Claudine (3ème partie)

D’un seul coup, Claudine bouge sa main qui était sur ma poitrine et elle la descend au niveau de mon bas ventre. Je ne dis rien, ni ne réagis.
Sa main se pose sur la bosse que forme ma queue encore au repos et je sens sa respiration s’accélérer. Je relève un peu la tête pour voir son visage et je constate que ses yeux sont ouverts et qu’elle me regarde également. Je lui fais un sourire et repose ma tête.
Sa main se fait tout timide, mais elle commence à imprimer un mouvement de va-et-vient sur ma queue qui en profite pour prendre un peu d’ampleur dans mon pantalon. Claudine remonte alors vers le bouton qu’elle détache, puis elle fait glisser la fermeture éclair avant de glisser sa main dans mon caleçon. Je sens alors sa main fraîche se poser sur ma queue qui continue de grossir. Ma nièce ne dit pas un mot, mais elle saisit mon sexe à pleine main et commence un mouvement masturbatoire. C’est drôle de se faire branler par une débutante, cela faisait très longtemps que cela ne m’était pas arrivé. La sensation est extrême et le fait de savoir qu’elle est pucelle et qu’elle découvre ce qu’elle fait est encore plus sensationnel.
Je me redresse alors et me penche vers elle. Je la fais se redresser aussi et je détache la ceinture de sa nuisette. J’écarte les deux pans du vêtement pour découvrir sa magnifique poitrine que j’embrasse du bout des lèvres avant de me lever complètement du lit. Elle est surprise, mais ne bouge pas quand elle découvre que je fais tomber mon pantalon et mon caleçon au sol pour me retrouver nu en face d’elle.
Elle est toujours assise sur le lit, vêtue uniquement de son string blanc en dentelle. Je m’approche pour voir comment elle réagit et sans attendre, elle prend ma queue dans sa main et s’approche du bord du lit pour faire entrer mon gland dans sa bouche. Si sa masturbation était timide, sa fellation n’est pas celle d’une novice et j’adore sa façon de faire tourner sa langue autour de mon gland tout en faisant des mouvements de tête de plus en plus grands, jusqu’à prendre ma queue jusqu’au fond de sa gorge.
Je ne la laisse pas continuer, car je veux qu’elle se concentre sur son ressenti de ce que je vais lui faire.
-Ne bouge pas ! lui dis-je avant de me rendre dans la salle de bain.
Je récupère le flacon d’huile de coco et reviens vers Claudine. Elle n’a pas bougé et a posé ses mains sur ses yeux, comme pour ne pas voir ce que je lui réserve.
Comme elle est encore sur le bord du lit, les jambes pendantes, je la fais remonter pour qu’elle soit bien allongée complètement.
-Pour te détendre, je vais te faire un bon massage. Et si tu t’endors, ce n’est pas grave, on a tout le temps. JE veux que tu te laisses aller complètement. Y’a pas de tension à avoir, c’est un moment privilégié pour toi, c’est ton moment, rien qu’à toi ! Tu ne dois penser qu’à ton bonheur, d’accord ?
-Oui Tonton !
Je me rends compte aussitôt qu’elle se détend légèrement en remontant ses bras au-dessus de sa tête, faisant se tendre la peau de ses seins magnifiques.
Je mets de l’huile dans mes mains et commence le massage par ses pieds. Je fais de longs mouvements le long des muscles et tendons de chaque pied pour susciter le relâchement de ma petite pucelle de nièce.
Puis, je remonte le long de ses jambes, jusqu’à atteindre ses genoux que je masse doucement par des gestes circulaires autour de la rotule. Pour finir avec ses jambes, je masse la face avant de ses cuisses en restant à bonne distance de son intimité, pour qu’elle continue de se détendre.
Je procède de la même façon avec ses bras, en commençant par ses mains, ses avant-bras puis ses biceps. Je continue avec ses épaules, puis je contourne ses seins sans insister dessus, pour finir avec son ventre qui le paraît tellement plat. C’est un plaisir de masser ses abdominaux tendres. À chacun de mes passages près de son pubis, je remarque un frissonnement parcourir son corps.
-Tout va bien Claudine ?
-Oui, ça fait du bien !
-Allonge-toi sur le ventre maintenant.
Sans répondre, ma nièce se retourne, me présentant sa croupe de jeune adulte mise en valeur par son string en dentelle qui est presque complètement inséré entre ses fesses. Sans dire un mot, j’attrape ce petit bout de tissus au niveau de ses hanches et le fait glisser le long de ses splendides jambes. Je saisis de nouveau le flacon d’huile de massage et en répands quelques gouttes sur ses jambes. Je reprends le massage depuis les pieds jusqu’en haut des cuisses en faisant de longs mouvements de haut en bas. Claudine manifeste son plaisir par de petits miaulements très discrets, mais néanmoins tout à fait audibles et sans équivoques.
