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Cher Docteur 3

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Lue : 20376 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 01/02/2009

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Troisième et dernier chapitre de la part de Pierre le Grand dit Yégor

Cher docteur,
José se présenta, le fit assoir sur le divan et lui demanda le but de sa visite. Déjà il sortait de sa poche des plans, des documentations….
- Bien dit t’elle travail intéressant d’aménagement que je vais prendre en main personnellement à moins que vous ne préfériez avoir affaire avec mon associé Edouard il n’est pas là aujourd’hui mais si vous……..
- Inutile je n’ai rien contre les femmes au contraire et si nous devons travailler ensemble et se revoir fréquemment la compagnie d’une jolie femme comme vous n’est pas pour me déplaire et je fais confiance à votre goût pour décorer ma maison… mon prénom est Juan Juan Garçia
- Merci des compliments Juan moi c’est José j’espère que notre relation sera fructueuse
- J’en suis sûr belle José

Visiblement il mordait à l’hameçon diaboliquement préparé. Serrée contre moi je sentais Agathe décontenancée par l’aisance de son mari comparée à son habituelle réserve
- Son comportement est normal chère amie il sait maintenant grâce aux revues le langage et la manière de séduire une femme avec vous il n’ose pas du moins pas encore avec José il fait un brouillon si j’ose dire qu’il mettra au propre avec vous quand il sera au point

D’un coup Agathe eu un grand besoin de tendresse, nous étions dans les bras l’un de l’autre et pour la rassurer je la caressais doucement mes mains effleurant son corps sur sa robe soyeuse. Elle sembla apprécier l’instant où je lui pris les seins libres sous leur frêle rempart je les massais fermement. Agathe, je le compris de suite est de celles qui peuvent jouir par leurs seins, ils devinrent durs, leurs pointes se raidirent et son ventre ondula sur le mien. Elle me regardait fixement et je lisais son départ vers le plaisir. Je ne pus m’empêcher de l’embrasser sur la bouche et ce fut un grand moment de fraîcheur nos langues vivantes emmêlées, unies. Quel bonheur pour moi, j’avais fait éclater son décolleté et mordillait sa jeune poitrine ma langue s’attardant sur leurs pointes bistres tandis qu’une de mes mains paume en avant pétrissait sa chatte sur sa robe entre ses cuisses serrées…. ….J’allais explorer ses fesses quand notre attention fut attiré dans la pièce d’à côté.

Agathe ne voulant plus se laisser distraire et pour ne rien perdre du comportement de son mari s’installa à genoux sur le fauteuil face au miroir sans tain et devint attentive au spectacle qui s’offrait sous nos yeux. Son attention ne fut cependant pas telle qu’elle refuse des initiatives de ma part. Placé derrière elle je relevais le pan de sa robe dévoilant ses fesses superbement mises en valeur par la position de son corps. Elle n’avait pas fait les choses à moitié pour me séduire : petite culotte à franges en soie noire, bas et porte jarretelles assortis. J’entrepris de la déculotter, j’adore ce verbe, j’adore le faire, dévoiler petit à petit les hanches tirer sur l’étoffe pour démouler les fesses baisser ce flottant sur les cuisses ouvertes et s’en débarrasser en relevant les genoux l’un après l’autre avec en récompense la vue sur un sexe qui se dévoile, les lèvres de la chatte qui se décalent rien alors ne masquant ce qui m’attire le plus chez une femme : sa croupe fendue, ses fesses rondes et ouvertes sur des orifices mystérieux et fascinants, des cuisses nues jusqu’aux bas avec ses jarretelles zébrant de sombre la chair ambrée. Elle avait le cul nu, quels gracieux volumes, des lobes biens ronds, bien lisses se raccordant divinement avec les cuisses, une raie bien ouverte ponctuée d’un anus sombre et au fond de l’entrecuisse les grosses lèvres de la chatte adorablement poilue.
- Je vois cher Edouard que vous me préparez avec soins merci je ne vous demande qu’une chose en ce moment c’est de ne pas me sodomiser non que cela me déplaise au contraire mais j’ai peur qu’alors le plaisir ne me submerge et de perdre le fil de se qui se passe à côté

En effet, à côté cela se précisait et pour être libres de profiter pleinement du spectacle je nous installais en bonne position. D’un jet de salive je lubrifiais la raie offerte et sans attendre y plaçais ma verge, bandée, verticale. Prenant Agathe par les hanches je la plaquais sur moi en animant mon bassin d’imperceptibles reptations de bas en haut. Par-dessus je pouvais voir mon gland émerger entre mon ventre et ses fesses serrées. Que j’étais bien ainsi ! le gros rouleau de mon sexe contre son cul. Elle devait être bien aussi car je n’eus plus besoin de la maintenir contre moi, elle écrasa sa bague sur mon membre et sa croupe s’anima d’une houle lascive augmentant mon bien être. Passant mes mains sous sa robe je pus commencer à lui caresser le dos, le gras des épaules, la nuque et ses beaux seins pantelants.

