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Comment je suis devenu cocu

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Lue : 37620 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 04/01/2009

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Tout d’abord, bonjour à tous. Me décidant enfin à écrire ce texte, ce 24 décembre, je vous souhaite de bonnes fêtes de fin d’année. Je dis bien que je me décide car voici plus d’un an que j’ai envie de vous faire partager cette expérience.

Il y a trois mois, je me suis marié et l’aventure qu’il met arrivé, je l’ai partagée avec celle qui est aujourd’hui ma femme. A l’époque, nous n’étions qu’amoureux. Amoureux fous même et nous sortions de deux expériences incroyables : miss et mister belgium. Loin de moi l’idée de vouloir nous vanter mais nous sommes donc un couple assez mignon sur lequel les gens se retournent facilement. Pour la petite histoire, j’ai terminé entre la 10 ° et la15° place et ma femme entre la 5° et la 8°. Aucun titre donc mais pour certains spécialistes des recherches sur Internet, je vais changer nos prénoms afin que vous ne puissiez nous reconnaître. Nous avons une vie privée, nous travaillons.

Mais avant tout, présentations !

Ma femme, nous l’appellerons Alice. Pourquoi Alice ? Car physiquement, elle ressemble assez bien à Alice de la Star Academy. Pour les connaisseurs, on la comparait à Alizée, ancienne vainqueur de miss Belgique. Elle est donc blonde, yeux bleus, 1m75, mince. C’est une fille très sociable, souriante.

Moi, c’est Greg (prénom d’emprunt). Je suis assez grand, bien musclé, yeux bruns, cheveux bruns et je pense être assez sympathique et agréable. Mais seuls les gens qui me connaissent pourront juger.

J’ai connu Alice à l’école et nous nous sommes mis ensemble à 18 ans. Nous en avons maintenant 22. Nous avions eu quelques flirts mais notre premier rapport sexuel eut lieu entre nous. Nous n’avions donc jamais connu d’autre homme ou femme. Ma chérie de toujours aime cela pourtant. Très vite, elle a voulu me sucer et nous avons eu notre premier rapport un mois après nous être mis ensemble. Après ce fut minimum une fois tous les deux jours quand Madame n’a pas ses petits problèmes féminins.

Cette histoire sexy se passe donc il y a un an et demi, durant les grandes vacances. Grâce à l’argent amassé grâce au concours, nous avions décidé de réserver deux semaines au Club med.

Départ en avion de Paris et premier problème. Je ne me retrouve pas à côté de ma femme, petite amie à l’époque. C’est ennuyant, je rouspète mais que voulez- vous y faire ? La compagnie me rembourse un des deux tickets. C’est toujours ça de gagner.

Je me retrouve donc à l’extrémité de la rangée du milieu, à côté d’un petit vieux très sympathique et sa petite femme. Très sympathique, c’est vrai mais à part lire, dormir et manger,… ils n’ont rien fait.
Alice, ce n’est pas la même situation. Deux sièges, le long du hublot. A côté de la fenêtre, un homme… beau. Nous pouvons vraiment dire qu’il est beau : assez costaud, cheveux châtains,… mais prétentieux. Disons que c’est un beau gosse et il le sait.

Et je les vois très vite sympathiser : ils discutent, rigolent, plaisantent, se montrent des photos,… j’avoue être assez jaloux et je ressens une belle boule au ventre. Je me lève donc, en faisant semblant de prendre des nouvelles de ma chérie. Elle en profite pour me présenter Giovanni, un italien de 26 ans. Je lui serre poliment la main et suis bien obligé de me rasseoir. Je me vois mal rester debout plus de dix heures. J’essaye de dormir mais pas moyen. Je suis comme obligé de les regarder, m’énerver, me sentir mal,…

Le voyage se passe…

Une fois arrivé au Mexique, nous ramassons nos bagages et embarquons dans un car qui nous conduit à l’hôtel. Quelle surprise de voir quelques rangées plus loin… Giovanni.
-Il est dans le même hôtel que nous ? demandai- je à Alice.
-Oui, oui. Tu vas voir, il est gentil. Il m’a promis qu’il me paierait un verre. Ca ne te gêne pas ?
-Non bien sûr.

