La vengeance de Greg 11

Après la partouze familiale, Greg avait la ferme intention d’accomplir pleinement sa vengeance, avant de se pencher sur une inversion possible des effets du programme.

Sa prochaine cible était donc la mère d’Audrey, une certaine Linda, qui n’était autre que la bibliothécaire du lycée.

Mais la fameuse Linda n’était pas une femme aussi coquète que les autres mères qu’il avait pu baiser pour le moment. Elle ne se préoccupait pas du tout de son apparence, et cherchait encore moins à plaire, elle était mariée à Georges, un maraicher de la région, qui passait plus de temps dans ses cultures que chez lui.

Linda n’était pas très portée sur le sexe, et ses relations sexuelles avec Georges étaient tellement rares, qu’on pouvait dire qu’Audrey était un miracle de la nature.

Pourtant Linda était une jolie femme, même si elle ne se mettait pas en valeur, elle mesurait 1,67m pour 60 kg, et même si son mari n’en profitait que très rarement, elle avait une jolie paire de seins de 85C, dont les tétons ne demandaient qu’à être lécher, et cacher sous sa longue robe de grand-mère, elle était dotée d’un magnifique postérieur qui ne demandait qu’à être fessé et pétri.

Il aurait simplement fallu que Linda commence à se maquiller et change complètement sa garde-robe pour qu’elle se découvre un certain charme et constate qu’elle pouvait plaire à beaucoup d’hommes.

Elle avait bien remarqué le changement de comportement et de tenue d’Audrey qui s’habillait, depuis quelques semaines, beaucoup trop court pour que ce soit convenable, elle avait bien cherché à lui faire entendre raison, mais elle n’avait pas un tempérament très combattif et avait vite abandonné.

Elle avait bien essayé d’en parler à son mari, mais il ne l’avait écouté que d’une oreille et donc Audrey avait pu devenir la belle salope au service de Greg, comme elle l’entendait.



Mais alors que Greg avait terminé la nouvelle version de son programme et s’apprêtait à l’utiliser sur elle.

Linda était à mille lieux d’imaginer que Greg allait bientôt faire d’elle l’une de ses nombreuses salopes et qu’elle allait adorer ça.



Cela commença un lundi après-midi, un jour où il faisait très beau à l’extérieur et donc pas grand monde à la bibliothèque, Greg se présenta à l’accueil et lui demanda un ouvrage peu connu, il profita que Linda cherche à voix haute si elle avait déjà vu le livre qu’il cherchait, pour enregistrer sa voix et faire tourner son programme.

Elle lui donna le rayon où le livre devait se trouver, et Greg s’y rendit tranquillement, il s’installa à une table pour lire, attendant patiemment que son programme termine ses recherches.

Il dut attendre plus d’une heure, et juste avant d’avoir enfin les résultats, il vit Audrey venir vers lui.

Elle s’installa à sa table, et lui chuchota :

- Je sais très bien ce que tu as l’intention de faire.

- Et ?

- Ma mère ne doit pas être mêlée à ça, elle est à mille lieux de ce monde.

- Tu ne veux pas qu’elle devienne aussi salope que toi ?

Audrey craquait à chaque fois que Greg la traitait de salope, ça l’excitait tellement qu’elle ne pouvait rien lui refuser, alors elle lui dit simplement :

- Arrête

- Tu veux que j’arrête quoi ?

- Tu le sais très bien

- J’ai tout de même du mal à saisir, tu veux que j’arrête mon projet concernant ta mère, ou simplement de te traiter de salope et de petite pute en chaleur ?

Audrey sentit sa chatte s’humidifier dangereusement et sa volonté fondre comme neige au soleil, elle ne sut quoi répondre à Greg.

Et lorsqu’il lui dit :

- Va sous la table, petite chienne et suce-moi la bite.

Elle lui obéit sans hésiter, elle se glissa sous la table et alla chercher la grosse queue de Greg pour se mettre à la sucer avec envie.

Elle glissa une main entre ses cuisses et se caressa la chatte pendant qu’elle pompait la grosse bite de Greg.

Même si elle craignait qu’on ne l’aperçoive sous la table, c’était plus fort qu’elle, elle adorait être soumise à son maitre.

Lorsqu’elle entendit Greg appeler sa mère, elle paniqua, mais elle continua de sucer la grosse bite alors que sa mère était juste à côté.

Greg demanda si la suite du livre était disponible, et Linda, en bonne employée lui demanda de la suivre.

Il dut ranger précipitamment sa bite, et dit discrètement à Audrey :

- Reste sous la table, comme une bonne chienne, et regarde comment ta mère va devenir une bonne salope comme toi.

Audrey ne put que lui obéir, et suivit des yeux sa mère et Greg, tout en continuant de se caresser la chatte.



Greg et Linda arrivèrent dans le fameux rayon, un peu isolé des autres, et afin de faire monter Linda sur un escabeau, lui dit :

- Ah je crois que je le vois sur l’étagère du haut.

Linda vérifia et alla chercher son grand escabeau pour atteindre le livre demandé.

Greg la laissa monter et au moment où elle atteignit le livre, il enclencha son programme.

Linda fut traversée par une sensation inconnue, son corps tout entier était parcouru par d’intenses vagues de chaleur, ses seins se mirent à gonfler, son ventre se mit à fourmiller, ses jambes à flageoler, si bien qu’elle perdit l’équilibre et tomba dans les bras de Greg,

Il la rattrapa et en profita pour lui peloter le cul.

Linda était tellement désorientée par cette sensation étrange, qu’elle laissa Greg lui peloter le cul, il la reposa sur le sol, et l’aida à s’assoir sur un banc au bout du rayon.