Confortablement installés nous pouvions voir José proposer de boire un verre avant de se mettre au travail et tandis qu’elle cherchait dans le meuble bas bouteille et verres en dévoilant ses cuisses, sa culotte et ses fesses, Juan lorgnait sans vergogne ce tableau en se penchant un peu pour en voir plus. Quand elle se releva dans la lumière il se redressa vivement mais il put admirer le jeu d’ombre de ses cuisses parfaites et de ses hanches dans le contre-jour.
- Vous êtes sensationnelle dit t’il je suis enchanté de collaborer de longs mois avec une femme si belle si comment dire ? je n’ose si excitante !

Au lieu de se rebiffer comme normalement une femme bien élevée aurait du le faire, José répondit, très chatte
- Vous n’êtes pas mal non plus, de plus avec une maison comme la vôtre qui montre des signes évidents de richesses, les beautés du coin ne doivent rien vous refuser
- Elle exagère murmura Agathe
- Non c’est lui timide de nature il se lance et José l’encourage alors qu’il aurait du recevoir une paire de gifles, au minimum une remise en place très sèche et en tout cas la fin de leur collaboration ainsi il va croire qu’il suffit d’être hardi et que la situation rocambolesque des revues est normale je pense que José va le conforter dans cet opinion ce qui va le faire sortir définitivement de sa timidité maladive

Durant mon raisonnement et pour la calmer un peu, je m’écartais légèrement et ployant mon sexe je présentais mon gland entre les lèvres de sa chatte et d’une petite poussée je m’enfonçais en restant au bord, mon gland seul allant et venant dans sa vulve
- Je ne me plains pas dit le pseudo Don Juan deux doigts de porto si vous voulez merci mais je vous en prie asseyez vous à mes côtés nous aurons le temps pour travailler ensuite tchin tchin à nos affaires à nos amours peut être ?
Et avant que José ai pu esquisser le moindre geste il l’enlaça gauchement et prit les lèvres qui ne se dérobèrent point
- Salauds ! hypocrites ! Vous l’avez compris c’est Agathe qui s’indignait
- Penses à toi pour plus tard ! calme toi et laisse toi aller

Ma verge consolatrice dut forcer l’allure et l’amplitude des pénétrations et je m’inquiétais du traitement qu’il faudrait pour calmer Agathe quand José se ferait fourrer par son coquin de mari. D’autant qu’à côté les affaires étaient menées rondement, complices ils avaient posé leurs verres et José s’épluchait comme un fruit bien mûr, la robe s’envolant par le haut dévoilant son corps magnifique, ses seins dressés pointés de rose et son sexe orné d’une légère toison savamment entretenue
- Non ! non ! laissez- moi je vous en prie soyez gentil ne profitez pas de ma faiblesse de mon envie de vous céder nonnnn pas çà nonnnn !

Ses protestations furent étouffées par Juan qui en l’étreignant la couvrait de baisers, sur sa bouche, dans son cou, sur ses seins tout ceci en continuant de la dévêtir si bien qu’en un instant José ne fut protégée que par son minuscule slip et son parfum comme on dit !
- Non arrêtez ce n’est pas bien pensez à votre femme
- Ne me parlez pas d’elle elle est froide comme le marbre et vous chaude comme la braise laissez moi faire
- Nonnn siiiii enfin je cède à votre ardeur j’en avais envie depuis votre entrée tu es beau chéri tu es fort ahhhh tu me tiens oui caresse moi bien caresse moi les seins ils sont sensibles tu les vois durcir par le plaisir j’ai honte de te céder si facilement mais c’est bon ! tu es habile Juan ! tu es doux tu sais t’y prendre avec les femmes tu as du en faire jouir plus d’une caresse moi bien la chatte ahhhh laisse moi te donner du plaisir avec mes mains tu bandes laisse moi te mettre nu toi aussi oui tu es bien poilu j’aime ta virilité laisse moi baisser ton pantalon !