Je remonte ensuite jusqu’à ses épaules pour lui faire un massage relaxant afin qu’elle soit complètement détendue pour la suite que je lui réserve. Je procède par de légères pressions glissées de bas en haut sur les muscles trapèzes puis sur les grands dorsaux en allant de la colonne vertébrale vers les côtés. Je descends ensuite sur les lombaires que je palpe de haut en bas tout en douceur.
Une fois tout ceci fait, je descends encore jusqu’à ses fesses que je commence par malaxer en douceur, en pratiquant de grands ronds depuis le haut des cuisses jusqu’aux reins. Enfin, je fais couler quelques gouttes d’huile dessus, en m’arrangeant pour que celles-ci glissent jusqu’entre ses deux globes très attirants. Je commence alors à masser plus langoureusement ses fesses, en passant de plus en plus prêt de sa raie. Je finis par y passer mes mains en douceur, sans m’attarder sur sa petite rondelle vierge de toute pénétration, puis petit à petit, mes mains se font plus pressantes sur son intimité fessière. Après plusieurs passages, je finis par franchement poser mes doigts sur son anus afin de bien le lubrifier. Claudine ne bronche pas et je sens ses fesses et surtout son anus s’ouvrir un peu plus à chacun de mes passages.
Je décide alors de laisser tranquille cette partie inexplorée de ma nièce et vais investir sa petite chatte. Je lui demande de se remettre sur le dos, ce qu’elle fait toujours sans marquer la moindre hésitation.
Je reprends le massage du haut de ses jambes, cette fois-ci en marquant un peu plus mes passages sur l’intérieur de ses cuisses, de plus en plus près de son entrejambe. Là encore, Claudine écarte suffisamment ses cuisses pour me laisser faire sans difficulté.
-Ma belle, je vais te faire un massage qu’aucun kiné ne te prodiguera jamais, mais qui va te faire un bien fou maintenant.
-Oui, vas-y, Tonton.
Je me positionne à cheval sur sa jambe gauche et passe l’index de ma main droite sur la partie extérieure des grandes lèvres. Je masse ainsi pendant deux minutes, de haut en bas, les muscles ischio-caverneux, qui entourent la vulve. Mais ce massage ne suffit pas à détendre la patiente, car je sais que l’idéal est de masser également l’intérieur du muscle en introduisant l’index dans le vagin.
-Chérie, je vais maintenant mettre un doigt dans ton minou, c’est pour finir le massage que je viens de commencer ? Tu veux bien ?
-Ça va me faire mal ?
-En principe non, surtout si t’es déjà doigtée !
-D’accord, vas-y !
Doucement, sans forcer, je fais entrer mon doigt dans sa chatte qui est bien détrempée. La petite cochonne apprécie semble-t-il le traitement que je lui donne. Je positionne alors mon doigt contre la paroi vaginale du côté où mon doigt masse son muscle. Sensé relaxer le bassin, ce massage a également le pouvoir chez ma nièce de particulièrement l’exciter et je sens que de la cyprine coule de plus en plus le long de mon index. Je fais mine de rien et je continue le massage pendant deux minutes, avant de changer de main et de côté. A chaque fois, je sens Claudine pendre énormément de plaisir à cette caresse, mais pas suffisamment pour jouir pleinement.
Pendant cette mini pénétration, j’en profite pour tester son hymen et je sens effectivement qu’il reste quelques bribes de cette preuve de virginité chez la gamine.
-Tu sais, on peut s’arrêter là pour ce soir si tu veux.
-Non, je veux que tu m’apprennes encore.
-Tu risques d’avoir un tout petit peu mal alors, car je sens que ton hymen est bien présent.
-Très mal ?
-Non, rassure-toi, je vais faire très attention.
-Alors vas-y !
Mon index gauche, qui était resté dans sa chatte le temps de cet échange, vient alors se positionner sur la face antérieure de son vagin, pour titiller le point G, qui n’est autre que la partie interne du clitoris, tandis que je viens titiller celui-ci avec ma langue.
Aussitôt, Claudine pousse un soupir et soulève son bassin pour venir à l’encontre de ma langue. Je continue sans rien changer pendant quelques minutes, puis sans marquer le moindre changement de rythme, j’introduis mon majeur tout doucement dans sa chatte qui est grande ouverte tant ma partenaire d’un soir ressent du plaisir. Ma première phalange entre sans difficulté, mais au moment où la seconde, plus grosse, atteint son hymen, je sens une légère résistance. Sans forcer et toujours en actionnant ma langue sur son clitoris, j’exerce une très légère pression pour faire avancer mon doigt très légèrement, puis je ne bouge plus ce dernier afin que l’hymen s’habitue et surtout se relâche. Dès que je sens la résistance faiblir, je fais progresser mon doigt un peu plus loin dans le vagin de ma nièce. Alors que ma phalange est presque passée, je stoppe le mouvement, mais redouble d’ardeur avec ma langue. Je veux maintenant qu’elle jouisse sous langue et au moment de la montée de son orgasme, je finirai la tâche attribuée à mon index.
