je m'appliquais et me dépêchais, je pensais à mon mari qui m'attendait, j'aurais pu me lever et partir, mais j'avais envie, je voulais satisfaire les désirs de cet homme qui m'avait procuré tant de plaisir. De petites gouttes de sperme commençaient à se déposer sur ma langue, prémices du jaillissement imminent qui allait m'emplir la bouche. C'était la première fois, j'avais sucé mon mari, mais il n'éjaculait jamais dans ma bouche. Là je n'avais pas le choix, je ne pouvais pas laisser une giclée de sperme tâcher mon tee-shirt. Il a joui, j'ai gardé le sexe dans ma bouche, avalant au fur et à mesure le foutre qui s’en écoulait. Ca ne m'a pas déplu, j'ai même pris du plaisir à avaler le jus de l'orgasme que j'avais provoqué. Après avoir léché les dernières gouttes, je me suis relevée, j'ai passé ma langue sur mes lèvres pour faire disparaître les traces de ma fellation, j'ai dit au revoir à mon bel Italien et j'ai rejoint mon mari dans la voiture.
Nous avons démarré, je ne disais rien, ma bouche était imprégnée du goût du sperme et mes narines de son odeur. Ces sensations m'ont poursuivie jusqu'à ce que l'on s'arrête prendre un café dans un relais autoroutier.
Nous sommes arrivés à Bordeaux tard dans la soirée, le surlendemain, mon mari a repris son travail, et la vie a repris un cours normal.
J'amenais un jour sur deux les enfants à la plage. En cette fin de mois d'août, la plage était fréquentée, et souvent je liais conversation avec les personnes présentes. Cette plage était occupée par un public familial et souvent je surprenais le regard furtif des hommes posés sur mes seins nus. Certains me draguaient ouvertement en cachette de leur épouse, mais rien ne se passait. Je rentrais le soir, excitée par le soleil, la mer et le désir des hommes, Serge me faisait l'amour mais, n'arrivait pas à satisfaire mes envies secrètes.
Jusqu'au jour, où j'ai posé le pied sur un morceau de verre me faisant une légère entaille au talon. Un couple avec qui j'avais sympathisé voyant mon pied qui saignait affirma qu'il fallait impérativement me soigner. L'homme était infirmier, et proposa de me faire un pansement dans son cabanon, son épouse surveillant les enfants pendant mon absence. Je l'ai suivi, il m'a fait entrer dans la pièce principale. Et m'a fait poser le pied sur un banc. Pour ne pas perdre l'équilibre j'avais appuyé mes fesses sur le bord de la table.
La blessure était vraiment bénigne, mais l'homme prenait son temps, il en passait d'ailleurs plus à mater mon entrejambes qu'à s'occuper de ma plaie. Il faut dire que dans la position où j'étais, il avait une vue imprenable sur ma fente, dont mon maillot mouillé et moulant en soulignait la ligne. Il a posé la main sur mon mollet en me demandant de me décontracter, je l'ai laissé faire, puis il a remonté sa main lentement jusqu'à mon genou, puis, sur ma cuisse. Il ne s'occupait plus du tout de mon pied. Sa main a continué sa lente progression, elle était tout prêt de ma chatte. Il a senti que j'étais consentante, alors il a posé son index sur mon sillon et a appuyé en suivant ma fente jusqu'au clitoris, puis il a écarté mon maillot dévoilant ma chatte. Son doigt a écarté les lèvres et s'est enfoncé dans ma grotte inondée, j'ai gémi. Il a commencé à me limer lentement, tandis que sa bouche, est venue se coller à ma chatte, lèvres contre lèvres. Sa langue titillait agréablement mon intimité, son doigt continuait à violer le fond de mon petit trou, j'adorais. Cet homme que je voyais depuis quelques jours sur la plage, qui me jetait des regards vicieux en coin, se révélait être un amant des plus acceptable. J'étais de plus en plus excitée, ma source coulait en abondance, et l'homme aspirait le jus liquoreux qui sourdrait en grandes quantités. Ma chatte avait atteint une ouverture impressionnante, l'homme n'arrivait plus à contrôler ses caresses, sa langue, son nez ses joues se frottaient à la margelle de mon puits. Et il m'a fait jouir, longuement quand il a emprisonné mon clitoris entre ses lèvres et l'a tété jusqu'à ce que je ne puisse plus supporter cette caresse et que je prenne la tête de l'homme à deux mains pour l'écarter. Alors il s'est relevé, il a abaissé son maillot et a planté sans difficulté sa queue dans mon minou grand ouvert. Tandis qu'il me baisait, je léchais son visage, nettoyant avec ma langue, les traces de mes sécrétions qui s'y étaient déposées. Il n'a pas eu le temps de me faire jouir une deuxième fois...dans un grognement, il a éjaculé, dans ma chatte et sur mob fin duvet et sur mon maillot.
