Comment j'imagine notre rencontre

Voilà quelques temps que je dial par MP et sur MSN avec toi et je m’imagine déjà comment se passerait notre rencontre réelle.

Nous nous rencontrerions dans un petit café, à l’abri des regards indiscrets, pour boire une verre tout en sachant que l’un et l’autre avons une terrible de se blottir l’un contre l’autre. Nous commencerions pas bavarder en toute complicité de nos échanges câlins virtuels, en nous regardant dans les yeux, en nous souriant timidement et en nous effleurant les mains.

Je te regarderais, te détaillerais, puis au fur et à mesure de notre discussion, tu commencerais à jouer avec mes doigts, tu les embrasserais, tu les lécherais doucement, tu ferais remonter ton pied le long de ma cheville, puis de mon mollet, sans jamais me quitter des yeux. Puis arrivé sur ma cuisse je sentirais les caresses de ton genou à fleur de peau longuement très doucement et là, je m' approcherais de ton oreille pour te dire que je suis terriblement excitée à l’idée de t’avoir près de moi.

Joignant le geste à la parole, je te prendrais la main et approcherais mes lèvres de ton oreille pour y glisser de doux baisers, aussi tendres que cela soit possible juste pour te faire frissonner. Mes lèvres descendraient, maintenant, dans ton cou pour l’embrasser et le caresser en ne frôlant simplement que ta peau délicatement.

Tes mains passeraient sous la table et remonteraient le long de mes bas pour s'immiscer sous ma jupe sexy et enfin sentir ma peau contre toi. Tu approcherais tes lèvres des miennes pour un baiser langoureux ; ta langue me ferait entrouvrir les lèvres, pour aller à la rencontre de la mienne et faire monter un peu plus le désir qui est en nous. Ton sexe serait de plus en plus tendu dans ton pantalon et je t’embrasserais de plus en plus fougueusement pour faire monter ton désir.

Ta main arriverait à la naissance de mon slip, qu’elle caresserait en faisant mine de s’approcher de mon sexe mais sans jamais se poser dessus, juste pour me faire frissonner un peu plus. Tu sentirais mon bassin onduler doucement et se tendre vers ta main mais je la reculerais habilement pour que ton excitation vienne à son comble.

Mes lèvres retourneraient dans ton cou que je suppose si sensible et lui feraient subir les caresses les plus sensuelles qui soit, juste pour toi ; puis doucement tu glisserais ta main sous mon slip pour découvrir mon sexe déjà offert et trempé et là tu me dirais que tu as envie de moi, que tu aimerais être emprisonné entre mes cuisses pour commencer de lents va-et-vient, tout en m’embrassant et tout en jouant de tes lèvres et de ta langue avec la pointe de mes seins pour augmenter mon désir.

Je te caresserais langoureusement le membre au-dessus de ton pantalon, jusqu'à ce que tu me supplies - d'un murmure dans l'oreille - que l’on sorte du café, pour trouver un coin tranquille pour faire l’amour et nous laisser aller à nos moindre désirs sensuels en oubliant toute retenue et tout tabou.

Et nous trouverions un petit hôtel pas loin ... et puis ... et puis ...

Et puis ? … Et puis ? … Et puis ???

Nous sortirions prestement de ce petit café, main dans la main, le cœur battant la chamade et nous parcourrions la rue à la recherche d’un doux cocon pour abriter nos amours.

Nous trouverions un hôtel sympa à deux pas et, toute gênée mais en émoi de la perspective de notre tendre intimité coquine, je te laisserais entrer le premier pour réserver une chambre à la réception. Je te suivrais d’un pas mal assuré vers l’ascenseur et tu me prendrais doucement dans tes bras pour me rassurer.

Nous nous retrouverions alors enfin dans une jolie chambre confortable, et sans plus attendre, nous nous embrasserions tendrement puis de plus en plus ardemment. Nous laisserions passionnément nos mains parcourir nos corps en ébullition de douces caresses et prestement – sans arrêter nos baisers fougueux – nous nous digérions vers ce lit accueillant.

Tu m’aurais fait la surprise de commander du champagne (mon péché mignon !!! ) et nous serions un instant dérangés dans nos préliminaires par le garçon d’étage, qui nous regarderait d’un œil complice. Ensuite, tout souriant de me voir ravie de ta charmante attention, tu déboucherais la dive bouteille de bulles frémissantes et nous trinquerions avidement en toute complicité, les yeux dans les yeux brillants d’émotions.

Emoustillée par les premières gorgées de champagne, je m’enhardirais un peu à déboutonner lentement tes vêtements, tout en te couvrant de léchouilles câlines dans la nuque et sur le torse, pendant que tu continuerais à m’embrasser encore et encore (mmhhhh… j’adore çà !). Fébrilement, tes mains m’ôteraient ma blouse et mon soutien-gorge, pour titiller mes seins déjà sensibles à tes approches. Avec délectation, je te laisserais effleurer délicatement ma peau pour les caresser ; ma peau frissonnerait déjà sous tes doigts et je t’encouragerais à poursuivre tes tendres attouchements par de petits gémissements de plaisir.