Comme il n’y avait personne, il continua son plan, il lui dit :

- Vous avez fait un malaise, vous devez avoir trop chaud, vous devriez retirer quelques vêtements.

Linda avoua qu’elle avait vraiment très chaud, et comme ses forces semblaient l’avoir abandonnées, elle laissa Greg lui retirer la veste de son tailleur, mais étrangement cela n’arrangeait rien, elle avait toujours plus chaud.

Oubliant totalement où elle se trouvait, elle laissa Greg lui ouvrir son chemisier, et l’aida même à le lui retirer, pour se retrouver en soutien-gorge devant lui.

Mais encore une fois, la chaleur de son corps ne faisait qu’augmenter, alors lorsque Greg s’attaqua à la fermeture éclair de sa jupe, elle le laissa faire, et souleva même les fesses pour se retrouver en culotte devant un élève, mais heureusement dans un coin isolé de la bibliothèque.

Audrey était restée sagement sous la table, et regardait sa mère se faire déshabiller par Greg, elle savait très bien comment ça allait finir.

Malgré sa tenue plus que légère, Linda mourrait toujours de chaud, la tête lui tournait, alors lorsque Greg lui proposa des gestes de premiers secours, elle accepta volontiers.

Etrangement, elle ne vit aucun mal à le laisser glisser sa main dans son soutien-gorge et alors que ses doigts prenaient possession de ses seins et de ses tétons, la vague de chaleur sembla descendre entre ses cuisses.

En toute innocence, elle le lui dit et écarta les cuisses.

Greg sourit intérieurement et lui dit de lui faire confiance, il glissa une main dans sa culotte et commença à lui caresser le clitoris, qui était tellement gonflé que lorsqu’il l’effleura, Linda poussa un long gémissement de plaisir.

Elle avait la chatte tellement trempée, que Greg put lui enfoncer deux doigts sans aucune difficulté.

Linda sentait la chaleur de son corps se calmer, mais elle avait le souffle coupé par le plaisir qu’elle prenait, elle se faisait fouiller la chatte et peloter les seins par un élève, et cela lui procurait un plaisir incroyable.

Mais elle ne se rendit compte de ce qu’elle était vraiment en train de faire, que lorsque la sonnerie du lycée retentit, et que Greg retira ses doigts et coupa son programme.

Elle découvrit qu’elle était en petite tenue devant un élève, et se rappelait parfaitement l’avoir laissé lui peloter les seins et fouiller la chatte.

Elle était morte de honte, mais Greg lui dit avant de la laisser :

- Je pense que ça ira pour aujourd’hui, je reviendrais demain, pour vérifier que vous allez bien, mais essayez de vous habiller plus léger.

Linda se dépêcha de se rhabiller et passa le restant de la journée à essayer de comprendre son attitude.

Mais plus elle y pensait et plus elle se rendait compte qu’elle y avait pris énormément de plaisir.

Elle essaya de se raisonner, qu’il ne fallait surtout pas que cela se reproduise, et elle rentra chez elle sans avoir de véritables explications de ce qu’elle avait vécu.

Audrey, qui avait assisté à tout, sembla plus attentionnée à son égard, et heureusement, elle n’eut plus aucune bouffée de chaleur de la journée.

Elle dormit profondément, et le lendemain, alors qu’elle allait enfiler son tailleur habituel, elle se dit qu’elle devait peut-être suivre le conseil de l’élève afin que ce fâcheux évènement ne se reproduise pas.

Elle opta donc pour une jupe un peu plus courte, qui lui arrivait tout de même au genou, et contrairement à la veille, elle ne mit que son corsage, et n’enfila pas la veste de son tailleur.

Elle n’avait pas l’habitude d’être habillée si léger mais elle se dit qu’elle était encore loin de la minijupe de sa fille et de son décolleté plongeant.

La matinée se passa tranquillement et comme il n’y avait eu aucun incident, Linda commença à être rassurée sur son état de santé.

Elle vit son « sauveur » arriver et étrangement, elle se rendit compte qu’elle était impatiente de sa venue.

Greg lui demanda :

- Tout va bien, aujourd’hui ?

- Oui, merci, j’ai suivi vos conseils, et tout semble être rentré dans l’ordre.

- Ça ne vous dérange pas, si je regarde de plus près ?

Linda se rendit compte que la veille, il lui avait tout de même fouillé le sexe, alors elle hésita et lui répondit :

- Je ne sais pas trop, c’était un peu embarrassant ce que vous avez fait, hier.

- Ça restera entre nous, et c’est juste pour vérifier si vous allez bien.

Embarrassée, mais également inquiète que l’incident d’hier ne se reproduise, elle lui demanda :

- Vous voulez faire ça, ici ?

- Vous avez surement un endroit isolé, afin que je vous ausculte à l’abri des regards.

A la fois rassurée et soucieuse de se retrouver de nouveau seule avec ce jeune homme, elle lui indiqua la réserve où personne n’avait le droit de s’y rendre.

Greg lui dit que c’était l’endroit parfait, et il l’accompagna jusque-là, il déclencha alors son programme au moment où elle ouvrit la porte, et alors qu’elle lui tombait de nouveau dans les bras, il lui dit :

- Je me doutais qu’il pouvait y avoir une rechute.

Linda se laissa porter dans la réserve, et tout comme la veille, elle laissa le jeune homme la déshabiller, mais cette fois, il s’attaqua également à ses sous-vêtements, et curieusement, elle ne ressentit aucune honte à se retrouver totalement nue devant ce jeune homme, et tout comme la veille, il lui pelota les seins, ce qui fit encore redescendre la chaleur entre ses cuisses et elle le laissa de nouveau lui fouiller la chatte.