Nous avons subitement repris pied dans la réalité, nous étions là depuis plus de vingt minutes et sa femme jetait des regards de plus en plus nombreux vers le cabanon.
J'ai retiré mon maillot pour le rincer et nous sommes retournés sur la plage. Nous avons été accueillis froidement.
- Hé bien ça a été bien long, fit remarqué sa femme ...
- Maman où étais-tu ? Nous t'avons cherchée partout, insistaient-elles
Deux jours plus tard quand nous sommes revenues à la plage, mon amant d'un jour m'évitait, tandis que son épouse me jetait des regards noirs, il avait du avouer son infidélité, et pour éviter tout incident, nous avons changé de crique...
Peu de temps après Serge a été invité à aller à la pêche un week-end, par des amis qu'il voyait de temps en temps et m'a proposée de me joindre à eux, les enfants étant gardés par mes beaux-parents. J'ai accepté volontiers et nous avons rejoint Gérard et Thierry au bord de l’eau, où ils avaient une barque. L'après midi les trois hommes sont allés pêcher pendant que je les attendais sur la plage.
Le soir nous sommes allés dîner dans un restaurant au bord de mer. Au fur et à mesure que la soirée s'avançait Gérard et Thierry détaillaient de plus en plus longuement mon anatomie, et je repérais souvent leurs regards brillants sur mes seins ou mes cuisses à peine cachées par ma robe d'été. Serge, comme d'habitude ne s'apercevait de rien.
A la fin du repas nous sommes allés au camping où la tente de Gérard était installée. Elle n'était pas très grande et nous nous sommes couchés en rang d'oignons, sur un matelas mousse recouvert d'un drap. Gérard s'est couché contre la paroi de la tente et de ce fait je me suis retrouvée entre lui et mon mari, tandis que Thierry s'allongeait de l'autre côté. Nous nous sommes déshabillés et en enlevant ma robe, j'ai dévoilé mes seins à la vue des trois hommes avant de me glisser sous le drap commun.
Serge s'est endormi, et me suis légèrement assoupie. J'entends remuer à côté de moi et soudain, deux mains se posent sur mes hanches tandis qu'un sexe bandé essaye de se glisser entre mes cuisses. Après deux secondes d'hésitation, j'écarte les jambes et essaye de me cambrer, pour faciliter le passage de la bite. Gérard a compris il se recule et tire mes hanches vers lui, son sexe est maintenant contre ma chatte, mais ma culotte crée encore un barrage infranchissable. Je mets ma main entre mes cuisses, l'écarte et je positionne la queue de façon à ce qu'elle me pénètre à la première poussée, ce qui ne se fait pas attendre, et ma chatte englouti le gros rat, le mouillant pour qu'il glisse bien. Il est entré en moi complètement, Gérard commence de lents va et vient, pour éviter de faire du bruit et réveiller Serge et Thierry. Je me mords les lèvres pour ne pas gémir, j'ai la tête contre l'épaule de mon mari, qui dort sans se douter que sa femme couchée à côté de lui se fait enfiler par son copain, qu'elle est en train de prendre son pied, et que d'une main elle doigte son clitoris tandis, que de l'autre elle caresse les couilles de l'étalon. Je suis vraiment grand ouverte, j'enfonce deux doigts dans mon miaou, entre le manche qui me ramone et mon bouton rose, mon autre main effleure à peine les testicules de Gérard qui a l'air d'avoir du mal à se contenir. J'entends son souffle rauque, ses mains se crispent sur mes hanches, et je sens son foutre jaillir, mes doigts sont enveloppés par le liquide tiède, et je prends mon plaisir à mon tour en essayant de ne pas le manifester pour ne pas réveiller mon mari.
Je suis bien, cet orgasme m'a décontractée, je sens toujours dans ma chatte la queue du copain, qui n'a pas l'air de vouloir abandonner la place, à ma grande satisfaction. Je somnole un moment, jusqu'à ce que le membre grossisse et durcisse à nouveau dans ma chatte et que Gérard recommence à me baiser. Je me laisse faire, je passe mon bras par-dessus l'épaule de mon mari qui dort toujours à poings fermés, la pointe de mes seins s'appuient sur son dos, mes lèvres sont posées à la naissance de son cou. Je ne comprends pas ce que je fais, je risque de le réveiller pendant qu'un gros sexe me fore la chatte. Ce risque pourtant accroît mon excitation, je suis vraiment vicieuse ou salope, je remue le bassin pour montrer à Gérard que j'apprécie ce qu'il me fait et pour l'encourager. Puis à nouveau j'éprouve un orgasme, moins intense que le précédent, mais plus long, Gérard continue à me baiser, je savoure chaque instant de cette intrusion, je joue avec le membre, j'écarte ou je resserre les parois de ma chatte autour de la bite qui se libère de cette pression en relâchant à nouveau un flot de sperme dans mon réceptacle féminin. Gérard débande, son sexe perd de son érection, mais il reste en moi, et lentement je m'endors, mes fesses collées contre les cuisses de l'homme, relié à lui par ce mandrin autour duquel mes lèvres se sont resserrées.
