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clitoris stories

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 20/11/2023

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CLITORIS STORIES

Fatiha et moi on était confortablement installés, sur mon lit, un grand lit, et on faisait l'amour. Un de ces moments bénis qui n'appartenaient qu'à nous et dont nous profitions dès que nous avions un moment. Je savais que j'avais beaucoup de chance d'avoir trouvé cette jeune femme sur ma route. Elle était magnifique, elle était intelligente, elle avait le sens de l'humour, les deux vont souvent ensemble. On s'était rencontrés vraiment par hasard. Je suis maladroit et, la tête ailleurs, je l'avais percutée dans la rue, plongé dans mes pensées. Elle portait une dizaine de sacs, et je l'avais aidée à ramasser, non sans jeter un coup d'oeil sur une splendide silhouette. Elle était brune, de taille moyenne et avec des formes magnifiques. Une robe très courte qui s'était retroussée quand elle était partie en arrière et tombée sur les fesses, sur un ventre nu, enveloppé par un collant translucide, mais sans slip dessous. Ca avait été très bref, mais j'avais bien eu le temps de voir, image qui s'était gravée dans ma tête, ses parties les plus intimes. Le charme d'une toison brune, dessinée avec je ne savais quel instrument, triangulaire mais bien épaisse, qui tendait le lycra translucide, une fente marquée dans ses chairs dont sortaient deux bouts de lèvre, et bien sûr des jambes bien dessinées.
--Vous êtes vraiment un gros con, elle m'avait dit.
Culpabilisant à mort, je l'avais aidée à se relever, j'avais ramassé les sacs.
--J'espère qu'il n'y a rien de fragile là-dedans. Je vais vous le rembourser.
--Ce sont juste des vêtements. J'aime être jolie.
C'est à ce moment-là qu'un de ses seins s'était barré de son décolleté. Elle n'avait pas de soutien-gorge, ses seins tendaient le tissu, je m'en étais rendu compte, qu'on voyait bien leur forme dessous, juste avant que l'un d'entre eux ne jaillisse, rond, plein, ferme avec une pointe étonnamment durcie, l'air frais peut-être.
--Je voudrais me faire pardonner.
--Vous êtes impardonnable. On ne fait pas chuter une femme comme vous l'avez fait.
--La personne qui aurait pu vous percuter aurait regardé son téléphone. Moi ce n'était pas le cas, j'étais juste plongé dans mes pensées.
Une remarque qui avait fait revenir le sourire sur son joli visage. Elle avait désigné le grand café derrière nous.
--Et si vous me payiez une glace pour vous faire pardonner ?
Et c'était comme ça que, de fil en aiguille, elle et moi on se retrouvait sur ce lit, dans un moment de bonheur et un 69 parfait. J'avais sous les yeux ses fesses rebondies, ouvertes par sa position sur sa muqueuse anale, un morceau de chair lisse, et plus bas, la déchirure de son sexe dans ses chairs, que je travaillais de la langue depuis un bon moment, glissant sur ses lèvres, à l'intérieur de son sexe, muqueuse rose dévoilée, la saveur de ses liquides intimes coulant dans ma bouche. J'avais toujours envie de la boire jusqu'à la dernière goutte. Elle, elle tournait sur ma queue avec cette sensibilité et cette habileté qui faisaient tout son charme. Sa langue glissant sans s'appesantir, mais pour une caresse bien réelle sur mes chairs, venant frotter mon gland, contre mes couilles, une zone hyper-sensible aux caresses, et mon plaisir était immense, je vibrais, comme j'espérais la faire vibrer.
Fatiha avait un corps de femme, un corps de toute beauté. Un vrai corps de femme. Dire ce qui me plaisait le plus... Elle était une harmonie. Il y avait pourtant un point de son anatomie qui était particulier, c'était son gland clitoridien. Je n'en avais jamais vu un pareil. Déjà quand elle n'était pas excitée, il saillait, en haut de ses lèvres, une boule ronde, et puis quand l'excitation montait en elle, j'en étais témoin, il était pris par un phénomène érectile, comme la queue d'un homme, et cette érection le faisait d'épaissir et s'allonger d'une manière qui m'impressionnait, raison pour laquelle j'appréciais les 69. Je ne savais pas s'il y avait une limite à son érection, mais quand elle était dans des pics d'excitation, il était long et épais d'une manière qui me tordait le ventre. Pour donner la pleine mesure des