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Client roi

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Lue : 2827 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 08/12/2013

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Ce fut un choc, enfin n’exagérons pas. Cette nouvelle ajoutait à mon exaspération d'autant que je ne pouvais avouer celle-ci à personne de mon entourage. D'un coup mon genre de vie devenait dangereux voire plus aléatoire. Je n'avais jamais voté pour ce gouvernement et cette loi me confirmait dans mon hostilité à celui-ci. Je n'aime pas qu'on s'occupe de mes affaires et notamment de mon cul. Je devrais peut-être me réorganiser. Je versais du coup en mille cogitations et m'en ouvrais à un gendarme qui se trouvait être de mes clients. Verbaliserait-il ainsi qu'il l'était prescrit dans la loi ? Je ne pouvais raisonnablement renoncer actuellement à un pactole. Mon ménage allait à vau l'eau. Mon mec venait d'être débarqué et se trouvait à cinquante-cinq ans au chômage.


Mon histoire n'est pas des plus des compliquées mais est assez singulière pour être contée. Passé les quarante ans je fus pris par ce qu'il est convenu d’appeler le démon de midi. A mon corps défendant mon mari connaissait en ce temps le début irrémédiable du déclin sexuel. De toute façon il n'avait guère été vaillant dans cet exclusif domaine. Moi-même j'avais pour cela un appétit relatif. Élever deux bambins et s’épanouirent dans nos carrières respectives nous suffisaient amplement. Nous affichions même un certain mépris pour la bagatelle à laquelle beaucoup autour de nous s'adonnait. Aussi ne fus-je pas peu étonnée d'attraper un jour une telle maladie.


On dirait que celui qui régente là-haut éprouve un malin plaisir à nous punir là où notre orgueil nous conforte en des certitudes. Je vins à goûter à cette débauche en un temps où d'autres s'en séparait sans regret. Je ne pouvais décemment m'en enorgueillir. Personne n'eût compris en mon entourage qu'une dame digne de quarante ans s'aliène à ce type d'occupation. Ma première faute s'inaugura un soir sur mon bureau, un beau stagiaire d’origine marocaine Safet du haut de ses vingt et an avait été éblouie par ma maturité rayonnante et sensuelle, Ce pour reprendre ses propos. Ce genre de compliments venu d'un homme est cependant sujet à caution. Pour le moins il est indubitable qu'il s'était mis en tête de me sauter.


Cela tombait bien. J'étais tourmentée dans mes hormones. Mon bassin me démangeait. Il vint après que les autres collègues fussent partis m'annoncer il fêterait demain son départ et que nous ne reverrions plus. Disant cela il lorgnait sur mes cuisses que j'eus du masquer en tirant sur la jupe. En d'autres temps j'aurais effectué ce geste de décence. Cette fois mue par la curiosité je tâchais de mesurer mon pouvoir sur un homme. Il me vint à l'esprit que sa queue durcissait tandis que s'écoulait la conversation. J'eus alors l'inspiration impertinente de lui dire que demain je ne pourrais vraisemblablement honorer son pot de ma présence. Je voulais à cet égard le pousser dans ses retranchements. Je le vis blêmir soudain et se jeter à mes genoux. Je réussissais au-delà de mes espérances.


Je ne me rappelle plus son baratin. Je vis dans ses yeux qu'il me désirait. Je me levais ensuite pour fermer ma porte. Revenue à mon bureau il m'empêcha de m'asseoir et me poussa contre en m'embrassant. Je découvrais pour la première fois la fougue des baisers. Ses mains hâtives me pelotèrent et me déshabillèrent. Le bougre maniait avec dextérité la garce que j'étais. Je ne sais comment ce fut mais bientôt il me jeta dessus le même bureau cuisses et culotte écartées me pénétrant par la chatte. Bringuebalée j'étais besognée par de puissants coups de rein. Je rejoignais la cohorte des salopes qui en d'autres bureaux que je savais avaient été baisées souvent. En un instant je vis que j'avais perdu ma vie avec un médiocre au lit et qu'il me serait fort difficile de rattraper le temps perdu.