Diaboliquement José entreprit de lui enlever ses vêtements, j’attendais avec impatience de voir ses attributs masculins, José aussi sans doute car elle ne lui laissa même pas son slip. Cela aurait pu être pire, son sexe bandé était normalement gros avec un gland bien développé. Faussement José s’extasia
- Tu es drôlement bien monté Juan ! tu vas bien me faire jouir avec cette grosse bite !
Elle le prit en main avec douceur lui palpant les couilles au passage, se penchant même pour embrasser son gland. Comédienne elle parût étonnée de son audace, réussit à rougir et comme elle faisait mine de se redresser
- non continue c’est bien ouvre bien ta bouche suce moi bien lèche moi tourne bien ta langue autour de mon nœud suce moi les parties c’est bon çà aussi laisse moi me branler dans ta bouche ouiiiiiii serre tes lèvres non n’aspire pas le déchargerais trop vite avant de t’avoir fait plaisir à mon tour je vais t’apprendre à faire l’amour tu verras comme c’est bon

Ce faisant ils s’étaient allongés sur le divan, tête bêche, José en dessous sur le dos, Juan sur elle les genoux écartés en appui sur la couche. Nous étions bien placés Agathe et moi pour tout entendre, pour tout voir, les fesses de Juan qui s’agitaient doucement pour mieux baiser la bouche ouverte.
J’avoue qu’il avait de belles fesses et il savait les bouger ? Agathe comme moi était troublée par l’érotisme de la situation ; avec une main sur sa tige José limitait sa course pour ne pas être étouffée par l’ampleur des pénétrations.

De l’autre côté Juan penché, le visage entre les cuisses écartées mordait la touffe de José à même sa culotte mais rapidement écartant le fond du slip il commença à la brouter, sa langue entre les grosses lèvres, s’attardant longuement sur le clitoris. A partir de cet instant je ne fus plus si sûr de savoir qui menait la danse, je sentis que José se laissait aller, que son plaisir n’était pas feint, ses cuisses s’animèrent de mouvements désordonnés.
L’instant d’après, subjugués nous vîmes Juan toujours centré sur la bouche de José la prendre par la taille, la soulever fesses et cuisses en l’air et dans cette position inconfortable la caler dans un angle du divan et là, la raie des fesses, l’entrecuisse bien à sa portée plonger bouche grande ouverte vers les trésors offerts. Je reconnaissais là une des nombreuses positions scabreuses des romans photos pornos qu’il avait dû observer.
Quel spectacle cette tête dans le vé royal des cuisses en l’air, cette langue qui s’agitait sur le petit capuchon du clitoris pointant entre les petites lèvres sanguinolentes du sexe écartelé. Heureusement José la sportive était capable de maintenir cette position : tête à l’envers, tronc vertical, fesses et cuisses ouvertes. Juan maintenait sa partenaire tout en lui pétrissant les fesses. Les résultats ne se firent pas attendre ; la bouche pleine José se mit à gémir en se tortillant avec sa main libre contournant son amant elle lui prit les fesses et d’un doigt lui fit une petite enculette. Ils se mirent à jouir de concert, lui dans la bouche de José, elle une langue dans sa chatte.
- Arrêtons-les ! ce n’est pas possible dit Agathe bouleversée comment est ce possible ce savoir faire avec une femme lui qui me baise en quelques secondes la fait jouir sans même la pénétrer

Et comme elle faisait mine d’aller le faire je dus la retenir et le seul moyen que je trouvais pour la calmer c’est de lui prendre les fesses qu’elle m’avait demandé de délaisser et prenant mon sexe je le sortais de sa cramouille, le remontais de quelques centimètres et le présentais devant l’anus et presque d’un coup je m’enfonçais. Elle ne protestât pas mais je dus forcer l’allure. En agissant ainsi et pour la suite je pus la contrôler.

Nous n’avions rien vu Juan décidément inventif guida José à quatre pattes les fesses en l’air, nous le vîmes la main passée en arrière empaumer la grosse chatte offerte sous l’adorable petite culotte passablement mouillée. Il me sembla qu’il avait quelque chose dans cette main et ce n’est que lorsqu’il passa sa main sous la culotte qu’Agathe et moi comprirent son manège : par devant et par derrière il ressortit de dessous le slip deux boucles d’une sorte de ruban élastique et il se mit en tirant alternativement sur un brin puis sur l’autre à le faire aller et venir dans la raie du cul et forcément sur la chatte masquée par la culotte. Juan en joua comme un archet sur les cordes d’un violon et José, superbe stradivarius, se mit à vibrer en s’agitant. Il est facile d’imaginer l’effet de ces fines lanières glissant au fond des fesses, sur les grosses lèvres du sexe, sur l’anus délicat, caresses impersonnelles dans l’intimité profondes.
- Mais que fais tu pour si bien me caresser qu’est ce qui me frôle la chatte ahhhh c’est bon c’est doux continue
- Attends ma chérie reprends moi j’adore quand tu me suces !