choses, quand je le prenais dans ma bouche à ce moment, même si je le prenais aussi avant, il la remplissait. Je le suçais comme j'aurais sucé la queue d'un homme. Ce que j'avais fait au moment de l'adolescence. Ca m'y ramenait. Je retrouvais cette sensation que j'avais eue pour la première fois quand, on était ensemble inséparables, John et moi, et ce quelque chose de trouble qui existait entre nous s'était matérialisé lorsque je l'avais défait, j'avais pris son sexe dans ma bouche, et je l'avais caressé jusqu'à ce qu'il jouisse, buvant son sperme avec avidité jusqu'à la dernière goutte. On avait eu une relation intense avant de se séparer. Et je retrouvais cette sensation unique qui avait été la mienne lorsque je lui faisais une fellation.
C'était, après les premières caresses, une étape qui pouvait durer longtemps, un second échelon, un plaisir très intense, lorsque je caressais son gland clitoridien surgonflé dans ma bouche, et qu'en échange, en retour, elle s'escrimait sur ma queue, pour me donner le maximum de plaisir.
Je crois qu'on aimait l'un comme l'autre ce moment d'équilibre où on retenait notre jouissance, où le plaisir de reculer le bonheur de la jouissance était une jouissance en elle-même. On tenait, on tenait...Jusqu'à ce qu'on inonde l'autre en crachant nos liquides intimes. C'était le moment où on jouissait le plus fort, mais aussi le plus copieusement. Je ne finissais pas de cracher des jets de sperme qu'elle laissait glisser dans son gosier, pendant qu'elle éjaculait un liquide blanc et épais, qui ressemblait à du sperme, même si, vu de plus près il avait une autre texture, et je m'en laissais remplir la bouche, j'aimais son goût toujours changeant. J'aimais aussi recueillir en moi le témoin de sa jouissance. Ses jaillissements intimes.
C'est plus tard, on était encore sur le lit, et, parce qu'on avait envie, dans ces moments, de jouir encore et encore, jamais rassasiés, qu'on se caressait mutuellement, en parlant, je masturbais son gland clitoridien,,elle caressait ma queue, qu'elle m'a dit :
--Tu sais que j'ai fait un cours sur le clitoris récemment.
Si j'étais fonctionnaire territorial, elle était elle enseignante en sciences de la vie. Elle couvrait de nombreux domaines dont ce qu'on appelait l' IAVA, Initiation A la Vie Affective. Elle faisait depuis un peu un cours sur le clitoris, pour les filles...On avait toujours beaucoup parlé de la queue des hommes, pas souvent du sexe des filles. De la sorte, cela ne faisait que depuis 2017 qu'il y avait une représentation dans les manuels du clitoris. Le clitoris de la femme, couvrait, de manière quasi circulaire tout son sexe, expliquant pourquoi caresser une femme sur cette zone lui procurait autant de plaisir, et dégageait sur l'ouverture du gland clitoridien. De la sorte la question clitoridienne ou vaginale ne se posait pas.
--Tu leur as montré ma fabrication ?
Sa respiration s'est faite plus courte et j'ai compris qu'elle était entrain de jouir. Elle a crié, son ventre a été agité de spasmes, et elle a éjaculé, trempant ses chairs et les draps. Au creux de sa main, je tenais encore.
Ma fabrication c'était un clitoris en 3D. J'en avais fait plusieurs d'ailleurs, de formats et de couleurs différents. A but pédagogique. Elle s'en servait pour expliquer le corps de la femme, et sa capacité à avoir du plaisir.
--La séance suivante, j'ai fait quelque chose d'inédit. Je leur ai demandé d'écrire quelques lignes autour de leur clitoris. Ce qu'elles voulaient. Je te les ai amenées. Tu va voir, c'est troublant. J'ai mouillé en lisant ces textes. Ils sont beaux, et ils expriment bien un rapport à la sexualité qui est troublant.
Ce n'était sans doute pas le réponse qu'elle attendait, un jet de sperme est sorti de mon méat, et la jouissance m'a pris...Elle a accentué son mouvement de masturbation, elle aimait bien faire ça, je me demandais toujours si c'était parce qu'elle voulait faire jaillir plus de sperme, qu'elle pensait me donner plus de plaisir à un moment crucial, ou simplement parce que ça l'excitait de faire ça à ce moment...
C'est le soir, plus tard, seul que j'ai lu les récits, les annotations de tous ceux qui avaient écrit, parlé de leur intimité, des mots toujours excitants, ce qui n'avait pas forcément été leur volonté au départ.

