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City Break partie 3

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Lue : 882 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 03/05/2019

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Il était 22 heures quand je suis rentrée à l’appartement. Après avoir joui sur mes bottes, il s’était discrètement éclipsé non sans m’avoir proposé :
—Ca te dirait demain de venir manger avec ma compagne et moi ?

Son regard disait clairement que la proposition allait bien au-delà d’un simple repas. En quelques secondes, des scénarios se sont esquissés, des images dessinées devant moi…
—Je suis libre demain soir…
—Passe sur le coup de six heures…Je cuisine très bien…Et après….
Il est parti sur cet ‘Et après’ plein de promesses…
Son sperme restait sur mes bottes, traces blanches qui commençaient à sécher. J’étais encore très excitée, et je me suis remise à me toucher d’une main, mon sexe encore avide de caresses, pendant que de l’autre je ramassais les traits de sperme et je les avalais, le palais envahi par le goût amer de sa semence.
Une fois rhabillée, je suis partie à travers la ville. C’était la première fois que je venais, et, avant de me rendre chez le responsable du colloque, j’ai pris le temps de la parcourir, conquise par tout le charme d’une petite ville de province qui vivait à un autre rythme que les centres urbains. J’ai parcouru ses rues, me laissant envouter par l’architecture d’une maison, la composition d’un parc, le tracé d’une ruelle, jusqu’à arriver chez Bernard H… le responsable du colloque…Il m’a accueilli avec sa femme, et nous avons discuté longuement du programme, et de mon intervention…Comme toujours, j’étais partagée, et même si j’étais attentive à ses propos, je repensais à ce moment que j’avais surpris en arrivant dans l’immeuble, mais aussi à ce rapport particulier avec l’homme. Qu’aurait dit mon interlocuteur si je lui avais soudain dit : ‘J’ai eu un rapport à mon arrivée avec un homme fétichiste qui adore frotter sa queue contre des bottes et les arroser de sperme…’ ? Mais curieusement, le regard qu’il portait à mes jambes et à mes bottes disait, même si nous n’irions sans doute pas plus loin que sans être forcément fétichiste, il aimait les filles aux jambes gainées de bottes…Certaines fascinations étaient universelles…
Il m’a proposé de rester à manger. J’ai accepté. C’est sur le coup de dix heures du soir que j’ai repris le chemin de l’appartement. La soirée était douce d’une chaleur de mai, et des odeurs de fleurs et d’arbres ont marqué mon retour.
J’étais pompette, on avait bien arrosé le repas, et je m’étais laissée convaincre de goûter aux alcools du pays.
J’ai remonté les marches de bois, qui craquaient à chaque pas, ou presque, en m’efforçant de ne pas faire trop de bruit. J’imaginais sans mal que le couple dormait.
Plongée dans mes pensées, j’ai monté les marches entre le premier et le deuxième étage. Une première volée de marches, un palier, et une deuxième volée de marches.
C’est dans la deuxième partie de l’escalier que j’ai senti une présence. J’ai relevé les yeux. Elle était là sur le palier. Elle m’a souri, un sourire mi angélique mi carnassier. J’ai monté les dernières marches, et, à chaque marche que je montais, je perdais mon libre-arbitre. C’avait été une chose de la voir à quelques mètres de moi faire l’amour avec son homme, c’en était une autre que de l’avoir face à moi, à tout au plus un mètre, et de me prendre de plein fouet sa beauté et sa sensualité. Il y avait en elle quelque chose de vraiment irrésistible, et elle en avait sans aucun doute très conscience. Quelque chose de flamboyant que je n’avais pas forcément connu chez d’autres filles du même âge et que je n’avais sans doute pas. Elle avait certainement eu très tôt une vision aigue de ce qu’était son corps et des possibilités infinies que celui-ci pouvait lui procurer, tant pour prendre du plaisir que pour s’en servir comme une arme de séduction, lui permettant de trouver d’autres partenaires, lui permettant de prendre encore plus de plaisir, et d’en donner aux autres, ce qui était aussi une forme de plaisir.
Elle avait gardé ses cuissardes et ses bas stay-up mais avait remplacé son chemisier et sa jupe par une robe bleu pétrole floue, qui lui arrivait juste sous le minou. Avec quelque chose de satanique dans l’expression, elle a commencé à relever sa robe, me dévoilant son corps, dans un désir de me convaincre, alors que, convaincue, je l’étais déjà depuis longtemps, sans doute depuis la première seconde où j’avais posé le regard sur elle. Son corps était impeccable, et désirable, du renflement de son sexe, qui trahissait un début d’excitation, deux bouts de lèvre gonflés et sortis d’elle, à ses hanches bien marquées, sa taille fine, et ses seins, au dessin parfait.
