Cloé

Roger s'accroche à Rose et lui pilonne sauvagement le ventre, pendant que sa tendre épouse se fait dévorer la chatte par son papa. Les deux femmes gémissent en chœur, l'une sous les coups de reins, puissants de son amant, l'autre sous les coups de langues bien ajustées du papa gourmand. Roger rugit à chaque coup qu'il donne, il retire entièrement sa verge du ventre de sa belle-mère, pour la lui replanter avec violence dans le ventre jusqu'aux couilles. Rose se cramponne à lui, en gémissant. Elle répète :

-Oh oui, oui, Roger, Roger, je viens, je viens !

Une jouissance terrible la fait hurler. C'est si bruyant que Lucas se redresse et regarde sa femme qui semble sur une autre planète, elle halète fortement en divaguant :

-Lucas, Roger me tue, mon Dieu comme il me défonce le cochon, oh comme je sens bien sa queue en moi, oui encore, Roger, n'arrête pas encore, encore !

Le bougre ignorait que sa belle-mère était aussi gourmande. Il s'acharne sur elle comme un rapace sur sa proie. Ses coups de reins sont si puissants, que Rose glisse sur le canapé à chaque coup de bélier. Soudain, il se retire et frotte son gland bien décalotté, contre les lèvres de Rose qui ouvre la bouche, et se met à sucer le chapeau de chair, comme une gloutonne.

Roger grogne de plaisir, Rose, s'avère être une bonne suceuse, et prend son travail à cœur. Les succions qu'elle pratique sur le gland violacé, sont puissantes et prolongées. Jamais, Roger n'a été si bien sucé, il marmonne :

-Oh salope, ce que tu es bonne toi, oh la vache, je vais éjaculer, oui, oui !

Une giclée, abondante, fuse dans la bouche de Rose, qui, surprise par la puissance du jet, repousse son amant. Elle pince les lèvres, regarde son gendre et avale la crème onctueuse, sans le quitter des yeux. Sans attendre, il replonge sa queue dans le ventre se Rose qui pousse un long râle pendant la pénétration. Sans faiblir, il lui travaille le ventre longuement pour la faire jouir une seconde fois. Enfin, il la libère, la regarde gémir sur le canapé, il semble satisfait de lui le coquin, car il arbore un large sourire. Il s'approche de sa femme qui semble en transe, son papa, maintenant, lui bouffe l'anus, comme il doit souvent le faire. Les râles de Cloé sont ceux d'une bête blessée. Lucas se redresse, regarde son gendre et lui dit :

-Ma chérie adore que l'on joue avec son petit anneau, mais jamais, je ne l'ai sodomisé. Il est grand temps que ma princesse jouisse du cul. Et pour cela, Roger, je te laisse la primeur !

Roger, surpris, fronce les sourcils et dit :

-Quoi, vous couchiez ensemble ?

-Eh oui Roger, depuis qu'elle est majeure, mais comme vous, vous êtes mariés, nous en étions privés de notre princesse. C'est pour cela, nous t'avions tendu un piège et Rose a fait ce qu'il fallait, pour que tu te joignes à nous !

En se pinçant les lèvres, Roger réplique :

-Eh bien mes salauds, je n'en reviens pas, mais j'avoue, que je ne le regrette pas, belle-maman est trop bonne. Par curiosité, toi, tu encules Rose !

En souriant, Lucas répond :

-Oui, mais au début, elle était réticente, mais à présent, elle est vraiment demandeuse la cochonne, mais maintenant que nous t'avions dévergondé, tu useras de ma femme comme bon te semble, d'accord ma chérie !

-Oui Lucas, viens me prendre par le cul, et j'aimerais que vous me prenez en double !

Cloé se redresse et dit en rageant un peu :

-Et moi alors, on me laisse en plan, je suggère que pendant que papa sodomise maman, toi Roger, tu viens me déflorer le cul, si ce n'est trop te demander, mon chéri !

Roger souriant dit, :

-Je suis sous tes ordres ma chérie, mais avant, j'aimerais que ta maman me suce encore la bite, elle est diabolique avec sa bouche :

Flattée, Rose répond :

-Viens mon chéri, donne à ta belle-maman salope, ta bonne queue à sucer. Cloé ma chérie, rends le même service à ton papa, tu sais qu'il aime quand tu le suces !


Les deux femmes, en chœur, se mettent à sucer les verges qui ne demandent qu'à jouir. La langue de Cloé, taquine le gland de son papa, agace le frein, et le gobe. Ce gland, elle le connait très bien, elle adore jouer avec, souvent, elle lui prouve.
La langue agile de Rose longe plusieurs fois la hampe épaisse de son gendre, tourne autour de son gland, lape les perles qui s'échappent du méat, puis comme une vorace, gobe le gland. Elle le suce comme une affamée, avant de le délaisser. Sa bouche se pose sur les testicules chargés de bonne semence, les aspire et les suce avec gourmandise. Le gendre amant défaille :

-Oh putain Rose, je vais décharger. !

Entre deux succions, elle dit, :

-Décharge, décharge mon chéri !

Plusieurs giclées de spermes, d'une violence extrême, s'abattent sur le visage, les cheveux de Rose, qui a juste le temps de fermer mes yeux. Elle se redresse et en regardant son gendre lui dit en souriant :

-Oh la vache quelles giclées, je n'ai jamais vu ça !

Roger, dans un état d'excitation, extrême, dit :

-Oh salope, c'est moi qui vais te prendre le cul, j'en ai trop envie, Lucas s'occupera de Cloé, je pense que c'est un expert !

