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Colocataires ou amants 2

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Lue : 4755 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 06/09/2012

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Je m’exécute, je joue à l’affranchi, je quitte mon caleçon en me demandant où nous allons aboutir dans la progression prévue par Cathy. Elle rit derrière sa main placée en éventail à la vue de l’érection de mon zizi
-Ne t’inquiète pas, il est normal que ton sexe réagisse quand tu observes une fille à poil. Le contraire serait inquiétant. Oh! La belle queue. Elle est à moi, tu me l’offres?

Une sonnerie de portable fait bondir ma « copine » dévouée. Elle se lève
-Oui, c’est moi. Non, je ne descends pas ce soir. …Je suis en train de…

Elle s’est éloignée, a quitté la chambre, tiré la porte et, le couloir franchi, elle entre dans le séjour. J’entends parler, je ne comprends pas. La sonnerie du téléphone a rompu le charme, ma quille redevient molle, tombe la tête. Je me sens ridicule tout nu dans cette chambre alors que la bonne copine a des secrets que je ne dois pas entendre. Sa sortie me vexe, je ramasse mes affaires et je retourne dans ma chambre. Au passage dans le couloir je l’entends fixer un rendez-vous.
-Viens jeudi à seize heures, je serai seule et je te raconterai: le jeudi il prépare ses tableaux pour le vendredi et il ne rentre pas avant dix-neuf heures. Salut Alain. Mais non….

La conversation continue. Je ferme ma porte.
-Quoi, Jean, tu abandonnes? Tu es fâché, je n’aurais pas dû te laisser seul. Ne fais pas la tête. C’était ma mère, je ne voulais pas qu’elle sache pour nous deux, tu comprends? Ouvre. Tête de breton. Bon on reprendra quand tu en auras envie. Dire que je suis restée pour toi. Ma mère s’inquiétait parce que je n’étais pas rentrée. Si j’avais su…
. -Bonne nuit.

Je n’apprécie pas. La mère de cette copine s’appellerait Alain! J’ignore beaucoup de choses en ce qui concerne les filles; mais je n’aime pas passer pour un idiot, je déteste les mensonges et les cachotteries. Cathy vient de baisser brutalement dans mon estime; elle planait nue et bienveillante au zénith, je ne la croirai plus. Le mercredi après une grasse matinée, j‘entends Cathy sortir de la maison. Vers midi, il n’y a rien sur le feu. Mathilde ne m’a pas invité, je vais à la cantine puis je prends mon service au foyer des jeunes. Mathilde s’inquiète de mon air bizarre. Je suis mal à l’aise. J’ai failli faire une grosse bêtise avec cette tentatrice. Le téléphone ne me sauvera pas toujours. Comment être gai et dans son assiette quand on a commis une sorte de trahison ? Je prends mon courage à deux mains et, entre sa salle et la mienne, je confesse ma faiblesse; mais j’insiste sur ma fuite. Ces larmes de Mathilde me brisent le cœur. Elle prend ma main, la serre, me regarde:
-Viens habiter chez moi, si tu veux. Cette fille est capable du pire, fuis-la. Parce que si tu cèdes, elle te ridiculisera. Elle te fera souffrir. A la sortie des cours, viens chez moi, nous devons mettre les choses à plat et prendre une décision importante. Je ne veux plus vivre avec la peur de te perdre.

Dès l’entrée je reçois le baiser du pardon pour mes minutes d’égarements avec Cathy. Mathilde ne fait pas de discours. Elle m’enlace, me fixe et pose la question, simple, forte, et attend une réponse claire:
-M’aimes-tu?

Spontanément j’ouvre mon cœur. Elle éclate de joie, me serre encore plus fort.
-Tu as résisté à la tentation, résisteras-tu à mon amour?

Enlacés nous pénétrons dans sa chambre à coucher. Ce qui suit est une histoire sans paroles ou presque. Je dois me rendre à l’évidence, nous sommes deux novices, amoureux mais maladroits, pourtant dans les bras de Mathilde je me sens heureux, libéré. Avec des gestes désordonnés, nous nous déshabillons. Elle défait mes boutons, je dégrafe le soutien-gorge, égare mes mains sur deux magnifiques globes laiteux qui ne doivent rien à des implants mammaires, bien proportionnés, chauds et doux et immédiatement couverts de baisers émus. Je n’assiste pas à une démonstration, je reçois un don. Je caresse cette peau si lisse parcourue de veines bleutées, j’effleure tendrement les pointes striées des mamelons et je les sens répondre par un durcissement sous l’œil attendri de Mathilde. Elle me laisse l’initiative, sourit en silence de ma ferveur.

