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L'amour en famille 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 14/10/2025

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L'amour en famille 1



Il fait nuit, un orage éclate sur le village. Valérie est allongée aux côtés de son mari Clément, qui dort profondément. Valérie est nerveuse, à chaque détonation, les vitres de la maison tremblent. Soudain la porte de leur chambre s'ouvre, c'est Cloé, leur fille, tout juste adule, qui s'approche de sa maman et lui dit doucement :

-Maman, j'ai trop peur, je peux dormir avec vous ?

Valérie se colle contre son mari, ouvre les draps et dit tendrement :

-Oui ma chérie, viens près de moi !

Cloé entre dans la couche chaude, et pose sa tête sur la poitrine généreuse de sa maman, et se blottit contre elle. À chaque coup de tonnerre, elle sursaute et s'agrippant encore plus fort à sa maman. Son corps fébrile, tremble comme une feuille. Comme pour l'apaiser, Valérie lui caresse doucement les cheveux. Peu à peu le bruit s'atténue, l'orage semble s'éloigner. Cloé se détend, sa joue appuie sur le sein de sa maman, ronronne comme une chatte. Son corps ondule doucement contre celui de sa maman. La chaleur du corps de sa maman la rassure. Puis sans savoir pour quelle raison Cloé relève la tête, et gobe un mamelon au travers du fin tissu.

Les deux femmes sont nues sous leur nuisette. Cloé tète comme une affamée qui s'allaite. Sa maman n'ose pas la repousser, elle enfonce ses doigts dans la longue chevelure de sa fille et la triture en poussant de nombreux soupirs. Pendant qu'elle suce le mamelon, qui enfle de plus en plus dans sa bouche, elle promène sa main sur le ventre plat de sa maman, en le caressant doucement. Au fil des minutes, Cloé devient plus audacieuse. Elle pose sa main sur la cuisse de sa maman, la caresse délicatement et très lentement la glisse sous la nuisette. Valérie se raidit, mais, ne refuse pas l'attouchement.

Le bout de ses doigts arrive au contrat de la toison épaisse, glissent sur la fente qui s'humidifie de plus en plus. Deux intrus s'insèrent entre les lèvres épaisses, et voyagent dans le sillon. Ils s'enfoncent doucement dans le conduit gorgé de cyprine, font quelques demi-réactions et comment un très lent va-et-vient. La maman semble tétanisée, seuls quelques petits gémissements timides, sortent de sa bouche. De temps en temps Valérie jette un œil vers Clément, mais heureusement, il dort comme une souche. Comme Clément n'est pas top porté sur la chose, le manque de sexe à la longue se fait ressentir. Valérie se laisse aller, elle pousse de soupirs bruyants, en triturant avec plus d'excitation la chevelure de sa fille.

Les visiteurs ressortent de l'antre en feu, s'accrochent au clito qui est déjà au top. Et l'agite. Valérie se cambre en serrant les dents, elle se surprend à agiter son bassin. Une violente jouissance la fait gémir. Elle se mord la main pour l'étouffer au maximum.
Les deux femmes s'endorment enlacées. Au petit matin, elles se réveillent, et se sourient. Clément, comme chaque samedi, est parti à la pèche avec ses amis.
Les deux femmes sont seules dans le grand lit. Cloé repousse les draps avec ses pieds, redresse et regarde le corps de sa maman qu'elle a fait vibrer la veille. Elle est en admiration devant la poitrine qui s'étale sur le torse, les mamelons épais appuient fortement sur le tissu comme pour le forer. Ses yeux s'attardent sur la toison bien fournie qui cerne des lèvres épaisses.

Sans dire un mot, Cloé, saisit la nuisette de sa maman et la remonte, Valérie, semble coopérer, elle se cambre pour faciliter la montée du tissu sur son corps. La bouche de Cloé se pose sur le ventre plat, y dépose de nombreux baisers, qui sont accompagnés de quelques coups de langue humides. Les léchettes râpeuses, glissent sur la peau laiteuse de Valérie, qui ravale bruyamment sa salive, en poussant de petits gémissements. Cloé hume les effluves que rejette la vulve en ébullition. Elle redresse la tête et en regardant sa maman dans les yeux et, dit :

-Tu sens bon l'amour maman, oh comme je t'aime maman chérie, tu sais ça faisait longtemps que je te désirais, c'était si fort que je jalousais papa !

Valérie honteuse de se laisser faire, rougit, et répond faiblement :

-C'est à toi que je le dois d'être heureuse ma chérie, aime-moi encore !

Cloé plaque sa bouche sur le fruit trop mûr qui rejette son jus, sa langue agile glisse dans le sillon de chair un instant puis l'enfonce profondément dans la gaine gorgée de cyprine. Elle fouille le conduit en arrachant à sa maman des gémissements de bête. Mais lorsqu'elle lui aspire le clito, Valérie, en se cabrant, pousse un râle rauque. Les succions sont terribles. Sa jeune amante, mordille la boule sensible, l'étire le plus qu'elle peut. Valérie ne peut s'empêcher de marmonner :

-Cloé, Cloé, tu me fais mourir, ma chérie, oh comme c'est bon !

Cloé, malgré son jeune âge, sait y faire, elle dévore la chatte de sa maman en grognant. Cambrée comme un pont, Valérie se sent revivre, elle culpabilise de moins en moins. La bouche de sa fille l'emmène au summum du bonheur. Une jouissance affreuse la fait hurler. C'est si violent qu'elle resserre les cuisses fortement en repoussant son amante. Elle appuie fortement ses mains sur sa chatte en fusion, ses yeux sont révulsés. Elle bègue :

-Oh, mon Dieu, mon Dieu, ma chérie, c'est démentiel, tu me tues !

