Du fantasme à la réalité - Partie 1

Mon mari fantasmait depuis quelques temps à l'idée de me voir faire l'amour avec un autre homme. Cela pimentait nos ébats amoureux et nous mettions en place des petits scénarios qui l'excitait tout autant que moi.


Un soir en rentrant du travail, je le trouvais déjà la maison. Il avait préparé un petit dîner et me demanda d'aller me faire belle, que ce soir, il avait très envie de moi et qu'il voulait faire un petit scénario.

J'adore ces moments là, donc je partis prendre une douche et enfiler ma plus belle parure, celle qu'il préfère, et une jolie robe.

On dîna les yeux dans les yeux, se chauffant sous la table et buvant un peu de vin délicieux puis je le suivais dans notre chambre. Sitôt entrés, il me posa sur les yeux un masque pour me plonger dans le noir.
Nous avions déjà utilisé cet accessoire et je frissonnais déjà d'excitation. Il fit glisser ma robe et découvrit mon corps mis en valeur par l'ensemble noir de lingerie que je portais.

Ses mains me caressèrent lentement, excitant chaque partie de mon corps. Il m'entraîna vers notre lit et me dit m'installer à quatre pattes.
Je sentis sa bouche sur mes épaules, mon dos puis mes fesses, me faisant frissonner de plus belle.

- caresses toi en m'attendant, je reviens tout de suite... me chuchota-t-il à l'oreille.

J'obéis, glissant une de mes mains entre mes cuisses, m'insinuant sous l'élastique de ma culotte. J'étais déjà trempée et rien que d'imaginer mon mari revenir et me faire l'amour, je mouillais encore plus.

J'entendis la porte de notre chambre se rouvrir. Ses pas se rapprochèrent de moi et ses mains se posèrent sur mes fesses. Il les caressa en faisant des grands cercles, effleurant ma peau. Sa main glissa entre mes cuisses et constata l'humidité qui y régnait.
Très adroitement, il titilla mon clitoris au travers du fin tissu. Il m'avait rarement aussi bien caressé et je sentais le plaisir monter au creux de mes reins.
Soudain un orgasme me traversa et je laissais échapper un profond râle de plaisir me laissant tomber sur mes avant-bras, cambrant encore un peu plus mes reins. Il en profita pour faire glisser ma culotte et je le laissais me la retirer. Ses mains se posèrent sur mes hanches et me tirèrent vers lui.

Je sentis alors son gland se frotter à mes petites lèvres, il le fit glisser du haut vers le bas, lentement, lubrifiant encore davantage la zone. J'ondulais mon bassin à la recherche de la pénétration mais il me faisait languir, jouant avec moi.
Le sexe se fraya alors un chemin en moi et une nouvelle vague de chaleur s'empara de moi. Je le sentais extrêmement gonflé, écartant tout sur son passage. Jamais il ne m'avait semblé aussi gros et aussi dur. Il me remplissait complètement.
Ses mains s'agrippèrent à mes hanches et il se mit à lentement aller et venir en moi. J'étais terriblement excitée et j'avis le sentiment de découvrir de nouvelles sensations. Plongée dans le noir complet, je me mis à m'imaginer dans les bras d'un autre homme. Mes pensées allèrent vers un jeune de mon travail qui m'avait plusieurs fois dragué. Il était beau mais je suis très fidèle et j'ai systématiquement repoussé ses avances. Pourtant aujourd'hui je fantasmais sur lui tandis que mon mari me faisait l'amour.
J'avais tellement l'impression que c'était un autre homme qui allait et venait en moi, que mon imagination s'était mise à galoper !!

Les vas-et-viens de mon mari étaient si réguliers que je sentis un nouvel orgasme me traverser et je criais mon plaisir, le suppliant de ne pas s'arrêter. Il était, ce soir, d'une incroyable endurance et continuais d'aller et venir.
Il se retira enfin et me retourna, écartant largement mes jambes. Il s'enfonça de nouveau en moi et c'est à ce moment là que je me rendis compte de quelque chose. En glissant mes mains sur ses avant-bras, je ne reconnus pas le grain de peau de mon homme, ni sa morphologie. J'étais soudain inquiète, mon mari m'aurait il jouer un tour et serais je entrain de me faire sauter par un inconnu. Je me figeais soudain et c'est alors que mon mari s'approcha de moi et me chuchota à l'oreille.