Et en effet, entre ma langue qui triture son clitoris bien tendu et mon index qui exerce des pressions sur le point G, Claudine ne tarde pas à ressentir son plaisir monter. Je sens qu’elle va jouir intensément et au moment où son corps se tend, c’est elle-même qui pousse son bassin en avant et qui force mon majeur à entrer entièrement dans sa chatte, perforant ainsi son hymen. Aussitôt, elle pousse un feulement digne d’une lionne en chaleur, expulsant par la même occasion un jet de cyprine hors de sa chatte. Ses jambes se mettent alors à trembler tandis qu’elle tient son bassin en hauteur au-dessus du lit, ma bouche grande ouverte sur sa vulve pour recueillir ce jus intime qui s’avère d’une douceur extrême et mes doigts encore dans son antre qui est maintenant prête à accueillir la verge qu’elle désirera.
Après quelques instants, Claudine se détend et repose son bassin sur le lit, tandis que je la laisse reprendre ses esprits.
-C’était très bon, ce que tu m’as fait !
-Tu as eu mal ?
-Non, pas du tout !
-Et pourtant, tu es maintenant une vraie femme !
-C’est-à-dire ?
-Je t’ai déflorée !
-Mais, j’ai rien senti !
-C’est pas une obligation de souffrir lors de cet épisode, tu sais !
-Je veux sentir ta queue en moi alors !
-Tu ne veux pas attendre un peu ?
-Non !
Ma nièce se redresse alors et elle prend ma queue encore tendue en main. Elle la caresse quelques instants, puis elle m’attire à elle, en présentant mon pieu à l’entrée de sa chatte.
-Viens !
Je m’installe donc à genoux entre ses jambes, positionne ses cuisses sur les miennes pour légèrement soulever l’avant de son bassin et je place mon gland juste à l’entrée de sa chatte, encore dégoulinante de l’orgasme qu’elle vient d’avoir.
Je la regarde droit dans les yeux et je remarque son regard insistant me suppliant de la pénétrer. Je pousse alors un peu pour faire entrer le gland dans sa chatte qui s’avère très serrée. Je remarque, alors que je pousse pour entrer un peu plus, que ses yeux se plissent, marquant ainsi la souffrance. J’arrête aussitôt ma progression, mais elle me fusille du regard.
-Viens, je t’en supplie, ça va, t’inquiète, c’est supportable.
Je pousse alors encore et ma queue finit par pénétrer entièrement dans son vagin. Son visage se détend alors et je vois un sourire apparaître.
-Hum, oui, c’est bon de te sentir en moi. Quelle sensation ! C’est tellement bon !
Sa chatte jusque-là vierge de toute pénétration est très étroite et me procure une sensation que j’avais oubliée tellement il y a longtemps que je n’ai dépucelé une minette en chaleur. Je fais pourtant des aller-retours légers et tendres, mais le ressenti est tel que je ne tarde pas à sentir l’orgasme approcher à grands pas. Je décide donc de m’arrêter pour gagner un peu de temps, mais Claudine me regarde, surprise.
-Pourquoi tu arrêtes ?
-C’est trop bon ! Je vais avoir du mal à me retenir de jouir en toi, alors je préfère ralentir un peu.
-Non, t’arrête pas, je veux sentir ton sperme jaillir au fond de mon vagin. Les filles disent que la sensation est tellement bonne que ça peut te faire jouir !
-C’est comme tu veux, Claudine !
Je reprends alors mes mouvements, mais comme la tension est redescendue, je peux me permettre d’être un peu plus intense. À chaque coup de reins, ma nièce pousse un hennissement qui en dit long sur ce qu’elle ressent. Ses yeux se révulsent et elle pousse des ‟ oui ” de plus en plus forts et serrés, pour finir par en crier un qui provient du fond de ses entrailles en même temps que ses jambes se mettent une nouvelle fois à battre la mesure dans tous les sens. Je continue de la besogner à la même puissance que je le fais avec Charline encore pendant quelques secondes, le temps qu’elle se calme légèrement, puis me laisse aller et finis par éjaculer de puissants jets de sperme dans son ventre, tout en donnant encore trois violents coups de reins qui accompagnent les derniers jets de ma semence. Je sens alors ma maîtresse jouir une nouvelle fois, expulsant elle aussi quelques jets de liquide intime.