Cloé, une nièce adorable 2

Le doigt, sans brusquerie, coulisse dans la gaine anale de Cloé. Elle souffle à chaque fois, que l'intrus s'enfonce totalement en elle, elle commence à agiter sa croupe, la coquine trouve cet attouchement agréable. Soudain, elle se cabre, un second doigt vient de rejoindre le premier. Elle entre deux souffles, elle dit :

-Tonton, non, non, il ne faut pas !

Mais dans son le fond intérieur, elle ne veut pas que cela s'arrête. Le ramonage devient plus intense, les gémissements de Cloé se font de plus en plus bruyants. Pierre l'encourage :

-Vas-y ma chérie, jouis, jouis !

Soudain Cloé pousse un long grognement rauque et gicle de jouissance, c'est la première fois qu'elle jouit du cul, la sodomie, elle ne connaissait pas cette pratique. L'oncle retire ses doigts, Cloé se met sur le dos, honteuse, elle baisse les yeux, elle regarde son oncle et lui dit :

-Tonton, tu es un monstre, tu profites de ma faiblesse pour me doigter le cul !

Pierre sourit et réplique :

-Oh quelle mauvaise foi, tu as aimé ce que je t'ai fait, petite cochonne, d'ailleurs, cela ne t'a pas empêchée de jouir !

Elle réplique en fronçant les sourcils :

- N'empêche que tu es un monstre, tu m'as fait mal au cul, je ne vais plus pouvoir m'assoir pendant un certain temps vieux cochon !

-Oh excuse-moi ma chérie si je t'ai fait du mal, je vais m'amender !

Il la regarde longuement, puis pose ses mains sur la poitrine dénuée de la nièce qui ne le repousse pas. Il caresse les seins avec douceur, taquine les mamelons pour les faire doubler de volume. Il pose sa bouche sur les mamelons et les tète à tour de rôle. Cloé se tend comme un arc, en gémissant de plaisir. Pendant qu'il tète, Pierre glisse une main dans la culotte de sa nièce et lui palpe la chatte. La jeunette excitée se laisse faire, sa chatte est trempée. Soudain, elle réagit :

-Tonton non arrête si tante nous voit, je ne veux pas lui faire de la peine, arrête, tu vas me faire mourir !

Soudain une voix se fait entendre, c'est la tante qui, prise d'une soif soudain, c'est levé :

-Non mon chéri n'arrête pas, prends ton pied, elle doit aimer la queue à son âge, moi ce n'est plus le cas donc mes cochons, profitez bien, je vous regarde !

Cloé reste coite, de la réaction de sa tante. Elle arrive enfin à dire :

-Tante, tonton veut me sauter et toi, tu approuves cela !

-Oui ma chérie, je le vois dans tes yeux, tu le désires aussi alors, allez-y, vous avez ma bénédiction !

Pierre reprend en bouche les mamelons et les malmène fortement, Cloé pousse des gémissements de bête blessée. Les doigts noueux de son oncle s'enfoncent dans sa chatte et la fouillent profondément. Cloé s'esclaffe :

-Oh tonton, tonton, je vais jouir !

Marie l'encourage :

- Donne-toi à fond, c'est un bon mâle ton tonton, tu sais, autant que je me souvienne !

Cloé se cambre et jouit pour la seconde fois. Pierre se redresse, lui arrache la culotte et lui ouvre les jambes. Marie intervient :

-Attends Pierre, laisse-moi lui bouffer la chatte, il faut que je reprenne goût aux ébats !

Pierre sursaute, il sourit et répond :

Vas-y mon amour, reprend gout à la vie, fais-toi plaisir !

Marie se place entre les cuisses de sa nièce et plaque sa bouche sur le volcan en fusion. Elle dévore avec une rage certaine la jeune vulve au goût suave. Le clito de Cloé est devenue énorme, la bouche habile le fait encore gonfler. C'en est trop pour Cloé qui explose de jouissance pour la troisième fois. La tante satisfaite de son exploit dit en souriant :

-Baise-là bien profonde mon chéri, c'est une sacrée chaudasse la Cloé !

Pierre prend place, il frotte son gland contre la chatte dégoulinante et l'enfonce lentement jusqu'aux couilles, Cloé pousse un long râle de plaisir, elle s'accroche à son oncle, en grommelant des mots inaudibles. Le pilonnage devient violent, Cloé s'agite sous les coups de bélier de son oncle. Marie qui regarde ne reste pas bouche cousue :

-Oui, mon chéri, vas-y plus fort, elle va jouir, démonte là à fond !

Les coups de reins puissants font couiner Cloé de bonheur, la queue qui coulisse dans son ventre la rend presque hystérique, elle s'agite en criant :

-Plus fort vieux salaud, remplis-moi de ton jus vieux cochon, donne-moi tout ce que tu as dans les couilles !


Marie est ravie de l'évolution de l'ébat, elle pose ses doigts sur le clito de la nièce au bord de la syncope et le branle férocement. Cloé s'agite comme une forcenée. Elle râle fortement. Soudain, c'est la délivrance, elle se cabre et explose de plaisir, sa cyprine gicle avec force sur les couilles du tonton baiseur. La tante lui écrase le clito, l'effet est extraordinaire, Cloé gicle encore plus fort, en gémissant comme un animal.
Pierre la démonte comme un soudard, il ne ménage pas ses assauts. Enfin, il se bloque, rugit comme un lion et remplit de son sperme le ventre de sa nièce. Il donne encore quelques coups de pilon avant de se retirer du ventre de Cloé.


Marie embrasse sa nièce en pleine bouche, les langues se nouent. Le baiser très long est bien mouillé. Pierre et heureux, il dit en souriant :

-Enfin, je retrouve ma salope que j'adore !

Marie pour toute réponse hausse les épaules, elle regarde sa nièce et lui demande :

-Tu en veux encore ma chérie !

Cloé répond :

-Oh oui ma tante, c'est trop bon !

-Eh bien tonton va te prendre par le cul !

Cloé répond :

-Il m'a deja fait jouir du cul avec ses doigts, tu sais tante !

Marie réplique :

-Oh oui, mais une queue dans le cul, c'est une jouissance monstrueuse, tu m'en diras des nouvelles, après, moi aussi, il m'enculera ton tonton, j'adorais ça jadis !

La tante replie les jambes de sa nièce et les maintient largement ouvertes. La position ainsi obtenue livre les deux orifices. Pierre crache sur l'anus et le badigeonne de salive, puis place son gland contre la petite porte de service. Il pousse l'anneau cède et avale lentement la queue monstrueuse qui le dilate pendant l'enfoncement. Cloé a les yeux révulsés, la douleur qu'elle ressent est intense.

Le ramonage bien dosé de l'oncle, atténue petit à petit la douleur, qui bientôt se change en plaisir. Le pilonnage prend un rythme tel que Cloé, subit sans rechigner, le plaisir monte dans son corps, la cadence augmente encore, Cloé s'accroche à son oncle en geignant fortement. Elle ne résiste pas plus longtemps, elle pousse un hurlement terrible et jouit du cul intensément, comme lui avait prédit sa tante. Pierre donne de violents coups de reins, comme s'il voulait la transpercer avec sa queue. À chaque coup de pilon, la nièce glisse sur sa serviette. Pierre se raidit, il pousse un râle rauque et répand sa semence dans le rectum de sa nièce qui ne cesse d'agiter sa croupe. Cloé tombe les bras en croix et dit entre deux souffles :

-Oh tonton, tu m'as épuisé