Elle ne put s’empêcher de gémir de plaisir, tandis qu’elle sentit des giclées d’un liquide chaud sortir de son sexe, et inonder tout le bras de son sauveur, il lui dit :

- C’est plus grave que ce que je pensais, il faut que nous allions plus loin.

Les cuisses grandes ouvertes et trempées de sa jute, avec le jeune homme au milieu, elle était à la fois perdue et fabuleusement excitée, alors elle lui dit :

- Oui, bien sûr, allez-y.

Elle le vit défaire son pantalon et sortir un sexe énorme, et bien raide, sans ressentir la moindre inquiétude, elle le laissa le placer à l’entrée de sa chatte, et il lui dit :

- Ne vous inquiétez pas, c’est simplement nécessaire.

Lorsqu’elle sentit cet énorme engin s’enfoncer dans son ventre, elle sentit la chaleur s’estomper, mais une vague de plaisir envahit tout son corps, elle sentait cette chose incroyable pénétrer dans ses chaires, et cela la faisait jouir fabuleusement.

Elle laissa le jeune homme venir lui sucer les tétons et cela ne fit que rajouter à son plaisir.

Comme par automatisme, elle croisa les jambes dans son dos et le laissa commencer à faire coulisser son sexe dans le sien.

Elle se mit à gémir de plaisir, et elle se sentait monter sur un petit nuage de bonheur.

Il la souleva du banc de la réserve en lui prenant les fesses, et la plaqua dos au mur, pour commencer à lui envoyer des coups de rein de plus en plus fort.

Linda se mit à gémir de plus en plus fort, elle fut traversée par une onde de plaisir et eut le premier orgasme de sa vie, elle était si bien, c’était l’extase totale.

Le jeune lui suçait les tétons, et cela ne faisait qu’accentuer son plaisir, son corps lui appartenait totalement, il la faisait sauter sur son sexe, et elle adorait ça, elle était sa chose, son jouet, et elle eut un nouvel orgasme encore plus intense, lorsqu’elle sentit qu’il giclait son foutre au fond de sa matrice, il lui remplissait le ventre, et c’est ce qu’elle désirait plus que tout.

Elle jouit fabuleusement jusqu’à ce qu’il finisse de lui remplir le ventre, et qu’il la repose délicatement sur le banc, où il l’avait prise.

Il ressortit son énorme sexe encore gluant de son foutre, et lui dit :

- Ça devrait aller mieux maintenant, mais je repasserai demain.

- Oui, merci, ça va beaucoup mieux, merci pour tout ce que vous faites pour moi.

- De rien, madame, vous êtes belle, vous devriez être plus coquète.

- Je vais essayer.

- Et surtout continuer à alléger vos tenues, et surtout vos sous-vêtements, les vieilles culottes ce n’est pas très bon pour ce que vous avez.

- Merci pour vos conseils, je vais essayer de faire quelques boutiques avant de rentrer.

- Très bien, à demain.

- A demain.

Greg la laissa seule dans la réserve, et coupa le programme.

Le choc fut moins brutal que la veille pour Linda, même si elle se retrouvait nue au milieu de la réserve, et qu’elle avait la chatte pleine de sperme, elle se rappelait avoir joui intensément, et le bonheur qu’elle avait pris lorsque le jeune homme avait enfoncé son sexe dans son ventre.

Elle se rhabilla doucement, encore sur son petit nuage de plaisir, et n’essuya même pas les trainées de sperme qui s’écoulaient sur ses cuisses.

Elle fut rayonnante le restant de la journée et fut presque impatiente d’être le lendemain.

Elle partit un peu plus tôt du lycée, prétextant un besoin urgent, et s’en alla faire quelques magasins de prêt à porter et de lingerie.

Elle s’acheta des ensembles de sous-vêtements très osés, comparés à ce qu’elle portait habituellement, et elle se demanda quelle sensation elle aurait en portant un string et dont le peu de tissu lui passerait entre les fesses.

Elle se fit un petit défilé, seule dans sa chambre, et après avoir essayé son premier string, elle trouva la sensation plutôt agréable, et sentir ses fesses à l’air l’émoustilla légèrement.

Elle choisit sa tenue pour le lendemain, et comme le lui avait conseillé son sauveur, elle se leva plus tôt pour se maquiller et s’apprêter.

Lorsqu’elle se leva, elle eut du mal à se reconnaitre, en seulement 2 jours, la voici qui se maquillait, s’habillait presqu’aussi court que sa fille, et portait des talons hauts.

Mais elle se trouva particulièrement belle, et plus sûre d’elle.

Lorsqu’Audrey vit sa mère sortir de sa chambre, elle sut que Greg lui était passé dessus, et qu’elle en redemandait, mais elle ne trouva rien à lui dire, elle était, elle-même, totalement accroc à sa bite.

Linda prit son petit déjeuner rapidement et fut surprise de se faire siffler dans la rue, ses collègues eurent du mal à la reconnaitre, mais les hommes furent ravis de découvrir qu’il se cachait une petite bombe sous ses airs de bibliothécaire frustrée.

Linda attendit impatiente que son jeune homme revienne la voir, et lorsqu’elle le vit enfin pousser la porte de la bibliothèque, elle sentit son entrecuisse frétiller d’envie.

Comme elle était en train de ranger une pile de livre, perchée sur son escabeau, elle lui fit signe et le vit s’approcher doucement.

Il lui demanda :

- Tout va bien, aujourd’hui ?

