Cloé, une nièce adorable.1

Pierre et Marie s'adorent, mais le seul bémol, ce n'est que Marie n'est pas portée sur le sexe, si elle peut éviter les rapports, elle le fait volontiers. Cela désole son mari qui n'a d'autre recours que de fréquenter les bordels. Marie est au courant de cela, elle le cautionne même. Mais les lieux de plaisirs sont très loin de chez eux. Souvent Marie surprend son mari en train de se branler, rapidement, elle fuit pour pas avoir à participer à cet acte qu'elle préfère ignorer.

Ce sont les vacances, Marie et Pierre louent une petite maison pour passer des vacances bien méritées. Cloé, dix-huit ans, leur nièce, qui est en conflit avec ses parents, (c'est l'âge bête) demande à son oncle et à sa tante de l'emmener avec eux. Avec le consentement de ses parents, Cloé embarque dans la voiture, du tonton et de la tata. Après de nombreuses heures de route et d'arrêts, ils arrivent enfin au lieu choisit.

Ils déballent leurs affaires, préparent les chambres. Pendant que Pierre prépare le barbecue, sa femme et sa nièce se mettent en tenue légère, et dressent la table. Le repas se passe très bien, les trois papotent comme des mégères, Des éclats de rire encouragent les blagues de Pierre. L'heure tourne, la fatigue du voyage se fait sentir. Marie décide de monter se coucher, car elle a conduit un bon bout du chemin., Pierre et Cloé débarrassent la table et font la vaisselle. Pierre s'installe sur un transat, en sirotant un verre. Quant à Cloé, elle décide de piquer une tête dans la petite piscine que possède la maison. Rapidement, elle descend de sa chambre en tenue de baigneuse. Son mini-maillot de bain ne cache pas grand-chose de son corps.

Pierre, regarde le jeune corps se déhancher, la démarche féline de Cloé, ne le laisse pas indifférent, Sa culotte de bain lui entre dans les fesses en séparant outrageusement, ses deux lobes fessiers. Les yeux de Pierre ne quittent pas le balancement du fessier, que Cloé prend plaisir à accentuer, se sachant observée.
Il se pince les lèvres, ravale sa salive, en soupirant. Sa verge lui démange, il avale d'un trait son verre et son ressert un rapidement. Cloé plonge dans le bain, et fait plusieurs longueurs du petit bassin. Pierre la regarde évoluer sur l'onde fortement chlorée. Cloé l'incite :

-Allez tonton, elle est vachement bonne, viens me rejoindre !

Il répond :

-Je n'ai pas mon maillot et je n'ai pas envie de monter le mettre !

-Bon comme tu veux ! Répond Cloé.

En faisant des brasses vigoureuses, son minuscule soutien-gorge, laisse échapper involontairement ses lobes mammaires. Pierre sursaute, la petite a une sacrée paire de nichons. Cloé tente de le remettre en place, mais dans l'eau, ce n'est pas facile, elle prend la résolution de l'envoyer, sur la pelouse, puis reprend ses longueurs. Pierre, ne quitte pas des yeux les seins qui semblent bien fermes, sa queue se gonfle dans son pantalon. Il se redresse, quitte tous ses vêtements et plonge dans la piscine. Il tente d'accompagner sa nièce dans ses parcours de bassin, mais la jeunette et bien plus véloce qu'il le croyait. Pierre est à la traine. Cloé un peu fatiguée s'accroche au bord de la piscine. Rapidement son oncle, l'a rejoint, il se plaque contre elle. Elle sent son souffle sur sa nuque, le coquin en profite pour onduler du bassin contre les fesses de sa nièce, en lui murmurant à l'oreille :

-Tu es magnifique Cloé, tu dois en faire tourner des têtes avec un corps pareil !

Flattée, Cloé sourit et répond :

-C'est vrai tonton, j'ai le choix, mais beaucoup de types sont lourds, tu sais !

Il l'enlace, Cloé doit s'agripper au bord plus fermement pour ne pas couler. Il lui tire sur les hanches, Cloé se crispe un peu, elle sent entre ses fesses la verge tendue de son oncle que le coquin fait voyager lentement. Il lui donne plusieurs baisers sur la nuque et le cou. Cloé soupire profondément et dit :

-Sois sage tonton, si tante nous voit, je ne te dis pas le scandale !

Il ne peut s'empêcher de dire :

-Ta tante n'était pas une accro au sexe, maintenant, elle déteste ça ! 
Toi, tu es si désirable, l'effet que tu produis sur moi est tel que je bande comme un cheval ailleurs, tu le sens bien !


D'une main, il lui écarte la culotte et appuie sa queue contre son anus. Cloé sursaute, se dégage et sort de l'eau. Pierre, déçu de la réaction de sa nièce, sort également. Cloé regarde la verge tendue, elle est impressionnée par la grosseur de celle-ci, elle s'allonge sur sa serviette en ne quittant pas la verge du tonton. Il s'étend à côté d'elle, il pose sa main sur son dos et le caresse doucement. Cloé soupire fortement, la main baladeuse du tonton prend de l'assurance, elle glisse sur le haut des fesses en faisant de petits cercles. Cloé frissonne, la main très lentement, passe sous l'élastique de la culotte et s'accroche à un lobe charnu. Ses doigts s'insèrent dans le sillon profond qui sépare les fesses. Un plus hardi que les autres, taquine son anneau rectal. Il appuie dessus, Cloé se cabre, la première phalange disparait comme aspirée par l'anus. L'oncle avec une lenteur extrême enfonce la totalité de l'intrus. Cloé, en soufflant, dit :

-Tonton soit raisonnable, je t'en prie !

Pour toute réponse, Pierre ramone minutieusement le temple de Sodome.

Cloé serre les dents, en se cambrant davantage, elle dit entre deux souffles :

-Tonton, arrête s'il te plait, je ne suis pas un jouet !

Pierre ne l'écoute pas, il lui fouille avec douceur le rectum.


À suivre.