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Constance ou la pièce sombre

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 20/11/2023

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CONSTANCE OU LA PIECE SOMBRE

Ca faisait trois mois qu'on se connaissait, Constance et moi, quand ça s'est produit pour la première fois.
Je travaille depuis une dizaine d'années en milieu professionnel. Je suis menuisier de base et on m'a proposé de venir transmettre mes connaissances dans un centre de formation des apprentis. L'idée me plaisait bien et depuis je viens deux jours par semaine dans cette immense bâtisse qui regroupe des zones d'atelier comme celle où je travaille, des salles plus traditionnelles, mais aussi des lieux réservés aux formateurs, tels celle salle dans laquelle je me trouvais actuellement et où je buvais un café seul.
Et puis Constance est arrivée.
Constance, ça faisait trois mois précisément que je la voyais à ce jour. Elle venait d'arriver. Professionnelle elle aussi, elle était dans les industries de transformation, clairement, tout ce qui était nourriture. Je savais qu'elle avait une petite entreprise qui faisait des pâtisseries artisanales bio.
Elle aurait fait le bonheur d'un caricaturiste. Non pas qu'elle soit moche, au contraire, mais son corps se dessinait autour de certaines rondeurs, qui se seraient exprimées en cercles sur le papier, une série de cercles. Il y aurait eu un premier cercle qui aurait compris cette chevelure très noire et soyeuse dont je n'avais jamais encore vu le déroulé, éternellement rassemblée sur sa tête par des épingles dans des chignons aux formes diverses mais toujours très hauts. Son visage était rond lui aussi, et ses traits pas très fins, s'ils n'avaient été rattrapés par une bouche magnifiquement dessinée, charnue et pulpeuse et de grands yeux noirs. Le cercle suivant c'était celui d'une poitrine très volumineuse, qui, contenue par le tissu, semblait prête à s'étaler si on la libérait de celui-ci. Il y aurait eu un autre cercle pour ses hanches très marquées, et un dernier pour cette croupe, qui dans un équilibre pas vraiment parfait avec ses seins partait aussi loin en arrière que ses seins partaient eux en avant.
C'était sans doute très basique, mais, si on n'en avait pas forcément envie avec toutes les filles, son anatomie créait irrésistiblement le désir de poser les mains dessus, de toucher, de caresser...Quelque chose de simple, de basique, de primitif sans doute, l'envie d'un homme pour un corps de femme.
Elle portait toujours des vêtements très près du corps, et je me posais souvent la question, je n'étais pas le seul, de savoir si elle avait des sous-vêtements, ou bien si elle était nue dessous. J'avais eu une copine qui ne voulait pas de marques de sous-vêtements et qui se contentait d'une serviette périodique qu'elle collait contre sa chatte. Si j'étais à peu près sûr qu'elle avait un soutien-gorge, qui maintenait ses seins, on en distinguait les bretelles, je me posais la question pour une éventuelle culotte. Quand elle était penchée, comme par exemple quand elle faisait des photocopies, on pouvait être tenté de penser que ses fesses étaient nues contre le tissu d'un pantalon, d'une jupe, d'une robe, le sillon offert. Une culotte aurait laissé un flou. Et la précision avec laquelle son sexe pouvait se dessiner contre ses pantalons donnait le même message, Comment penser qu'elle avait un slip quand on distinguait nettement les lèvres sortant de son sexe?
Des femmes, on en croise tous les jours, dans des rapports plus ou moins brefs, parfois d'un instant, plus ou moins longs, le désir naît, mais rien ne va jamais plus loin.
C'est pour cela que j'ai été vraiment très surpris quand, un milieu d'après-midi, je buvais un café, dans la salle de repos attenante, elle est venue s'asseoir près de moi. Elle avait une jupe noire serrée et un chemisier rouge dont le tissu était tendu par ses doudounes.
Je ne m'attendais vraiment pas à ce qui s'est produit. D'autant qu'il n'y avait pas eu de signes avant-coureurs. Elle s'est penchée sur moi et elle est venue chercher ma bouche. D'abord, pour quelques secondes interdit, j'ai répondu à son baiser. Elle avait une manière enveloppante et prolongée de prendre votre bouche que j'ai énormément apprécié. On est restés un moment bouche contre bouche, avant qu'elle ne fasse coulisser sa langue et vienne frotter la mienne...On s'est excités à frotter nos langues l'une contre l'autre avant que, se détachant, elle ne me dise:
--Tu as envie que je te caresse?
