ACCUEIL > En groupe > Récit : COLLECTION ZONE ROUGE. La dette (1/1)

COLLECTION ZONE ROUGE. La dette (1/1)

+7

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 24/07/2023

Découvrez les filles coquines près de chez vous :




Quelle connerie, j’ai eue plus grand oeil que grand ventre, il me fallait à toute force ce 4x4 dernier modèle, presque 50 000 € alors que nos comptes à Églantine et à moi étaient déjà dans le rouge.

• 5 000 € par traite sur 11 mois, 5 000 € d’intérêt à prendre ou à laisser.
• Je prends, j’ai trop envie de ce modèle, j’adore me promener en forêt dans des chemins empierrés.
• Attention, je serais intransigeant, 5 000 le 1er du mois, sinon, je me servirais des termes de notre contrat.

Je prends l’argent, je signe le contrat sans le regarder, le mec qui vend cette petite merveille m’a donné jusqu’à ce soir pour donner ma réponse, il a un autre client sur l’affaire.

Un mois, deux mois, je sors Églantine, ravie de se promener avec moi, surtout que chaque fois, je trouve un endroit sympa pour la baiser, lui montrant tout mon amour.
Ce samedi, il fait très chaud et c’est au pied d’une cascade que nous nous arrêtons.
Baignade, l’eau me rafraîchit, mais son corps est si parfait que je bande quand même, une pierre plate battue par l’eau me permet de la coucher les seins dessus et de la pénétrer par-derrière.
Quand je dis par-derrière, c’est mon sexe dans sa chatte et non pas dans son anus lieu qu’elle m’a toujours refusé.

Ce qu’il y a de bien avec ma femme, c’est que lorsqu’elle jouit, ses orgasmes sont très expressifs, elle hurle littéralement comme une louve peut le faire dans ces forêts.
Je lui tire sur sa queue-de-cheval, elle se fait juste couper les pointes pour les rafraîchir.
Elle les roule eux-mêmes en chignon ou elle les tresse, mais quand elle les défait, ils tombent plus bas que ses fesses.

Sexuellement, avec ma femme, tout va bien, du moins je le pense, depuis notre nuit de noces, chaque fois que mon sexe rejoint le sien, elle jouit.
Entre nous aucune perversité, nos deux seuls travers, est la levrette où elle qui s’empale sur mon sexe.
Je dois dire que dans ces positions chaque fois, il faut que je lui mette la main sur la bouche pour éviter qu’elle ameute les voisins, voire le quartier.

Quatrième mois, j’ai pu payer les trois premières traites sans le moindre retard.
J’ai fait une belle vente qui m’a rapporté assez pour couvrir ces mois, au moment où je vends un nouveau tableau, je vois la police débarquer pour vente de tableaux volés.
J’arrive à m’en sortir les cuisses propres, j’ignorais que ce tableau était volé et sera rendu à ses propriétaires.

• Tu es en retard petit, nous viendrons chercher ta femme samedi soir, c’est avec son cul qu’elle couvrira ta dette, j’espère que c’est une belle salope.
• De quoi parlez-vous, vous viendrez chercher Églantine, pour quoi faire et comment va-t-elle payer notre dette.
• Suis-moi, tu vas très vite comprendre ce que ton mari a signé.

« En cas du moindre retard, même d’une heure, l’épouse sera mise entre les mains de mes ouvriers étrangers pour la soirée. »

• Ils seront 21 dans mes cabanes où ils vivent sans femmes ni enfants, je leur offre une fois par mois la femme d’un retardataire.
Je fais de nombreux prêts et pauvre con, vous êtes tous les mêmes.
Je vous ai bien cerné, toi comme les autres, oubliez de lire leur contrat dans ses moindres détails, c’est bien toi qui as signé là.

C’est bien moi qui ai signé, la phrase est là, mes yeux me piquent, que j’ai pu être con, Églantine obligée de se vendre à 21 mecs, de diverses nationalités.

• Quand je dis que je leur offre ta femme, ils vont me payer, je récupérerais la somme que tu me dois.
Calcul 5 000, ta dette du mois, divisée par 21, ça fait 239 €.
Je vais arrondir à 300, retenu sur leur paye, ton cul ma petite me rapportera une petite gratification.
• Monsieur, je vais vendre mon engin, je vous payerais dès que j’aurais touché l’argent.
• On m’a fait le coup une fois, le mec a vendu ce qu’il avait acheté, mais comme les acheteurs avaient repéré qu’il était aux abois, il a récupéré le quart de la valeur de son objet.
Crois-en ma vieille expérience, donne-moi ta femme pour qu’elle passe un moment dans la cabane de mes ouvriers.
Tu vas voir, tu récupéreras une parfaite petite salope, tu te rends compte, 21 mecs pour elle toute seule à passer dessus.
• Mais j’ai mon mot à dire, c’est de mon cul que vous parlez.
• Eh non, si je porte plainte, non seulement, je vous prendrais tous jusqu’à votre propre chemise, j’ai une flopée d’avocats, c’est l’avantage d’avoir du fric.
Plusieurs autres comme toi petites salopes ont voulu se foutre de moi, elles ont fini sur mes chantiers.
Là ça passait à un mois, elles finissaient complètement défoncées.