Je fais semblant de ne pas être jaloux, j’ai toujours essayé de cacher ma jalousie, de peur de paraître possessif.
-Et où ? et quand ?
-Dans sa chambre quand nous serons arrivés. J’irai me laver comme ça, j’irai pendant que tu te laveras.

Elle me dit ça en regardant, tout émerveillée par la fenêtre. Moi, je reste bouche bée. Je n’ai même pas le courage de répondre.

Nous arrivons à l’hôtel. Nous recevons nos clés et Giovanni vient lui donner le numéro de sa chambre et lui dit d’attendre deux minutes qu’il prenne une douche et se change. Je dois être en train de rêver. Je sens qu’à tout moment, je peux exploser.

Au Mexique, il est 15h30. Il y a une chaleur étouffante.

Alice se lave donc, enfile un bikini blanc et vient me donner un gros bisou.
-Tu vas voir, l’eau est délicieuse. Je ne traîne pas promis. A tantôt, je t’aime.

Et je la vois partir, son petit cul se dandinant dans son sa culotte de bikini, ses longues jambes blanches marchant gracieusement.

Jamais je n’aurais cru vivre cela. Que va- t- elle faire là- bas ? Et si en fait c’était une salope ? Si elle m’avait déjà trompé ? J’ai mal au ventre, au cœur,… mais je bande. C’est assez bizarre comme sentiment. Une excitation profonde mais en même temps un sentiment de jalousie extrême. Je ne peux m’empêcher de sortir mon membre et me toucher en l’imaginant sucer, se faire prendre par ses collègues, des amis à moi, Giovanni,… tous y passent.

Pas d’autres solutions qu’aller sous la douche pour essayer de me calmer mais pas moyen de débander. Que du contraire, j’ai trop envie de me toucher.

Alors, rincé, j’enfile un maillot- short et je vais aller faire un tour. Avant de partir, un petit mot. Je regarde l’heure. Déjà vingt minutes qu’elle est là- bas. Tout compte fait, je vais encore attendre un peu. J’allume la télévision, l’éteins, je fouille dans sa valise. A la recherche de quoi ? Je n’en sais rien. De toute façon, il n’y a rien. Je ne sais pas quoi faire. Ou plutôt, je sais quoi faire ! Je n’ai qu’une envie : aller là- bas près de la chambre. Et je bande toujours. 30 minutes. Je rallume la télévision, range ma valise, éteins la télévision. 35 minutes. Je n’y tiens plus. J’écris sur le bout de papier que voilà 35 minutes qu’elle est partie et que j’ai été faire un tour. Je me lève et vais jusqu’à sa chambre. Le couloir est vide. Je m’arrête devant la porte, pose mon oreille dessus et écoute. On dirait un vrai gamin jaloux. Je les entends parler. Ou plutôt chuchoter. Mais merde pourquoi chuchotent- ils ? Puis je les entends rire. Encore chuchoter. Je mets mon œil devant la serrure. Je ne vois que la table sous la télévision et la porte- fenêtre qui donne sur le balcon. Ils chuchotent toujours. J’entends un verre qui tombe.
-Oh merde ! dit- elle, en rigolant.
-On s’en fout, reste ici.

Comment ça reste ici ? Pourquoi ne veut- il pas qu’elle se lève ? J’ai envie de frapper à la porte qui est sûrement fermer à clé. Mais ça servirait à quoi ? Même s’ils faisaient des bêtises, ils s’habilleraient vite et j’aurais l’air d’un con à jouer l’amoureux jaloux.

