Cloé amante de sa tante

Ma femme Lisette et moi, nous avions invités pour les vacances notre nièce Cloé. Nous habitons un mas dans le sud de la France, souvent avec ses parents en cours d'année, ils venaient nous rendre visite.

Enfin notre petite princesse es arrivée. Lisette et moi nous sommes sous le charme de Cloé, chaque jour, elle change en mieux. Cette jeune adule au corps parfait est très fusionnelle avec nous. Lisette lui montre sa chambre, Cloé prend le temps d'y ranger ses affaires. Elle redescend vêtue d'un top qui lui arrive juste sous les seins et d'une jupette très, très courte. Mes yeux s'écarquillent, je ravale ma salive en ne quittant pas cette bombe des yeux. Elle nous fait un large sourire puis, prend place à table. Je suis à côté de ma femme, Cloé est en face de nous.


Lisette et charmée par la beauté naturelle de la nièce, elle ne cesse de la complimenter. Cloé se dresse fièrement en souriant à sa tante. Le repas commence, de temps en temps, je jette un regard discret vers Cloé, j'imagine plein de choses immorales avec elle. Vicieusement je laisse tomber mon couteau, je me penche rapidement sous la table, je sursaute, le pied dénudé de ma femme glisse sur le mollet de Cloé. La coquine sourit à sa tante qui monte doucement son pied, elle écarte lentement ses cuisses, le pied s'insère entre et bute contre la jeune vulve protégée que par une fine culotte. Les orteils jouent sur la fente qui commence à suinter. Je me redresse, je n’en crois pas mes yeux, je fixe un bon moment ma nièce qui a cessée de manger, sa respiration s'accélère. Soudain, elle jette sa tête en arrière en poussant un grognement. Je me penche discrètement, ma femme appuie fortement avec son pied sur la fente qui vient de jouir. Enfin elle délaisse Cloé et commence à manger, comme si de rien n'été.

Cloé reprend lentement ses esprits, je me pose des questions sur ma femme et ma nièce, je décide de suivre cela de près. Après le repas, Malicieusement, je vais m'étendre sous un olivier pour faire une soi-disant sieste. Les deux femmes en profitent pour faire la vaisselle, elles ne cessent de rire en bavardant comme de vieilles amies. Soudain, elles disparaissent, c'est le moment que j'attendais. Discrètement je me dirige vers le mas. J'entre à pas de loup et me dirige vers le salon. Les deux femmes sont enlacées, elles se regardent amoureusement, c'est Cloé qui pose ses lèvres sur celles de ma femme, qui pousse un soupir bruyant. Je me cache du mieux que je peux, je ne veux rien perdre du spectacle qui s'annonce prometteur.

Les langues se nouent, les salives se mélangent, les souffles chauds se mêlent. Pendant le baiser Cloé habilement dégrafe la fine blouse que ma femme porte, elle écarte les deux pans et lui saisit un sein, ma femme sursaute. Les doigts habiles s'activent sur le mamelon et le font dresser affreusement. Moi, je défaille, je voudrais me joindre à eux, mais pour le moment je manque de courage. Le baiser cesse, la jeunette bascule ma femme sur le canapé, elle tombe à genoux face à elle. Elle s'accroche à la culotte de ma femme, elle tire doucement, le fin tissu glisse sur les hanches et les cuisses de ma femme qui ne cesse de soupirer. Enfin la culotte et sur le sol, la jeune fille douée, relève le soutien-gorge de Lisette au-dessus de ses seins. Les lobes charnus jaillissent, les bouts se dressent fièrement au centre des aréoles grenelées.


Cloé retire son top et sa culotte, mais garde sa jupette. Elle se place à califourchon sur les cuisses de sa tante, elle lui pétrit fortement les seins, en la fixant avec ses yeux noirs. Les bouts grossissent à chaque palpation, ma femme geint de bonheur. Sa bouche se plaque sur un sein et aspire le téton deja gonflé à l'extrême. Cloé suce et tète le bout sensible avec avidité. Ma femme se cabre, elle s'accroche à sa nièce et jouit. Je n'en reviens pas, que ma nièce arrive à faire jouir ma femme rien qu'en suçant ses mamelons.