Elle n'a même pas attendu une réponse. Avec une rapidité qui m'a laissé pantois, elle est venue me défaire, elle a sorti une queue que les précédentes secondes avaient gorgé de sang. Et elle s'est mise à me caresser.
J'adorais me faire masturber par une fille. Un plaisir que certains auraient regardé avec beaucoup de dédain, mais qui me renvoyait à de vrais bons moments. Comme pas mal de garçons, mes premiers moments de plaisir, ça avait été avec une petite copine qui m'avait masturbé jusqu'à l'orgasme, pas très adroite, mais ayant envie de premiers contacts sexuels, sans aller trop loin, et avec une pénétration impossible, par peur des risques. Un plaisir intense, encore meilleur sans doute avec la nostalgie, et qui s'était reproduit au cours de ma vie sexuelle, pour diverses raisons. Un moment de flirt, l'envie simplement, parce que la sexualité est faite de mille jeux différents, quelque chose d'audacieux dans un lieu public ou exposé parce qu'on ne peut pas aller plus loin.
C'était clair, et je l'ai bien compris alors qu'elle faisait aller et venir sa main sur ma queue, ce n'était pas la première fois qu'elle avait une queue dans la main et qu'elle la masturbait. Le plaisir a été là très rapidement. Plaisir de sentir sa main sur moi, chaude, douce et caressante, et d'une caresse qui ne s'est pas résumée à un simple va-et-vient de bas en haut et de haut en bas le long de ma tige, plus élaborée, plus travaillée, plus subtile, Elle a certes commencé par faire aller et venir sa main resserrée le long de ma queue, ce qui a eu pour effet de me dilater encore plus, mais elle a basculé sur quelque chose de plus subtil, commençant par venir frotter ses doigts contre mon gland...Une caresse très forte, qui a fait que du liquide pré-séminal s'est mis à jaillir de mon méat comme de l'eau d'une fontaine, enduisant ma chair et ses doigts....Elle a basculé sur une autre caresse, descendant sur mes couilles pour les masser, et venant laper le jus qui coulait de moi. Quand elles caressent, les filles oublient souvent les couilles, et pourtant c'est une partie qui procure un plaisir infini.
On est restés sur cette caresse qui nous convenait à tous les deux, Je crois bien que je n'avais jamais été aussi gros...Il y a eu un moment où j'ai bien senti que j'allais jouir. Elle aussi...Elle a resserré sa bouche autour de moi, et elle a laissé mon sperme couler en elle. Impression ou réalité, je n'en finissais pas de me vider, à grands jaillissements Pas de petite copine ces derniers temps, pas forcément envie de prendre du plaisir tout seul...Un plaisir intense et au moins le sperme accumulé ces derniers jours, même si je savais bien qu'il ne se stockait pas en réserve.
Ce qui s'est passé juste après, je ne l'ai pas oublié non plus. Elle a retroussé sa jupe, certes courte, et déjà remontée le long de ses cuisses, jusqu'à sa taille, m'offrant un paysage de rêve. Le nylon qui gainait ses jambes, je l'ai découvert, était celui de bas stay-up, et elle n'avait pas, pas de surprise là-dessus, de slip. J'ai été en prise directe avec une grosse vulve que l'excitation avait dilatée, sexe entrouvert, des lèvres bien étalées hors d'elle, épaisses et longues, et une brillance de ses chairs, sur une large zone, qui disait son excitation. Elle a enfoncé ses deux index en elle, et elle s'est ouverte, me laissant voir son intérieur très loin.
--Regarde, tu y penseras en attendant la prochaine fois.
Parce que tout ce qu'elle avait fait avait amorcé un point de tension en elle, elle s'est caressée, et elle a joui très rapidement. En haut de ses lèvres, en dessous d'une toison qu'elle avait gardée mais taillée, son gland clitoridien était bien visible, saillant, à l'image du reste de son corps, volumineux...Elle l'a pris entre son pouce et son index et elle s'est mise à tirer dessus...Au bout de quelques secondes seulement, elle a joui, en éjaculant des jets blancs copieux qui ressemblaient à du sperme. Il y avait un rouleau d'essuie-tout sur la table basse, je l'ai attrapé et j'ai nettoyé les zones souillées, les fauteuils, le sol...Le sexe suppose souvent des épanchements de liquide.