Puis plus un mot, plus un rire… juste des petits gémissements. J’en suis sûr. Elle gémit. Que font- ils ? Non je rêve. Je deviens parano. J’imagine des gémissements ! Quoique… je ne sais pas. Je ne sais plus. Elle gémit. Elle ne gémit pas. Moi, je bande, c’est sûr. Mais j’ai mal au ventre, je bande. Et quelqu’un arrive dans le couloir. Heureusement, ils ont des enfants donc leurs cris me permettent d’anticiper et je m’assieds sur un banc un peu plus loin. Ils me font signe de la tête, je réponds. Ils avancent. Je me relève. 50 minutes. Je retourne à ma place, l’œil près de la serrure. Je l’entends de nouveau rire. Elle se lève, elle est toujours en bikini. Ca me rassure presque. Elle va jusqu’à la petite table sous la télévision et sort un élastique pour ses cheveux. Putain ! Quand elle fait cela, c’est juste avant de me sucer. Ca y est, elle va le sucer. Enfin… elle le fait aussi quand elle a chaud, quand elle mange,… 60 minutes. Je n’en peux plus. Je descends au bar et me prend deux Martinis blancs que je vide aussi vite. Puis je vais dehors prendre l’air. Prendre l’air, c’est un grand mot. Il n’y a pas d’air. 1h25. Je me décide à remonter. Pas d’Alice mais un mot de sa part.

« Mon cœur, je suis remontée peu après que tu sois parti apparemment. Voilà plus d’une demi- heure que j’attends. Donc à la place je vais jusqu’en ville avec Giovanni. A tantôt, je t’aime. »

La menteuse. Si elle était partie en ville, je l’aurais vue soit quand j’étais au bar, soit quand je prenais l’air devant la porte. Ou du moins, elle m’aurait vue. Je ne reviens même pas sur le fait qu’elle mente avec les heures. Je cours jusqu’à la chambre de Giovanni. J’écoute, je regarde mais personne. Où peuvent- ils être ? Je vais voir dehors près de la piscine, au bar, même dans les buissons ou dans le petits bois près de l’hôtel. Personne ! Je deviens fou. Je retourne dans la chambre. J’essaye de me calmer sur le lit, j’allume, j’éteins la télévision,… la dernière fois que j’ai regardé l’heure, ça faisait 2h25 qu’elle était avec lui. Je me suis endormi.

Je me suis réveillé. Il était 20h15. Personne près de moi. Mais un autre mot.

« Je n’ai pas voulu te réveiller. Tu dormais si profondément. Je suis descendue manger avec Giovanni. On t’attend, viens ! »

Dehors, il fait déjà noir. Je me lave, enfile un jeans, un tee- shirt et descend. Une fois 19h, 19h30, c’es incroyable comme ça rafraîchit et je me dis que j’aurais du prendre un pull.

Je vais jusque dans le grand réfectoire. Je les vois tous les deux en train de faire la file au buffet. Il a l’air de lui parler dans l’oreille. Elle rigole. D’ailleurs, ce n’est pas lui parler qu’il fait, c’est l’embrasser dans le cou. En fait, je n’en sais rien. Quand je m’approche, il s’est écarté et ils sont surpris de me voir. Alice est ravissante : jupe mauve aux genoux, bas résilles dessous, talons, chemisier blanc. Très classe et distinguée. Ma chérie est belle et désirable.

Alice me montre la table où ils sont installés. Mais je me mets dans la file et me sers.
Je suis évidemment un peu froid au repas mais essaye de ne pas le montrer. Porter des accusations serait suicidaire. Ils auraient tôt fait de les démonter et je me serais retrouvé comme un gros con. Donc Giovanni lâche ses conneries, elle rigole à chaque fois et moi j’ai du mal à lâcher un sourire.
-Bon je passe aux toilettes et prendre un dessert. Quelqu’un en veut un ? demanda- t- il après le repas.
-Moi je veux bien du chocolat mais lave- toi les mains ! dit- elle, en rigolant.