Ses mains attirent ma tête vers la sienne, un nouveau baiser scelle notre accord. Il signifie: puisque nous nous aimons, désormais tout est permis. Le bouche à bouche incroyable me met en émoi, je m’inquiète des proportions prises par mon pénis. D’un regard Mathilde m’autorise à dévoiler la dernière partie cachée de son corps. A genoux devant elle, les mains tremblantes, je baisse le léger tissu d’une culotte ordinaire, je le tire vers le bas, lui fais contourner la courbe des fesses avec un attouchement qui nous électrise, à l’avant je le décolle des plis qu’il enveloppait, enfin plein d’émotion je suis en face d’une toison brune située au-dessus du début en creux du sillon de son sexe. Là se cache le secret de la femme. L’entaille entre les grandes lèvres fermées de Cathy m’avait donné un rapide aperçu d’un sexe féminin, vite envolé à la sonnerie du téléphone. Cette fois il ne s’agit pas d’une froide leçon d’anatomie. En toute confiance, Mathilde attend paisiblement mes réactions. Sa confiance me rassure. Devant la révélation de son don tranquille, je savoure, mes yeux suivent le mouvement spontané de mon doigt vers cette fente. Il se pose en haut et suit le dessin dans sa fuite vers l’arrière. Instinctivement les cuisses s’ouvrent et laisse le passage. Mon doigt appuie et sous la poussée légère la vulve à son tour se coupe en deux et apparaissent les nymphes luisantes et roses au dessin dentelé incertain. Le regard bienveillant de Mathilde m’encourage, je touche, je suis les lignes en aller-retour de plus en plus hardis. Je rencontre le bouton d’un clitoris éveillé par mon doigt, entre les petites lèvres règne une chaleur humide. Je me penche et dépose sur ce sexe offert de doux baisers d‘adoration, j’honore le sanctuaire et ses abords.
Mathilde me fait lever pour me dire : je t’aime.

Ensemble nous nous laissons aller sur le lit. Mathilde peut découvrir ma virilité. Aussi émue que moi, elle procède lentement, en douceur. Elle met en évidence une verge déjà enflée par l’événement. Dans sa main mon pénis s’enorgueillit, fait le fier et se tend au maximum: c’est sa première caresse d’une main de femme, ce sont ses premiers baisers des lèvres d’une femme. C’est ineffable. En rampant je réussis à me glisser sous ma compagne, ma tête passe sous une jambe, mes mains et mes bras ceignent deux cuisses, s’y accrochent. Autour de mon érection s’est refermée la bouche brûlante de l’aimée. Ma bouche vient prendre possession du minou. Ma langue apprend en même temps que mes lèvres. Les petits bonds du bassin et des gémissements assourdis autour de ma queue me révèlent les points sensibles de ce sexe léché, fouillé, dévoré qui délivre une coulée à peine salée d’un liquide enivrant, je lape, j’avale, mon menton en est couvert. Mes doigts ouvrent l’entaille, je cherche des yeux l’endroit où je devrai faire entrer mon sexe. En théorie, je sais; mais je ne trouve pas.

