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Christiane ma belle mère

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Lue : 42509 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 18/05/2009

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Je m'appelle Julien, j'ai 27 ans et j'avoue être comblé par la vie : J'ai une bonne situation professionnelle (architecte) dans laquelle je m'épanouis complètement. Côté vie privée ça va très bien aussi. Mon physique de grand brun ténébreux aux yeux clairs m'a toujours assurée une certaine réussite dans mes affaires de cœur. Je suis actuellement en ménage avec Annabelle. Une avocate d'une trentaine d'années, grande, brune et toujours habillée en tailleur, jupes courtes et talons aiguilles.

Au lit notre entente est excellente. Elle me satisfait pleinement pour autant j'admets ne pas être épris d'elle au point de ne plus regarder les autres filles. Je ne suis pas insensible à une jupe dans la rue ou un ardent regard. Je ne l'ai encore jamais trompée pourtant j'avoue avoir eu envie de céder à quelques occasions.

Un jour elle m'a demandé de l'accompagner dans un magasin branché du centre qui organisait une soirée spéciale pour ses clients les plus fidèles. Elle m'attendait à l'entrée. Le climat était plutôt frisquet de fait, elle portait un long manteau qui laissait juste apparaître ses longues jambes fines et ses talons hauts. Elle n'était pas seule ce soir là. Elle avait aussi convié sa mère à la soirée. Christiane était une version d'Annabelle en plus âgée. Même visage, mêmes magnifiques yeux bleus, même silhouette longiligne. Seuls différaient ses cheveux courts teints en blonds et surtout une tenue vestimentaire beaucoup plus sexy. Ce soir-là elle portait une veste ample plus courte qui ne laissait apparaître que ses jambes. Cela donnait l'impression qu'elle ne portait rien en dessous.

Entre nous ça été le flash tout de suite. Nous ne nous étions jamais rencontrés. Juste parlés au téléphone une fois. Annabelle me parlait d'elle de temps en temps. Je sais qu'elle avait 58 ans mais qu'elle ne les faisait pas, ce qui est vrai, qu'elle vivait seule, elle avait divorcé deux fois et avait beaucoup de succès auprès des hommes. Je comprenais aujourd'hui pourquoi.

Nous avons sympathisé au cours de la soirée et elle m'a totalement subjugué. Je suis tombé amoureux d'elle, de sa beauté, de son corps sexy et de son assurance de femme mure. De surcroit, elle avait envers moi une attitude clairement intéressée. Elle ne me quittait pas des yeux et profitait de toute occasion pour me toucher la main, le bras ou l'épaule. J'en aurais été gêné si moi aussi je n'avais pas eu une certaine attirance pour elle. Seule Annabelle ne voyait rien.

A partir de ce soir là, elle a envahit mes pensées. Pendant les jours qui suivaient je ne pensais plus qu'à elle, je voulais la revoir. A tel point que j'en délaissais Annabelle. Complètement obnubilé par Christiane, j'ai alors tout risqué. Faisant fi de notre différence d'âge et du fait qu'elle est tout-de-même, la mère de ma copine je l'ai invitée à sortir. Sans en parler à Annabelle, je l'ai appelée et lui ai proposé un restaurant. J'avais sous entendu qu'Annabelle serait là et prévu de lui dire qu'elle avait dû décommander à la dernière minute prise à son travail. Le plan était parfait et me permettait d'avoir une issue de secours au cas où.

Christiane ne m'a posé aucune question quant à l'absence de sa fille. Dès mon appel elle avait compris que je la draguais et avait décidé de jouer le jeu. Je ne m'étais pas fait d'idées, notre attirance était bien partagée.

Malgré son âge, elle était terriblement sexy. Talons hauts, mini-jupe et décolleté affriolant. Chaque fois qu'elle se penchait elle exposait à ma vue l'échancrure de sa poitrine de rêve. C'est sans doute une des plus belles femmes avec qui je suis sorti.
Au restaurant nous avons beaucoup parlé. Dans les rares moments de silence, nous restions de longues secondes les yeux dans les yeux. Mon désir pour elle était de plus en plus fort et surtout je sentais qu'il était réciproque. Plus tard je l'ai raccompagnée chez elle bien accrochée à mon bras.