En disant cela il s’était replacé à genoux lui aussi par devant et prenant sa verge raidie la remit dans cette bouche qu’il aimait tant. Dans cette position confortable tout en baisant les lèvres serrées sur lui il s’occupa de son amante, délaissant les brins souples débordant du slip. Avec ses mains il lui massa les épaules, le dos ; les hanches, les fesses ; par-dessous il pelota ses seins qui s’agitaient. A un moment d’une main il reprit les deux extrémités des boucles en tirant dessus et à la réaction de José on pouvait imaginer que les fines lanières pressaient les lèvres de sa vulve. Nous eûmes confirmation quand il la déculotta découvrant ses fesses et sa chatte et qu’il disposa chacun des deux rubans dans les plis des cuisses. Tirant chaque brin à tour de rôle il déformait la chatte en décalant les grosses lèvres lubrifiées qui frottaient l’une contre l’autre.
Depuis longtemps José n’était qu’une plainte, jamais caresse ne lui avait procuré ce plaisir intense elle se mit à rejouir elle animait ses fesses de mouvements incontrôlés, obscènes. Juan les yeux dans le vague s’agitait en cadence ; Agathe avait les yeux révulsés, je la servais du mieux possible et je considérais que pour l’instant c’était la mieux servie.
D’un coup Juan se désaccoupla et se replaça derrière José pour conclure semble t’il, elle poussa un cri quand il la pénétra
- Enfin tu me baises j’en pouvais plus des caresses j’ai jouit plusieurs fois déjà seras tu me faire jouir encore ahhhh c’est bon ouiiiii agite toi bien plus profond s’il te plait

Bien placés nous pouvions voir qu’il ne la baisait pas, c’est avec trois doigts dans le vagin qu’il la branlait. A un moment José passant sa main en arrière entre ses cuisses saisit le membre dressé mais solitaire de Juan
- Mais avec quoi me baises-tu ? avec tes doigts ! c’est bon mais il me faut ta grosse bite maintenant baise moi vraiment fort vite et bien à fond tu comprends ?

On se rendit compte qu’en fourgonnant à l’arrière, sa main entre ses cuisses elle avait malencontreusement saisit les fins rubans et sa main s’empêtra un moment dans le piège des fines lanières de plastique qui l’avaient fait tant jouir. Presque par mégarde en tirant sur les liens la grosse bite et les couilles furent prises au piège, le ruban comme les tentacules d’une pieuvre enlacèrent le service trois pièces si bien qu’en tirant sur les brins à l’avant il se mit à vibrer en cadence. Spectacle hallucinant que cette verge attirée vers un gouffre.

José comprenant la situation en jouait à son tour et c’est elle qui maintenant affolait les attributs de son amant, en tirant sur les liens elle attirait vers elle, vers sa chatte, ce sexe ficelé. Bientôt on vit le gland s’agiter entre les lèvres avant de se centrer, de s’introduire dans la chatte écartelée. Quand il fut en elle bien profondément José laissa faire son amant qui reprenait l’initiative, sans se désengager il s’était mit debout pliant les cuisses enjambant la croupe qu’il maintenait relevée. C’est dans cette position inconfortable que peu d’amants peuvent s’offrir qu’il commença à pistonner José. Le spectacle était magnifique, ces fesses masculines qui s’agitaient, ses cuisses puissantes qui créaient ces pénétrations, cette verge qui apparaissait à chaque recul, le claquement des fesses magnifiques sous le choc du ventre dur et puis la plainte de la femelle qui commençait à jouir.