--Le prochaine épisode viendra bientôt, elle m'a dit, debout, redescendant la jupe le long de ses jambes.
Il s'est passé plusieurs jours avant qu'elle ne se rapproche à nouveau de moi. Je me suis posé pas mal de questions...J'ai pensé qu'il s'agissait simplement d'une question de rythme, son rythme propre. Elle est arrivée, en tous les cas, dans la même salle de repos une semaine plus tard. Une situation qui aurait pu sembler identique, mais qui s'est vite révélée totalement différente. Elle portait un pantalon noir très moulant qui ne laissait pas deviner grand chose de son anatomie, tellement il mettait tout en relief. Son sexe se dessinait avec une précision hallucinante, et on avait l'impression que ses fesses allaient jaillir dans les secondes qui suivaient. Couplé à un débardeur rouge que sa poitrine semblait devoir crever, et avec une paire de bottes du même rouge, luisantes et hautes, elle était...Irrésistible...Difficile de ne pas avoir le feu au ventre en la regardant, et c'était bien mon cas...
Elle m'a souri, et elle m'a dit:
--Viens, je t'emmène en exploration vers des lieux que tu ne connais pas, et que j'ai découverts par hasard.
On est partis de cette salle, glissant dans une autre. Jusque là, je connaissais.
C'est là que ça s'est compliqué. Il y avait un local plus petit, sans fenêtre, utilisé comme une réserve. Elle a avancé jusqu'à une armoire métallique. C'est uniquement parce que j'avais l'attention fixée dessus que j'ai remarqué ce qu'elle avait vu, elle, avec un meilleur don d'observation que moi. Le mur derrière l'armoire était blanc à part une rainure noire.
Elle a attrapé le cul de l'armoire, moi j'aurais bien attrapé le sien, tendu vers moi, avec ce sillon profond qui me fascinait, et elle a fait pivoter l'armoire. Voulant l'aider, j'ai attrapé moi aussi l'armoire, me rendant compte qu'elle était très légère, et donc vide, ou quasiment vide.
Devant nous, il y avait une porte, marron, sans serrure. Il suffisait d'ouvrir et on a basculé dans les zones les plus discrètes et les plus secrètes de cette bâtisse. Il y en avait toujours. Il suffisait de savoir où chercher.
On est descendus le long d'un escalier d'une quinzaine de marches. Un escalier tout simple, en béton.
--On est dans l'un des sous-sols, elle m'a expliqué. Il y en a plusieurs, et j'ai l'impression qu'il ne communiquent pas forcément entre eux. Je me suis renseignée. Il y en a quatre. L'un d'entre eux renferme les chaufferies. Ici, il n'y a rien de particulier...Enfin, pas totalement.
Elle m'a pris la main et elle m'a entraîné dans le couloir. Ca a vite pris une forme labyrinthique, et je me suis demandé si j'arriverais à rebrousser chemin sans elle. Je me voyais bien abandonné dans le labyrinthe, sans jamais retrouver la sortie, tombant mort de faim et de soif, ce qui resterait de moi retrouvé quelques années plus tard, par hasard.
Là, j'avais une boussole, comme, bien que me tenant la main, elle marchait un peu en avant de moi, ses fesses pleines, cambrées, tendues vers moi, qui glissaient sous le tissu du pantalon.
Des murs gris, un alignement de portes, un couloir parallèle, puis encore un autre, d'autres portes.
Et puis, au bout d'un couloir, quelque chose de surprenant. Un bloc, avec une porte, différente des autres pour une raison évidente : le battant était peint d'un noir d'encre, un noir paradoxalement lumineux qui venait vous frapper en plein visage.
--Tu veux que je te raconte une histoire ?, elle m'a dit, se tournant vers moi, en même temps qu'elle venait me défaire, sortir ma queue de mon pantalon, et la masturber, alors même qu'elle était déjà bien érigée. Tu vois, j'ai trouvé ce passage, j'avais du temps devant moi, et j'ai décidé de partir pour de l'exploration. Et hop, je suis tombée sur ce local hors normes.
Sur la porte il y avait une clef. Ca m'a fait penser aux contes de fées..Une clef sur la porte, tu rentres, c'est une maison de rêve, une bonne surprise en apparence, une mauvaise au final...
Mais j'ai pris la clef, trop curieuse, et j'ai ouvert.
