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Recherche d'emploi

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Lue : 2203 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 08/12/2013

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Cette sacrée crise fait que tu cherches un emploi, La boite le Pôle Emploi ne trouve que des conneries. Tu cherches par toi-même. Tu fais à peu près tous les magasins, les bureaux, enfin tout ce qui se trouve. Tu fais même le trottoir pour avoir un peu d’argent. Mais faire semblant de jouir avec des inconnus après leur avoir demandé 100 € ne te convient pas particulièrement sinon que tu jouis quand le client ou le couple est particulièrement vicieux.

Vendre ton corps n’est pas la panacée.

Enfin un jour je tombe dans une petite boite qui cherche une vendeuse particulièrement sexy pour vendre des vêtements féminins et au sous-sol des objets coquins.

Le patron: je te reçois rapidement entre deux portes, je te demande de passer après l’heure de fermeture vers 19 h 15. Tu attends cet instant comme magique: tu vas certainement trouver un travail, même s’il ne convient pas tout à fait à tes compétences.

L’heure du rendez-vous est là: Une porte à côté du magasin s’ouvre: c’est lui qui m'invite à entrer. Je le précède: en commençant à trembler: qui sait ce qui sait ce qu'il va me dire ?

Il me fait entrer dans son bureau. Mon travail, mise à part la vente de vêtements féminins sexy, très sexy même s’accompagne de la vente des objets personnels pour les femmes. Je comprends à demi-mots. Pourtant il veut être sûr que je sais exactement ce que je bais proposer d'acheter. Au sous-sol il y a une autre pièce plus grande que le magasin lui-même. J’e vois presque tout: les simples boules de geisha de différentes tailles, d’excitateurs surtout destinés au caresses clitoridiennes, des chapelets de différentes grosseurs et des godemichés de toutes formes et tailles, naturels ou avec des formes en œufs. Enfin des rabbits destinés au con, au clitoris ou au cul et au périnée, En enfin, le fin du fin, les doubles godes destinées soit à deux femmes en même temps, soit destinés aux doubles pénétrations. Il me demande si ça ne me gêne pas de vendre toute cette collection. Il m'avertis en plus qui je serais emmenée à faire sur toi même des démonstrations.

J'ai des doutes. Pour me faire fléchir il me promet de te baiser après chaque démonstration, enfin le soir, après la fermeture. Nous remontons et dans le bureau il me prend dans mes bras: je sais ce qu'il veut: me baiser, là, dans mon bureau. Il a dans sa main un double gode. Je sais déjà qu'il va me demander de te branler devant lui. Il ne veut pas que je te fasse quoi ce soir. Pourtant il sait que si je veux travailler, il n’y a rien à faire: je dois y passer

Résignée, tu fais ce qu'il me demande:

Mets-toi nue devant moi et montre-moi ton cul, tes seins, tes fesses et ton con ouvert.

J'obéis contrainte et forcée. Il s’approche, je passe mes mains sur mon corps, absolument partout, surtout sur les jambes au début, sur tes seins après! Il les caresse délicatement. Je commence à trouver un début de plaisir. Il me lève pour m’embrasser sur la bouche: sa langue force mes lèvres pour entrer. Je ne peux plus résister puisque qu'il a mis une main sur mon clitoris. Il participe enfin avec ta langue. Il me pousse vers le magasin fermé où il y a un divan destiné aux clientes avant leurs achats: Je te laisse tomber avec la ferme intention de me retenir: je ne veux pas être forcée.

Il connait les moyens de m’exciter: il force à écarter les cuisses. Même si je résiste un peu, je ne puis résister aux caresses de l’excitateur. Il l’a posé sur mon bouton. Jr ne tarde pas à en vouloir plus; il rentre le chapelet de perles dans le cul. Résignée tu me laisse faire, par contre quand il sort les perles une à une, à une cadence lente; tu jouis à chaque fois. Je jouis ainsi 9 fois;

Maintenant c’est à mon tour; je demande:
- Tu veux que je te baise ou tu veux me sucer.

Tu te donnes le temps de la réflexion:
- Je préfère te sucer pour la première fois.
- Tu aimes le sperme ?
- Oui
- Tu avale ?
- Bien sûr.
- tu veux que je me mette nu ?,
- Oui
- Alors fait gaffe de bien me sucer, sinon gare !