Je te frôlerais sensuellement le membre et finirais par t’ôter le dernier rempart de ta virilité déjà dressée en pleine vigueur. Tu serais là debout face à moi, assise sur le bord du lit et lentement, je te câlinerais ces zones érogènes si sensibles. J’enserrerais doucement ton membre en érection entre mes seins et j’entamerais de lents va-et-vient au rythme de tes soupirs. Tu me caresserais tendrement les cheveux pour m’encourager dans mes initiatives coquines. Lorsque ton gland commencerais à perler, je le prendrais avidement entre mes lèvres, ma langue parcourrait ta verge sur toute sa longueur et je savourerais avec délectation l’objet de mes désirs les plus fous. Je te prodiguerais une délicieuse fellation jusqu’à ce que je sente ton désir arriver à son apogée mais en te demandant de te retenir encore …

Tu m’ôterais rapidement ma jupe et mon slip et tu m’allongerais alors sur le lit sur lequel je t’offrirais amoureusement mon intimité. Je sentirais ta peau collée contre la mienne, et t’en caresserais chaque parcelle avec empressement. Tu titillerais délicatement mon clito gonflé de désir et, en écartant les cuisses, je te guiderais voluptueusement vers mon antre d’amour tout humide d’excitation : tu me pénétrerais d’abord doucement, mais je tendrais mon bassin si fort à ton appel ardent que rapidement tu te trouverais enserré au fond de mon intimité. Par quelques va-et-vient cadencés par nos halètements érotiques, nous atteindrions ensemble ce moment magique d’un superbe orgasme partagé !!!

Heureux et comblés, nous resterions ainsi un petit temps unis l’un dans l’autre ; je serrerais encore mon emprise pour que tu restes en moi, pour que nos corps ne fassent qu’un, pour prolonger autant que possible ce tendre moment de complicité charnelle. Ensuite, tu t’allongerais doucement à mes côtés, je me loverais instinctivement dans tes bras et nous continuerions à nous mordiller les lèvres et la peau … et nous serions si bien que nous en oublierions le temps et l’espace pour ne savourer que l’instant présent tout empreint de sensualité, de jouissance et de bonheur amoureux.

Mais l'heure ne serait pas encore venue de nous séparer ...

Après de tendres câlins les yeux dans les yeux, et nos peau collées l’un à l’autre, nous nous gaverions de baisers ardents devenant de plus en plus fougueux à mesure que notre désir l’un de l’autre reprendrait de plus belle. Nos langues s’enrouleraient dans une valse si intense que nos bouches ne voudraient plus se séparer.

Tu quitterais un instant notre nid douillet pour nous resservir la dernière coupe de champagne. Tu serais nu devant moi et, assise dans le lit, j’admirerais un instant le galbe de tes petites fesses fermes. J’en mordillerais la peau avec gourmandise, tout en te caressant malicieusement les bourses et verrais des petits frissons d’excitation renouvelée parcourir ton échine.

Tu viendrais alors vers moi pour m’enlacer à nouveau et, ensemble, nous dégusterions ces petites bulles de champagne qui raviraient nos palais et émoustilleraient à nouveau nos sens pour des derniers ébats charnels.

D’un murmure taquin, tu me chuchoterais à l’oreille de me retourner afin de me faire connaître, en toute complicité, cette position de « la levrette » que je connais mal. En toute confiance et frémissante d’impatience, je m’agripperais au ciel de lit et te présenterais ma croupe aguichante. Tes doigts fébriles parcourraient encore un moment mon petit bourgeon tout gonflé qui frémirait sous tes caresses … je fermerais les yeux et me mordillerais les lèvres de plaisir, afin de mieux savourer ce nouvel instant imminent d’une nouvelle union fusionnelle.

Je sentirais ton membre vigoureux chercher avidement mon intimité encore toute chaude et trempée et je me cambrerais pour mieux te guider. Ton gland s’attarderait un instant devant mon puits d’amour pour se caresser lascivement tout au long de mon entrée.

Tu t’accrocherais à mes hanches et je te sentirais pénétrer ma corolle avec ardeur ; tu glisserais à présent facilement au fond de mon être et tu entamerais tes mouvements avec un rythme effréné. Je sentirais tes bourses claquer contre mes fesses, t’arrachant de nouveaux gémissements de plaisir.

Je me caresserais en même temps les mamelons durcis d’envie et nos respirations deviendraient haletantes sous l’emprise de la jouissance toute proche.

Je succomberais sous tes coups de boutoir et t’encouragerais par mes cris rauques à achever ton œuvre ; attentif à notre plaisir commun, d’un coup plus franc, tu pénétrerais une dernière fois au plus profond de moi. Une chaleur intense d’un long jet de ta semence envahirait mon vagin, nous ressentirions ces étincelles électriques nous parcourir les sens et nous nous retrouverions au 7ème ciel en un fulgurant soupir commun !!!

Fatigués mais fous de bonheur, nous roulerions sur le côté pour mieux apercevoir notre immense passion les yeux dans les yeux et nous terminerions en apothéose sous un échange de tendres baisers voluptueux.

Mais là, tout doucement la lumière du jour faisant place à la pénombre du soir, nous devrions hélas penser à nous séparer. A contre cœur, nous délaisserions ce lit, les draps enchevêtrés en guise de témoins de nos ébats fougueux ; et nous prendrions rapidement une douche câline pour rafraîchir nos corps encore moites de l’ivresse vécue ensemble.

Nous quitterions à regret ce petit havre de sérénité, qui fut pour un après-midi, notre magnifique cocon intime et – main dans la main – nous parcourrions ensemble les derniers pas vers notre point de destination : en s’embrassant inlassablement pour garder la chaleur de nos baisers dans nos cœurs, je te laisserais aux bons soins d’un taxi qui t’amènerait à la gare.

Mes larmes m’empêcheraient de te voir t’éloigner ; cependant tes tendres promesses de nous revoir très bientôt pour revivre des moments aussi passionnés me feraient espérer que ce prochain moment idyllique arrive très rapidement...