C’est comme cela que j’ai vu partir Églantine.
Au matin, je l’ai récupéré quand une voiture me l’a déposé, couverte de sperme.
Ce qui m’a étonné, c’est qu’elle avait l’air crevé, mais sereine alors que je m’attendais à ce qu’elle m’arrache les yeux.
Nous avons toujours occulté ce qui s’est passé cette nuit.
Je me suis bien gardé de lui demander comment les choses s’étaient passées, le seul problème que j’ai eu, c’est de remettre ma queue là où 21 mecs étaient passés.
J’ai réussi après de grands efforts cérébraux, j’ai même retrouvé nos ébats d’avant où chaque fois depuis notre mariage, il y a cinq ans, je lui apporte un magnifique orgasme avant de décharger en elle.


Je me présente, je m’appelle Églantine, je suis pacsée avec Thierry qui croit qu’il m’apporte le bonheur physique et matériel depuis notre rencontre.
Au début de mon récit, je dois être honnête avec vous, comme j’aurais dû l’être avec lui.
Depuis que l’on m’a dépucelé, j’ignore ce que jouir veut dire.
Un jour, il voulait se payer un 4x4, nous avons signé, une reconnaissance de dette qui m’a propulsé dans un autre monde que le mien, celui des salopes.
Depuis la première fois où j’ai dû honorer notre dette dans une cabane avec 21 ouvriers de toute nationalité, faisant de moi en une seule soirée la pute la plus cosmopolite de France.
Depuis six mois, Thierry paye régulièrement les traites, trois mois sans retard, un mois où j’ai été offerte aux ouvriers, six mois, il reste un mois, celui des intérêts.

• Encore un retard, Madame, vous savez où vous allez aller, cette fois, ils seront trente-deux, je m’excuse, j’avais du retard dans une livraison et j’ai dû embaucher des ouvriers supplémentaires.
Vous avez de la chance, le mois dernier, ils étaient 44, j’avais seulement la femme d’un retardataire à leur offrir.
• Certaines fois, sont-elles plusieurs ?
• Oui, j’ai tellement de dossier de prêt signé que c’est la chance de mes ouvriers, ils ont droit à baiser une fois par mois, j’adapte leur retenu sur leur paye afin de rentrer dans les clous avec un petit bonus.
Hélas, ce mois-ci vous êtes encore la seule à vous y coller.
• Mais j’ai l’argent, il est sûr mon compte, j’ai oublié de le sortir hier et aujourd’hui, c’est le 1er mai, vous les aurez à la première heure demain matin.
• Que dit le contrat ?
• Le 1er du mois avant neuf heures !
• Et nous sommes !
• Laisse tomber, Thierry, tu vois bien que monsieur est intransigeant, une date est une date et cela te fera économiser 5 000 €, tu en auras besoin dans les jours et les semaines prochaines.

Je vais m’habiller, je suis une pute, je mets mes cuissardes, trente-deux, Yes, je vais honorer notre dette de manière tout à fait sereine.

• À demain matin.

Thierry me voit suivre l’homme sans un regard pour lui.

• Bruno, tu t’appelles bien Bruno !
• Oui, que veux-tu ?
• Et si nous allions chez toi au lieu d’aller me faire baiser par tes trente-deux mecs.
• As-tu les jetons ?
• Non, la dernière fois, j’ai joui pour la première fois de ma vie sous les coups de bite d’un Sénégalais, puis d’un Marocain sans oublier le Cambodgien et deux trois autres.
Mais tu m’as tapé dans l’œil et je voudrais voir ce que tu vaux au pieu, j’ai appris que tu étais sans femme, moi aussi, je quitte Thierry.

C’est ainsi que j’ai quitté Thierry pour rejoindre la villa de Bruno.
J’ai un contrat avec lui, le deal, c’est moi qui en ai eu l’idée, je l’ai rendu amoureux de moi, il me baise chaque fois qu’il le peut.
J’ai tout de suite vu qu’il était jaloux, j'ai horreur des jaloux, si un mois, il est sans salope à fournir à ses ouvriers, c’est moi qui m’y colle.
Vous m’excuserez, c’est la queue basse qu’il revient d’avoir fait rentrer l’argent, tout est là.
Je dois revêtir ma tenue affriolante, elle restera peu de temps sur mon dos dès que je serais dans les cabanes de chantiers.
Une dernière chose, en temps normal, je m’occupe des comptes et des chèques, la deuxième fois où je devais aller me faire sauter par douze mecs, il m’a caché un retard de paiement.
Je l’ai puni de mon sexe pendant un mois, il a toujours été réglo après.

Je suis heureuse, Thierry a refait sa vie.
Je l’ai croisé dans son nouveau 4x4, modèle de la même marque.
Elle est blonde et va plaire à nos gars, huit mois de crédit signé, il sera un moment ou un autre obliger de nous la confier pour honorer son contrat.

« En cas du moindre retard, même d’une heure, l’épouse sera mise entre les mains de mes ouvriers étrangers pour la soirée. »

• Entrez, monsieur, c’est pour un nouveau contrat !
Êtes-vous marié sinon passé votre chemin ?





7 vote(s)


Histoire de Chris71

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : COLLECTION ZONE ROUGE. La dette (1/1)

Le 24/07/2023 - 22:02 par OlgaT
Une clause terrible! Mais ça semble plaire à Églantine.

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :