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Cher Docteur 2

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Lue : 25501 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 01/02/2009

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Deuxième chapitre sur trois de la part de Pierre le Grand dit Yégor

Cher docteur,

Nous revirent Agathe trois jours après, elle sonna et dés le premier regard nous comprirent qu’elle était en crise. José s’éclipsa dans son bureau
- Docteur ! docteur ! j’ai besoin de vous j’ai besoin de votre traitement il me le faut j’ai mal ! affreusement mal
- Que se passe-t-il chère Agathe ?
- J’ai suivi votre conseil je sors du métro il était bondé
- Et alors ?
- Comme vous me l’avez prédit j’ai senti une cuisse se coller à la mienne je sentais la chaleur au travers des étoffes j’ai écarté un peu les cuisses en me collant un peu cela n’a pas traîné j’ai eu directement une main aux fesses qui me les pétrissait je n’ai pas réagi et en moins d’une station la main a remonté le pan de ma robe et s’est installé sur ma culotte
- Vous en portiez donc une bien continuez
- J’étais contente cela marchait comme vous l’aviez prévu à une station une foule s’est présentée nous tassant encore plus et la main est passée par derrière sous mon slip
- Sur ta chatte ?
- Oui elle m’a fait mouiller en me pinçant mes lèvres et ses doigts m’ont pénétré durant plusieurs stations j’étais bien je cherchais simplement à voir qui me donnait ce plaisir il me pistonnait la vulve et en même temps il me caressait le clito je n’ai pu me retourner tant nous étions serrés j’allais jouir quand brusquement à une station presque tout le monde est descendu de la rame et je me suis retrouvée avec quatre ou cinq personnes sans savoir si parmi elles se trouvait celui qui m’avait caressée depuis je souffre atrocement du mal que vous connaissez
- Ce peut être un jeune ou un vieux maquereau il est rare qu’un homme bien servi chez lui se laisse aller à peloter les femmes vous êtes venue ici directement ?
- Oui
- Sachez qu’il n’est pas exclu d’avoir été suivi votre attitude a encouragé le téméraire et il s’est peut être dit qu’il pouvait espérer plus c’est d’ailleurs ce que nous cherchions il rode autours de la maison j’en suis presque sûr !
- Vous croyez ?
- Avant de soulager votre besoin de faire l’amour comme je l’ai fait l’autre jour nous allons tenter une expérience……José ! Venez….Agathe je vous présente José mon infirmière vous allez jouer son rôle et si comme je le pressens votre séducteur se présente vous aurez tout loisir de profiter de ses faveurs en résistant un peu bien sûr nous nous écarterons José et moi pour vous laisser tranquilles mais nous ne serons pas loin à côté et nous vous surveillerons par ce miroir sans tain si cela tournait mal n’ayez crainte
- José je vais vous demander de prêter votre blouse blanche à Agathe ma patiente
- Bien sur docteur
- Agathe José changez vos vêtements oui une infirmière est nue en général sous sa blouse c’est connu par mesure d’hygiène et aussi il faut le dire pour enlever le stress des malades les hommes surtout…..mais votre slip est tout mouillé oui quittez le inutile de le mettre vous êtes splendide comme cela n’est ce pas José ? Bien tout est prêt Agathe vous allez ouvrir quelques instants les fenêtres et regarder dehors il faut que le coquin s’il est là repère l’étage et l’appartement si dans un quart d’heure rien ne s’est passé nous verrons
- Vous verrez dit José d’un air pincé

Durant le changement de tenue je ne perdis rien de la plastique des deux poupées quel ballot j’étais de ne pas profiter d’Agathe de sa beauté et de ses envies irrépressibles de faire l’amour
- Penchez vous bien et regardez à droite à gauche prenez votre temps c’est bon refermez la fenêtre venez José retirons nous bon courage Agathe et bonne chance ne vous occupez pas de nous et si le visiteur vous force ne résistez pas trop !

La situation excitait manifestement José au plus haut point, nous nous tenions dans la pièce d’à côté près du panneau optique qui nous permettait de voir sans être vus, de discrets hauts parleurs reproduisaient l’ambiance sonore c’est alors que la sonnerie de l’entrée résonna, nous vîmes Agathe ouvrir en entrebâillant la porte. Un jeune homme entrât, effronté il était comme un jeune chien qui vient de renifler une femelle en chaleur, manifestement il venait pour conclure en bravant tous les dangers.
- Monsieur le docteur n’est pas là, je suis seule mais je peux prendre un rendez vous
- Laissez moi entrer je vous en prie merci il me semble que je vous connais je vous ai vue il y a peu de temps
- C’est impossible je ne vous connais pas
- C’est lui murmurais je dans le cou de José
Le jeune homme referma la porte sur lui et confia que lui la connaissait bien et qu’elle était une infirmière adorable.
- Merci mais je vous prie cependant de croire que je ne vous ais jamais vu
- Je vais vous prouver le contraire tenez regardez derrière vous
Cette diversion réussit à détourner l’attention d’Agathe, le godelureau en profita pour l’enlacer en se plaquant sur son arrière.
- Ah monsieur c’est vous qui avez profité de ma candeur tout à l’heure dans la foule du métro
- Oui c’est moi bravo mais il me semble que vous aviez mis votre candeur de côté j’ai vite compris que je pouvais continuer à m’exciter sur votre cuisse si vous saviez le plaisir que j’ai eu à caresser vos fesses à remonter votre robe à caresser votre chatte sur votre petite culotte et quand vous m’avez permis de faufiler ma main par-dessous j’ai presque joui en frottant mon sexe dans la commissure de vos fesses ne dites pas que vous n’étiez pas d’accord vous vous êtes offerte en écartant vos cuisses
- Je n’ai pas voulu attirer l’attention en faisant un esclandre, je suis discrète moi monsieur
- Discrète et bien foutue et je maintiens complice !
Tout en parlant le jeune satyre s’agitait sur la croupe d’Agathe tout partait bien comme je le pensais bientôt il la soulagerait
- Ici pas d’esclandre nous sommes seuls tranquilles mais dites dont vous êtes à poil sous votre blouse ! ahhh beauté tu as des seins magnifiques !
- Non laissez moi ou j’appelle !
- Appeler qui ? tu plaisantes reste devant la glace regarde le spectacle de mes mains sur toi ta blouse qui éclate comme un fruit mûr regarde comme tu es belle !

De notre côté nous étions envoûtés, il s’y prenait bien le bougre, José riait nerveusement, sur son arrière moi aussi je mimais la scène et comme le jeune homme sur Agathe je l’agaçais, je la mis nue tout en quittant mon pantalon et mon slip, j’installais José à genoux sur le fauteuil face au miroir et je m’encastrais en elle, ma grosse verge dans l’entrecuisse tout cela en lui caressant les seins durcis par l’envie. J’engluais la tête de mon nœud et la présentais sournoisement à l’entrée de l’anus profitant de son désarroi pour forcer cet endroit délicieux. qu’elle m’avait toujours refusé. Malgré son hystérie la douleur de la première pression la cabra elle me traita de salaud mais d’une main experte passé entre ses cuisses elle me guida à l’entrée de sa chatte, elle était ouverte, j’était très raide et très gros je l’emmanchais sans le moindre effort et durant le spectacle qui s’offrait à nous je la pistonnais doucement mais profondément n’accélérant le mouvement que lorsque je la sentais jouir
- Ah c’est meilleur que dans le métro hein beauté je vais te baiser !

Lui aussi avait baissé sa culotte et virevoltait autours d’elle en la surprenant par ses caresses nous pûmes voir sa verge blanchâtre longue et bandée d’une grosseur en dessous de la moyenne
- Suces moi avant que je te prenne !
- Non monsieur ce n’est pas convenable
- D’accord mais c’est tellement bon es tu d’accord pour que je te fasse jouir ?
- Je l’avoue oui j’ai honte mais j’ai envie
- Enfin ! à la bonne heure tu ne vas pas le regretter aller suce ouiii tu vois ce n’est pas difficile mais dit donc tu te défends pour la sucette les couilles aussi bravo tu vois l’effet que tu me fais attends en position maintenant
Il l’avait renversée sur le sofa mettant en valeur sa merveilleuse croupe, au milieu des fesses sa chatte dardait un clito des grands jours
- Oui fais moi jouir baise moi bien !
- Enfin tu te dévoiles salope depuis le début tu minaudes jouant les vierges effarouchées je savais moi la bandeuse que j’avais soulevée j’ai l’habitude tu n’es pas la première qui succombe à mon charme rassures toi tu vas être servie