J'étais partagé entre sa narration, elle avait du talent pour raconter, et cette caresse sur ma queue, qui me donnait du plaisir et me faisait durcir. Sous sa caresse, il me semblait que je n'allais jamais cesser de devenir épais toujours plus épais, long, toujours plus long.
--J'ai poussé la porte. Dedans, comme tu vas le voir, tout est aussi peint en noir, et le mobilier est lui aussi noir. C'est quelqu'un qui s'est arrangé une alcôve, patiemment.
Tout en continuant de me caresser, elle a tiré la clef d'une poche et elle a ouvert. Elle me tenait par la queue, ne me lâchait pas, un peu comme si ca avait été une laisse, et elle m'a entrainé à l'intérieur.
Un interrupteur. Je l'ai basculé, et une lumière douce a peu à peu envahi la pièce. Ca m'a permis de voir ce qu'il y avait autour de moi. Le local semblait plus grand de l'intérieur que de l'extérieur. Les murs étaient peints en noir, peinture laquée qui elle aussi renvoyait la lumière. Il y avait un très grand lit, format 160 qui occupait un espace important, draps noirs, un canapé, des fauteuils, des poufs qui ne déparaient pas le reste, et dans le coin un petit frigo, plus une table basse.
Elle m'a entraînée vers le lit. Elle s'y est assise, et s'est retrouvée face à ma queue. Elle a souri le regard brillant.
--Il n'y a rien de plus beau qu'une queue. Je pourrais jouer des heures avec. La toucher, la caresser, la regarder sous tous ses angles, la lécher, la sucer...Je suis une obsédée sexuelle et je ne cherche même plus à lutter contre mes tendances.
Elle a sorti sa langue, et elle est venue lécher mon gland, en tournant dessus dans un mouvement circulaire. J'ai senti que je me mettais à couler comme une fontaine. Elle m'a relâché, sans quoi j'aurais sans doute explosé.
--Si tu m'en disais plus, j'ai demandé? Je suis curieux.
--Je suis rentrée dans la pièce, et je l'ai découverte. J'ai pensé, et je suis certaine de ne pas me tromper, que si la clef était dessus, ce n'était pas un hasard.
Elle s'est redressée. Ma queue était longue et épaisse, comme elle l'avait rarement été. Elle savait caresser et puis elle m'excitait énormément, et je la désirais intensément, et depuis plus longtemps que je ne me le serais avoué.
J'avais reculé un peu. Elle était juste devant moi, à quelques millimètres de moi. Elle s'est penchée sur moi et elle m'a mordu.
--Je m'offre à toi. Tu peux me faire ce que tu veux. Tout ce que tu veux.
C'était un peu comme d'avoir gagné le Loto. Le bonheur, une joie profonde, quand même un sentiment d'incrédulité. Avoir enfin accès à son corps.
Je n'allais ni attendre, ni me gêner.
D'abord, et avant tout, je mourrais d'envie de voir sa nudité, en espérant que ce qui était modelé par les vêtements ne serait pas décevant une fois dénudé.
Elle souriait, heureuse, alors que je venais défaire les boutons de sa chemise, les mains légèrement tremblantes d'émotion, comme il peut y en avoir souvent dans le sexe. J'ai écarté les pans pour découvrir un magnifique soutien-gorge rouge, avec des fleurs noires dessus. Je savais que les soutien-gorges étaient une pièce de lingerie qui pouvait coûter cher, parce qu'il y avait pas mal de morceaux à assembler, et d'autant plus quand on avait de grosses doudounes. C'était presque du soutien-gorge spécial.
Ce que je craignais, c'était justement que ses doudounes, parce qu'elles étaient volumineuses, puissent tomber. On peut être jeune et avoir des seins mal dessinés, et qui tombent, la gravité ne s'accentue pas seulement avec l'âge.
Je l'ai encerclée pour venir défaire l'accroche du soutien-gorge et j'ai rattrapé la pièce de tissu. En reculant, le soutien-gorge a libéré les doudounes. Et j'ai été ébloui. Elle avait vraiment une belle poitrine. Des seins volumineux, mais très ronds, parfaitement fermes, projetés devant elle, nus, comme quand elle était habillée. Je n'étais pas obsédé par les seins, comme certains, j'aimais aussi les petits seins..Mais ils étaient vraiment magnifiques, d'autant qu'ils étaient ornés par deux aréoles roses et larges, et deux tétons tout aussi roses qui ont commencé à se durcir et s'allonger sous mes yeux,sans que je sache si c'était le fraîcheur de la pièce, l'excitation, les deux, ou encore autre chose.