- Oui, pour le moment, tout va pour le mieux

- Je vois que vous avez suivi mes conseils

- Oui, et vous aviez raison pour les vieilles culottes.

- Ah bon, montrez-moi donc ce que vous portez.

Linda jeta un œil autour d’elle pour vérifier que personne ne regardait vers elle, et même si un élève pouvait tourner la tête à n’importe quel moment, elle souleva sa minijupe et dévoila son ravissant petit string à son sauveur.

Il lui dit :

- Superbe, cela vous va à ravir.

- Merci

Elle rabaissa sa mini-jupe avant de provoquer un scandale, et descendit de son escabeau.

Greg ne bougea pas d’un pouce, et elle dut se coller à lui pour atteindre le sol, elle pouvait sentir son énorme bite bien dure contre sa cuisse et elle se rendit compte qu’elle mourrait d’envie de la sentir encore une fois au fond de son ventre.

Alors lorsqu’il lui attrapa les fesses en plein milieu du rayon, elle le laissa faire et lorsqu’il lui dit :

- Tu la veux encore ?

Elle n’hésita pas une seule seconde et répondit :

- Oui, j’en ai très envie.

Greg colla ses lèvres aux siennes et lui roula une pelle langoureuse, c’était encore une première fois pour Linda, mais sa langue sembla trouver instinctivement ce qu’il fallait faire et elle s’abandonna encore une fois à son sauveur.

Et même si elle sentit qu’il soulevait sa minijupe, pour lui peloter les fesses, elle ne se préoccupa pas le moins du monde que des élèves pouvaient la voir.

Greg mit fin à leur baiser passionné et tout en laissant sa minijupe retroussée, il lui dit :

- Allons, dans la réserve.

Linda n’attendait que cela, elle ne prit même pas la peine de remettre sa minijupe en place et accompagna son sauveur jusqu’à la réserve avec les fesses bien visibles.

Heureusement pour elle, aucun élève ne fit attention à eux, et ils purent rejoindre leur coin de débauche en toute tranquillité.

Ils furent à peine rentrés que Greg plaqua Linda les mains contre le mur et lui retira son petit string en lui disant :

- Tu as vraiment un cul ravissant

- Merci

- Je vais bien m’occuper de lui, aujourd’hui

- D’accord, faites ce que vous voulez de moi.

Lorsqu’elle sentit que son sauveur s’agenouillait derrière elle, elle ne sut comment réagir, mais quand elle sentit sa langue chaude et humide venir lui lécher le sexe et remonter doucement vers son anus, elle se cambra comme pour offrir sa croupe à son étalon.

Il la fit jouir en lui bouffant la chatte et en la doigtant, et lorsqu’il s’attaqua à son petit œillet fripé, elle crut défaillir, il lui tenait les fesses bien écartés, et commença à essayer d’enfoncer sa langue dans son cul.

Elle se mit à pousser de long gémissements de plaisir, elle repartait encore une fois sur son nuage de plaisir, totalement offerte à son sauveur, il lui enfonça un doigt dans le cul, et ce fut comme une décharge électrique, elle eut son premier orgasme anal, et elle jouit intensément lorsqu’il commença à faire coulisser son doigt dans son cul.

Elle poussait de longs râles de plaisir, c’était tellement intense, que lorsqu’il lui enfonça un deuxième doigt dans le cul, elle sut qu’elle se prendrait bientôt son énorme bite, entre les fesses et étrangement, elle en mourrait d’envie.

Elle le vit prendre un objet dans sa poche et sentit qu’il l’étalait sur ses doigts afin de les faire coulisser plus facilement dans son cul.

Elle le laissa faire et l’entendit lui dire :

- Je vais bien te préparer le cul pour t’enculer comme une bonne salope.

Il fit coulisser ses doigts plusieurs fois et remit du lubrifiant avant de lui demander :

- C’est ce que tu veux, n’est-ce pas ?

Encore une fois, Linda n’hésita pas une seule seconde, et répondit :

- Oui, allez-y, mettez-la moi dans le cul, faites tout ce que vous voulez avec moi.

- C’est bien, tu es une bonne salope.

Greg se redressa et sortit son énorme bite, pour la placer entre les fesses de Linda.

Il étala du lubrifiant sur sa queue et plaça enfin le gland contre l’anus de sa future salope, mais juste avant de pousser sa queue à l’intérieur, il lui demanda :

- tu veux que je t’encule, salope ?

- Oui, allez-y, enculez-moi.

- C’est bien, tu es une bonne grosse salope.

Il enfonça doucement sa bite dans le cul encore vierge de Linda, qui malgré la longue préparation que son sauveur lui avait prodigué, elle sentit ses sphincters s’ouvrir comme jamais.

Mais elle désirait plus que tout, lui offrir son corps intégralement, s’il désirait la pénétrer par l’anus, elle le lui offrirait sans retenue.

Elle serra tout de même les dents, tout le temps que l’énorme gland s’enfonça dans cet orifice encore inexploré.

Lorsqu’elle sentit ses sphincters se resserrer sur la hampe de l’énorme bite, elle sut que le plus dur était passé, elle se décontracta et Greg resta immobile afin que son anus s’habitue à ce visiteur improbable.

Il lui dit :

- Tu es une bonne salope et ton cul est si savoureux.

Linda ne sut quoi répondre, elle sentait la grosse bite palpiter entre ses fesses, et malgré l’appréhension, elle ressentit une étrange allégresse à avoir réussi à se prendre cette énorme queue dans le cul.

Après de longues secondes d’immobilisme, Greg lui dit :

- Bouge ton cul, quand tu te sentiras prête.