Devant sa porte, comme une évidence, elle m'a invité à entrer chez elle. Je n'ai pas hésité une seule seconde. Je n'attendais que cela. Mais sans savoir où cela nous conduirait, j'étais conscient qu'en le faisant je mettais mon couple en danger.

Elle m'a invité à m'asseoir sur un fauteuil du salon. Autour, la déco était sobre mais assez ancienne mode. Des bibelots, des photos où je reconnus Annabelle, sa sœur ainée et ses enfants. Elle est revenue de la cuisine avec les boissons, ses talons aiguilles claquaient sur le parquet. Elle s'est assise sur le canapé d'en face en croisant les jambes. Dans cette position sa jupe remontait très haut et on devinait l'arête de ses bas. Je commençais à bander très fort.

Considérant que j'avais fait le premier pas en l'invitant, j'ai fait le vieux briscard et feint de rester de marbre. Elle a dû le percevoir et a pris l'initiative. Elle m'a fait un numéro vieux comme le monde : Prétextant qu'il faisait chaud et m'a demandé si cela me gênait si elle se mettait à l'aise. Ainsi, sans plus de cérémonie et sans même attendre ma réponse, elle retira son chemisier et le posa sur une chaise. Elle se tourna vers moi s'affichant en soutien gorge. C'était clairement un appel. Au moment où elle s'est rassise, j'ai posé ma main sur ses genoux et ai commencé à lui caresser les jambes. Voyant qu'elle ne protesta pas j'ai avalé une gorgée du porto qu'elle m'avait servi et suis alors allé m'asseoir à coté d'elle pour être plus près. Nous nous sommes embrassés.

- Je me demandais quand tu te déciderais, me dit-elle alors.
Sans rien dire je continuais à l'embrasser et à la peloter remontant ma main vers l'intérieur des ses jambes jusqu'à l'endroit de ma convoitise que je découvris bien humide.

Elle s'est relevée et a dézippé sa jupe. Elle avait prévu son coup. En plus de son soutien-gorge pigeonnant, elle portait des dessous en dentelle de couleur très excitantes et des bas maintenus par un porte-jarretelle. Je n'avais jamais vu aucune femme en porter. Je croyais que c'était désuet. Mais sur elle c'était splendide et cela lui allait très bien. Qui a dit qu'en vieillissant les femmes s'enlaidissent ? Elle est encore plus canon que sa fille.

Je me suis à mon tour déshabillé. J'étais super excité et dans la précipitation j'ai perdu l'équilibre et suis tombé au moment de retirer mon pantalon. Nous avons tout les deux rit cela nous a aidés à détendre l'atmosphère et nous a un peu libérés.

Elle m'a allongé sur le canapé et a longuement embrassé mon torse en me mordillant les mamelons. J'étais aux anges. Mon caleçon/boxer bien enflé lui faisait visiblement envie. Elle l'a attrapé de chaque coté de mes hanches et l'a retiré d'un coup sec. Ma bite bien dure se dressa sans difficultés. Elle l'a saisie vigoureusement d'une main tandis que de l'autre elle me malaxait les couilles avec douceur. Je sentis que ses lèvres douces prirent le relais de sa main avec une efficacité redoutable.
- T'es vraiment super douée, lâchais-je dans un râle de plaisir.