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Comme sinon toutes, du moins pas mal de filles, j'ai toujours pensé que le clitoris se réduisait à cette partie qui dépassait, sans comprendre qu'il était ancré dans la chair, que seul un dixième dépassait. J'ai toujours eu l'habitude de me toucher et je viens d'instinct en haut de mes lèvres, parce que le plaisir est tout de suite fort, intense.
Hier soir, après le cours, je me suis installée sur mon lit, et j'ai commencé à me caresser, avec dans la tête ce schéma. Au lieu de venir directement sur mon gland clitoridien, j'ai suivi les lignes de ce clitoris que je ne vois pas. Le plaisir a tout de suite été très fort, très vite toute dimension de temps à disparu et je suis restée un temps infini dans la force de ce plaisir, pour arriver jusqu'à l'orgasme.

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Pour avoir du plaisir, avec un homme, quand sa queue va-et-vient en moi, j'ai toujours un vibro avec moi. Ce n'est pas qu'une queue qui me fouille ne me donne pas du plaisir, mais ce qui m'en procure infiniment, et qui décuple le plaisir de sentir un homme dans mon ventre, c'est d'avoir cette autre ligne de plaisir qui glisse en même temps que l'autre, monte en parallèle, rejoint la première. Je ne savais pas ce que tu nous as dit avant-hier, mais j'ai toujours ressenti un plaisir qui, du vibro, passait à mon gland clitoridien et descendait sur des zones que je ne savais pas être celles de mon clitoris.

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Il y a un jeu auquel nous aimons jouer mon copain et moi, et qui m'a sans doute fait ressentir, à défaut d'en mesurer l'étendue, la puissance du clitoris à donner du plaisir. C'est venu comme ça, toujours ces jeux entre amants, signes d'une profonde complicité. On a toujours passé énormément de temps dans des caresses,
La première fois, j'étais calée sur un bord de table, et puis on s'est mis à s'embrasser et se caresser. On ne sait jamais quelle tournure ça va prendre...J'avais un tailleur jupe et veste, avec sous la veste un bustier. Il est venu sur mes seins, ça me rend folle qu'on me bouffe les tétons, et il le savait bien...Il allait de ma bouche à mes seins, et moi je l'ai défait. J'avais envie de sentir sa queue dans ma main, envie de la caresser...
Quelques secondes plus tard, je me soulevais et il descendait ma culotte, pour la laisser accrochée à ma cheville.
Et c'est à ce moment-là que pour la première fois, il a amorcé cette caresse qu'on a ensuite répétée si souvent, tellement on y a pris du plaisir tous les deux. Il a approché sa queue de mon ventre, et il est venu la poser en haut de mes lèvres. Pour être clair, il a posé son gland gorgé de sang contre mon gland clitoridien qui saillait, décalotté.
Et il a frotté.
Je crois qu'on a été surpris tous les deux par ce moment, que ce qui était un jeu devienne un moment de plaisir aussi fort. La caresse de son gland contre mon gland clitoridien, et réciproquement...Le plaisir d'une caresse dont je n'avais pas soupçonné l'intensité. Il faut dire que, même quand je me masturbais, je ne me souciais pas trop de mon petit bouton, comme on dit. J'aimais mettre en marche un vibro, et le faire aller et venir entre mes lèvres.
On a joui si fort. Alors évidemment, on a voulu répéter l'expérience. Et puis je me suis mise à me tripoter le gland toute seule.
Donc, oui, le clitoris joue une grande partie dans ma vie.