Nus face à face maintenant nous nous étreignons. La répétition des « je t’aime », comme une litanie, entrecoupe nos élans. J’admire ce corps en bonne santé, sans lourdeur. Tout en Mathilde est plénitude, courbes pleines, rondeur, évidement de la taille, saillie des hanches, rebondissement allègre de la croupe. Le corps est le reflet de son caractère ferme mais doux, agréable, sympathique, adorable. J’aime tout en elle, je me sens si bien contre elle, sur elle, sous elle, selon les mouvements qui animent nos corps et nos cœurs. Rien à voir avec ces acharnées de régime aux fesses creuses qui étalent sur nos plages des squelettes décharnés. A côté de moi, Mathilde, comme la bonne humeur, respire la santé entretenue par un exercice physique modéré, comme sortie d’un tableau de Manet plutôt que d’un Boucher, mais vivante, émue autant que je le suis, à peine plus rose que d’ordinaire; elle guette mon appréciation et sourit. Nous sommes enlacés, peau contre peau, chaleur contre chaleur, le sang en ébullition, nous gravissons l’échelle des frissons communicatifs. Nous lisons dans nos regards la montée lente du désir désormais accepté. Le moment est venu où chacun offre à l’autre le plus caché de son intimité, sans gêne, sans pudeur, sans crainte, parce que c’est elle, parce que c’est lui. Nous nous sommes attendus, nous nous reconnaissons. Le terme attendu est arrivé, nous répétons sans fin des« je t’aime » confirmés par les baisers de nos bouches gourmandes.
-Tu vois, je suis vierge, a dit Mathilde.
-Je l’ai constaté en examinant les parois lisses et humides. Sous le clitoris et sous le méat urinaire, j’ai aperçu, en bas, une peau légère à peine entamée, est-ce l’entrée de ton vagin?
-Adorable amour, prends-moi.
-Je t’avoue mon inexpérience. Je veux t’aimer. Merci de ta confiance.

Nos yeux continuent à scruter nos âmes pour être sur que nous sommes décidés à nous donner et à nous prendre. Mathilde se couche sur le dos, ses jambes en M, genoux écartés, elle m’attire sur elle. Sa main enserre ma verge et la conduit au contact de sa vulve ouverte par ses doigts en un losange de chair rose.
-Fais doucement s’il te plaît. Tu dois pousser pour percer mon hymen. Rien ne presse; en douceur. Je t’aime.

Je pousse avec précaution, intimidé par la solennité de l’acte. L’entrée humide et chaude est étroite et élastique. Le faible obstacle résiste. Je pousse encore, un petit cri stoppe mon élan.
-Va, n’aie pas peur.
-C’est douloureux?
-Je t’aime, prends-moi; maintenant pousse plus fort.

Je m’arc-boute et descends vers la cible. Le ventre sous moi se soulève, se tend pour me recevoir. Soudain je m’enfonce et Mathilde geint, j’ai avancé de quelques centimètres
-Encore, avance.

Mon effort me fait gagner du terrain. Je tiens mon pieu pour le garder ferme et droit, je pousse, j’entre encore. Je marque un arrêt, ramène ma main: mon pouce et mon index sont couverts de sang. Mathilde souffle très fort, m’embrasse et me remercie. Je suis fier j’ai réussi. Que je suis bien dans ce ventre. Par à-coups, je termine le parcours, nos pubis se rencontrent et se heurtent, nous sommes complètement imbriqués et immobiles. Enfin, d’instinct nous nous mettons en mouvement pour affermir la prise, dans une tentative pour nous fondre l’un dans l’autre. Je me meus doucement, je ne veux pas accroître la douleur de la défloration. Mathilde retiens ses plaintes pour ne pas m’effrayer. La lente ascension vers le plaisir est freinée par des pauses fréquentes au cours desquelles nos bouches se dévorent. Les mains de Mathilde pressent mon dos, ses jambes étreignent les miennes, grimpent jusque sur mes reins comme des tentacules: elle voudrait me faire disparaître en elle. J’entame une lente chevauchée, elle réclame des coups plus forts. Dans la recherche de l’union, de la fusion totale, nos membres s’agrippent, nos souffles se font bruyants. Avec acharnement nous luttons, il doit se produire quelque chose, il faut un aboutissement à ces étreintes, à ces assauts, à cette fièvre dans nos artères, à ce feu dans nos sexes emmêlés, et soudain Mathilde supplie
-Oh! Plus fort, j’aime, je viens, ouihihiii

Ce cri est un détonateur. Au tréfonds de mon ventre il fait exploser une boule de feu, je sens des secousses, elles montent, agitent mon pieu planté dans le vagin et explosent en jets incontrôlables contre l’utérus enflammé. L’étreinte des bras se resserre, Mathilde pleure son plaisir. Le sentiment s’est mué en sensations. Nous sommes épuisés mais comblés, un moment figés à la recherche d’un souffle plus régulier, yeux dans les yeux, heureux de cette conquête commune.