- ne t'inquiètes pas ma chérie, je suis là... tu es magnifique quand tu fais l'amour et je voulais te faire une surprise...

L'homme entre mes cuisses s'était arrêté et attendait ma réaction. J'allais retirer mon bandeau mais mon mari insista pour que je le garde jusqu'au bout, histoire de conserver cette dose d'inconnu. Il m'embrassa amoureusement et je glissais mes mains vers l'homme, l'incitant à continuer.

- tu veux voir ta femme se faire sauter... alors pousses toi, laisses ton ami s'occuper de moi !!

Et je le repoussais doucement, m'agrippant aux hanches de l'homme qui se mit à accélérer la cadence. Je ne retenais alors plus mes cris et gémissements. J'étais bien décidée à profiter pleinement de ce cadeau.

Un nouvel orgasme ne tarda pas à irradier mon corps. Mon amant d'un soir n'avait toujours pas joui et j'en étais très surprise.

Il sortit et je le sentis s'allonger à côté de moi. Il ne parlait pas et je pensais un court instant qu'il s'agissait sûrement de quelqu'un que je connaissais mais cette pensée ne me perturba pas et je l'enfourchais, m'installant sur son sexe dressé. Ses mains glissèrent sur mes hanches et remontèrent dans mon dos, dégrafant mon soutien-gorge et libérant mes seins lourds qu'il s'empressa d'embrasser et de peloter.

Je me mis à me déchaîner sur sa queue dure comme du bois. Ses mains s'agrippèrent à mes fesses et il me fit sauter sur lui me faisant crier de plaisir.Je ne me reconnaissais plus et je l'encourageais à me prendre plus fort.

- vas-y baises moi !!!! elle est trop bonne ta queue !!!

Lui, de son côté, étouffait ses gémissements. J'entendais sa respiration plus forte. J'eus à quatrième orgasme et je m'écroulais sur lui, sentant son odeur de mâle. Il était en sueur et nos deux corps restèrent soudés. Il continua à donner de petits coups de reins et dans une dernière poussée, sans bruit, je sentis les spasmes de sa verge et mon sexe se remplit de son sperme chaud. Je remuais mes fesses pour sentir encore un peu ce sexe inconnu puis je me laissais glisser sur le côté.
Il se dégagea et je le sentis quitter le lit. Mon mari l'accompagna en dehors de la pièce et je l'entendis revenir quelques instants plus tard.

- tu étais magnifique ma chérie, qu'est ce que je t'aime !! me dit il en venant m'embrasser tendrement.

Je lui rendis son baiser et quittais enfin mon bandeau. Le sperme de mon amant coulait de mon sexe et je découvris mon mari nu, son sexe pendant entre ses cuisses.

- je n'ai pas résisté et j'ai joui deux fois en vous regardant m'avoua-t-il.µ

J'aperçu effectivement plusieurs mouchoirs à terre à côté du fauteuil dans un coin de notre chambre.

Nous nous enlaçâmes et je le remerciais pour ce plaisir qu'il m'avait permis mais je m'inquiétais également de cet amant qu'il avait trouvé. Il me rassura, me disant qu'il lui avait demandé un test avant de le faire venir et surtout la plus grande discrétion !

On s'embrassa de nouveau et on se caressa longuement. Mon mari retrouva une belle érection et me fit tendrement l'amour. Mes pensées allèrent vers mon amant et je tentais de lui donner un visage tandis que mon mari mélangeait son sperme au sien.

Les jours qui suivirent, nous n'évoquâmes pas cette soirée mais malgré tout cette expérience m'avait chamboulée et je me mis souvent à m'imaginer dans les bras d'un autre homme. Je lui donnais plusieurs visages, de mon jeune collègue, à des amis de mon mari ou à un voisin. J'en rêvais la nuit et il n'était pas rare que pendant nos ébats, je ferme les yeux pour imaginer un autre homme. Cela devenait très perturbant et j'en parlais à mon mari qui loin d'être surpris ou choqué, me demanda si je souhaitais renouveler l'expérience.

Devant mon hésitation et malgré tout, mon excitation, il m'avoua que l'homme qui m'avait fait l'amour était un de ses collègues de travail. C'était un homme un peu plus jeune que nous, Mon mari au cours d'une discussion n'avait pu s'empêcher de lui montrer des photos de moi plutôt dénudée et à partir de ce moment là, son collègue n'avait cessé de l'encourager à monter ce petit scénario !