Avec ses deux mains serrant la taille de José Juan relevait au maximum la croupe de son amante pour fourrer sa chatte jusqu’aux couilles ; José en pleine jouissance encourageait son mâle
- Ah oui chéri c’est bon ne t’arrête pas surtout ahhhh je sens bien ton zob rempli moi agite toi bien ouiiii sort jusqu’au gland nonnn sans sortir renfonce toi ouiiiiiiii ahhhhhhhh je rejouis encore plus vite plus vite ohhhhh nonnnnnnnnn ne sort pas tu m’échappes tu es sorti reprends moi ouiiii que fais tu ahhhhhh nonnnnnn salaud pas là plus bas nonnn tu me déchires Ahhhhh

José poussa un grand cri de rage, de douleur mais Juan insensible la servait durement la maintenant par les hanches, se branlant en elle à grande cadence. Par tous les moyens José essayait de se désaccoupler en agitant ses fesses en tout sens mais Juan la maintenait fermement, il s’était mis debout sur le plancher et la soulevant toujours encastré en elle il lui coinça la tête dans les coussins, croupe en l’air. Il fut alors très à l’aise pour aller et venir en elle.

Depuis un moment José s’était arrêtée de gesticuler et de crier ; une longue plainte remplaçait les injures, Juan n’avait plus besoin semble t’il de la forcer, de la tenir ; il disposa d’une liberté de mouvement qu’il mit à profit pour d’une main lui pétrir les seins qui s’agitaient en cadence et mettre l’autre par devant entre ses cuisses. Le traitement sembla plaire à José qui s’agitait mais de jouissance
- Ahhhh tu m’as eu que c’est bon je jouis encore plus fort mais comment fais tu pour me faire autant jouir pardon pour mes injures de tout à l’heure je ne savais pas que tu voulais mon plaisir ahhhhhhh nonnnnnn ce n’est pas possible je jouis encore rejoins moi iouis aussi ouiiiiiiiii
Depuis un moment nous le sentions Agathe et moi, Juan la tête relevée, les yeux dans le vague était lui aussi dans un autre monde ; le foutre devait commencer à bouillir dans ses roubignoles, bientôt il allait exploser. J’accélérais l’allure moi aussi dans le puits culier de mon amante, je sentis venir notre bonheur et quand Juan dans un grand cri plongeât dans l’orgasme accompagné par les cris de José j’éjaculais dans le cul en furie d’Agathe inondant ses fesses et sa chatte.

Dans la pièce d’à côté les amants épuisés, en sueur se désaccouplèrent l’un dans l’autre emmêlés. Ils restèrent un moment prostrés avant de se relever pour un long et doux baiser. En hâte ils se revêtirent et convinrent de parler affaires un autre jour. Juan prit congé de José les yeux dans les yeux pleins de promesses
- Tu es un amant merveilleux cher Juan à bientôt j’ai hâte de recommencer
Quand José nous rejoignit nous nous réajustions nous aussi, José marchait avec difficultés mais semblait comblée et heureuse de l’expérience, son attitude ridicule, fesses serrées me révéla la vérité
- Mais José voilà qui est nouveau, je crains qu’il ait défloré ton cul, ton petit cul que tu m’as toujours refusé il t’a enculé le bougre
- Oui Edouard il l’a fait et bien fait c’était merveilleusement bon. Chère Agathe ne soit pas jalouse je crois que maintenant vous aurez du plaisir à la maison avec votre mari, j’espère qu’en signe de reconnaissance vous me le prêterez de temps en temps
- A une condition c’est d’avoir un petit traitement par le bon docteur dit Agathe un sourire malicieux aux lèvres
- Et pourquoi pas un jour s’envoyer en l’air tous les quatre dit je ne sais plus qui ?


A partir de ce jour je ne revis plus Agathe au cabinet ; elle devait trouver son bonheur chez elle désormais avec son mari. J’en éprouvais quelques regrets d’avoir été aussi efficace. Pourtant un jour je la croisais dans une allée du jardin du Luxembourg ; elle vint au devant de moi souriante et me fit un petit bisou sur la joue
- Merci Edouard merci pour tout vous mériteriez d’être docteur car vous seul avez su me rendre heureuse merci avec Juan c’est parfait maintenant
- Ainsi vous saviez ? lui dis je
- Depuis ma deuxième visite ! mais ne vous excusez pas je venais pour jouir !
- Nous reverrons nous ?
- Qui sait ?

Depuis ce jour j’attends ! Et vous ?

Pierre le grand dit Yégor
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Histoire de Pierre le Grand

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Commentaires du récit : Cher Docteur 3

Le 05/12/2023 - 09:36 par Sexty53
Bonjour je viens de découvrir votre histoire, très agréable à lire belle histoire virtuelle mais très bien écrite. Je me presse de lire la suite de vos histoire
Le 05/12/2023 - 09:36 par Sexty53
Bonjour je viens de découvrir votre histoire, très agréable à lire belle histoire virtuelle mais très bien écrite. Je me presse de lire la suite de vos histoire

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