l'amour en famille fin

la bouche du papa s'approche dangereusement de la vulve détrempée de sa fille. Avant de la plaquer sur la fente juteuse, il hume les effluves odorantes qu'elle rejette. Au contact des lèvres, sur sa vulve, Cloé se cambre en lâchant un long gémissement. La langue s'enfonce profondément dans son puits d'amour pour le fouiller. Automatiquement, le corps de Cloé s'agite, elle grogne de plaisir en marmonnant des mots inaudibles. Mais lorsque le papa goulu lui aspire le clito, elle se cambre comme un pont un jour de tempête, en lui plantant ses ongles dans la chair. En grimaçant, le papa amant suce et tète férocement la boule qui ne cesse de pendre du volume. Valérie regarde le couple en salivant, bien qu'elle ait joui de nombreuses fois, en voyant son mari est sa fille en plein ébat. Rapidement, elle se retrouve dans un état d'excitation hors norme. Elle saisit sauvagement son clito, et en grimaçant lui fait subir les pires sévices.


De son côté, Clément dévore sans relâche le clito de sa fille, les multiples succions, l'ont rendu énorme. Bien que le bougre délaisse trop souvent sa femme, là, il semble reprendre goût au sexe. Son long travail de sape, porte ses fruits. Dans un rugissement de fauve, Cloé explose, comme un geyser. Son papa reçoit la giclée de cyprine en plein visage. Le jet est si puissant, qu'i l se redresse brusquement. Surpris, il regarde la vulve envoyer d'autres petites giclées. Il vient de découvrir que sa fille, lorsqu'elle est au summum de l'excitation, peut devenir une femme fontaine.
Le corps de Cloé, un petit moment en suspension en l'air, retombe lourdement sur le lit.

Son papa bande comme un poney. Il s'agenouille près de son visage et lui offre son membre à sucer. Les yeux encore pleins de jouissance, Cloé s'empare du manche de chair plein de vie, et le décalotte au maximum. Elle observe le cèpe royal, et passe sa langue longuement dessus. Elle titille le frein, avant de gober le chapeau qui recouvre la hampe. Elle suce et tète comme une pro du sexe. Son papa pousse de petits couinements de bête, sa fille s'avère être une bonne suceuse. Elle devient même plus entreprenante, sa langue voyage sur la hampe. Puis avec audace, elle aspire une à une les couilles velues pleines de semence. Elle les tète, les suce, en faisant grogner le papa incestueux de plaisir. Clément se raidit, se bloque et envoie dans la bouche de sa fille un flot de sperme épais. Sans rechigner, Cloé l'avale. Le papa sonné dit faiblement :

-Oh Cloé, Cloé, ma chérie, tu es merveilleuse, je vais te prendre comme tu le mérites !

Rapidement, le papa se place entre les cuisses de sa fille, et présente à la fente humide son gland gluant. Il s'accroche à ses hanches et pousse en serrant les dents. Les grandes lèvres s'écrasent, et laissent le passage au manche gorgé de sang. Lentement, la verge puissante pénètre dans la gaine détrempée, en la dilatant. Cloé s'agrippe à son papa en geignant. La verge redoutable n'atteint son but que lorsque les couilles, viennent en contacte avec la chatte. Bien ouverte, Cloé souffle comme un dragon, elle dit entre deux souffles :

-Oh, va bien à fond mon papa chéri, oh comme tu es gros, c'est trop bon. Regarde maman, comme papa m'ouvre bien, mon Dieu, il va m'ouvrir en deux, vas-y papa, vas-y !

Sans se poser de question, Clément défonce sa fille comme un soudard, sa bite entre est ressort du puits d'amour en prenant de la vitesse. Le gland, large, racle les parois sensibles du vagin, en arrachant à Cloé des gémissements terribles. C'est si violent qu'elle est au bord de la syncope. Un coup de pilon plus fort que les autres, et c'est l'explosion. Cloé gicle sur les coquilles de son papa, en hurlant comme un animal blessé. La jouissance de sa fille semble déchainer le papa, qui tire fortement sur les hanches de sa fille en poussant des hans de bucheron. Le ventre de Cloé qui reçoit rarement la visite d'un membre est en ébullition. Cloé est sur une autre planète, elle délire :

-Oh papa, papa, fais-moi mourir de jouissance, c'est démentiel, encore, encore !