- j'espère que tu ne montres pas ce genre de photos à tous tes collègues dis-je en rigolant.

En voyant son air gêné, je m'inquiétais et il m'avoua qu'il le jour où il avait montré ces photos, un autre collègue était présent et tout aussi intéressé !! Je n'en revenais pas que mon mari m'exhibe ainsi mais d'un autre côté, j'étais plutôt flattée que d'autres hommes s'intéressent à moi.

Excitée, nous fîmes ce soir là follement l'amour et j'introduisis tout naturellement dans nos ébats, ses deux collègues.

- ça te plairait de voir ta femme se faire prendre par tes deux collègues !!
- oh oui ma chérie, tu en sucerais un pendant que l'autre te prendrait en levrette... !!
- humm, oui j'imagine déjà sa grosse queue dans ma bouche !!
- oh ma chérie, que je t'aime, tu m'excites trop, je ne vais pas pouvoir me retenir !

Il n'avait jamais été aussi rapide, signe que de m'imaginer avec ces deux hommes l'excitait au plus haut point ! Je me blottie contre lui et m'endormie avec ces pensées dans ma tête.

L'idée me trotta dans la tête tout le reste de la semaine et je décidais d'en parler à mon mari, lui avouant que j'aimerai beaucoup mettre en place ce petit scénario. Surpris il insista pour savoir si c'était avec un ou avec les deux que je m'imaginais. Je ne répondis pas mais mon regard pétillant trahissait mon envie. Il eut un large sourire et me dit qu'il s'occupait de tout !

Après sa journée de travail; il rentra tout sourire à la maison et me dit que nous avions des invités le samedi suivant. La semaine fut longue et le jour j, je passais de longues heures dans la salle de bain à me préparer pour cette soirée que j'espérais torride. Epilée de prêt, pomponner et habillée sexy, je débarquais dans le salon sous le regard médusé et amoureux de mon mari. Il me servit une coupe de champagne et je m'installais fébrilement dans un fauteuil en attendant nos invités.

La sonnette retenti quelques minutes plus tard et mon mari alla ouvrir. Je vis entrer deux hommes, leurs visage étaient cachés derrière un masque, à la façon des masques vénitiens. Ils semblaient avoir le même âge, plutôt grands et bien proportionnés. Le premier me salua en me faisant le baise main. Je reconnus immédiatement son parfum. Le second d'origine africaine était très élégant dans un joli costume bleu marine. Le sourire carnassier, il me salua de la même façon.

Mon mari leur servit un verre et on tenta de discuter de la pluie et du beau temps. Pour plus de discrétion, mon mari les affubla de surnoms pour le reste de la soirée et afin que je ne connaisse pas leur vraie identité. Mon amant du premier soir s'appellerait Mike et le second Carl. La situation était troublante et c'est Mike qui prit les choses en main.
Il s'approcha de moi et déposa mon verre sur la table. J'étais intimidée et je le laissais faire. Il fit glisser une bretelle de ma robe et fut imité par son ami. Le haut de ma robe glissa jusqu'au dessus de ma poitrine. Je sentis alors le zip dans mon dos descendre et ma robe alla échouer à mes pieds, dévoilant d'un coup mon corps entièrement nu.

Un petit sifflement de Carl me flatta tandis que déjà la bouche de Mike embrassait mes seins.
Je fus, en quelques instants couvertes de caresses et de baisers. Mon mari proposa que l'on monte dans notre chambre. La lumière était déjà tamisée et le lit entièrement défait. Je m'allongeais langoureusement tandis que les deux hommes face à moi quittaient leurs vêtements.
Je me retrouvais bientôt face à deux beaux hommes, le sexe encore endormi entre leurs cuisses. Celui de Carl semblait bien plus gros que ce je connaissais et j'eus un petit instant de panique en le voyant. Ils s'approchèrent de moi et s'allongèrent à mes côtés. Ils avaient conservé leur masque. Mike m'embrassa tandis que je sentais le souffle chaud de Carl sur mon ventre puis sur mon sexe. J'écartais les jambes, lui laissant le passage. Ses doigts puis sa bouche s'occupèrent de mon clitoris avec délice.
Mike à mes côtés se redressa et je vis que son sexe avait bien grossi. Il le présenta à ma bouche et je l'avalais sans hésiter.*

Je savais que mon mari ne ratait rien de la scène mais à cet instant je ne le voyais pas, concentrée sur le plaisir qui montait en moi.