Il faudra laver le drap. Nous prenons ensemble en chahutant une douche. Nos caresses et nos baisers peuvent reprendre. J’avais lu que la première fois était douloureuse et que rarement la femme atteignait l’orgasme au cours du premier rapport. Mathilde souhaitait si fort notre union, je l’aime tant: est-ce l’explication de notre bonheur partagé immédiatement?

Ce mercredi soir Cathy me surprend par sa joie et son entrain. Elle semble avoir oublié l’incident qui nous a séparés hier soir. Hélas, pour éviter la tentation, je me déclare très fatigué. Je lui demande de remettre à demain le cours d’éducation sexuelle. Je serais ce soir un piètre exécutant. Elle me plaint, me cajole, m’embrasse. J’y mets peu de conviction. Elle jure que plus jamais elle ne répondra au téléphone pendant qu’elle m’enseignera l’art d’aimer. Enfin elle me souhaite une bonne nuit.

Jeudi, seize heures: le premier je lâche mes élèves, à pas rapides je regagne ma chambre et m’y enferme. J’entends un ronflement de moteur qui s’arrête, des portières claquent, Cathy invite un hôte à entrer.
-Viens à l’arrière, ça nous évitera d’être surpris par Jean. Je voudrais que tu vérifies le lave-linge.

Pourquoi ne vont-ils pas plus simplement dans sa chambre? Je sais vite que le visiteur
est son rendez-vous de seize heures, ce ne peut pas être sa mère. Etrange, Cathy a inscrit au règlement de copropriété l’interdiction d’introduire des étrangers.
-C’est ça ta machine? Je regarderai. Et le pari, tu avances?
-Oui, j’ai failli réussir hier soir. Si tu ne m’avais pas appelé au téléphone, je gagnais mon pari. Nous étions nus, il bandait, j’allai lui faire sa fête. Son pucelage allait faire pschitt, tu nous as interrompus. J’ai eu le tort de le laisser seul. J’aurais mieux fait de couper mon téléphone. Après j’ai eu du mal à m’endormir. Je me suis calmée avec mes doigts dans la chatte.
-Ca ne m’étonne pas, grande salope, excitée du con. Il t’en faut toujours. Mais j’espère que tu ne me racontes pas des vannes. Tu ne serais pas amoureuse de ton locataire?
-Tu es fou. Un puceau timide. Non je le drague pour gagner le pari, et c’est toi qui paieras le champagne au prochain bal, parce que le gamin passera à la casserole ce soir ou demain. Je le tiens par les couilles et je ne vais pas le lâcher, il est ferré, il bave d’envie, je lui ferai cracher sa semence, foi de Cathy. Et puis, dans le fond, il a un joli paquet, couilles pleines et lance de bonnes dimensions. La mission n’est pas désagréable. Avant tout, je me réjouis de voir la gueule de Mathilde quand elle saura: et de trois! En attendant j’ai besoin que tu me remontes le moral.
-Bien sûr ma poule. Suce-moi et je te donnerai ce que tu as raté de si peu avec ton blanc bec. Tu es quand même une salope. A genoux, tu me la sors. J’adore tes doigts magiques.

A pas de loup je me dirige vers la cave. De trois quarts, un homme, le danseur de samedi, se tient devant Cathy accroupie, petite culotte blanche apparente entre ses genoux ouverts, tête penchée vers le bas ventre de son voisin. Alain a posé ses deux mains dans les cheveux bruns de la suceuse et imprime à sa tête un mouvement d’aller retour très facile à traduire:
-Suce ma poule. Fais un effort, mouille avec la langue et tu avaleras plus facilement. Presse mes couilles avec ta main libre.
-Tu as facile à dire. Je commence à avoir mal aux mâchoires. Tu as du mal à cracher aujourd’hui, tu peines à jouir. Tu es de nouveau allé te faire traire chez Charlotte?
-Ne me reproche rien. Tu étais sensée t’envoyer en l’air avec ton locataire. N’oublie pas: si tu ne me donnes pas la preuve que tu te l’es fait avant samedi, tu nous devras deux bouteilles de champagne au bal.
-Je te l’ai déjà dit, sans ton coup de téléphone, je le dépucelais et j’en faisais mon amant pour les jours de classe. Ne crains rien, ce soir ou demain au plus tard, je lui tourne la tête, je lui pompe la queue et je le reçois entre mes cuisses. Prépare ton champagne.