Elle enlace sa fille, les roulent sur le lit comme des lutteuses, elles se retrouvent tête bêche. Les bouches explorent les chattes qui ne peuvent retenir leur jus, dans la chambre, ce n'est que gémissements et râles. Les jouissances des deux amantes sont bruyantes et juteuses. C'est épuisée, qu'elles tombent L'une à côte de l'autre. Valérie se dévoile, elle parle de son manque de sexe, et des pulsions qui l'obligent à me masturber férocement en cachette.

Cloé surprise par les révélations de sa maman, l'enlace et en la serrant très fort dans ses bras, elle lui murmure :

-Comme papa te délaisse, ma maman d'amour, tu peux compter sur moi pour te donner du plaisir, mais je te conseille de te raser, car j'avale des poils, regard, moi comme je suis bien lisse !

Elles se regardent longuement, et pour la première fois s'embrassent. Les langues se nouent, un échange de salive se fait. Le baiser d'amour dure longtemps. Les souffles chauds se mêlent, les respirations s'accélèrent, faiblement Valérie dit :

-Ma chérie, tu me fais revivre, oui, nous nous aimerons autant de fois qu'il le faudra, je vais me raser pour que tu profites le mieux possible de ma chatte, je t'aime aussi ma chérie !

Un nouveau baiser celle leur pacte d'amour. Au fil des jours, grâce, aux absences providentielles du papa, leurs ébats deviennent fougueux et brutaux. Valérie, sous l'influence de sa fille, a acheté des jouets, et depuis les deux amantes s'en donnent à cœur joie.
Elles sont nues sur le lit, en se godant vigoureusement la chatte. Chacune observe l'autre, les bites factices s'enfoncent profondément dans les orifices. Elles gémissent en grimaçant, Cloé a déjà joui deux fois, quant à sa maman, elle cherche désespérément une première jouissance, c'est bien ma première fois que cela lui arrive.

Cloé vient à son aide, elle place un gode contre l'anus de sa maman, et l'enfonce jusqu'à la garde. Pas adepte de la sodomie, Valérie se cabre, en poussant un long râle, sa fille lui ramone le rectum énergiquement. Le bourrage est si violent qu'il lui arrache des gémissements de bête blessée. Soudain, elle se tend comme un arc et explose. Sa jouissance est si forte, que la maman, retombe sur le lit, lourdement. Les deux godes encore plantés en elle, elle halète férocement. En cherchant ses lèvres, Cloé l'embrasse sauvagement.

Une fois les godes retirés, du corps de sa maman, Cloé, très entreprenante, lui caresse les seins, joue avec ses mamelons, les étire, les presse, à la limite de la douleur. Elle les gobe et les suce avec gourmandise. Très excitée, elle les mord jusqu'au sang. Sa maman la repousse, et en la plaquant sur ses genoux, lui dit en haussant le ton :

-ça, ma salope, tu vas me le payer :

Avant de frapper les lobes joufflus, elle les caresse, les malaxe. Puis un premier coup s'abat. Cloé se cabre, et serre les dents. Une pluie de coups s'abat sur les fesses qui rapidement rougissent. La maman cesse de frapper, regarde les dégâts causés. Dit avec regret :

-Oh, j'ai fait du mal à ma petite chérie, je te demande pardon !

La maman, repentante, caresse les marques de doigts qui strient le fessier bien rebondi de sa fille. Sa main baladeuse passe entre les cuisses et s'attarde sur la fente. Valérie sursaute et dit en souriant :

-Mais tu es trempée, ma cochonne, tu aimes la fessée ?

Cloé répond :

-Tu t'es arrêtée trop tôt maman, j'allais jouir !

En riant, elles s'enlacent et s'embrassent fougueusement, elles échangent un flot de salive, avant de reprendre leurs caresses. Les heures passent, les deux femmes insatiables ne cessent de faire jouir leur corps. Elles semblent avoir oublié l'homme de la maison, qui pour une fois entre plutôt de son travail. Ne trouvant personne au rez-de-chaussée, il fronce les sourcils en faisant une moue. Il pose sa serviette pleine de dossiers, et monte à l'étage. En passant devant sa chambre, il entend des bruits incongrus, il colle son oreille à la porte, il reconnait les gémissements de sa femme. Pensant qu'elle est souffrante, il ouvre la porte, et là, il reste sans voix, en voyant sa femme et sa fille, tête bêche, se gouiner goulument.

En entendant la porte s'ouvrir, Valérie, relève la tête, devient rouge comme une pivoine en voyant son mari sur le pas de la porte. Clément en béguant dit :

-Mais qu'est-ce qui vous prend, vous êtes devenues folles ?

C'est Cloé qui répond :

-C'est un peu de ta faute ce qui arrive papa, tu délaisses maman sexuellement, et elle en n'a besoin pour son équilibre moral et psychologie !

Complétement sonné, Clément s'assoit sur le bord du lit. Il reconnait qu'il ne s'occupe pas sexuellement de Valérie, mais de là à être trompé par sa propre fille. Il a du mal à le concevoir. Valérie dit tendrement :

-Cela c'est passé fortuitement, sans préméditation. D'ailleurs c'est mieux que ce soit Cloé qu'un voisin !

Cloé en éclatant de rire ajoute :

-Au moins, cela reste en famille !

Clément malgré lui sourit aussi. Sa fille l'enlace et lui couvre le visage de baisers, ses lèvres ne sont pas épargnées.
















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