Il est enfin tout nu, Je regarde sa bite qui semble me convenir. Je suis assis à ses côtés, mes mains sur tes épaules que je caresse tendrement. Je baisse ta tête, j'ouvre en grand ta bouche pour finalement te lécher simplement le bout du gland. Je me décide enfin à lécher mon bout de pine et enfin prendre la moitié de la bite dans la bouche. Ma tête fait des vas et viens. Tu es sur le point de jouir quand j’arrête. Tu proteste un peu.
- Je ne veux pas que tu jouisses maintenant sinon tu ne pourras pas me la mettre !!
- Tu la veux où ?
- Où tu veux.
- Je voulais ta bouche.
- Je te la prendrai à la fin pour que je puisse te goûter.
- Fais ce que tu veux.

Ainsi non seulement je te commande moi, mon futur patron mais je ne veux te sucer que quand j'en aurais envie.

Je pose les genoux par terre, je tends tes fesses. Tu comprends que je veux que tu me la mettes dans le cul. C’est bien ce que je veux; Je me mouille bien la pastille d’où j’ai sortis le chapelet.

A deux mains j'écarte tes fesses; tu trouves facilement mon anus. Tu ne fais que poser ta pine sur lui; Tu entre en force. Je gémis parce que tu m‘aurai fait mal. Tu t’en fous : tu peux faire de moi ce que tu veux: j'ai besoin de boulot, encules moi comme tu veux. Il entre à fond dans mon cul: il va et vient, jusqu’à en sortir complètement. Il sait qu'il me te fait mal. Je me rends compte qu’il prend son pied en me sodomisant.

Il m’ordonne de te détendre complètement pour qu'il m’encule convenablement. Je le fais et enfin je commence à sentir le plaisir monter de mon ventre. Je le sens tellement qu’à la fin il sent les crispations de mon cul autour de sa bite.

Il a juste le temps de sortir avant de jouir. Il passe ma langue sur mon cul pour que je continue à jouir un peu. Tu m’assois et je me relève aussi. Il a ouvert ma sexualité normalement débordante. Je viens sur ses genoux, face à lui. Il prend sa bite pour la mettre dans mon con. Il peut t’embrasser encore: Je réponds cette fois toute seule. Il fais qu'il s’enfonce dans ta chatte. Pourtant je veux encore plus de jouissance; il met à tour un doigt sur ton clitoris. Je suis comblée avec ses doigts et sa pine dans le con. Il arrive à passer une main derrière moi. Il trouve mon trou du cul, Il entre un seul doigt qu'il fait aller et venir. C’est le comble pour moi. Je m‘agite dans tous le sens et ju jouis.

Il me fait relever. Il a oublié quelque chose dans son bureau. Il me laisse là: je suis tranquille je crois bien que je vais me branler en mon absence:

Quand il revient c’est justement ce que je fais: tes jambes écartées accueillent mes doigts; mon pouce dans le vagin et les autres sur le bouton.

Quand il me montre l’objet; j'arrête quand il te me donne le double gode. J'ai vite compris que les extrémités ne sont pas les même: il décide là où je vais planter le petit bout: j’écarte bien les fesses pour m’enculer et quand il en a mis le plus long dans mon cul, Il se décide enfin à te baiser avec l’autre bout en pliant bien le gode. J'ai vite fait de comprendre comment me faire seule une double pénétration. Je suis presque couchée pour profiter du plaisir. Il veut le prolonger en me donnant sa queue. Cette fois encore je la prends dans la bouche. Il sait que maintenant je vais le faire jouir: j'engloutis ma bite jusqu‘au fond de ta bouche, je suis sur le point d‘avoir une nausée. Il se retient surtout que son sperme lui sorte pendant sa jouissance. Il en largue un flot puissant. J'avale presque tout. Le reste coule sur ma poitrine; je le ramasse avec l’autre main pour tout récupérer. Pendant que je le déguste, sa main ne cesse de faire aller et venir le gode dans mon con et mon cul; jusqu’au moment où je sursaute d’un énorme orgasme. Il me laisse récupérer un peu avant de retourner au bureau: Il avait déjà rédigé mon CDI: si je n'avais réellement voulu ne pas baiser je m‘aurai quand même engagée parce qu'il je savais que je conviendrais pour la place:

Reste à savoir si tu pourras m’exhiber devant des femmes à l’affut d’un objet de plaisir solitaire. Pour ça, il me promets que je le fera volontiers: j'aime trop la baise.

Qui sait un jour je le ferais aux autres femmes et j'y prendrais goût.
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Histoire de fabrissa

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