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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 14/10/2025
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Confessions d'Emma, blonde, cougar, infidèle (2)
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Avez-vous déjà pris le train mesdames ?
J'imagine que oui pour la quasi-totalité d'entre vous. Mais avez-vous déjà été prises dans le train ?
Là je pense que vous êtes beaucoup moins nombreuses... Moi ça m'est arrivé. Je vous raconte.
Les voyages m'ont toujours excitée, je veux dire, sexuellement excitée. Surtout en voyageant seule...
J'étais mariée depuis moins d'un an. Et ce fut à l'occasion d'un voyage à Paris en TGV.
Nous roulions depuis un moment lorsque je décidai de me rendre au wagon bar pour boire un café.
Juchée sur mes talons hauts je remontais le couloir d'une voiture en titubant du fait du tangage du train lancé à toute berzingue et de mes escarpins qui ne facilitaient pas ma stabilité.
Je perdis l'équilibre et me retrouvai à moitié affalée sur un siège mettant quasiment sous le nez de son occupant mon décolleté.
Celui-ci me saisit par le bras et à la taille pour m'aider à me remettre sur pied tout en se relevant.
Je découvris un homme jeune à la belle prestance tandis que, rougissante, je me confondais en excuses.
Fascinée par son regard d'un bleu intense et le contact de sa main dont je réalisai qu'elle s'était attardée sur ma hanche, je ressentis un trouble étrange.
Il émanait de cet homme un magnétisme peu commun.
Profitant de ma fragilité il m'invita au wagon bar, « pour vous remettre » me dit-il, en me tenant fermement la main. Je bafouillai que justement c'était là où je tentais d'aller, et nous y allâmes de concert, moi cramponnée à son bras pour m'éviter une nouvelle chute du haut de mes similis Louboutin.
Dans le wagon bar nous nous sommes retrouvés seuls, mis a part l'arpette qui servait les cafés.
Mon chevalier servant m'aida à me jucher sur un tabouret haut et s'en fut prendre nos tasses.
Mes pieds ne touchant pas le sol, ma jupe m'était remontée à mi-cuisses (voire un peu plus haut), jusqu'à la naissance de mes bas autofixants.
Mais je n'en étais pas consciente, pas plus que du bouton ouvert de mon chemisier qui laissait entrevoir mon soutien-gorge.
Je le compris à sa façon de me regarder quand il revint avec deux cafés et un petit verre d'alcool.
"Tenez buvez, me dit-il ça vous remettra d'aplomb".
Le verre qu'il m'avait collé dans la main m'empêcha de me reboutonner ou de tirer sur ma jupe.
Je bus à petites lampées sous le regard électrique de mon nouveau compagnon de voyage.
Chaque goutte de breuvage irradiait mon ventre d'une bienheureuse brûlure qui se répandait lentement dans tout mon corps.
Mon esprit flottait dans un anesthésiant nuage de bien-être. Il me tendit mon café.
Tandis que je m’efforçai de boire le liquide brûlant en tenant ma tasse à deux mains, il s'amusa à suivre d'un doigt les motifs de mes bas en me dardant de ses yeux plus brûlants que l'alcool et le café que j'avais bus.
"J'aime, comme vous, cette géométrie me dit-il".
Lui bloquant la main qui commençait à caresser sans vergogne mes cuisses largement découvertes, je lui dis dans un souffle :
- « Je suis mariée vous savez... »
- « Je sais me rétorqua-t-il, et alors ? »
- « Comment le savez-vous ? » dis-je, « je ne porte pas d'alliance »,
- « Je le sais et je crois que vous n'avez encore jamais trompé votre mari mais que vous n'allez pas tarder à le faire »
- « Vous osez... ».
J'ajoutai :
« Vous tentez souvent votre chance avec les femmes seules quand vous voyagez en train en les faisant boire ? »,
une remarque dont la stupidité m'apparaissait au fur et à mesure que ces mots sortaient de ma bouche.
Sa main droite était remontée très haut sur ma cuisse.
Malgré moi, je sentais mes cuisses s'écarter pour s'ouvrir à sa caresse qui m'enivrait mieux que l'alcool que j'avais dans les veines.
Son autre main glissant sur ma taille, il susurra à mon oreille :
- « on n'échappe pas à son destin, vous savez. »
Sa main caressante sur ma hanche, son autre main sur ma cuisse qui était remontée au-delà du bas, sa voix mâle qui résonnait à mon oreille, son odeur de tabac blond, la situation dans laquelle nous nous trouvions dans ce wagon quasi-désert, me firent rendre les armes (si tenté que j'aurais eu une quelconque volonté de résistance).
Il me fit glisser de mon tabouret sur le sol et je me retrouvais plaquée contre lui. Nos lèvres s'entre-dévorèrent.
Mon bas-ventre hurlant de désir se frottait à son pubis, sa cuisse s'introduisit entre mes cuisses les forçant à s'écarter ; je mouillais comme cela ne m'était plus arrivé depuis un an avec mon mari...
Il m'entraîna dans les toilettes au fond du wagon où il me prit à la hussarde en pétrissant mes seins après avoir troussé ma jupe.
- « Tu mouilles bien ma salope » me fit mouiller de plus belle. Après que nous eûmes jouis tous deux, il me retourna comme une crêpe me disant « je vais défoncer ton joli cul, je veux te baiser comme une chienne » cette grossièreté soudaine décupla mon excitation.
