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Comment j'ai été piégé...humilié

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Lue : 3941 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 13/01/2019

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Il est huit heures trente, en ce samedi matin, quand l’avion se gare sur le tarmac de l’aéroport. Je sais que Sandrine, ma ravissante épouse, s’est rendu pour le week-end, au chevet de sa mère malade. Ce qui me permet d’accepter l’invitation de Bruno, à savoir de participer à l’enterrement de vie de garçon de Lucas, un pote commun, qui à lieu ce soir.
Ma présence n’étant pas prévue, je décide de l’avertir, que je serai bien de la partie.
Au téléphone, je le sens un peu réticent.

-Heu…c'est-à-dire que… tout est bouclé…je vais voir ce que je peux faire.
-Si…si, souffle une voix qui me semble être celle de Didier, dit lui qu’il vienne, on rigolera.

Je m’attendais à tout comme réponse, sauf à celle là, même s’il est vrai, que j’arrive comme un cheveu sur la soupe. Bref, Bruno me répond que le problème est réglé.
Il ne me reste plus qu’à me reposer, suite au décalage horaire, pour être en forme.
Ne devant pas être présent, je n’ai donc pas pu participer à l’organisation de la fête.
Au téléphone, Bruno me fait part du déroulement de la soirée, ainsi que la participation à la cagnotte qui s’élève à cinq cent euros pour le buffet, les boissons, et la location de la salle, et cinq cent euros, pour une grosse surprise, réservée au futur marié. En fait, à seul Bruno, est au courant, mais d’après lui, la soirée s’annonce chaude. Il ne m’en dit pas plus.

Dès mon arrivée, vers vingt et une heures, je règle de suite ma participation à Bruno.
Je m’approche de la table, copieusement garnie de bouteilles et de toasts, ou se trouve d’anciennes connaissances. Surtout Didier, avec qui j’ai eu une forte relation, notamment le jour où j’ai enterré ma propre vie de garçon. Du reste, il me reçoit en me mettent la main aux fesses, et en m’embrassant à la commissure des lèvres.

-Alors toi, ça va ? me demande-t-il. Sandrine, toujours aussi belle.
-Ca va, que je réponds, elle est chez sa mère. Alors ça y est, Lucas enterre sa vie de garçon.
-Ben ouais, tu te souviens comme je t’avais enculé quand tu avais enterré la tienne.
-Ben oui, je me souviens…mais bon, tout ça, c’est du passé.

Je me souviens surtout de l’humiliation que j’avais subit. Didier avait profité de mon état d’ébriété avancée, pour me ridiculiser devant les copains. Il m’avait mis tout nu, et m’avait fait faire le tour de la salle en me tirant par la queue, comme s’il me présentait à ses potes. Puis il m’avait couché sur une table, et m’avait enculé. Quand il sentit qu’il allait jouir, il enfonça sa queue dans ma bouche, et se vida copieusement les couilles. Bizarrement, moi aussi j’avais joui. Mais je me souviens avoir eu très mal. Bref…

Après quelques verres, Bruno, le bout en train du groupe, prend la parole.

-Allez les gars, on va faire un jeu en l’honneur du futur marié. Tout le monde à poils, et chacun prend une chaise.

D’un simple regard circulaire, je vois les gars ôter leurs vêtements. Je mets ma pudeur de côté, et me déshabille. Je remarque que Didier et Lucas fixent un endroit précis de mon anatomie. A tout les coups, Didier a du balancé sur nôtre relation d’un soir.
Bruno distribue à chacun un foulard rouge, sauf celui de Lucas, qui est noir, certainement pour le différencier en tant que futur marié.