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Je ne savais pas tout ce que tu nous a montré, en particulier concernant l'implantation du clitoris et sa forme...La seule chose que je sais, c'est que quand mon mec me baise, je ne ressens rien. Il ne me caresse pas le sexe, il vient en moi, prend son plaisir, et moi je n'en ai aucun.
Jusqu'à pas longtemps, je ne m'étais jamais touchée. On est conditionnés même inconsciemment pour faire ou ne pas faire certaines choses. Sans doute que la rigidité de mes parents, qui m'ont élevée, y est pour quelque chose. 
C'est venu sous la douche, comme ça...J'ai amené le jet de la douche, puissant et chaud sur ma chatte...Je commençais toujours par bien me mouiller le corps avant de me savonner.
Mais ce jour-là, ça a été différent.
La puissance du jet sur mes chairs m'a fait ressentir du plaisir. J'ai rapproché le jet et j'ai joui.
Il était tout près de mon petit bouton.
Je l'ai maintenu là, et il s'est passé quelque chose qui ne s'était jamais produit avant. Je ne jouissais jamais quand mon copain me faisait l'amour.
Ca a été un peu comme si j'avais rattrapé le temps perdu. Je me suis mise à jouir, à jouir et encore à jouir...Jusqu'à partir contre la paroi, épuisée à force d'avoir joui.
Dans les semaines qui ont suivi, ça a été compulsif. Je ne faisais que ça...J'ai eu tellement d'orgasmes, au final, que je crois que je suis parvenue à rattraper chaque moment où je n'avais pas joui. Je me frottais n'importe où, dès que j'avais une minute. Après, ça a été plus régulé. Avec la sensation que mon plaisir partait dans une zone circulaire, dont je ne savais pas qu'elle correspondait à ce que tu nous as montrés hier.

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Mon père m'a eue jeune avec une femme qui n'a pas voulu me reconnaître et qui l'a quitté. Il est resté seul pendant plusieurs années, avant de ramener à la maison une femme que j'ai immédiatement apprécié. Plus qu'une maman adoptive, une belle-mère, ça a été une amie, et on a passé énormément de temps ensemble.
Elle était intelligente et lucide, chaleureuse et toujours de bonne humeur, Et aussi une très belle femme.
On était très intimes.
On se baignait souvent ensemble. On avait une grande baignoire à la maison, et on aimait prendre un bain ensemble, s'y prelasser.
Elle était charnue, avec des seins, des fesses, des hanches.
L'intimité entre deux filles n'a rien à voir avec celles entre hommes. On se regarde, on se touche, on partage des choses très personnelles.
Elle était posée sur le bord de la baignoire, et je savonnais ses jambes. On aimait bien se savonner mutuellement. Et j'avais pile dans ma ligne de mire son sexe. Une belle fente avec deux lèvres qui en sortaient, larges et longues, mais aussi ce que j'avais déjà évidemment remarqué, en haut des lèvres, une boule de chair volumineuse, en harmonie avec son corps, certes, et qui, sous mes yeux, était entrain de gonfler et s'allonger. Ce qui m'a fait penser, évidemment, que mes mains sur elle la troublaient et l'excitaient. Moi aussi, même si je n'avais pas assez de recul pour en être consciente, j'éprouvais du plaisir à toucher sa chair. Et j'étais troublée de voir ce bout de chair qui se transformait de minute en minute, pour ne pas dire de seconde en seconde.
Elle a fini par me dire :
--Si tu veux me donner du plaisir, il faut que tu viennes me frotter sur cette partie de mon corps que tu regardes fixement.
Elle a poussé un petit gémissement quand j'ai fait ce qu'elle me demandait, autant, sinon plus par envie que parce qu'elle me l'avait demandé. C'était la première fois que je touchais un gland clitoridien. Je me masturbais, bien sûr, mais d'une manière très différente. Ce qui me plaisait, c'était de me frotter, que je sois habillée ou nue, contre ce qui m'entourait, un coin de table, la tranche d'une porte...Ca me plaisait de prendre du plaisir comme ça.
Sensation particulière, d'une chair douce, souple, et dure à la fois, et surtout qui s'érigeait sous mes yeux et au bout de mes doigts. J'étais aussi fascinée que surprise par ce que cela pouvait procurer à Stéphanie, qui éprouvait visiblement du plaisir, son corps se métamorphosant sous ms yeux. Ses seins et ses tétons gonflant, ses lèvres sortant plus, se dilatant et s'allongeant, sa fente s'ouvrant sur son intérieur, son souffle devenant court, ses yeux glissant sur un autre univers, celui du plaisir. Elle avait joui très rapidement, éjaculant des jets de liquide, me laissant interdite.
Elle m'avait souri, après.
--J'avais envie que tu me donnes du plaisir. Je suis sûre que tu ne sais pas qu'on peut avoir énormément de plaisir par là.
--Le mien n'est pas aussi gros que le tien.
--Ce n'est pas la taille qui compte. Viens, je vais te montrer qu'on peut avoir du plaisir par là. Mets-toi à ma place.
Et elle avait glissé entre mes cuisses, pour me donner une caresser, mais une caresse différente. Avec sa bouche, et j'avais eu un plaisir que je n'imaginais même pas pouvoir exister.
Dans les semaines et les mois qui ont suivi, il s'était passé quelque chose de particulier entre nous. Une sorte d'élan qui faisait qu'on se donnait du plaisir un peu partout, à n'importe quel moment, un mouvement à la fois paisible et irrésistible, et qui incluait toujours une caresse sur le gland clitoridien, comme une amorce, ou un aboutissement, et entre les deux, d'autres caresses, d'une femme à l'autre. C'était une parenthèse, un moment magique, dont on se demandait comment il était arrivé, sans doute avec comme tremplin une profonde complicité. Et qui a continué longtemps.