Il me fit jouir 2, 3, 4 fois ou plus, je ne sais plus...
J'imagine que oui pour la quasi-totalité d'entre vous. Mais avez-vous déjà été prises dans le train ?
Là je pense que vous êtes beaucoup moins nombreuses... Moi ça m'est arrivé. Je vous raconte.
Les voyages m'ont toujours excitée, je veux dire, sexuellement excitée. Surtout en voyageant seule...
J'étais mariée depuis moins d'un an. Et ce fut à l'occasion d'un voyage à Paris en TGV.
Nous roulions depuis un moment lorsque je décidai de me rendre au wagon bar pour boire un café.
Juchée sur mes talons hauts je remontais le couloir d'une voiture en titubant du fait du tangage du train lancé à toute berzingue et de mes escarpins qui ne facilitaient pas ma stabilité.
Je perdis l'équilibre et me retrouvai à moitié affalée sur un siège mettant quasiment sous le nez de son occupant mon décolleté.
Celui-ci me saisit par le bras et à la taille pour m'aider à me remettre sur pied tout en se relevant.
Je découvris un homme jeune à la belle prestance tandis que, rougissante, je me confondais en excuses.
Fascinée par son regard d'un bleu intense et le contact de sa main dont je réalisai qu'elle s'était attardée sur ma hanche, je ressentis un trouble étrange.
Il émanait de cet homme un magnétisme peu commun.
Profitant de ma fragilité il m'invita au wagon bar, « pour vous remettre » me dit-il, en me tenant fermement la main. Je bafouillai que justement c'était là où je tentais d'aller, et nous y allâmes de concert, moi cramponnée à son bras pour m'éviter une nouvelle chute du haut de mes similis Louboutin.
Dans le wagon bar nous nous sommes retrouvés seuls, mis a part l'arpette qui servait les cafés.
Mon chevalier servant m'aida à me jucher sur un tabouret haut et s'en fut prendre nos tasses.
Mes pieds ne touchant pas le sol, ma jupe m'était remontée à mi-cuisses (voire un peu plus haut), jusqu'à la naissance de mes bas autofixants.
Mais je n'en étais pas consciente, pas plus que du bouton ouvert de mon chemisier qui laissait entrevoir mon soutien-gorge.
Je le compris à sa façon de me regarder quand il revint avec deux cafés et un petit verre d'alcool.
"Tenez buvez, me dit-il ça vous remettra d'aplomb".
Le verre qu'il m'avait collé dans la main m'empêcha de me reboutonner ou de tirer sur ma jupe.
Je bus à petites lampées sous le regard électrique de mon nouveau compagnon de voyage.
Chaque goutte de breuvage irradiait mon ventre d'une bienheureuse brûlure qui se répandait lentement dans tout mon corps.
Mon esprit flottait dans un anesthésiant nuage de bien-être. Il me tendit mon café.
Tandis que je m’efforçai de boire le liquide brûlant en tenant ma tasse à deux mains, il s'amusa à suivre d'un doigt les motifs de mes bas en me dardant de ses yeux plus brûlants que l'alcool et le café que j'avais bus.
"J'aime, comme vous, cette géométrie me dit-il".
Lui bloquant la main qui commençait à caresser sans vergogne mes cuisses largement découvertes, je lui dis dans un souffle :
- « Je suis mariée vous savez... »
- « Je sais me rétorqua-t-il, et alors ? »
- « Comment le savez-vous ? » dis-je, « je ne porte pas d'alliance »,
- « Je le sais et je crois que vous n'avez encore jamais trompé votre mari mais que vous n'allez pas tarder à le faire »
- « Vous osez... ».
J'ajoutai :
« Vous tentez souvent votre chance avec les femmes seules quand vous voyagez en train en les faisant boire ? »,
une remarque dont la stupidité m'apparaissait au fur et à mesure que ces mots sortaient de ma bouche.
Sa main droite était remontée très haut sur ma cuisse.
Malgré moi, je sentais mes cuisses s'écarter pour s'ouvrir à sa caresse qui m'enivrait mieux que l'alcool que j'avais dans les veines.
Son autre main glissant sur ma taille, il susurra à mon oreille :
- « on n'échappe pas à son destin, vous savez. »
Sa main caressante sur ma hanche, son autre main sur ma cuisse qui était remontée au-delà du bas, sa voix mâle qui résonnait à mon oreille, son odeur de tabac blond, la situation dans laquelle nous nous trouvions dans ce wagon quasi-désert, me firent rendre les armes (si tenté que j'aurais eu une quelconque volonté de résistance).
Il me fit glisser de mon tabouret sur le sol et je me retrouvais plaquée contre lui. Nos lèvres s'entre-dévorèrent.
Mon bas-ventre hurlant de désir se frottait à son pubis, sa cuisse s'introduisit entre mes cuisses les forçant à s'écarter ; je mouillais comme cela ne m'était plus arrivé depuis un an avec mon mari...
Il m'entraîna dans les toilettes au fond du wagon où il me prit à la hussarde en pétrissant mes seins après avoir troussé ma jupe.
- « Tu mouilles bien ma salope » me fit mouiller de plus belle. Après que nous eûmes jouis tous deux, il me retourna comme une crêpe me disant « je vais défoncer ton joli cul, je veux te baiser comme une chienne » cette grossièreté soudaine décupla mon excitation.
Il me fit jouir 2, 3, 4 fois ou plus, je ne sais plus...
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