Je suis réveillée par des frissons, les premières lueurs de l'aube éclairent la tente, je reprends conscience, le drap a glissé me dénudant complètement, la bite de Gérard est toujours plantée dans ma chatte, il bande en dormant. Je m'aperçois avec soulagement que mon mari dort toujours, mais un léger bruit attire mon attention.
Thierry est réveillé et n'a certainement rien perdu du spectacle de mon corps nu, empalé sur la bite de son ami. Je tire le drap sur moi, et je m'éloigne de Gérard. Sa queue sort de mon sexe dans un bruit de succion, et j'ai juste le temps de saisir une serviette pour éviter que le sperme emprisonné dans ma chatte, s'en échappe et s'étale sur la literie. Thierry me regarde toujours, mes yeux croisent les siens, et je devine un violent désir dans ce regard, je l'ai vraiment excité. Une montre sonne six heures, l'heure du départ à la pêche, Serge et Gérard se réveillent, s'étirent, j'enfile un short et un tee-shirt pour déjeuner avec eux. Serge secoue Thierry, qui ne se lève pas prétextant un violent mal de tête dus aux débauches de la veille et peu propice à la pratique de la chasse sous-marine. Je lui prépare un cachet, mon mari plaisante.
- Thierry, je te laisse à la garde de cette charmante infirmière, mais surtout pas de familiarité, elle est très prude et se choque facilement "
Gérard me regarde en coin, Thierry ne dit rien.
Les deux hommes finissent de préparer le matériel et partent au bateau. Il fait frais je rentre dans la tente, enlève mon tee-shirt et mon short, avant de me glisser sous les draps. Thierry n'a rien perdu du spectacle. Ma culotte se colle aux poils de mon pubis et je l'enlève aussi. Je suis couchée, je tourne le dos à Thierry, il ne se passe rien pendant quelques minutes, je me rassure, quand soudain j'entends :
- Sophie, approche-toi...
- Non Thierry je suis bien installée je m'endors.
- Oui c'est vrai tu n'as pas beaucoup dormi cette nuit, tu es à poil, si tu savais comme je bande, tu veux pas voir ma grosse bite, elle ne demande qu'à t'enfiler comme celle de Gérard, il t'a fait jouir au moins.
- Thierry il m'a violé ce salaud, je n'ai pu rien faire.
Thierry se mit à rire et s'approcha de moi, il se glissa sous mon drap et posa ses mains sur ma poitrine.
- Ah tes nichons depuis vendredi, ils me fascinent tu es super bien roulée on va bien s'amuser tous les deux.
- Thierry laisse-moi s'il te plaît...
Il ne m'a pas écoutée, il a posé sa bouche sur ma poitrine me léchant les seins tandis que sa main s'est insinuée entre mes cuisses, il a enfoncé sans rencontrer de résistance, deux dans ma chatte, tandis qu’un troisième excitait mon clitoris. Il était trop grand, trop lourd pour que je puisse me débattre, et je savais depuis qu'il m'avait vu nue avec une bite dans la chatte que j'allais y passer, que c'était le prix à payer pour son silence, et qu'en plus j'y trouverais mon compte. Sa bouche, quitte mes seins remonte le long de mon cou, ses lèvres se collent aux miennes, ma langue joue avec la sienne. Ses doigts remuent dans ma chatte, ils m'ouvre, ses doigts remuent en un mouvement circulaire, je suis écartelée mais j'ai l'impression que je pourrais m'ouvrir davantage. Sa bouche retourne sur mes seins, je glisse la main sous son corps, je cherche, je tâtonne et enfin je trouve sa queue, c'est vrai qu'il est gros, je le serre, je le branle. Sa bouche va d'un sein à l'autre, il me dévore, sa salive mouille mes seins. Le plaisir arrive.
- Chéri, chéri continue, encore, plus vite.... je jouis, ah...C'est trop bon...
Je suis agitée de spasmes, mon bassin est atteint de soubresauts qui s'espacent au fur et à mesure que mon orgasme décroît.