Tout allait bien nous pouvions les voir, Agathe à genoux ployée en avant ses seins dodelinant chauds comme des pigeons sous les coups de boutoirs lui jeune éphèbe l’emmanchait maintenant par derrière avec son ceinturon ce petit con lui fouettait les fesses il limait ses mains agrippées aux hanches. Ce fut assez bref et à notre grand désespoir rapidement nous comprirent qu’il éjaculait, le sexe bien enfoncé il gueulait en jouissant
- Salope putain ahhhh je jouis je bande je décharge ouvre bien ton cul que je le remplisse de foutre ahhhh je suis bien je suis beau tu nous vois dis chérie tu me vois te monter comme une biche
Une grande houle animait maintenant la croupe d’Agathe, la connaissant je souhaitais que la saillie dure encore et reprenne pour qu’elle puisse jouir à son tour. De notre côté José avait perdu conscience sa chatte froufroutait à chacune de mes introspections, moi j’étais calme, bandé mais calme, de cette réserve qui me permet de faire jouir des nuits entières mes partenaires amoureuses jusqu’à leur épuisement les faisant vibrer avec ma verge de plus en plus dure de plus en plus grosse.

A côté cela allait mal, le jeune puceau repu s’était retiré avant l’orgasme de sa partenaire, elle avait beau le provoquer, l’implorer, le caresser, sa verge mole pendait minablement, fatiguée, incapable d’honorer sa partenaire en furie.
- Incapable ! bon à rien ! couilles moles ! fouts moi le camp !
Et joignant l’acte aux paroles regroupant ses effets elle le poussa sur le palier en tenue d’Adam lui lançant ses vêtements avec rage
- Hors de ma vue ! ne revient jamais ! impuissant !

Quand il fut parti elle s’écroula en sanglotant sur le sofa, elle serrait vainement ses cuisses sur un sexe imaginaire je contentais toujours José qui jouissait, elle, pour la énième fois avec mon nœud emmanché jusqu’à la garde, elle soufflait en se tordant quand Agathe entra, interdite, elle demeurait immobile comme pétrifiée, je lui offris en spectacle quelques allers et retours de ma verge dans son calice
- Quel calme docteur, vous trairez également José ?
- Oui car le spectacle que vous offriez la rendue malade voilà plus de quatre fois qu’elle jouit cela va aller mieux maintenant
- Et vous docteur vous ne jouissez pas, le jeune con m’a prise comme un cerf sa biche enfin c’est lui qui le disait il a vibré de suite et j’ai senti un jet puissant m’inonder au plus profond de moi, je le dominais alors, mais vous quel calme, quelle réserve
- C’est que je considère cet acte comme un traitement au seul bénéfice de mes patientes et je dois les contenter mais elles seules
Je me retirais de José et Agathe loucha sur mon sexe noueux
- Je vous en prie docteur contentez moi encore, j’ai affreusement mal, ce petit con ne m’a pas fait jouir une seule fois seul votre tempérament me calme durablement, il me le faut il me le faut je paierais ce qu’il faut pitié cher docteur
- Il ne sera pas question d’argent cette fois car la solution que j’avais préconisée n’a pas marché mais avant toute chose prenez- moi immédiatement ce comprimé
- C’est quoi ?
- La pilule du lendemain je n’ai pas envie de vous voir tomber enceinte
- Ce serait un comble merci d’y avoir pensé !
- Agathe ! prenez ma place dit José conciliante agenouillez-vous sur le fauteuil moi je suis mieux maintenant c’est fou comme Edouard sait nous calmer !
- Edouard ! c’est classe comme prénom je m’installe comme vous José ?
- Oui comme ça relevez bien vos fesses !
Agathe était en bonne position, les fesses en l’air, les bras en appui sur le dossier du fauteuil. Quelle fille ! quel cul ! j’allais me la taper encore une fois, je sentis dans ma queue des pulsions de désir, elle se dressa à l’horizontale, je m’approchais ; mon gland trouva ses lèvres et d’un coup je m’enfonçais. Agathe poussa un petit cri je cru distinguer un oui enfin et je commençais à m’agiter, à aller et venir en elle mon ventre dur claquant ses fesses. Elle se mit immédiatement à jouir en ondulant de la croupe, je l’avais prise par la taille pour la baiser bien à fond. Toujours maître de moi j’eus le plaisir de la voir se tendre plusieurs fois à chaque orgasme. Que c’était bon de voir le spectacle de ce corps parfait qui s’abandonnait, d’entendre ses cris, ses longues plaintes. José restait près de nous, bien servie elle appréciait semble-t-il le spectacle. Cherchant à se rendre utile elle dit :
- Chère Agathe maintenant que vous avez bien joui ne trouvez vous pas frustrant de voir le docteur si calme si maître de lui ne voulant partager votre plaisir
- Ah oui j’aimerais qu’il jouisse lui aussi avec nous qu’il oublie un instant son rôle de médecin pour devenir le meilleur des amants Ahhhhhh il me fait encore jouir Edouard ! rejoignez-moi !
- Savez-vous ce qu’il aime et désire le plus au monde et qui j’en suis sûre certaine le ferait craquer jouir éjaculer en vous ?
- Dites le moi je lui offre de suite maintenant
- Attendez de savoir ce n’est pas si simple
- Dites !
- Ce qu’il désire par-dessus tout je n’ose le dire
- C’est quoi enfin !
- C’est votre petit cul votre anus tout mignon !
- Mais pourquoi ?
- Pour se planter dedans pour s’enfoncer dans ce puits sans fond et se branler comme dans ta chatte pour te sodomiser
- Je ne dis pas non c’est même oui mais souffre t’on ? comment un sexe aussi gros peut il entrer dans un trou si petit si serré ?