J'ai eu le sentiment, à ce moment d'une connexion entre nous, quelque chose qui passait de fort, qui s'établissait, et devait se renforcer par la suite. Qu'elle lisait en moi et que je lisais en elle. Qu'elle savait ce dont j'avais envie, et me disait oui mentalement.
Elle a mis ses mains sous ses seins, en coupe, comme pour me les offrir. Je me suis penché sur elle, et, de la langue, je suis venu tracer des arabesques sur sa chair, chaude et sucrée. Ma queue était dure d'excitation, jusqu'à en avoir mal. Jamais je n'avais expérimenté un moment comme celui-là, aussi troublant, aussi excitant, et pourtant des filles, j'en avais déjà connues pas mal. Ce ne serait peut-être qu'un coup d'un moment. Il faudrait que je le fasse durer. Car tout ce qui se passait me plaisait énormément.
Quand ma bouche est venue sur son téton gauche, elle a défait le bouton qui tenait son pantalon à sa taille, a tiré la fermeture-éclair vers le bas, et elle a glissé la main sous le tissu. Apparemment, parce que j'apercevais une belle toison brune, elle n'avait pas de slip dessous, et elle s'est mise à se caresser, dans un mouvement circulaire, d'autant plus troublant qu'on ne voyait rien.
Son téton, dans ma bouche, était déjà épais, et il a encore durci, et s'est encore allongé alors que je le caressais de la langue, m'efforçant de donner le meilleur de moi-même, une sorte de remerciement pour ce qu'elle, elle m'offrait, un cadeau inestimable, son corps et le plaisir de pouvoir en profiter.
J'ai été d'un téton à l'autre, et elle, elle en a profité, ca faisait, je le comprenais bien, une ligne entre ses seins et son sexe, à partir de laquelle partait un plaisir qui ne faisait que croître...
Ses tétons semblaient avoir des capacités érectiles illimitées. C'était impressionnant. Ils me remplissaient la bouche. Un peu comme si une queue avait envahi ma cavité buccale.
Mais j'en voulais plus. Puisqu'elle me donnait tout, pourquoi ne pas le prendre ? Je suis tombé à genoux, et j'ai tiré le pantalon à ses chevilles. Elle aurait pu cesser de se caresser, au contraire, a continué à se toucher, dans un mouvement circulaire. Elle aurait pu s'esquisser de dix mille manières différentes, c'était toujours excitant pour un homme que de voir une femme se masturber, et je ne faisais pas exception à la règle. J'avais un souvenir déjà lointain des jeux troubles auxquels j'avais joué avec une copine, qui était partie, et avec qui j'aurais aimé rester, un de nos jeux consistait à nous caresser devant l'autre, jusqu'à la jouissance...Quand j'étais seul et que je me branlais, je pensais souvent à elle, excitant son gland clitoridien ou tirant ses lèvres, ou encore faisant aller et venir un doigt en elle jusqu'à l'orgasme. Ca me plaisait énormément, comme j'ai aimé voir ce sexe, masqué puis dévoilé par la main qui tournait sur son ventre, toison foisonnante, intérieur rose dévoilé, paquet de lèvres toute gonflées et luisance due aux jus qui sortaient d'elle.
Je l'ai attrapée par les hanches et je l'ai faite tourner. J'avais envie de profiter de ses fesses, sur lesquelles mon regard avait souvent glissé. Là aussi, leur nudité n'était pas décevante. Elles étaient bien proéminentes, mais aussi remarquablement galbées, tendues vers celui qui les regardait comme une offrande. Difficile d'y résister, et je n'y ai d'ailleurs pas résisté. Je les ai prises à pleines mains. Fermes et chaudes, elles étaient comme je l'avais rêvé. Je les ai caressées. La chambre sombre bénéficiait de plusieurs miroirs muraux, et en me décalant un peu, je pouvais la voir, ses doigts poursuivant sa caresse, obstinément. Avec sans doute autant l'envie de démultiplier son plaisir, mais aussi d'en prendre, j'ai posé mes mains à plat sur ses fesses, et je les ai ouvertes pour avoir accès à son sillon. Avec la vision nette d'une chair que je savais être délicate, mais aussi du dessin des plissements de son anus gravés dans sa chair...Je l'ai ouverte autant que possible, et je suis venu appuyer ma langue en haut du sillon pour descendre le long de sa chair la plus intime, fine et délicate contre la pointe de ma langue, avec le dessin particulier des plissements de son anus au bout de ma langue.