Je l’ai quand même surprise. C’était le genre de fille qui considérait qu’elle était forcément supérieure, dans ses capacités de séduction, mais aussi dans sa sexualité, à toutes les autres. Aussi, elle a été très surprise de me voir agir, et j’ai sans doute gagné du respect de sa part. Je me suis laissée tomber à genoux, et je suis venue soulever sa robe. Pour m’aider, elle l’a attrapée, ce qui m’a permis d’empoigner ses fesses à pleines mains, fermes et pleines, et d’amener ma langue et ma bouche sur elle. Je crois qu’il y avait en moi le désir de lui montrer ce que je valais et que j’étais douée pour caresser une fille et la faire jouir, autant, sinon même, je ne manque pas d’orgueil, plus qu’elle. Ma langue est rentrée en contact avec la délicatesse de ses muqueuses, et au moment où je me posais sur elle, coïncidence ou rapport de cause à effet, ses sécrétions ont commencé à sortir d’elle, un jet de liquide huileux avec un goût acre que j’ai laissé couler dans ma bouche comme ce qui est venu par la suite. J’ai parcouru ses lèvres de la pointe de ma langue, les sentant gonfler sous ma bouche, en même temps que je posais mon index en haut de son sillon fessier et que je le faisais descendre lentement, pour caresser une chair aussi délicate et réactive que pouvait l’être sa muqueuse vaginale. Je suis remontée de la pointe de sa langue jusqu’au capuchon de son clitoris que j’ai tiré en arrière, dévoilant une tige marquée par une extrémité arrondie, sur laquelle j’ai appuyé de la langue. D’évidence, et comme pas mal de filles, c’était une partie de son anatomie ultra-sensible, et elle s’est mise à gémir, en même temps que l’abondance de ses sécrétions augmentait, qui dégoulinaient sur sa chair et arrosaient mon visage. J’ai appuyé la pulpe de mon index contre sa muqueuse anale, et je me suis mise à tourner dessus… Ses frémissements m’ont laissé penser que cette caresse aussi intime qu’audacieuse lui plaisait. J’ai entamé une sorte d’encerclement de ses parties sensibles, venant gainer son clitoris à présent suffisamment allongé pour qu’il puisse remplir ma bouche. Dans le même temps j’ai glissé mon index dans son anus. J’y suis allé lentement, pour ne pas endommager sa muqueuse, mais la facilité avec laquelle je suis rentrée en elle laissait clairement comprendre que ce n’était pas la première fois que quelque chose pénétrait en elle par cette voie.
Je l’ai caressée ainsi, ma bouche enveloppant son clitoris, pendant que mon doigt allait et venait dans sa muqueuse anale. Je me demandais si ça allait être efficace mais je pensais que ce pouvait être le cas. J’ai senti une boule d’énergie se former, à la confluence entre son dos et son ventre. Elle a littéralement explosé en criant avec une violence qui s’est répercutée dans la cage d’escalier, en résonnant.
C’est dans le moment qui a suivi sa jouissance, un moment de pause, que j’ai remarqué qu’elle avait quelque chose à la main. Ce n’était pas très clair, un amas, une masse. Elle a vu que mon regard était posé sur cette masse.
—Je l’avais pris pour qu’on s’amuse ensemble.
Elle a déplié l’amas. J’ai remarqué des liens, et un objet de plastique, noir, sombre, luisant, qui imitait de manière quasi abstraite une queue, avec deux couilles. Un gode-ceinture.
Je me suis redressée, je l’ai attrapée par la main, et je l’ai entrainée vers l’appartement qui était momentanément le mien. On avait l’une comme l’autre le feu au ventre, et le fait qu’elle ait joui n’avait en rien entamé son désir de jouir encore.
Moi aussi, à présent, j’avais le feu au ventre, et mon désir, réveillé, était aussi intense qu’il l’avait été trois heures plus tard pour la queue de son compagnon.
Les choses se sont enchainées très rapidement, comme ce peut être le cas quand on a vraiment envie et qu’on veut absolument assouvir son désir. Je savais ce que je voulais, je savais aussi ce qu’elle souhaitait au fond d’elle, et nos deux désirs coïncidaient.
Je l’ai regardée s’harnacher avec un sentiment de découverte. J’avais déjà joué avec des godes avec pas mal de filles, et Dieu sait qu’on avait pu en faire des choses, et utiliser des godes de toutes formes, et de toute couleurs, mais jamais ni moi ni mes partenaires, ne nous étions harnachées.
Elle a amené les liens autour de ses hanches et de son ventre, et a fermé le harnachement en faisant passer le plus gros lien, celui qui faisait le tour de sa taille, dans une boucle. Croisés, ils permettaient de maintenir le pénis de plastique noir et luisant. J’ai remarqué que celui-ci était passé par un lien circulaire et qu’il s’ajustait sur une base qui reposait en partie sur le haut de son pubis, en partie sur la moitié de son sexe. Je n’ai compris le plus tard que la queue de plastique, contrairement à ce qu’on pouvait penser au premier abord, n’était pas uniquement destinée à donner du plaisir à celle qui la prendrait dans ses orifices, mais qu’en retour, elle donnerait aussi du plaisir à celle qui l’ajusterait autour de sa hanches, chaque mouvement, chaque vibration, se répercutant en retour sur son ventre et lui procurant du plaisir.