Comme fou je repris la parole, sacré José qui cherchais à m’offrir par maîtresse interposée ce que je désirais le plus au monde et qu’elle se gardait bien de m’accorder
- Tu jouirais Agathe encore plus que ce que tu connais maintenant au début cela te semblera douloureux encore qu’en faisant ce geste avec délicatesse avec amour ce sera très bref
- vous dites avec amour j’ai bien entendu avec amour pour moi ?
- Oui car peu de femmes acceptent de se donner ainsi
- Vous avez déjà pratiqué la chose ?
- Non Agathe vous seriez la première !
- Edouard ! je veux te pardon ! je veux vous faire ce cadeau
- Nous pouvons nous tutoyer d’ailleurs en se donnant l’un à l’autre de cette façon il faut se parler se défier s’insulter même sachant que c’est un moyen de s’exciter pour jouir plus encore
C’est alors que l’entremetteuse José proposa ses services, elle me pria de me retirer et écartant les fesses d’Agathe elle commença un doigt dans un petit pot de vaseline à pommader son anus
- Que faîtes vous José ?
- Je vous prépare avec un peu de lubrifiant pour aider au début quand le gland d’ Edouard va vouloir enter d’ailleurs j’enduits aussi son sexe entièrement
- Ce n’est pas désagréable mais vos doigts qu’en faîtes vous ?
J’ai deux doigts en vous çà glisse bien ouvrez vous ! bien ! avez-vous mal ?
- Non
- Pourtant j’ai trois doigts en vous qui vous enculent !
- Enculer ! c’est donc cela !
- Oui c’est un vilain mot pour un acte délicieux !

José s’occupait aussi de moi de ma verge qu’elle enduisait généreusement. Elle avait arrondi sa main et me branlait doucement ; elle me regardait intensément, guettant, devinant mon émoi. Elle s’y prenait bien la coquine comme si elle me préparait pour son cul son cul interdit pourtant pour moi. C’était une sensation délicieuse. Durant cette onctueuse branlette mon regard fixait la croupe ouverte avec au fond du canyon de ses fesses somptueuses le petit orifice de son anus, ce trou sans fond que personne avant elle ne m’avait offert. Cela avait toujours été mon fantasme, cette envie de possession de cet étroit conduit. J’allais enfin le satisfaire, qui plus est avec la plus belle des femmes, la plus ardente avec pour témoin et complice celle qui m’avais toujours refusé cette découverte et qui je l’aurais juré à cet instant enviait sa rivale et aurait prit volontiers sa place. Il fallait que pour Agathe et moi se soit un instant de bonheur total, comme j’allais m’appliquer, respecter cette femme, la faire jouir.