Safet ne voulant être en reste m'attendit le soir suivant tapi au fond de sa voiture. Nous allâmes deux kilomètres plus loin dans un bois. Je m'initiais pour le coup aux arcanes de la fellation. J'allais y exceller mieux plus tard. Cette seconde fois Safet baisa sans ménagement ponctuant chaque coup de rein de quelques mots obscènes. Celui de salope revenait souvent. Je découvris cela que j'aimais être humiliée et traitée comme une chienne. Ce petit con m’avait converti. Je trouvais dommage que je ne pus renchérir sur une telle expérience. Ma savane avait été d'un coup embrasée. L'incendie ne s'éteindrait plus. Il était trop dangereux de recruter le prochain amant là où des langues se délieraient. Je savais qu'on pouvait recourir à l'internet. Bientôt j'eus à discrétion deux trois cochons qui indifféremment me prenaient dans leur voiture ou une chambre d'hôtel. J’appris vite. On goûtait mon vice.


Puis vint Le jour du quiproquo. Un type dragué la veille et que je suçais un midi dans un parking de la gare manifestement ravi, me dit : « Vous me ferez un prix. J'ai peu d'argent sur moi. » Je crus à une blague puis je vis qu'il était sérieux. Cet imbécile me prenait pour une prostituée débauchant les clients sur le net. Je trouvais compliqué de lui dessiller les yeux. Je pris le fric. Je me souviens 15 € la pipe. J'éclatais de rire au retour. J'eus voulu conter cela au premier venu. C 'était trop fort. Une semaine ensuite et comme par jeu je négociais sur le net une passe. Le type accepta pour 100 € à l'hôtel à condition d'une sodomie. J'avais pris goût depuis à cet exercice. Que je fus payée pour cela m'excitait. J'avais du coup trouvé ma vocation. Plus qu'en salope je m'épanouissais en pute. Je savais nuire à la concurrence.


Il se trouva qu'à cette époque mon fils écopa de dettes dans ses affaires et que ma fille se trouva en instance de divorce. Les demandes d'argent alors affluaient ; Mon plaisir devint un turbin. Je dus garder le secret pour mon fils. Mon mari eût été intraitable eu égard à un pareil échec. Cependant je me gardais d'expliquer au fiston d'où venait le fric. Je lui disais que j’avais vendu des bijoux et qu'il devait n'en rien dire à son père. Je dus augmenter ma fréquence de rendez-vous et les tarifs. Un petit vieux vicieux accepta qu'en échange de mes fesses gratuit il put m'être loué une petite chambre attenante à sa ferme. C'était à dix minutes du bureau. Ainsi faisais-je une passe le midi voire deux en une seule soirée avant de rentrer. Le W E je n'étais spa en reste. Tandis que monsieur allait à son tennis, j’allais sucer et offrir mon cul à de fervents cochons.


Depuis longtemps je n'étais plus dans le préjugé quant au plus vieux métier du monde. J'y étais rentré par plaisir et poursuivais dedans par labeur. Le plus amusant est que j'affectais de jouer mon austère et ma prude au bureau. J'eus même droit aux avances du nouveau directeur. Il avait une prédilection pour mon genre grande brune et à la belle cinquantaine. Il avait peut-être inconsciemment décelé ma putasserie. Je fis savoir fort et haut autour de moi que j’étais une épouse vertueuse et ne mangeais pas de ce pain-là. Le pauvre eût été étonné de me surprendre certains midis, sodomisée par mon vieux vicieux. J'avais dans la voiture ma trousse à maquillage et tout un arsenal de culottes, bas, soutiens gorge et escarpins. La parfaite professionnelle. Les derniers temps j’allais écumer les aires d'autoroutes. Là où le routier est vigoureux et paye bien.
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