J'ai bien été convaincu que les gémissements qu'elle a poussé à partir de ce moment sont venus à cause de ma caresse plus que de sa main sur elle...Alors alors la conjugaison des deux qui a crée un point de conjonction dans son ventre où le plaisir a réellement explosé et fait qu'elle a pu gémir ainsi, puis crier.
Ici, dans cette pièce, on était à mille lieux de nos occupations habituelles. On avait basculé sur une dimension autre, dont on n'avait pas imaginé qu'elle puisse exister ni qu'on puisse trouver un point de passage dans l'austérité du bâtiment.
--Je suis très sensible du cul, elle m'a expliqué, je crois même que j'éprouve plus de plaisir par là que par la chatte.
C'était bon à savoir même si ce n'était pas forcément ça qui m'a inspiré dans les minutes qui ont suivi mais plutôt une envie très forte. Ma queue était restée intacte dans l'érection qu'elle avait boosté, et je suis venu poser mon gland en haut de son sillon, lâchant la pression que j'exerçais jusqu'à présent sur sa croupe, me retrouvant non seulement avec mon gland au fond du sillon, appuyé contre la chair délicate, mais aussi enveloppé par sa chair. Je me suis mis à bouger dans son sillon, de haut en bas, et de bas en haut. C'était la première fois que je partais sur une telle caresse, l'inspiration et l'envie, et j'en tirais un plaisir aussi fort que le sien. Des sensations très intenses, mais aussi le plaisir visuel de voir ma queue plantée et enveloppée par cette croupe qui me faisait tellement envie.
--J'ai envie qu'on aille plus loin.
Il y a eu un moment de flottement. Avant que je ne comprenne où elle voulait en venir.
--Je te l'ai dit, j'ai un plaisir très intense par là. S'il ne doit y avoir qu'une seule fois, je souhaite qu'elle soit très forte.
Moi aussi j'aimais basculer sur du sexe anal. C'était toujours un moment particulier. Un plaisir différent mais que je trouvais moi aussi très fort, et qui impliquait en tout cas une proximité entre deux partenaires. Ce degré qu'on avait atteint elle et moi alors qu'on était devenus amants depuis peu.
On a été dans un moment particulier, un mélange de tension, d'excitation, et pour moi, mais sans doute pour elle aussi le point où on s'est sentis le plus loin de ce qui nous entourait, de ce monde qu'on allait bientôt retrouver.
Elle m'a précisé:
--N'aie pas peur, tu ne me feras pas mal...Ca va rentrer tout seul. J'ai l'habitude de me faire enculer, dès que je trouve un partenaire que je sens disposé, j'en profite. Et quand je joue avec des godes, j'en enfile toujours un par là. Jouir par le cul, c'est unique.
Ca m'a ôté les hésitations que j'aurais pu avoir. J'avais dans les poches de mon blouson un préservatif que j'avais calé là quelques jours plus tôt, parce que notre premier rapprochement m'avait laissé penser que quelque chose était possible entre nous. J'en ai déchiré l'emballage et j'ai fait coulisser le latex le long de ma queue. Puis j'ai glissé en elle. Une sensation unique, dont j'avais perdu la trace. Ca faisait longtemps que je n'avais pas sodomisé une fille. J'ai effectivement, comme elle me l'avait prédit, glissé en elle sans difficulté, saisi par les sensations intenses d'une pénétration anale, celle d'un conduit étroit serré, qui plus encore qu'une chatte, plus lâche, vous prenait. Je suis parvenu à rentrer aux trois-quarts en elle, Son visage dans le miroir, sa main sur elle, caressant frénétiquement disaient clairement l'intensité de son plaisir. Mais je n'étais pas forcément mieux. J'étais au bord de la jouissance et j'ai du me maîtriser pour ne pas jouir sur le champ, même si je me savais tellement excité que je pourrais rester bien dur et lui donner du plaisir.
J'ai fait aller et venir ma queue en elle, excité par la sensation ultra-serrée, d'être pris par ses chairs intimes, par la manière dont son corps était mu par le plaisir, frémissant, tremblant, et dont elle se masturbait frénétiquement, ses jus intimes coulant, de plus en plus abondants et arrosant ses cuisses.