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Ma petite copine a une spécificité : elle a un gland clitoridien qui, lorsqu'elle est excitée s'allonge de manière démesurée. Il n'est pas très épais, mais il est très fin, et on prend du plaisir avec d'une manière inusitée. Elle m'a demandé très tôt de le sucer, comme j'ai pu sucer avant de la connaître le pénis d'un homme. Mais on a basculé sur autre chose quand elle est venue sur moi et qu'elle m'a pénétrée avec. La sensation a été très forte, et j'ai joui, si souvent, de la sentir en moi. Alors oui, c'est sûr, je sais que le clitoris, et le gland clitoridien peuvent procurer du plaisir de bien des manières.

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Avec mon petit copain, on partage un moment très spécial dans lequel mon gland clitoridien a un rôle essentiel. En effet, il est volumineux et dur, et il me permet beaucoup de choses.
C'est venu un peu par hasard. Des jeux entre nous. Jeux érotiques. Parfois, on ne sait pas ce qu'on va faire une seconde avant. L'intuition, l'imagination.
J'étais très excitée, et je suis venu sur lui...J'ai poussé mon clitoris dans son méat. La bonne dimension pour glisser en lui. A croire qu'on était faits pour s'accoupler comme ça. On avait énormément de liens. C'en était un de plus.
Il n'imaginait pas que je puisse le pénétrer. Moi non plus d'ailleurs. J'ai fait aller et venir mon gland, le poussant quasiment jusqu'à la racine, Son liquide pré-sécrétif coulait autour de mon gland clitoridien, facilitant le mouvement que j'avais initié, et qui a persisté jusqu'à ce que je sente qu'il allait jouir. Je me suis dégagée, et il m'a arrosée d'un torrent de sperme. Je ne l'avais jamais vu jouir autant. Mais ça m'avait mis aussi dans tous mes états, et j'ai joui, moi aussi, au moment où il me couvrait de sperme, éjaculant ce liquide blanc qui ne sortait de moi que quand j'avais des orgasmes exceptionnels.

--Alors, ces textes t'ont plu ?, elle m'a demandé quand nous nous sommes revus, et que je lui ai rendus.
--Ils m'ont infiniment troublé. Si la littérature érotique pouvait toujours avoir cet effet.
--Et oui, le réaliste, le vrai ont souvent plus d'impact.
Je ne lui ai pas dit que j'avais photocopié les textes pour pouvoir les relire à mon gré. Il y avait un pouvoir dans les mots que les images n'avaient pas.
On s'était retrouvés dans un bar, pour passer la soirée ensemble.
--En parlant de clitoris, viens sous la table...J'ai le feu au cul....J'ai envie de sentir ta langue sur moi.
L'endroit était cosy, discret et sombre. C'était l'occasion d'en profiter. J'ai glissé sous la table. Elle a retroussé sa robe très courte, Elle a tiré son string dans son aine, me donnant accès à son sexe...J'ai appuyé ma langue sur son gland clitoridien qui a pris du volume, prolongeant ma caresse, comme je ne l'avais pas fait avant, le long du clitoris enchâssé dans ses chairs, en même temps que je mettais ma queue à nu et que je me masturbais, trop excité.. Elle se déversait littéralement dans ma bouche, me remplissant de ses liquides abondants...Je la buvais, et elle a très vite joui, éjaculant des liquides d'un autre tenant, son éjaculation précédant la mienne.
C'était une bonne manière de commencer une soirée dans laquelle il y aurait pas mal de plaisir et d'autres orgasmes encore.







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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : clitoris stories

Le 20/11/2023 - 22:56 par OlgaT
Un excellent texte d'éloge du clitoris!

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