La maman, elle, a déjà joui deux fois pendant que papa défonçait sa fille. Elle est en sueur, sa respiration ressemble à celle d'un sprinteur en fin de course. Elle dit avec une voix pleine de trémolos :

-Clément, je remarque que tu es redevenu l'homme que j'ai connu avant, c'est merveilleux. Cloé ne peut plus se passer de bite. Prends-lui le cul, vas-y ouvre-la bien mon chéri !

C'est en balbutions qu'il répond :

-Oui, j'ai une forme terrible, c'est de vous voir vous gouiner. Oh oui, j'ai trop envie de son petit cul, il doit être bien serré, oh, je vais jouir, oui ça vient, ça vient !

Il remplit le ventre de sa fille de sperme, en grognant comme un fauve en rut. Il reste un instant en elle avant de se retirer. Les deux amants halètent terriblement, il faut quelques minutes pour qu'ils reprennent le dessus. Cloé, dans un état vaseux, regarde son papa, et dit entre deux respirations :

-Oh la vache, mon petit papa, tu m'as bien éclatée, c'était formidable, je suis folle de bonheur !

En souriant, Clément réplique :

-Ma chérie, c'est toi et ta maman qui m'aviez redonné goût au sexe, maintenant pour vous remercier, je ne peux que me surclasser !

Cloé l'enlacer et l'embrasse fougueusement devant la maman souriante qui dit :

-Mon chéri, tu vas avoir beaucoup de travail !

Clément se retire doucement du ventre, qu'il a copieusement rempli de sa semence. Sa verge est gluante, mais toujours opérationnelle. Avec l'aide de sa femme, il replie les jambes de Cloé sur son ventre, et demande à Valérie de les maintenir bien appuyé sur la poitrine de sa fille. La position est très inconfortable, mais c'est la seule pour qu'il puisse voir le visage de sa fille lorsqu'il va la sodomiser. Les deux orifices de Cloé, sont exposés aux yeux de ses parents, elle attend, avec angoisse, la sodomie. Le papa crache sur la pastille brune, l'enduit de salive, et enfonce lentement son majeur jusqu'à la dernière phalange dans la gaine anale. Le coquin sonde le conduit étroite, le fouille délicatement, avant d'y introduire un autre visiteur. Clément dilate le mieux possible le rectum qui semble bien souple. Pendant la dilatation, Cloé souffle comme un animal.


Enfin, le papa présente sa queue contre la petite porte entrouverte et pousse doucement. L'anneau ne résiste pas longtemps, il s'ouvre et cédé le passage au membre qui avance lentement en lui. Cloé grimace, serre des dents, c'est moins douloureux qu'elle le craignait. la queue s'enfonce très lentement dans la gaine étroite, en l'ouvrant au fur et à mesure qu'elle avance en elle. La maman agite le clito de sa fille comme pour détourner son attention. Une fois que les bourses velues cognent les fesses, le papa enculeur commence un va-et-vient très minutieux. Les râles de Cloé change de tonalité au fil des minutes. Bien dilatée, elle semble s'habituer au membre qui voyage dans son rectum. Elle serre les poings, et commence à agiter sa croupe. La cadence augmente, autant que les gémissements de la soumise.

Le gland large est épais qui racle les parois du rectum, arrache à Cloé des gémissements autres que de douleur. le papa encouragé accélère, il donne tout ce qu'il à dans le ventre. Ses coups de reins deviennent dévastateurs. A chaque enfoncement dans son pal dans le rectum de Cloé, elle pousse un grognement de plaisir. Valérie agite avec férocité le clito de sa fille, en marmonnant :

-Joui, joui, ma chérie papa te prends bien le cul, tu vas exploser du cul !

Valérie n'a même pas finit sa phrase, que Cloé se cabre en hurlant. Une jouissance anale la fait cabrer :

-Oiiiiiiiiiiiiiiiiiiii oh mon Dieu comme c'est bon !


Clément s'acharne, il donne des coups de reins terribles, qui ne cessent que lorsqu'il remplit les intestins de sa fille avec son sperme brûlant. Valérie, en experte, écrase le clito de sa fille, l'effet est immédiat, Cloé explose une seconde fois en hurlant. Le ventre et les couilles de son papa sont trempés de cyprine. Il se retire du fondement, regarde en souriant le trou béant qui rejette le surplus de semence. La maman, yeux exorbités, se jette entre les cuisses de sa fille et fouilles les orifices à la recherche de la crème que le papa y a déposé. Valérie demande sa part de jouissance., elle subit les assauts terribles de son mari ,redevenu une bête de sexe. C'est gavée que les deux femmes demandent une trêve.