Linda n’attendit pas une seconde de plus et commença à faire reculer ses fesses pour enfoncer cet énorme engin au fond de son cul.

Au fur et à mesure, elle la sentait s’enfoncer de plus en plus loin dans son ventre, elle eut l’impression que ça ne s’arrêterait jamais.

Quand ses fesses finirent par entrer en contact avec le ventre de son sauveur, elle sentait cette énorme tige vibrer entre ses fesses, et cela lui procurait un plaisir incroyable, mêlé de fierté et de satisfaction.

Alors lorsque Greg lui dit :

- Tu me fais jouir avec ton cul de salope, c’est vraiment trop bon de t’enculer.

Elle se mit alors à faire les va-et-vient elle-même le long de l’énorme bite, et si au début elle n’avait pas ressenti beaucoup de plaisir, à chaque fois qu’elle s’enfonçait de nouveau ce pieu au fond de son cul, elle sentait le plaisir monté de plus en plus fort en elle.

Elle accéléra doucement les enculades, et se mit bientôt à gémir de plaisir à sentir son cul se faire remplir par cette bite fantastique.

Lorsqu’elle sentit les mains de son sauveur lui agripper les hanches, et commencer à lui envoyer de puissants coups de bite au fond du cul, elle se mit à crier de plaisir, elle se faisait défoncer le cul, et elle adorait ça.

Ses cris de jouissance se firent entendre dans la bibliothèque, mais personne n’osa chercher d’où ils pouvaient provenir, elle poussa un long hurlement de jouissance lorsqu’elle sentit les giclées de sperme de son sauveur lui remplir le cul.

Elle s’évanouit contre le mur, lorsqu’elle sentit la dernière giclée finir de lui fourrer le cul.

Greg la soutint, et sortit sa bite de son cul, pour l’allonger sur le banc de la réserve, il resta prés d’elle jusqu’à ce qu’elle revienne à elle.

Elle sentit que son cul était encore sensible de la récente visite de son imposant visiteur, mais elle avait encore joui comme une folle, en se faisant enculer pour la première fois.

Elle se redressa et Greg lui dit :

- Tu as été parfaite, il ne te reste plus grand-chose à apprendre pour être une parfaite salope.

- Qu’est-ce qu’il me manque ?

- Pas grand-chose, et si tu veux vraiment devenir une salope, je finirais par te l’apprendre.

Sans hésiter, elle répondit :

- Oui, je veux devenir une salope.

- Très bien, alors à demain pour la prochaine leçon.

Il lui roula une pelle avant de la laisser seule, encore une fois, elle envoya sa langue dans la bouche de son amant et le laissa partir.

Elle dut aller aux toilettes pour nettoyer tout le sperme qui suintait de son cul et qui lui coulait sur les cuisses, mais même si elle avait encore l’anus très sensible, elle avait hâte d’avoir sa prochaine leçon.

Lorsqu’elle rentra chez elle, elle entendit les gémissements de sa fille dans sa chambre, et alors qu’elle aurait été outrée qu’Audrey couche avec un garçon chez elle, aujourd’hui elle sentit son sexe frétiller et les cris de jouissance de sa fille la faisait mouiller, elle s’imagina en train de se faire défoncer par l’énorme bite de son sauveur dans la réserve, et elle ne put s’empêcher de glisser une main sous sa minijupe pour se caresser la chatte.

Elle entendit le garçon, qui baisait sa fille, grogner de plaisir et elle s’imaginait recevoir le sperme chaud et onctueux de son sauveur au fond de la chatte.

Elle jouit en se caressant et se dépêcha d’aller prendre une bonne douche pour se calmer avant que son mari ne rentre.



Le lendemain, Linda se maquilla de nouveau, elle commençait à s’y habituer et se dit qu’elle aurait peut-être dû le faire plus tôt, elle avait vu comment le regard des hommes sur elle avait changé, et cela ne la laissait pas indifférente.

Elle choisit de porter une robe qui lui avait beaucoup plu lorsqu’elle l’avait acheté, elle n’était pas trop courte, elle lui arrivait à mi-cuisse, mais elle s’accrochait derrière son cou, ce qui lui faisait un profond décolleté et lui laissait le dos nu.

Elle hésita à ne pas porter de soutien-gorge afin de ne pas altérer son décolleté et son dos nu, elle enfila tout de même un nouveau petit string, et se dit qu’elle s’était vite habituée à avoir ce petit bout de tissu entre les fesses.

Elle se rappela alors ce qu’elle s’était prise dans le cul la veille, et se demanda bien ce que serait sa leçon d’aujourd’hui.

Elle partit prendre son petit déjeuner, et fila au lycée, sentant l’air frais glissé dans son dos et sur ses seins.

Comme la veille, les hommes la sifflèrent dans la rue et ses collègues la complimentèrent sur sa tenue, ce qui la fit rougir, et la flatta énormément.

Elle se sentait devenir une nouvelle femme, et cela lui plaisait beaucoup, elle sentait qu’elle pouvait avoir un certain pouvoir sur les hommes, mais alors qu’elle allait chercher un carton dans la réserve, elle se revit, plaquée contre le mur, en train de se faire enculer par l’énorme bite de son sauveur.

Elle se rappela le plaisir qu’elle y avait pris, et sans s’en rendre compte, elle sentit ses tétons devenir durs et pointés à travers le tissu de sa robe, tandis que sa petite chatte commençait à mouiller de plus en plus.

Elle glissa une main dans son décolleté et sous sa jupe, et commença à se caresser en s’asseyant sur le banc où il l’avait pénétré pour la première fois.

Elle se rappela tout le plaisir qu’elle avait pris depuis quelques jours, elle glissa alors une main dans son string et enfonça un doigt dans sa chatte trempée.

Elle avait les cuisses grandes ouvertes, et commençait à gémir de plaisir, mais elle n’avait pas fermé complètement la porte de la réserve, et ses gémissements parvinrent aux oreilles d’un élève qui passait par là.



Boris était un ami de Greg, ils avaient à peu près le même physique ingrat, et depuis quelques semaines, il avait vu son ami caresser et embrasser toutes les plus jolies filles de sa classe.

Il n’avait pas compris comment il faisait, mais il n’avait pas osé le lui demander et s’était peu à peu éloigné de lui.

Mais aujourd’hui, la chance semblait tournée en sa faveur, alors qu’il cherchait un livre pour son prochain exposé, il entendit des gémissements dans la réserve de la bibliothèque.

Il vérifia que personne d’autre ne les avait entendus et se rapprocha discrètement de la porte, il tendit l’oreille et n’entendit rien d’autre que des gémissements féminins, il osa alors pousser doucement la porte et put admirer la bibliothécaire, allongée sur un banc, les cuisses grande ouvertes, avec une main sur un de ses seins qui était sorti de son décolleté et le caressait doucement, tandis que l’autre main était dans son string et se fouillait la chatte avec deux doigts.

Depuis quelques jours, il avait remarqué, comme beaucoup de monde, que la bibliothécaire avait changé de look, et était devenue beaucoup plus sexy, mais il n’aurait jamais pu espérer pour la surprendre en train de se caresser, il sentit alors sa bite se redresser rapidement dans son short.

Il entendit du bruit derrière lui et se dépêcha de rentrer dans la réserve avant de refermer complètement la porte, avant que quelqu’un d’autre n’entende également les gémissements.

Linda n’avait pas entendu Boris entrer, elle était en plein fantasme, où elle se faisait baiser et enculer par l’énorme bite de son sauveur, et alors qu’elle s’était enfoncé deux doigts dans la chatte, elle abandonna son sein pour glisser son autre main entre ses fesses et s’enfonça un doigt dans le cul.

Elle se mit à gémir encore plus fort, Boris se dit qu’il avait eu raison de bien refermer la porte, mais la vision de cette superbe femme en train de se fouiller la chatte et le cul, ne fit que le faire bander davantage, il sortit sa bite et commença à se branler sans faire de bruit.

Il prit un peu peur lorsque Linda perdit l’équilibre et tomba du banc, mais elle se retint juste à temps et se retrouva à 4 pattes sur le sol, avec la robe retroussée, et alors que Boris cherchait un endroit où se cacher, il la vit poser la tête et les épaules sur le banc et glisser de nouveau ses mains dans son string, il put voir 3 de ses doigts s’enfoncer dans sa chatte tandis qu’elle s’en mettait 2 autres dans le cul.

Il n’en croyait pas ses oreilles, lorsque Linda, toujours en plein fantasme, gémit :

- Ouiii, je veux votre bite, fourrez-la-moi n’importe où.

Boris crut qu’elle s’adressait à lui, il osa alors se rapprocher et il eut une vue imprenable sur le cul et la chatte de la bibliothécaire, dont les doigts allaient et venaient à l’intérieur.

Il s’agenouilla doucement derrière elle et rapprocha lentement sa queue de ses superbes fesses, mais même s’ils avaient un physique assez proche, Boris n’avait pas la bite hors norme de Greg, si elle s’en rapprochait en longueur, elle était beaucoup moins épaisse.

Mais lorsque Linda sentit un gland lui caresser les fesses, elle crut que c’était celui de son sauveur, elle l’attrapa aussitôt et le plaça à l’entrée de son cul, en lui disant :

- Oui, allez-y, enculez-moi encore, fourrez mon cul de salope.

Boris ne se fit pas prier et même si c’était la première fois que sa bite s’enfonçait dans un corps de femme, il n’aurait jamais cru que l’anus fut si agréable, il s’agrippa aux hanches de la bibliothécaire, et enfonça sa bite jusqu’au fond de son cul.

Linda fut surprise de ne ressentir aucune difficulté à sentir la bite de son sauveur lui ouvrir le cul, elle mit ça sur le fait que son anus devait s’y être habitué, et poussa un long gémissement lorsqu’elle la sentit s’enfoncer dans son ventre.

Boris n’avait jamais ressenti cette sensation fabuleusement grisante de sentir sa bite pénétrer le corps d’une femme.

C’était l’extase totale, comme par automatisme, il se mit à aller et venir dans le cul de la bibliothécaire, tandis que celle-ci se mit à s’écarter les fesses et à geindre :

- Ouiiii, encoooreeee, plus fooortttt, défoncezzzz-moiiii le cccuuuullll.

Boris accéléra de plus en plus et se mit à faire claquer les fesses de Linda, à chacun de ses coups de bite, mais il n’avait pas l’expérience, ni l’endurance de Greg, alors même si Linda jouissait de sentir cette bite lui ramoner le cul, il ne l’emmena jusqu’à l’orgasme que lorsqu’il lui jouit au fond du cul.

Il ne put s’empêcher de grogner :

- Oh putain, il est trop bon ton cul de salope.

Linda sentait le sperme chaud et épais lui remplir le cul, elle était en plein orgasme, alors elle ne réagit pas en entendant la voix de Boris la traiter de salope.

Une fois s’être bien vidé les couilles au fond du cul de la bibliothécaire, Boris ressortit sa bite, et alors que Linda reprenait doucement ses esprits, il remballa sa queue et lui dit :

- C’était trop bon, j’espère qu’on recommencera, madame.

