Confessions d'Emma, blonde, cougar, infidèle (1)

Alors que je me découvrais cougar vers la quarantaine j'adorais réaliser un fantasme qui m'était venu du jour où mon mari m'avait offert un joli coupé Mercedes.
Voiture basse aux sièges sport mes jupes courtes remontaient indécemment sur mes cuisses lorsque je conduisais, ce qui ne manquait pas d'exciter les hommes que je prenais dans ma voiture.
Mon fantasme était de conduire à l'aventure, cherchant à prendre en stop de jeunes étudiants et les exciter jusqu'à faire déraper notre petite virée automobile.
Je me rappelle une fois. J'étais vêtue d'un joli tailleur, jupe courte, bas résilles et bottes à talons. Je pris un très jeune homme en survêtement beige clair agitant son pouce en bord de route avec un gros sac de sport.
Blond, cheveux mi-longs, yeux bleus et plutôt bien foutu. Alors que nous roulions sur l'autoroute je l'interrogeai sur sa vie et ses études, s'il avait une amoureuse, s'ils vivaient ensemble, comment était-elle, s'il lui arrivait de lui être infidèle...
J'ai remarqué qu'il louchait sur mes cuisses, que j'écartai alors, ce qui ne manqua pas de lui faire de l'effet. Une jolie bosse déformait l’entre-jambes de son survêtement.
- « Hmm dis-je, c'est parce qu'on parle de ta copine ou c'est moi qui te fait ce bel effet ? Tu permets ? »
Joignant le geste à la parole sans même attendre sa réponse, je posai ma main sur la bosse, ce qui eut pour effet de la magnifier joliment...
- « Dis-moi tu as un bien beau bâton là ! Je vais finir par le confondre avec le levier de vitesses » plaisantai-je
- « Elle en a de la chance ta belle amie... Elle doit en être folle non ? Vous baisez souvent ? Pour moi, si tu veux savoir, ce serait tous les jours et même plusieurs fois par jour ! »
Mon passager sportif, rougissant et bien doté, restant coi, je pris l'initiative de sortir à la première aire de repos. Je me garai un peu en retrait du parking principal près d'une zone de pique-nique alors déserte. J'éteignis le moteur. Me tournant vers lui en écartant encore un peu plus mes cuisses, ma main droite lui caressant la nuque et la gauche posée sur l'objet de ma convoitise, je lui dis :
- « Tu me le montres ? »
Naturellement il s'exécuta et je vis apparaître un beau chibre épais et de belle longueur. Il bandait depuis un moment ce jeune cochon. Une bite musclée de sportif que je m'empressai de goûter de toute ma bouche, de toute ma langue, de toutes mes lèvres, en lui astiquant vigoureusement le manche... Il ne tarda pas à manifester son contentement en m'envoyant une giclée abondante au fond de la gorge.
Ma bouche débordant de sperme lui sourit :
- « Ta copine te dis que tu as une belle queue ? Elle aime boire son nectar ? Moi j'adore! »
Une fois son jus avalé je lui nettoyai la bite avec ma bouche. Il rebanda immédiatement. Je le fis sortir de la voiture et l'entraînai dans les toilettes. La porte refermée, dos au mur et face à lui, j'ouvris mon corsage pour libérer mes grosses loches et remontai ma jupe jusqu'au nombril.
- « Baise-moi fort ! »
Il s'acquitta si bien de mon ordre qu'il me fit jouir plusieurs fois dans ce chiotte sordide qui sentait la pisse dont l'odeur semble-t-il nous excitait tous les deux.