Soudain, les lumières se tamisent, tandis que les enceintes diffusent une musique, style cabaret. De derrière un paravent, surgit alors une créature brune, d’une beauté à couper le souffle. Elle est vêtue d’une courte jupe à paillettes, sous laquelle on devine un string rouge, assortie au soutien gorge. Le tout monté sur des escarpins de huit centimètres. Le visage est caché par un masque, rouge également, représentant la tête d’un chat. Seul les yeux, et les lèvres pulpeuses apparaissent. M.A.G.N.I.F.I.Q.U.E.

-Whoua, me souffle Didier, tu as vu comme elle est carrossée, j’en ferai bien ma nuit.
-T’as raison, que je lui réponds. Ca vaut bien les cinq cent euros
-Mais encore, ne te plaint pas, me dit-il, ta femme n’est pas mal gaulée non plus.

La danseuse entame un langoureux déhancher au rythme de la musique. D’un geste précis, elle dégrafe son soutien gorge, le fait tournoyer en l’air, le jette en direction de Lucas. Puis, d’une démarche féline, elle se dirige vers la première chaise, s’assied sur Daniel, qui ne se fait pas prier pour lui caresser les seins. Elle passe à côté, enfouit le visage de Kévin entre ses deux superbes obus, plus loin, elle frotte son sexe sur la cuisse de Cyril, en feu.
Moi, le seul à être marié, me tient à l’écart. Puis, elle arrive à Lucas
Là, elle ôte sa jupe, mais laisse le soin au futur marié de retirer le string. Ce qu’il fait avec maladresse. La danseuse se retrouve entièrement nue. Puis elle murmure à l’oreille de Lucas. Celui-ci se lève, quitte son pantalon, libère une bite énorme.
La queue en érection, nous sommes tous pendus aux faits et gestes de la danseuse.
Elle se penche à l’équerre, campée sur ses hauts escarpins, saisit la bite de Lucas, la décalotte, et la prend en bouche.
Lucas ne se démonte pas. Après quelques pompages du dard, il entraine la danseuse au milieu du salon, ou une chaise les attend. Il s’assied, puis la saisit par les hanches. Il la force à s’asseoir sur lui. C’est avec un grand soupir qu’elle s’empale sur son calibre.

-Oh putain, quelle queue, souffle-t-elle…elle est bonne.

C’est elle qui fait tout le travail, qui envoie de violents coups de reins sur la bite qui la baise. La danseuse sent le désir monter en elle. Elle enroule ses bras autour de Lucas, lui dévore la bouche.

-Enfoiré…dit-elle, tu me fais jouir…hou…hou…quelle queue…ça c’est de la baise…

Elle se retire d’un coup, se penche en avant, absorbe le gland surdimensionné, entre ses lèvres carmin, juste au moment ou Lucas éjacule.

-Oh la salope…quelle pipe, vas-y, avale…voila…c’est bien.

Toujours campée sur se longues jambes, elle nettoie le reste de sperme. Dans cette position, elle est d’une beauté folle. Lucas envoie une main entre les cuisses largement ouvertes. Un doigt excite le clitoris, puis deux pénètrent la chatte, commence à la branler. Malgré le faible éclairage, on voit nettement le majeur doigter le petit bouton de la grosseur d’une agate, quand soudain, son corps est pris de spasmes.

-Hé les gars, sourit Lucas, regardez comme elle bouge son cul…elle est toute mouillée la salope…qu’est-ce qu’il t’arrive...
-C’est ta faute si je mouille salaud, gémit-elle...oh putain, comme tu me branle…hum…oh oui vas-y, bien sur le clito…oui…oui…je jouis…
-Ben dis dont, dit Lucas, tu avais une grosse envie. C’est la première fois qu’on te doigte ?
-Comme ça, oui, avoue la danseuse…regarde dans quel état tu m’as mis.