Cette fois, Linda ne reconnut pas la voix de son sauveur, elle se retourna et réalisa qu’elle venait de se faire enculer par un autre élève.

Etonnamment, mais elle mit cela sur le fait qu’elle sentait encore son sperme encore chaud au fond de son cul, elle ne s’indigna pas sur le fait qu’il venait d’abuser d’elle, elle se surprit même à lui répondre :

- Oui, bien sûr, reviens quand tu veux, mon garçon.

Elle le laissa partir et se rendit compte qu’elle venait de se faire enculer par un autre élève, elle devenait vraiment la salope que son sauveur désirait qu’elle soit.

Elle se releva et partit aux toilettes pour nettoyer les traces de sperme qui suintait encore de son cul, le reste de la journée se passa tranquillement, elle était tout de même impatiente de raconter son aventure à son sauveur, et alors que la journée allait bientôt se terminer, elle était à genou au bout d’un rayon isolé, en train de remettre en place des livres, elle le vit apparaitre devant elle.

Elle allait se relever et abandonner tout ce qu’elle faisait pour l’accompagner jusqu’à la réserve, lorsqu’il lui dit :

- Reste à genou !

Le ton était dur, elle crut qu’il lui en voulait pour son aventure du matin, alors elle lui dit :

- Excusez-moi, je ne l’ai pas vu entrer dans la réserve.

Greg fut intrigué de savoir pourquoi elle s’excusait, alors il lui demanda :

- Raconte-moi en détail ce qu’il s’est passé.

Alors qu’elle le voyait sortir son énorme queue pour se branler devant son visage, elle lui raconta ce qu’il s’était passé dans la réserve, le matin même.

A la fin de son récit, la bite de Greg était bien raide et alors qu’il se mit à la frotter sur son visage, il lui demanda :

- Tu as aimé te faire enculer par un autre élève ?

Tout en offrant son visage à la bite de son sauveur, elle lui répondit :

- Oui, j’ai aimé ça.

- Très bien, alors tu recommenceras autant de fois que tu en auras l’occasion, n’importe quel homme pourra te fourrer la chatte ou le cul, c’est bien compris ?

- Oui, ils pourront m’enculer ou me baiser comme ils veulent.

- Très bien, et aujourd’hui, tu vas apprendre à leur sucer ma bite, ouvre la bouche.

Elle obéit et reçut aussitôt la grosse bite de son sauveur sur la langue.

Il la guida et lui appris comment sucer et lécher la bite des hommes, comment leur sucer les couilles et où elle devait concentrer ses efforts pour leur donner le plus de plaisir.

Elle suivit ses consignes à la lettre et elle se rendit compte que son string était complètement trempé, elle mouillait abondamment à sucer la bite de son sauveur, ça l’excitait énormément qu’il se serve de sa bouche pour avoir du plaisir, elle se mit à le pomper avec appétit, essayant de lui donner le maximum de plaisir.

Elle fut curieusement très heureuse, lorsqu’il lui dit :

- Tu apprends vite, salope, tu vas me faire jouir avec ta bouche.

Elle lui caressait les couilles comme il venait de lui apprendre, et alors qu’il commençait à faire coulisser sa grosse queue dans sa bouche, elle dut ouvrir la mâchoire autant qu’elle put, et lorsqu’il lui dit :

- On va voir si tu es capable d’avaler les grosses bites comme la mienne.

Elle commença à sentir le gland cogner contre sa luette et même si elle mourrait d’envie de satisfaire les moindres désirs de son sauveur, elle eut un haut-le-cœur, et faillit vomir.

Il se calma et lui dit :

- Il va falloir t’entrainer, avant de pouvoir avaler ma bite, elle est beaucoup plus grosse que la moyenne.

Mais alors qu’elle allait tenter de recommencer, elle vit qu’on les espionnait, c’était le jeune homme qui l’avait enculé le matin même.

Malgré sa posture inconvenante, Linda resta à genou et continua de branler l’énorme bite de son sauveur, en lui disant :

- Le jeune homme qui m’a enculé ce matin, est en train de nous regarder.

Greg se retourna et découvrit Boris en train de se branler, il lui fit signe de s’approcher, et celui-ci n’hésita pas une seconde, il approcha avec la bite à la main.

Greg lui dit :

- Alors Boris, comme ça, tu encules la dame ?

- Euh, oui, elle a un cul formidable

- Oui, je sais, c’est moi qui lui ai dépucelé le cul.

- Mais tu n’en as pas assez de toutes les salopes que tu baises ?

- Non jamais, et Linda est un peu spéciale, je lui apprends à devenir une bonne salope.

- Et là, c’est la formation pipe ?

- Tout à fait.

Il se tourna vers Linda, et lui dit :

- Montre, au jeune homme ce que je viens t’apprendre, ma belle salope.

Linda attrapa la bite de Boris et comme le lui avait appris son sauveur, elle se mit à la lécher et à la sucer avec envie.

Mais pour Boris c’était la première bouche qui se posait sur sa bite, et la sensation fut extraordinaire, il se dit que Greg l’avait bien formé parce qu’il prenait un pied incroyable avec la langue et la bouche gourmande de la bibliothécaire.

Après seulement une ou deux minutes pompages et de léchage intensif, Greg vit que son ami était au bord de l’éjaculation alors il dit à Linda :

- Essaie de lui avaler sa queue, elle est plus fine, tu devrais y arriver.