Il rigole aussi. Je fais encore semblant mais n’en pense pas moins. Elle a du aimer pourtant le goût de sa bite, non ?
-alors, tu ne voulais pas me voir cet après- midi ? demanda- t- elle, me sortant de mes pensées.
-Euh si… pourquoi ?
-Ben je m’en vais une demi- heure chez lui, tu es déjà parti. Je reviens, tu dors !

Elle n’est vraiment pas gênée mentir comme cela.
-Euh, j’étais crevé. Désolé. Mais tu t’es lavée où toi ?
-Chez Giovanni. Comme tu dormais, j’avais peur de te réveiller. Mais pas ensemble, je te rassure ! dit- elle, presque fière d’elle.

Elle rigole, je souris. Ca devient une habitude. Elle rigole, je souris. Elle rigole, je souris. Elle baise, je suis cocu. Elle rigole, je souris.
-Tu as prévu quelque chose ce soir ? me demande- t- elle.
-Euh non, rien pourquoi ?
-On voulait aller en boite avec Giovanni mais il n’y avait plus que deux places dans le car. Donc on a réservé mais si tu veux venir, on prendra le suivant.

Mais merde quoi ! Plus rien ne la gêne. Si tu veux venir !!! Donc si je ne veux pas, ils vont à deux. Point.
-Mais c’est bête. Si vous avez réservé, allez à deux et moi je prendrai le suivant et vous rejoindrai.
-Tu es sûr que ça ne te dérange pas ?
-Bien sur que non.

Dès que Giovanni revient, elle lui explique la situation qu’il accepte aussi vite. Il doit bien me prendre pour un con.

Soit 22h45… le premier bus démarre avec eux deux dedans, assis l’un à côté de l’autre. Moi je m’installe au bar et enfile les Martinis jusqu’au prochain car. Il est à moitié vide.

Il est presque minuit quand j’arrive dans la boite. Elle est immense et peuplée d’européens. C’est d’ailleurs la techno et le RnB que vous entendiez au même moment en Belgique.
Je les cherche partout. Personne !

Tout à coup, à une vingtaine de mètres de là, je les vois sortir des toilettes. Alice retire l’élastique qu’elle avait mis dans ses cheveux. Je la connais. Elle n’a jamais mis un élastique pour pisser je fais semblant de rien. Je les regarde s’éloigner, aller plus loin, là où c’est plus discret. Il se met à danser, elle se met dos à lui, se colle contre lui et danse langoureusement. Il a les mains sur son ventre, ses cheveux,… son cul ! Il la pelote ouvertement, la caresse, embrasse son cou,… je serais même prêt à jurer qu’un moment elle a bougé sa tête et lui a donné un petit bisou sur la bouche mais avec le monde présent devant, je n’ai pas tout vu.

Je vois un type qui était dans mon car qui s’approche d’eux et leur parle en rigolant. Elle change de tête. Elle a du comprendre que s’il était là, j’étais là aussi. Je la vois chercher du regard mais je me cache, fais semblant de rien. Dix secondes plus tard, mon GSM vibre. Message.
« Tu es où mon amour ? Viens devant la porte des toilettes, je t’attends. »

Je ne tirerai plus rien à rester ici et je la rejoins donc là- bas.
Elle m’embrasse. J’étais prêt à essayer de sentir si ça avait un goût de sperme mais elle avait une chique. Elle avait tout prévu.
-Où est Giovanni ? demandai- je innocemment.
-Ah je ne sais pas. Ca fait un petit temps que je t’attends, il est avec d’autres de l’hôtel.
-OK, tu bois quoi ?
-Un verre d’eau.

Je vais donc chercher son verre et on s’installe debout près d’une haute table. Inutile de dire qu’on s’emmerde et qu’on reste là comme deux perdus.
A 3h15, nous rentrons. Giovanni est là aussi. Plus calme, il dort presque sur la banquette avant.