J'ai pu me maîtriser longtemps, mais j'ai senti que je passais un cap, au bout d'un moment, au-delà duquel je ne contrôlais plus rien. Ma jouissance a été à l'égal de ce moment que nous partagions, très forte. Elle m'a déchiré en deux, et je n'ai pas pu m'empêcher de crier, alors que mon sperme commençait à jaillir à grands jets et venait cogner, à travers le latex, contre les parois de ses chairs anales. Elle s'est mise à hurler elle aussi et j'ai prié pour que les parois du local soient insonorisées. C'était sans doute le cas. Ca faisait pas mal de temps que je n'avais pas eu un orgasme aussi fort, et que je n'avais pas craché autant de sperme, un peu comme si, même si ça ne correspondait pas à une réalité logique, je crachais le sperme accumulé pendant plusieurs mois d'absence de partenaire, d'absence de jouissance, même solitaire.
Je suis resté en elle, la queue encore dure, comme si je n'avais pas joui, la sentant encore autour de moi, un trait d'union très fort, à l'image d'un moment très fort, quelque chose que je n'avais pas envie de casser immédiatement. Puis j'ai glissé hors d'elle. Le latex était maculé de sombre, et le réservoir gonflé de la semence qui avait abondamment jailli de mes couilles. Elle l'a soigneusement roulé, avec le souci que le contenu du réservoir ne s'éparpille pas Une fois récupéré et bien en main, elle l'a étiré de manière à avoir accès à la semence et elle a lapé soigneusement le liquide épais et copieux jusqu'à ce que le latex soit transparent.
Elle a jeté un coup d' oeil à ma queue nue, obstinément raide et a ajouté:
--Quand j'étais petite, j'aimais boire le lait d'une bouteille ou d'un Tetra-Pak, mais aussi du pis d'une vache quand j'allais chez ma grand-mère.
C'était une belle métaphore, et pour mieux l'illustrer, au cas où je ne l'aurais pas comprise, elle a plongé sur ma queue, et elle s'est mise à faire aller et venir sa bouche dessus, dans un geste plutôt vif, en même temps qu'elle caressait mes couilles. Elle a finalement maintenu cette caresse sur mes couilles, mais est venue planter le bout de sa langue dans mon méat, cherchant à l'enfoncer aussi loin que possible. Une caresse inédite, aucune fille ne m'avait fait ça avant, Constance était décidément une fille précieuse, qui avait beaucoup d'imagination, et cette langue qui m'a fouillé, tentant de s'enfoncer toujours plus loin m'a mis dans tous mes états. J'ai eu la sensation, partiellement basée sur la réalité qu'elle rentrait en moi, comme un homme peut rentrer dans la chatte d'une femme de la langue.
Quand elle a senti que j'allais à nouveau jouir, elle a reculé sa langue et son visage. Elle voulait sans doute me prendre à nouveau dans sa bouche mais ma jouissance a été plus rapide. Le premier jet de sperme a explosé en travers de ses joues, et elle a choisi finalement de se laisser arroser le visage.
L'éjaculation faciale, c'était quelque chose qui, pour moi, appartenait au porno, pas la réalité, et ça a fait monter mon plaisir d'un cran, que de voir la semence s'éparpiller sur tout son visage et ses cheveux, traits épais et crémeux qu'elle a ensuite collectés du bout des doigts pour les avaler.
Elle a repris ma queue au creux de sa main.
--Bon, ça fait plaisir de voir que je t'inspire beaucoup de désir. Tu as à peine débandé. Mais je crois qu'on va en rester là pour aujourd'hui. Il faut qu'on y retourne. J'ai encore à faire.
C'était vrai qu'elle me subjuguait totalement. Nue ou habillée, mais l'avoir tout près de moi, totalement nue, sa chaleur, l'épaisseur de son corps, son dessin à quelques milimètres de moi c'était très fort.
On s'est rajustés, elle a fourré la clef entre ses seins, qui l'ont avalée.
--La prochaine fois que tu voudras revenir ici, il faudra que tu trouves la clef sur moi.
--Parce que je peux espérer qu'on reviendra dans la pièce sombre ?
--Bien sûr, gros béta, autant qu'on pourra.
On a quitté ce monde parallèle pour repartir vers notre monde. Au bout du couloir, je me suis retourné pour jeter un œil à la pièce noire.
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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Constance ou la pièce sombre

Le 21/11/2023 - 17:20 par OlgaT
Une magnifique rencontre!

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