Je me suis laissée glisser sur le lit, à quatre pattes. Je savais comment je voulais qu’elle me prenne : en levrette, pour bien sentir la queue rentrer en moi, aller bien profond.
J’étais au bord du lit. Elle est venue poser ses mains sur mes hanches, dans un geste qui m’a fait frissonner.
Je sentais la queue derrière moi, partagée entre le désir qu’elle la fasse rentrer en moi, et celui d’attendre, d’être dans le moment qui est aussi très bon, celui où rien ne s’est encore produit, et tout est possible.
Indéniablement, elle savait s’y prendre. Elle s’est contentée d’abord de promener la queue de plastique dans mon dos sans même la poser sur ma chair. Mais je sentais sa présence. Je n’en pouvais plus quand elle s’est enfin décidée à poser le gland de plastique sur mes fesses. Elle m’a ainsi caressée, tournant sur moi, et il s’est produit comme un tour de magie, à mesure qu’elle agissait ainsi, ce qui n’était qu’un simple morceau de plastique a pris une autre dimension, un morceau de plastique sans vie a justement pris vie. Le membre est devenu chaud, vivant, épais, et il y a eu un basculement, la queue est devenue une vraie queue…C’est-à-dire que dans mon esprit, c’est devenu une bite, comme si la nature l’avait pourvue d’une chatte et d’une queue, ou alors qu’une queue lui soit subitement poussée, comme cela pouvait arriver dans les mangas.
Elle a promené la queue sur moi, en prenant bien tout son temps, sur toute la surface de ma croupe, en remontant même sur mes hanches, sur le bas de mes reins, et au-delà dans mon sillon…
—Je pourrais te la rentrer dans le cul tout de suite, qu’est-ce que tu en penses ma belle ? Ou tu la veux par la chatte ?
Elle n’attendait même pas de réponse, à vrai dire. C’était une rêverie, qu’elle a continué, en disant :
—Je vais d’abord venir dans ta chatte… Il y a plein de mouille qui coule, ça permettra de lubrifier la queue de plastique, et après je pourrai mieux la rentrer dans ton anus… Je suis sûre que tu es une petite pucelle et que c’est la première fois que tu te prends quelque chose par là…
Je ne me suis rendue compte que la bite qui ornait ses hanches ne rentrait en moi que quelques minutes après qu’elle ait commencé à la glisser en moi…Il y avait eu pourtant un lapse de temps pendant lequel le plastique avait cessé d’appuyer sur ma chair. Et puis j’ai senti que ma muqueuse gainait quelque chose. A ce moment, alors que le gode me remplissait, je me suis dit qu’au final, se faire pénétrer par une queue de plastique ou de chair, il n’y avait pas vraiment de différence.
Elle a glissé en moi jusqu’à totalement me remplir. La tête de la queue de plastique tapant contre mon utérus. Elle est restée immobile un long moment, le temps que je puisse vraiment bien apprécier d’avoir la bite en moi, de bien sentir sa présence, puis elle s’est mise à bouger…Je n’aurais jamais imaginé d’éprouver autant de plaisir avec une queue postiche…C’est monté en moi très vite, mon ventre s’est embrasé, et le feu a couru tout le long de mon système nerveux. Elle-même, je m’en suis rendue compte dans ce moment d’hyper-sensibilité, était pour ainsi dire prise à son propre piège, plus excitée sans doute qu’elle n’avait imaginé l’être. La raison tenait certainement au fait que chaque coup de hanches qu’elle donnait pour faire bouger le gode se répercutait sur elle et faisait monter son excitation…
Très vite, il y a quelque chose de plus frénétique dans nos mouvements. Elle me fouillait avec de plus en plus de hargne et de vigueur, avec une sorte d’énergie du désespoir. Son corps, je la regardais de temps en temps du coin de l’œil, était couvert de sueur, et moi-même j’étais trempée. L’orgasme qui couvait depuis un moment a explosé en moi avec une puissance que je n’avais pas connue depuis longtemps, et pas avec un homme, et j’ai expulsé une quantité importante de liquide, un peu comme si j’avais éjaculé, comme un homme…Elle a hurlé elle aussi, jouissant quelques secondes après moi, et pourtant, nous n’avons en rien cassé notre rythme…Elle a continué à aller et venir en moi…Nous étions deux folles, qui voulions pousser nos corps à bout, aiguillonnées par l’envie de jouir, encore et encore…On aurait voulu l’une comme l’autre que ça ne s’arrête jamais…On était à la limite précise entre le plaisir et la douleur…Mais ça valait la peine, parce que chaque orgasme a été plus fort que le précédent. On a fini par s’écrouler, épuisées, enchevêtrées, en travers du lit, avec le gode comme un lien et une séparation entre elle et moi…
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