Dans cette position le cul n’est pas caché comme la chatte à l’intérieur des cuisses, il s’offrait à ma vue, attirant comme un gouffre, j’étais saisi de vertige d’autant que José sa main sur ma bite durci me guidait vers lui. Je vis mon gland s’approcher avant de se centrer, de se presser. Cette main diabolique agitant ma verge devant le méat entrouvert, elle me tirait, cherchant à l’enfoncer . D’un coup je pris conscience qu’on nous volait cet instant unique attendu depuis toujours et sans ménagement je repoussais l’intruse la ramenant au seul rôle de témoin ce qui n’est pas rien.

Seuls au monde Agathe et moi mon sexe et son cul, je recentrais mon gland déformé sur lui ma verge arc-boutée avec délicatesse et puis d’un coup l’œillet céda permettant à l’ogive de pénétrer faiblement , la suite fut un délicieux combat le gland centré maintenant sur l’anus entrouvert. Je poussais en ondulant du bassin, tordant mon pieu en l’enfonçant petit à petit, la vaseline aidant ce fut plus facile que je le supposais, le petit cul déformé autours de mon énorme cierge. C’est quand je commençais à aller et venir en elle qu’Agathe se manifesta
- Etes-vous bien Edouard ?
- Merveilleusement bien et vous ?
- Je n’ai pas mal où en sommes nous ?
- Je suis en vous je m’agite doucement ahhhh c’est bon si tu voyais ma queue dans ton petit cul ahhhhh c’est meilleur qu’une chatte meilleur qu’une bouche mais tu bouges toi aussi
- Je suis bien c’est bon je me sens prise à revers je me sens pleine ahh oui chérie plus vite plus fort je jouis rejoins moi rejoins moi !
- Ahhhhh Agathe toi aussi tu es dans un autre monde Ahhhhhh je m’écroule je cède je jouiiiis dans ton cul ouiiii charmante salope j’éjacule tu sens mon foutre t’inonder ?
- Ouiiii je te sens bien on jouit tout les deux ensemble continue plus vite plus fort Ahhhhhhhhhh !
- Ohhhhhhhh ouiiiiiiiiiii Agaaaaaaaaaaate !

Après avoir jouit si fort, ensemble le calme revînt faisant place à un grand bien être ma queue continuant d’aller et venir en elle ; c’est alors qu’Agathe poussa un petit cri de surprise et commença à s’agiter. Je compris son émoi quand je sentis que l’on me caressait les couilles. C’est José qui s’était assise, insérée entre nos cuisses et qui avec sa bouche à bonne hauteur, avec sa langue amusait la chatte libre et les couilles pendantes. Comme moi homme ou femme qui me lisez, vous avez du remarquer que par un phénomène étrange, certains jours les roubignoles font bloc, dures et serrées dans leur sac tandis qu’à d’autres moment sans savoir pourquoi elles deviennent indépendantes et on peut les palper une après l’autre, lourdes comme des plombs elles pendent et s’agitent au moindre mouvement. C’était le cas et José se fit un plaisir de les gober bouche grande ouverte en les aspirant. Manifestement la chatte libre d’Agathe n’était pas délaissée et une langue agile faisait sa toilette. Les mains de José se joignirent à la fête sur mes bourses, sur ma verge quand elle sortait lui offrant le choix entre un cul et sa bouche. Je crus défaillir quand une main entre mes fesses elle pointa un doigt dans mon cul en le branlant. Cela eut le don de nous déchaîner et en quelques aller et retour de concert avec ses mouches du coche nous replongèrent dans une jouissance plus complète encore. Je sortais complètement mon sexe pour mieux servir le cul dilaté. Ma queue entrait facilement en chuintant dans ce puits sans fond grand ouvert. Agathe eut l’orgasme le plus puissant, comme folle elle s’agitait en tout sens tordant ses bras, la bouche grande ouverte déformée par le plaisir, la jouissance. L’orgasme la tenait aux entrailles ; j’avais du mal à suivre sa croupe en furie et quand par-dessous après m’avoir léché la bite la bouche goba une de mes couilles dans un grand cri je souillais à nouveau ce cul magnifique.