Dans la chambre, nu, je me couche dans le lit. Elle, s’est installée devant le miroir de la salle de bain, se démaquille, se déshabille et vient nue dans le lit.
Elle est magnifique ma femme : grande, mince, gracieuse, désirable, excitante,… Malgré la journée, je vais lui faire l’amour. J’en ai trop envie. Mais à peine ai- je mis la main qu’elle me repousse.
-Je suis fatiguée bébé, je t’assure. Demain, promis.

Là, j’explose.
-Fatiguée de l’avoir fait avec Giovanni, c’est ça ? Ne me prends pas pour un con, vous avez passé je ne sais combien de temps ensemble, tu t’es lavée chez lui, tu m’as menti sur les heures, tu es sortie des toilettes dans la boite, je t’ai vue…

J’explose complètement. Elle essaye de se justifier mais je ne lui laisse pas la possibilité. Je déballe tout.
-On ne s’est pas lavé ensemble, les toilettes, il y plusieurs box, je ne connaissais personne d’autre, je n’allais pas aller toute seule, je t’ai menti sur les heures car j’avais peur que tu t’imagines des choses, que tu sois jaloux,… demain matin, je lui avais promis d’aller le réveiller et il m’avait proposé une ballade en jet- ski. C’est bon, j’annule. Pour une fois que j’avais un copain ! C’est toujours le même !

Elle a eu réponse à tout. Elle s’est mise à pleurer de son côté et moi je n’ai pas su dormir. Si j’avais vraiment été con. Elle semblait si sincère. Et si elle mentait si bien, qu’elle me prenait pour un con jusqu’au bout ? Et elle, à côté, pleurait.
Je m’endormis.

Le lendemain matin, quand je me suis réveillée, elle était assise dans le lit, un livre en mains.
-Cava mon cœur ? demandai- je.
-Cava ! répondit- elle froidement.
-Bon, je veux que l’on parle.
-De quoi ?
-D’hier soir. J’ai été jaloux comme un con. J’ai exagéré. Ne me fais pas la tête, j’accepte que tu passes des moments avec lui.

Elle eut l’air de se calmer.
-Je veux que tu me fasses confiance. Il n’y a rien entre nous deux mais on s’entend vraiment très bien. C’est toi que j’aime mais j’ai envie de passer des moments avec lui. Tu ne me déranges jamais mais j’ai envie d’avoir des moments… intimes.
-Intimes ?
-Oui rien de... mais être rien qu’à deux. C’est comme un ami pour moi. Tu sais, il m’a proposé d’aller dormir une fois avec lui, j’aurais ma nuisette, il n’y aura rien du tout. Crois- moi !
-Et vous devez être au soir dans le lit ?
-C’est comme une amie, sur l’oreiller, on se dit tout.
-Je veux bien mais on passe la journée à deux alors.
-Ok.

Evitez de me dire que je suis fou ou con. Je le sais. Et voilà que je bande, à nouveau.

La journée fut excellente. Déjeuner, piscine, plage, jet- ski, plage, piscine, manger des fruits de mer,… rien qu’à deux, en amoureux. Il manquait juste le sexe mais nous étions toujours à l’extérieur.

A 20h00, nous étions dans la chambre.
- Je vais y aller. Me dit- elle.

Elle ne prit qu’une nuisette et sa brosse à dents. Je suis sûrement con mais pas à ce point- là. Elle n’avait que son bikini sur elle, pas de sous- vêtements. Elle dormirait nue ou en nuisette, sans rien dessous. Quand on voit la taille de la nuisette…
-Tu y vas déjà ? tu ne manges pas ?
-Non, je n’ai pas faim. Mais sors- toi, ne reste pas ici à ne rien faire !

Je lui souris. Elle m’embrassa.

Moi, je regardai la TV, prit une douche où je me masturbai, puis alla souper. Je mangeai à ma faim et but presque une bouteille tout seul. Il était 10h20. Je décidai d’aller en ville. Le bus étant à 22h45, il me restait 25 minutes pour aller… jusqu’à la chambre de Giovanni.