Linda obéit et se mit à enfoncer de plus en plus loin la bite du jeune homme au fond de sa bouche, tout comme la grosse queue de son sauveur, elle sentit le gland buter contre sa luette, mais le haut-le-cœur fut moins intense et elle réussit à garder la bite du jeune dans sa bouche, elle retenta plusieurs fois, avant de réussir à maitriser les rejets de sa luette.

Lorsqu’elle sentit enfin le gland glisser jusque dans sa gorge, elle avait le nez dans les poils pubiens du jeune, elle ressentit un étrange frisson de satisfaction et cela lui procura un intense plaisir.

Mais Boris n’en pouvait plus, même si elle débutait dans les fellations, Linda apprenait vite, et Boris était encore fraichement dépucelé, alors lorsqu’il sentit sa bite se faire avaler complètement, il ne put se retenir plus longtemps.

Il bloqua sa bite au fond de la gorge de Linda et se mit à éjaculer de puissantes giclées de sperme.

Ce fut un instant fantastique pour les deux protagonistes, Linda sentait le sperme se déverser directement dans sa gorge, et elle n’eut qu’à déglutir pour avaler tout ce que le jeune homme lui giclait directement dans la gorge, c’était une sensation complètement irréelle, et elle eut un orgasme qui dura jusqu’à la dernière giclée de sperme.

Mais pour Boris, la sensation n’était pas moins merveilleuse, il sentait sa bite enfoncée jusque dans la gorge de la superbe salope, et jamais il n’aurait pu imaginer un jour, lui déverser tout son foutre au fond de la gorge, il poussa un long grognement de plaisir jusqu’à la dernière giclée.

Il finit par ressortir sa queue de la bouche chaude de Linda, et encore sur son petit nuage, lui dit :

- Merci, beaucoup, c’était vraiment incroyable.

Linda finit d’avaler les dernières gouttes de sperme, et lui répondit :

- Merci à toi, ton sperme est délicieux.

Linda se rendit compte que c’était la première fois qu’elle y goutait, depuis quelques jours, elle allait de découverte en découverte, et à chaque fois, elle découvrait une nouvelle façon de prendre du plaisir.

Mais il restait toujours la grosse bite de son sauveur, toujours aussi raide, alors elle lui demanda :

- Comment voulez-vous que je vous soulage ?

- Puisque tu te fais enculer par d’autres bites, nous allons passer à la vitesse supérieure.

Linda était prête à tout avec son sauveur, il lui avait fait découvrir de nombreux plaisirs, alors elle lui répondit :

- Je suis toute à vous.

- Attends-moi à la sortie du lycée, je vais t’accompagner jusque chez toi.

Oubliant totalement la présence de sa fille, elle accepta et lui dit :

- Bien, je vous attendrais.

Ils se séparèrent et Greg raccompagna Boris à la sortie du lycée, celui-ci lui demanda :

- Ça fait longtemps que tu la baises ?

- Deux ou trois jours, c’est incroyable comme elle a changé, j’essaie de faire d’elle une bonne salope.

- Comme sa fille en quelque sorte ?

- Tu as tout compris, toutes les garces qui me harcelaient, ont reçu ma bite dans leur chatte et dans leur cul, ainsi que la plupart de leurs mères également.

- Comment tu as réussi à faire ça ? c’est incroyable.

- J’ai mon petit secret, mais si tu as une garce que tu fourrerais bien pour lui faire fermer sa grande gueule, dis-le-moi, et je te filerais un coup de main.

- Trop cool, je connais effectivement une ou deux garces à qui je fourrerais bien ma bite dans la bouche.

- On en reparle quand j’ai fini avec Linda et la mère de Carole.

- Euh mais la mère de Carole, c’est la proviseur !!

- Tout juste, ce sera la cerise sur le gâteau.

- Si tu as besoin d’un coup de main pour fourrer cette garce, je suis dispo n‘importe quand

- Ok je te tiendrais au courant.

- Merci, mon pote et encore bravo pour ce que tu as fait avec Linda.

- Ce n’est pas encore fini, ce soir, elle baise avec sa fille.

- Oh putain, j’aimerais trop être là, je n’ai pas jamais eu l’occasion de baiser avec ton groupe de salope, il y a toujours plein de mecs pour les fourrer pendant les pauses.

- Ok, alors tu n’auras qu’à nous suivre tout à l’heure, et je m’arrangerais pour laisser la porte ouverte.

- Merci, et au fait, tu as prévu quoi pour son mari ?

- Il ne sera pas là ce soir, et je me suis arrangé pour qu’il ne rentre pas de la nuit.

- Tu as pensé à tout.



Ils arrivèrent à la sortie du lycée, et Greg s’installa sur un banc pour attendre Linda, tandis que Boris patienta à l’abri derrière une voiture, afin de les suivre discrètement.

Linda se dépêcha de remettre de l’ordre dans sa tenue et finit de ranger rapidement les derniers livres afin de rejoindre son sauveur rapidement.

Elle verrouilla la porte de la bibliothèque et marcha rapidement vers la sortie, elle se fit interpeler par Camille, la proviseur, qui l’avait trouvé changé depuis quelques jours et se soucia de ce changement radical de tenue vestimentaire.

Elle lui dit :

- Bonsoir, Linda, comment vas-tu?

- Oh bonsoir, Camille, très bien merci

- Tu as changé de style, c’est plutôt radical

- Oui, mais c’est tellement plus agréable.

- J’espère que tout se passe bien à la bibliothèque

Se doutant que Camille avait des yeux, un peu partout, Linda se demanda si elle était au courant de ce qu’il se passait dans la bibliothèque, alors elle répondit :

- Oui, c’est le train-train quotidien, rien de particulier

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