Allongée sur le côté, le sexe de Mike dans la bouche, je senti Carl s'installer derrière moi, son sexe dur tapait sur mes fesses. Il releva un peu ma jambe et frotta son gland à l'entrée de ma grotte humide. Je le sentis alors s'enfoncer en moi... Je ne m'étais pas trompée, il était vraiment gros et me remplissait comme jamais !
Il commença alors de lents vas et viens, me faisant sentir chaque centimètre de sa queue.

Mike désormais me baisait la bouche, il allait et venait, faisant coulisser son sexe entre mes lèvres.

Je ne tardais pas à avoir un orgasme bruyant sous les coups de reins de Carl. Sitôt mon plaisir pris, il se retira et vin présenter son sexe à ma bouche. La comparaison n'avait rien à voir avec le sexe de mon mari et je me jetais littéralement sur ce sexe hors norme.
Mike s'était installé entre mes cuisses et s'enfonça à son tour en moi.

Les deux hommes échangèrent de nombreuses fois de positions et nos ébats durèrent plus de deux heures. Ils me firent jouir plusieurs fois et je reçu leur sperme chaud une fois sur mes seins et une autre fois au fond de ma chatte. Mon mari était resté dans l'ombre et s'était masturbé plusieurs fois en regardant ses collègues sauter sa femme.
Repus, les deux hommes s'écroulèrent à côté de moi, je me blottie contre eux et m'endormie, morte de fatigue.

C'est au beau milieu de la nuit que je me réveillais, toujours entourée des deux hommes. Mon mari nous avait recouvert de la couette et était sûrement allé se coucher dans la chambre d'amis.
Une légère lueur provenant du lampadaire de la rue, éclairait notre chambre et me permettait de deviner le corps des deux hommes.
Je me tournais vers Carl et ne pus m'empêcher de soulever la couette. Je me glissais dessous et m'approchais de son sexe endormi. Je le caressais doucement et l'embrassais. Il eut d'abord quelques sursauts puis se mit à grossir progressivement. Je le pris en bouche et me mis à le sucer, réveillant son propriétaire. Sa main se plaqua sur ma tête et accompagna mes mouvements.
Une fois qu'il fut bien dur, je l'enfourchais et me le plantais entre les cuisses. Il m'attrapa par les hanches, suivant mes mouvements de bassins. Ses mains se saisirent ensuite de mes seins qu'il tritura. J'étais de nouveau déchaînée et nos mouvements faisaient craquer le lit ce qui réveilla bientôt Mike. Les deux hommes avaient retiré leur masque et je découvrais leur vrai visage.
Mike nous regarda un instant se caressant d'une main , de l'autre, effleurant mon corps.

Il se mit debout sur le lit et j'eus son sexe devant mon visage. Je m'en saisis et le suçais à son tour.

Après quelques minutes de ce traitement, un nouvel orgasme me fit gémir. La main de Mike me caressait les fesses et ses doigts s'étaient insinués sur ma rosette, la caressant et l'ouvrant progressivement.
Il se positionna derrière moi et tandis que Carl m'attirait vers lui, je sentis le gland forcer le passage. Malgré ses efforts et malgré mon envie, il ne parvint pas à ses fins et abandonna. Il resta malgré tout dans la même position et je le sentis tenter de se glisser avec celle de son ami.
Je ne bougeais plus, laissant ces deux hommes abuser de moi. Leurs deux sexes étaient désormais plongés dans le mien. Ils synchronisèrent leurs mouvements et ce fut une explosion de sensations dans mon corps. Je me mis à crier de plus en plus fort, jouissant à répétition, suppliant pour qu'ils s'arrêtent et les encourageant à continuer dans la foulée.

Carl fut le premier à craquer et je sentis son liquide chaud m'inonder. Mike sortit son sexe et voulut que je le fasse jouir avec ma bouche. Il se branla sur mes lèvres et je reçu plusieurs jets de sperme sur mon visage et dans ma bouche.

J'imaginais l'image porno que je devais renvoyer à cet instant mais je m'en fouttais, j'étais partie sur une autre planète, là où seul le plaisir compte !!

Malgré mes cris de plaisir, mon mari ne débarqua pas dans la chambre. Soit n'avait il pas été réveillé (ce dont je doute) soit préférait il me laisser profiter seule de ce moment !

A suivre...