Il la relève, l’assied sur le plateau de la machine, pousse le corps à plat, lève une jambe sur son épaule gauche, laisse pendre l’autre le long de la tôle blanche émaillée. La culotte est à terre, en biais j’aperçois le sexe de Cathy pendant que le pantalon d’Alain tombe en accordéon sur ses chaussures. Sa droite saisit le sexe préparé par la fellation, le met au niveau de la vulve que sa main gauche écrase en un circuit. Les grandes lèvres subissent mollement cette caresse rude. Les doigts les séparent, le gland s’approche du cratère rose, le parcourt de haut en bas, y cueille de quoi s’humecter se dirige vers le bas de la fente. Les fesses de l’homme se contractent, son bassin part vers l’avant, il pousse. Les deux ventres se heurtent. Cathy pousse un gros soupir de contentement. Alain donne à son corps un mouvement de balancier, entre, sort, entre, sort, sort entièrement et sans viser replonge dans le vagin, une fois, deux, dix fois. A la onzième sa queue fouette le haut de la cramouille et c’est la main de Cathy qui le replace en face du trou manqué. Cathy ronronne, les coups de reins plus vigoureux lui arrachent des plaintes hachées. Alain a ramené l’autre pied sur son épaule, ses mains se calent dans l’angle formé par le ventre horizontal et les cuisses à la verticale. Il pousse son pieu et tire à lui le bassin qu’il envahit. Ca dure, je me sens indiscret. Je n’aurais pas pensé placer Mathilde sur un lave-linge.

Cathy est descendue, se tourne vers la machine, appuie ses avant-bras sur le plateau, recule ses pieds, tend ses fesses en direction de son amant. Il s’est défait de son pantalon, attend que la croupe se mette à niveau, passe une main du clitoris à l’entée des fesses à plusieurs reprises, flatte les parties intimes, ajuste son tir et pénètre Cathy. Il tient les hanches et balance de grands coups vers sa cible. Cathy passive encaisse, souffle, réclame de la profondeur, fait tourner sa croupe en un mouvement circulaire autour de la tringle plongée en elle
-Vas-y, j’ai envie de jouir. Rode-moi le trou, prépare-moi pour ma partie avec le brave petit Jean. Avec lui je prendrai la position dite du missionnaire et je finirai en le chevauchant. Je recueillerai son sperme et tu auras la preuve voulue. Ah! Non, tu te trompes de trou, sors de là tout de suite. Pas aujourd’hui. Oui, devant, mais vas-y pour de bon.

Alain s’agite dans son dos, se couche sur sa colonne vertébrale, tient les deux seins, cogne vivement du bassin et s’écrie
-Ca y est, je viens, je pars.

Il faudrait savoir ce qu’il veut, cloué, rivé aux fesses de Cathy, à crier qu’il part sans réussir à se retirer! Bon, j’en ai assez vu. J’ai compris que je suis l’objet d’un pari. Cathy a un amant. Je suis pour elle un jouet et elle veut faire du mal à Mathilde. Je me venge: je vais à la porte d’entrée, la claque, appelle ma colocataire
-Cathy, ma chérie, me voilà pour la leçon numéro 2!

J’avance vite vers la cave, me place sur le seuil et m’amuse du spectacle. Alain s’empêtre dans son pantalon, n’a pas eu le réflexe ni la possibilité de remballer sa verge encore enflée dans son slip, tire sur le coton pour trouver le chemin de l’abri. Cathy, penchée pour récupérer sa culotte montre son cul trempé de foutre. La rapidité de mon arrivée les a affolés, ils se tournent vers moi, visages rouges et couverts de sueur.
-Oh! Excusez-moi, je ne savais pas.
-Jean, ce n’est pas ce que tu crois. Attends, la machine à laver est en panne. Alain est venu la réparer.
-Très bien. Continuez.

Retiré dans ma chambre, je fais mes valises. Ce soir, je dors chez Mathilde. Elle a une bouteille de champagne au frais.
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Histoire de Veilleur

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