Au moment où j'allais venir je me suis dégagé. Je l'ai attrapée par les hanches tout en mettant ma langue dans sa bouche le plus loin possible. A mon tour j'ai saisi sa petite culotte et l'ai faite descendre le long de ses jambes décidemment magnifiques.
- Je ne suis pas une adepte de la chatte rasée, dit-elle comme je découvrais son intimité.
Je l'ai prise pour l'asseoir sur un guéridon. Elle a ouvert les jambes et j'ai introduis ma queue en elle. J'étais chaud bouillant. Bien que j'étais loin de me sentir serré, elle couinait à chaque mouvement de va-et-vient de mon bassin. Elle en voulait aussi et se donnait à fond. Je ne sais pas si c'était réellement sincère ou si elle simulait parce que par moments, j'avais l'impression de ne pas toucher les bords. Ce large vagin avait probablement dû voir passer des dizaines d'autres sexe sans aucun doute plus opulentes et plus expertes.

Je n'avais jamais été si excité. A peine m'étais-je libéré en elle que nous remîmes ça sur le canapé. Ses soupirs de plaisir décuplaient mon envie.
- Je te fais bander petit cochon hein ?
Je répondis par l'affirmative.
- Dès que je t'ais vu, j'ai décidé que tu finirais dans mon lit et moi aucun homme ne me résiste, me lança-t-elle en me mordillant l'oreille.
- Je ne serais surement pas le premier, répondis-je.

Plus tard, je l'ai portée jusqu' à sa chambre où dans son lit nous avons encore fait l'amour. C'était le pied intégral. Jamais je n'avais eu de telles sensations. Je mis cela sur le compte de son expérience. Je suis sorti de là épuisé et vaincu par cette experte de l'amour. Il était tard, j'étais vidé et inquiet de savoir comment j'allais expliquer mon absence à Annabelle. En plus, pendant nos ébats, Christiane m'avait littéralement labouré le dos avec ses ongles longs.

A la suite de cette soirée nous sommes devenus des amants réguliers. Mais ni elle ni moi ne voulions dévoiler notre liaison. Plus que le fait de me partager avec sa fille, c'est notre différence d'âge qui la gênait. Moi j'étais totalement amoureux d'elle. On se voyait donc en cachette dans des endroits discrets et à chaque fois c'était un ravissement plus fort encore. Une fois on s'est même fait surprendre par une patrouille de gendarmerie alors que je lui bouffais la chatte dans la voiture. Nous n'avons dus notre salut qu'à ses talents de négociatrice et bien sur à ces charmes qui avaient ravi les yeux des gendarmes.

Ma relation avec Annabelle s'est considérablement détériorée. Elle n'est pas stupide et a rapidement remarqué que mes absences répétées avaient des raisons de plus en plus fantaisistes. Elle en a déduit que j'avais une liaison ailleurs. Comme je suis plutôt franc et que je ne voulais pas la faire souffrir davantage, je lui ai avoué que j'avais quelqu'un d'autre dans ma vie sans lui préciser qui. A vrai dire, j'avais déjà décidé de la quitter pour Christiane mais je ne savais pas comment m'y prendre.

Notre séparation fut difficile mais pas douloureuse. En revanche pour Christiane ce fût plus compliqué. C'est elle qui annonça à Annabelle qu'elle était ma maîtresse. Annabelle s'est sérieusement fâchée avec Christiane se sentant trahie et peut-être un peu honteuse aussi de s'être faite piquer son mec par sa propre mère. Aujourd'hui je vis avec Christiane, la femme de ma vie. Notre relation est fusionnelle. Nous faisons l'amour quasiment tous les jours et sommes convaincus d'être faits l'un pour l'autre. Elle a fait de moi un homme et depuis que nous sommes ensemble aucune autre fille ne m'intéresse plus.

Cependant, je tiens à dire à quel point les préjugés ont la vie dure. Je vois bien les regards en coin chaque fois que nous sortons ensemble. Notre amour nous a séparés de nos familles qui nous ont tournés le dos. Elle a 30 ans de plus que moi. Notre liaison a été jugée contre nature et sans avenir. Pourtant, l'avenir je ne le vois pas sans elle. Je viens d'acheter un bijou et demain soir, je vais la demander en mariage.
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Commentaires du récit : Christiane ma belle mère

Le 13/03/2012 - 11:31 par Anne
Superbe !

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