Après un torride baiser, la stripteaseuse se retire derrière le paravent, ou l’attend Bruno. Je vois, en ombre chinoise, que ça discute, ça gesticule. Puis Bruno lui remet une enveloppe. Certainement son cachet.
Je jette un regard autour de moi, et m’aperçois que le salon est en surchauffe. Les bites sont tendues, les regards fusent comme des invitations.
Tout près de moi, je vois Samir prendre Daniel par la taille, lui palper les couilles, lui branler la bite. A côté, c’est Xavier qui se fait prendre en levrette, par Mario, qui lui, taille une pipe à Fred. Pour ma part, j’ai déjà tenté l’expérience avec un mâle, mais aujourd’hui, je suis marié.
Soudain, je suis tiré en arrière, et me retrouve assis sur les genoux de Didier. Immédiatement, il me saisit la queue, fait coulisser le prépuce entre deux doigts, pour bien décalotter le gland.

-Ca ne te rappelle pas une certaine vie de garçon, celle ou je t’avais enculé une bonne partie de la nuit. Tu m’implorais de te baiser. Je t’avais obligé de te mettre à genoux, à me tailler une pipe. Même quand je t’ai ramené chez toi, tu m’as supplié de te mettre un coup de queue sur le capot de la voiture. T’avais aimé salaud. Ca ne te dirait pas de remettre ça.

Je n’ai pas le temps de répondre, que déjà, il m’assied sur se genoux, dos à lui. Lentement, il dirige son pieu contre mon petit trou. Je m’y empale dessus. Ses mains caressent mon torse, soupèsent mes couilles, puis commence à branler.

-Hum, c’est bon ça, hein ? Tu vois que tu aimes te faire sodomiser, dit-il.
-Arrêtes…je suis marié maintenant…
-Allez, dis moi que tu aimes…quelle est bonne ma queue.
-Oui…j’aime…tu le sais salaud, tu vas me faire cracher…oh putain…branle-moi…
-Vas-y, crache…moi aussi je viens. Je vais déposer mes œufs dans ton ventre, tu veux ?

Didier se vide les couilles, juste au moment ou j’éjacule.
Deux minutes plus tard, je me retrouve allongé sur le dos, jambes en l’air, entièrement écartées. Lucas, à genoux derrière ma tête, me maintient les bras en arrière. Je vois son énorme queue balancer sur mon visage. J’essaie de me débattre, en vain, la queue du futur marié appuie sur mes lèvres. Petit à petit, je cède à la pression de sa bite. Ma bouche s’ouvre pour laisser le passage, à même temps que mon petit trou se dilate pour laisser le passage à la queue de Didier. Puis ils changer de place. Tout en me faisant sodomiser par un, je taille une pipe à l’autre. Ils prenaient un malin plaisir à jouer avec moi, surtout Lucas.

-Alors lopette, c’est bon d’avoir une grosse bite dans le cul, hein ?
-Assez…assez…je suis marié aujourd’hui…arrêtez…

Ils n’ont que faire de mes plaintes. Les mouvements s’accélèrent dans mes deux orifices. Soudain, les deux bites se rejoignent dans ma bouche, et larguent leur épaisse semence. Je suis à deux doigts m’étouffer.

-Ah…ah…râle Lucas, vas-y, petite tapette, avale…mais c’est qu’il est doué. Il aime le foutre…
-T’as raison, poursuit Didier…elle est bonne la lopette…elle a tout avalée.
-On va bien s’amuser avec lui, reprend Lucas. Un jour, on ira se taper sa femme.

J’essaie de les repousser, de m’échapper, mais Lucas me met d’énormes claques sur les fesses, ou me serre les couilles pour me ramener à la raison. Lucas reprend ses va et vient dans ma bouche, certainement pour évacuer le surplus. Au bout d’un court instant, il m’envoie une deuxième rincée de jus épais, que je ne peux pas avaler cette fois. Je sens le sperme couler sur ma joue.
Il se retire lentement, un sourire en coin. Il glisse son gland entre mes lèvres. Tel un automate, je nettoie goulument la bite du futur marié, jusqu’à la dernière goutte.
Puis les invités se retirent.
C’est le moment que choisit Lucas pour jouer avec moi. Il me prend dans toutes les positions. Tantôt empalé sur sa bite, tantôt en levrette. Il s’amuse avec ma queue, prend plaisir à me faire jouir, pour m’humilier, se moque de mes faibles mensurations.
Pour finir, Lucas me couche en travers de ses jambes, et me met une énorme fessée.
Jugeant que j’avais eu mon compte, il s’éclipse à son tour.