Nous nous écroulèrent peu après nos trois corps nus, repus, enlacés, heureux.
- Ah cher docteur que m’arrive t’il ? qu’avez-vous fait de moi ? ce bien être que je ressens maintenant jusqu’au fond de moi. Je suis heureuse de vous avoir vu sortir de votre froide compétence, je suis flattée de vous avoir fait jouir plusieurs fois longuement.
- Depuis le premier jour j’avais envie de te déflorer ton beau petit cul au fond de tes fesses bien rondes, je n’ai pu résister quand gentiment tu me l’as offerts, tu es la première à avoir eu cette générosité je n’ai pu garder mon calme je te prie de m’excuser !
- T’excuser ! Tu rigoles mais je t’adore au contraire pour cela, pour avoir réalisé ce que personne n’avais pu faire jusqu’alors je suis guérie je suis bien grâce à toi tu as su démontrer que ma maladie n’était rien d’autre qu’une immense soif d’amour charnel
- Il va falloir maintenant que votre mari pourvoit à cet énorme besoin. Je ne refuserais pas un traitement de temps à autre vous faisant découvrir d’autres manières de s’amuser mais il va vous falloir avoir le nécessaire chez vous c’est la seule solution, la plus simple A propos quel est l’effet des traités de sexologie que je vous ai confiés ?
- Je sens je sais qu’il les regarde mais pas devant moi il a honte il s’isole pour les regarder l’autre jour comme il sortait des toilettes il était tout drôle et autant que je puisse en juger au travers de son pantalon il bandait dur
- Et au lit ? comment ça va ? Est-ce qu’il se dégourdit ?
- Non toujours aussi prude il ne m’a pas encore honorée mais je le soupçonne de se masturber dans les WC
- Il va falloir agir accélérer le mouvement une seconde José !
- Bien José serait d’accord. Si vous voulez nous ferions semblant d’être des aménageurs d’appartements, vous manifesteriez le désir de changement et vous chargeriez votre mari de nous contacter
- ??????
- Est-il beau au moins ?
- Je le trouve très bien, je serai d’accord mais si ce n’est pas trop vous demander j’aimerai à son insu me tenir dans cette pièce sans me manifester
- C’est un peu gênant pour José qu’en penses-tu José ?
- Moi au contraire çà va m’exciter encore plus et se sera une fête si le bon docteur se tient avec vous cela promet d’être un beau bordel !

Ainsi fut fait, un rendez vous est prévu aujourd’hui à quinze heures, je sens José toute fébrile, son rôle semble l’exciter au plus haut point ; elle est splendide moulée dans une robe de toile grège, elle ne porte pas de soutien gorge et on devine la pointe de ses seins. Quand elle est à contre jour on devine la forme de ses cuisses, elle est divine, elle a forcé sur le parfum et j’avoue avoir envie de sauter sur elle de la posséder. Mais on sonne ! C’est Agathe elle aussi est magnifique
- J’arrive plus tôt pour ne pas rencontrer mon mari qui doit se présenter à quinze heures, il nous reste un bon quart d’heure pour nous installer dans la pièce adjacente
- Très bien Agathe mais ne perdons pas de vue que josé ne va œuvrer que pour vous être utile pour vous faire trouver l’équilibre dans votre foyer au même titre que mon traitement au service de ton mal
- Je sais merci merci à vous deux allons !

Dans le bureau voisin je demande si je mets le fauteuil à la place de l’autre jour devant le miroir. Très chatte elle me dit qu’elle allait me le proposer pour être plus à l’aise et pour se faire bien comprendre elle se plaque sur moi en m’étreignant, je suis ému, on le serait à moins et elle sent la raideur de mon sexe encastré en haut de ses cuisses, elle s’y vautre en roucoulant
- Mais vous bandez docteur ! est ce permis ? je l’espère car j’ai besoin d’un traitement énergique
- Pour ne rien vous cacher j’ai une envie folle de vous baiser ! jamais je n’ai possédé une femme aussi belle et aussi bandante qui vous !
- Vous allez jouir aussi ?
- J’en suis certain mais pas avant vous avoir fait mourir de plaisir
Elle eu un petit rire nerveux, mes paroles la troublaient, elle devait mouiller déjà
Mais la sonnerie retentit et José fit entrer le mari. En effet il était bel homme ce qui me réjouit pour José qui commença son numéro en l’accueillant gentiment…….

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Histoire de Pierre le Grand

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