- Tu as pris ton pied salope, tu vas me faire jouir avec tes seins...
Il a sorti sa main de ma chatte, il m'enjambe, son sexe repose entre mes seins, il est vraiment plus gros que tout ce que j'ai vu jusqu'à présent. Il se frotte à ma peau, il attrape mes cheveux et s'en sert pour rythmer la cadence, il bouge de plus en plus vite, sa queue glisse entre les globes, vient heurter mon nez, je sors ma langue pour le lécher quand il passe sur ma bouche. Il gicle, le sperme se répand d'abord dans mes cheveux et au fur et à mesure que la pression diminue au coin de mon nez, sur ma bouche et mes joues, mon menton, et à la fin les dernières gouttes entre mes seins.
Il se penche en avant, le voilà à quatre pattes, sa queue pend au dessus de ma bouche, j'ai compris, je glisse un coussin sous ma tête et j'embouche l'appendice viril. Je n'ai pas eu à le sucer longtemps pour qu'il se raidisse à nouveau, j'attrape le sexe à la base d'une main, je lui flatte les couilles de l'autre, ma bouche est pleine de son gland.
- Suce, suce bien, je t'ai entendue cette nuit remuer, je croyais que c'était ton mari qui te baisait, j'aurai jamais imaginé que tu te fasses niquer par d'autres hommes, avec tes airs de ne pas y toucher , je n'y aurais même pas pensé. En tout cas tu sais y faire, et tu aimes ça, Oh!!! Salope ta bouche, tu fais pas semblant, attends je vais te le mettre.
Il sort son sexe de ma bouche et se couche sur moi, me pénètre. Je suis tellement ouverte que je le sens à peine malgré sa taille. Il ressort, il me retourne, il se met sur les genoux il écarte mes fesses, pose sa bouche entre ma raie, je sens sa salive à l'entrée de mon petit trou. Il enfonce un doigt puis deux dans ma rondelle, je comprends, il veux m'enculer. Ses doigts jouent dans mon derrière, j'ai peur, mais en même temps je suis curieuse d'éprouver de nouvelles sensations dont j'ai entendu parler. Il continue à lubrifier mon anus avec sa salive tandis que ses doigts assouplissent ma pastille, je me détend, mes sphincters se relâchent, il doit me sentir prête car, il ressort ses doigts et présente son piolet à l'entrée du petit trou. Il s'allonge, il est lourd, sous le poids de son corps la bite pénètre dans mes entrailles, et mon trou n’a opposé aucune résistance, je viens de me faire enculer pour la première fois. Il remue dans mon ventre, j'éprouve une sensation bizarre, ce n'est pas encore du plaisir. Il est très excité, il me lèche et me mordille le cou, de temps en temps je tourne le tête pour que nos langues se caressent. Il a senti que je n'éprouvait pas vraiment du plaisir, alors il se retourne en me serre dans ses bras, je me retrouve couchée, dos à lui, sa bite toujours enfoncée dans le cul. Il m'écarte les jambes et me branle la chatte à deux mains, là c'est vraiment bon, je soulève légèrement mes fesses pour permettre à sa bite de me pistonner mon orifice anal. Notre plaisir arrive, on s'encourage par onomatopées, je sens son foutre me remplir le trou, tandis que je jouis à perdre haleine. Ca y est il débande, je me soulève, son sexe sort, expulsant son sperme. Je pose ma tête sur sa poitrine, je l'embrasse, il m'a comblée, il sent le sperme et la chatte, et je dois avoir la même odeur.
J'ai envie de rester, couchée contre lui, en attendant que notre désir revienne, et que l'on fasse encore l'amour. Ce n'est pas possible Serge et Gérard vont rentrer de la pêche et on a juste le temps d'aller prendre une douche, et remettre de l'ordre.
Il était temps, les pêcheurs sont revenus et nous avons décidé pour éviter les embouteillages de la soirée de rentrer immédiatement sur Bordeaux.
J'étais à peine installée dans la voiture que je me suis endormie, ne me réveillant qu'à l'arrivée devant notre domicile, j'avais vraiment besoin de récupérer.
La vie a repris son cours, Gérard et Thierry essayèrent de me revoir, de me revoir, mais je ne voulais pas entamer une relation adultère avec des copains de mon mari.
Les filles ont repris l'école début septembre, j'étais seule toute la journée. Je la passais au lit avec John, mon vicieux directeur, qui me fit revivre mes tumultueuses vacances.
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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : Chaudes aventures d'une femme mariée

Le 07/12/2021 - 05:44 par Capitaine hadoock
Juste magnifique...

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