Vers six heures du matin, je me retrouve seul, allongé au milieu de la salle, entièrement nu, les fesses endolories. Ma bouche, mon petit trou, tout mon corps est souillé de sperme.
Je m’habille à la hâte, et rentre chez moi.
Et là, surprise. J’aperçois la voiture de mon épouse garée dans l’allée du garage. Elle est donc rentrée plus tôt de la visite de chez sa mère. J’espère qu’elle dort. Il me faut vite prendre une douche, pour qu’elle ne décèle aucune odeur ou traces suspectes.
Je pénètre dans le hall, sur la pointe des pieds, sans éclairer. Seul le voyant du répondeur téléphonique, clignote.
« Tiens, un message que Sandrine n’a pas effacé. Il est récent puisque il affiche…5h30 »
J’appuie sur lecture.
« Ma chérie, c’est Lucas, je t’envoie ce message avant que ton mari ne rentre à la maison. C’est pour te remercier de m’avoir autorisé à te mettre un coup de queue, depuis que j’en avais envie. Je te remercie aussi, de m’a voir taillé une pipe devant mes copains, et ton mari, pour l’enterrement de ma vie de garçon, et d’avoir tout avalé. Tu étais magnifique en stripteaseuse. La nuit s’est bien terminée. Je me suis même permis d’enculer ton mari, de me vider les couilles dans sa bouche à deux reprises. Il a tout bu. Allez, bisous, et merci ».

Je ne réagis pas immédiatement à ce message, qui a du être envoyé après que Lucas est abusé de moi. Je fais le tour de la pièce, à la recherche d’indices. Je découvre, stupéfait, un masque rouge représentant la tête d’un chat, une perruque brune, et toute une panoplie de vêtements. Sur la cheminée, une enveloppe contenant deux cent cinquante euros.
Je me précipite à la chambre. Mon épouse dort, entièrement nue. Je m’avance sans bruit, glisse une main entre ses cuisses. La chatte est encore humide, et entièrement épilée, contrairement au jour de mon départ.
Aucun doute, la stripteaseuse de cette nuit, c’était ma femme. C’est elle qui a taillé une pipe au futur marié, et qui s’est fait baiser, qui a jouit devant moi.
Je réalise alors, que j’ai été victime d’un complot. Je comprends pourquoi Bruno était si réticent à ce que je participe à la soirée. Parce que c’est lui qui a tout organisé, à l’insu de tout le monde, jusqu’à demandé à mon épouse de participer, pour l’offrir en cadeau à Lucas. Et elle a accepté, étant persuadé que je ne serai pas là. Je comprends aussi la dispute derrière le paravent. C’est que le numéro de ma femme ne devait pas en rester là. Ce qui explique qu’il n’y est que la moitié de la somme dans l’enveloppe. C’est pour ça aussi que Bruno n’a pas levé le petit doigt, quand Lucas et Didier m’ont sodomisé à tour de rôle.
J’ai appris par la suite, que mon épouse devait se soumettre à tous les caprices de Lucas et de ses potes. Elle devait même passer tout le week-end avec lui.

Mais voila, je suis rentré plus tôt, et malgré le faible éclairage, Sandrine m’a reconnu.
En attendant, c’est moi qui ai été humilié, et qui ai honoré la fin du contrat, en me soumettant aux caprices de Lucas, en me faisant enculer, en lui taillant des pipes.
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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : Comment j'ai été piégé...humilié

Le 21/01/2019 - 13:56 par mangouste
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