Je n’ai jamais su si j’espérais en fait les voir faire quelque chose ou si j’espionnais pour me rassurer. C’est vrai, pourquoi j’espionnais au fait ? En tout cas, ce que je vis me glaça le sang. Mon amoureuse, Alice, ma chérie, était assise sur la table sous la TV, jambes écartées et il la léchait. Elle était complètement nue et lui aussi je crois même si je ne voyais pas le membre. Mais dix secondes plus tard, j’eu ma réponse. Il se leva, le membre au garde- à- vous et voulut la pénétrer.
-Merde, où est la capote ? demanda- t- il.
-On s’en fout, viens !

Elle ne parlait pas, elle gémissait. Elle se touchait en même temps, tellement elle était excitée. Je n’en peux plus. Je m’en allai, je pris le car et but comme jamais. Je me souviens avoir même embrassé une fille mais je ne saurais plus vous dire à quoi elle ressemblait et je n’ai même jamais osé le dire à Alice. Comme si j’étais le coupable…

Je rentrai à 5h45, complètement ivre. Je me souvenais plus de toute ma soirée en boite mais bien de ce qu’il s’était passé avant. Je voulus aller jusqu’à la porte de Giovanni mais la force me manquait.
J’allai dans mon lit et m’endormis.

Alice rentra vers 11h10, le lendemain matin.
-Combien de fois ? lui demandai- je sans lui dire bonjour.
-De quoi ?
-Ecoute, pas de larmes, pas de mensonges, rien. Je veux toute la vérité et je te pardonnerai.

Là, elle comprit que je savais. Elle ne versa pas une larme mais eut des réponses assez incroyables. Je ne me souviens plus à fond de la conversation mais je vais essayer de vous la retranscrire.

Tout avait commencé dans l’avion. Ils se sont fortement rapprochés. Alice a été excité par lui. Comme quand nous, les mecs, nous trouvons une fille « bonne » et avons envie d’elle, sans sentiments, juste du cul. Puis elle a été chez lui « prendre un verre », là ils l’ont fait une première fois, avec capote. Puis quand soi- disant, ils allaient en ville, ils ont été dans les cabines de la piscine intérieure au dernier étage, l’ont fait une fois, puis une deuxième fois, toujours avec capote. Mais attendez, ce n’est pas tout. Dans le car pour aller à la boite, il la doigté. Dans la boite, aux toilettes, ils avaient envie de le faire mais n’avaient plus de capotes, donc ils l’ont fait sans. Et la nuit où elle a dormi chez lui, ils l’ont fait trois fois sur toute la nuit plus une pipe au matin. Elle m’a juré ne l’avoir jamais fait auparavant mais n’ayant jamais essayé d’autres mecs, elle en ressentait le besoin. Moi je bandais comme un chien, je n’en pouvais plus et elle a compris que j’étais excité. Nous avons fait l’amour, directement et je lui ai avoué être excité.

Pendant les vacances, elle l’a encore fait deux fois avec lui. Elle m’a à chaque fois tout expliqué dans les détails. Puis dans l’avion, nous avons fait une liste avec les mecs qui l’excitaient. Il y en avait cinq et elle avait un mois pour tous se les taper. Elle a réussi à s’en faire quatre, le dernier étant à l’étranger. Elle a maintenant deux mecs réguliers, en plus de moi bien entendu. Elle les voit souvent. Moi je ne vois jamais rien. Je veux juste qu’elle m’explique et qu’elle prenne ses précautions. Plus jamais sans capotes.

De mon côté, j’ai été baisé une fois une fille. Elle ne l’a jamais su et, de toute manière, elle ne l’accepterait pas.
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Histoire de miafgreg

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Commentaires du récit : Comment je suis devenu cocu

Le 01/09/2022 - 20:57 par Franck 34480
Merci pour ce sympathique récit. Moi j'ai été fait cocu par un jeune marocain et ça a duré plusieurs mois.

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