Rose sourit, mais ne répond pas, elle s'essuie avec ses doigts le visage, et lèche la semence qu'elle récupère. Elle en profite pour enduire son anus avec le sperme recueilli, et prend la pose. Roger regarde, l'anus que souvent Lucas doit investir, car il est tout boursouflé. Il approche sa verge visqueuse et lentement l'enfonce dans le rectum de belle-maman, qui grogne pendant la pénétration.

Roger ne peut s'empêcher de dire :

-Hum ce qu'il est bon ton cul, je comprends pourquoi beau-papa aime le pénétrer !

Rose réplique :

-Ne parle pas tant et bourre-moi à fond !

Roger se lâche, il défonce Rose comme un soudard, en la faisant gémir de plaisir. Elle agite sa croupe, en encourageant son gendre :

-Oh putain, oui, oui, encore, encore, Roger mon chéri, tape fort, vas-y, tape, tape !

Roger laboure férocement Rose en grognant comme un fauve. Pendant de longues minutes, il la fait gémir de plaisir. Rose se cambre, et en poussant un hurlement explose, sa jouissance est fantastique. En haletant, elle dit à voix haute :

-Je veux être prise en double, Lucas, Lucas, viens, viens !

Roger se retire sans avoir éjaculé, il s'allonge sur le sol et invite belle-maman à venir s'empaler sur sa queue. Elle l'enjambe maladroitement, saisit sa verge tendue, et descend son corps. Le gland écrase les grandes lèvres qui s'ouvrent, le membre s'engage dans la gaine brulante.
Rose se laisse tomber de tout son poids, l'empalement est total, un long râle sort de sa bouche.
Son mari s'avance, il est souriant. Sa femme va étrenner sa première double. pénétration. Il prend place derrière elle, regarde le trou béant qui vient d'être visité par son gendre, et y enfonce sa queue jusqu'aux couilles.

Rose pousse un gémissement de bonheur, les deux verges commencent à voyager dans son corps, en lui, arrachant de gémissements de plaisir. La soumise à l'impression que les deux queues sont dans le même orifice, tellement la paroi qui les sépare et fine.
Les deux engins glissent, en raclant les parois garnies de muqueuses sensibles. Ils prennent de la vitesse, Cloé, médusée, a les yeux rivés sur le trio. Elle regarde les queues voyager, sans faire de pause, dans le corps de sa maman, qui ne cesse de gémir. La cadence augmente, les coups de reins de ses deux amants sont dévastateurs, Rose défaille :

-Oh mon Dieu, oh mon Dieu, c'est démentiel, d'avoir deux bites dans le corps, Oh mes chéris, comme je sens bien vos queues en moi, bourrez-moi, bourrez-moi, oh, je vais jouir, oui, oui !


Une jouissance terrible lui secoue les entrailles, c'est tellement violent qu'elle est au bord de la syncope. En grognant comme un fauve, Roger lui remplit le ventre de sperme. Lucas donne encore quelques estocades, avant d'envoyer dans l'intestin de sa femme sa semence brûlante. Rose halète comme une bête blessée, Cloé, étonnée, regarde sa maman, elle n'en revient pas de la violence de sa jouissance. Elle attend que les deux hommes se retirent d'elle, pour l'enlacer et l'embrasser sauvagement. L'échange de salive est très important.

Pensant que Cloé s'occupe de sa maman, les deux hommes en profitent pour recharger les batteries. Cloé regarde les trous encore ouverts rejeter le surplus de semence. Elle dit en ravalant sa salive :

- Oh, maman, comme tu es bien ouverte !

Puis, elle se met à sucer les mamelons épais de sa maman, qui est hors sol. Elle plane de bonheur, en délirant :

- Oui, je suis une grosse salope qui se fait grimper par son gendre, et sa fille, mais c'est si bon que jamais, je ne voudrais pas que cela s'arrête !

Il est temps d'initier Cloé à la sodomie. D'après Roger, c'est son papa qui doit s'en charger. Il demande à sa fille de se mettre sur la petite table, place sous ses reins un coussin, et lui conseil de replier les jambes sur son ventre. Pas très rassurée, Cloé obtempère. Son papa s'agenouille, et pose sa bouche sur son anus, qui se met à frétiller. Il donne quelques coups de langue avant de l'aspirer le plus fortement possible. Cloé croit que son anus va s'arracher, tellement c'est violent, elle prend un grande aspiration, et serre les dents.

Très lentement, l'anus sort d'au moins de trois centimètres de son logement. Lucas le suce, Cloé se cabre. Doucement, la langue s'enfonce dans l'anus et le fouille le mieux possible. Cloé croit mourir de plaisir, jamais son papa ne lui avait fait subir un tel traitement lingual. Elle gémit, se cabre comme un pont. Son mari et sa maman font les voyeurs. Roger est très intéressé par ce que subit sa femme, sa verge, pleine d'émotion, prend du volume.

Cloé souffle comme un dragon, la langue de son papa lui travaille le plus possible l'anus. Un hurlement résonne dans la pièce, Cloé vient de jouir pour la première fois du cul. Elle bégaie :

-Ouah, c'est monstrueux, oh papa, papa, tu veux me faire mourir !

Enfin, Lucas se relève, sa queue est dressée comme un mât. Il place sa queue contre l'anus et, en saisissant sa fille par les hanches, pousse. Cloé se cabre, serre les dents, son visage est déformé par une grimace affreuse. Lentement, la bite se fraie un passage dans la gaine étroite qu'elle distend.