Cloé souriant fière de sa performance, s'agenouille devant sa tante. Elle lui écarte les jambes, admire la chatte trempée puis, plaque sa bouche sur le volcan. Elle s’aspire le jus qui s'échappe, avant de titiller avec sa langue la perle gonflée de désir. Elle la gobe brutalement, ma femme pousse un cri tellement l'aspiration est violente. Mais la jeune vorace n'y prête pas attention. Elle s'acharne sur le bouton d'amour qui a doublé de volume, Lisette grogne de plaisir, elle agite son bassin en marmonnant :

- Oh oui, oui ma chérie, c’est trop bon mon Dieu je vais réjouir !

Elle n'a pas le temps de finir sa phrase qu'elle se cabre en poussant un râle terrible de jouissance. Cloé avale le jus divin avec gourmandise. La jeune coquine se relève, elle s'allonge sur la table basse retrousse sa jupette et ouvre les cuisses. Lisette sait ce qu'elle doit faire, elle plaque sa main contre la fente trempée de sa nièce et la caresse de bas en haut. Les doigts fins de ma femme s'insèrent entre les grandes lèvres et s'agrippent au clito, elle l'enserre et le branle énergiquement. Cloé s'affole, elle s'agite comme une forcenée. Ma femme lui murmure :

- Oui ma chérie, jouis comme tu sais si bien le faire, vas-y !

Je découvre avec stupeur que ce n'est pas la première fois que les deux s'adonnent à des ébats amoureux. Les doigts de ma femme font couiner Cloé comme un animal, elle se cambre fortement et arrose de son jus visqueux les doigts de son amante. Lisette pose sa bouche sur le puits intarissable et aspire tout ce qui s'y échappe. Sa langue fouille profondément la gaine brûlante, elle tourne à l'intérieur en faisant un va-et-vient d'enfer. Cloé appuie sur la tête de sa tante, pour qu'elle ne cesse pas de la fouiller. La jeunette se cabre comme un cheval et explose encore une fois. Sa cyprine gicle avec force, le visage de sa tante en est trempée.


Lisette se relève et dit en souriant :

- Je vais te gâter comme la dernière fois ma chérie !

Elle sort du panier à légumes, une grosse carotte, elle l'agite devant le nez de Cloé qui approuve :

Oui, oui tante démonte-moi avec ma tante chérie !

Lisette frotte le légume sur la fente qui suinte encore, elle l'appuie dessus, les grandes lèvres s'écartent, la carotte s'engage dans son vagin. Lentement la coquine absorbe avec sa vulve insatiable, une grosse partie du légume. Le va-et vient commence, il augmente en intensité au fur et à mesure que Cloé geint. Maintenant, la pénétration et rapide les râles de Cloé sont terribles, elle se mord la main tellement c'est intense. Elle n'en peut plus, elle s'arc-boute en poussant un cri de jouissance.


Ma femme retire le légume et le plante sans ménagement dans le rectum de Cloé qui pousse un râle rauque.

-Oui, oui tante éclate-moi comme l'autre jour !

Le ramonage est terrible, la carotte coulisse dans la gaine anale avec violence, Cloé serre les dents, elle agite sa croupe comme une forcenée. Moi j'ai ma queue tendue comme jamais, je bave de jalousie, je sors de mon pantalon ma bite et la branle sauvagement. Je jouis en même temps que Cloé, qui se tortille sur la table, un jet intarissable sort de sa chatte en feu, ma femme accélère le pilonnage Cloé se vide de sa substance, elle halète fortement. Son corps est secoué de spasmes violents, elle a orgasmes sur orgasmes. Enfin ma femme retire l'engin du rectum de la nièce, elle lui caresse l'anus pour apaiser le feu qui la dévore.

Rapidement je rejoins mon olivier et m'étends dessous. Les deux femmes viennent vers moi, leurs visages et rouge, les yeux sont tirés. Elles s'allongent une à chaque côté de moi, j'entends leurs souffles bruyants qui peu à peu s'apaisent.