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Une femme sur un chantier

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 20/11/2023

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UNE FEMME SUR UN CHANTIER

Le chantier avait déjà bien pris ses marques quand je les ai remarqués.
Je passais là tous les matins pour partir travailler. C'était la sortie est de cette petite ville de province où j'habitais. Il y avait là un grand champ, tout près de maisons, mais encore un espace vierge qui n'avait pas résisté à la convoitise des promoteurs. Ils avaient sans doute su trouver les bons arguments, proposer les bonnes sommes. Toujours était-il qu'un panneau avait annoncé la construction d'un ensemble, de petite taille, car le terrain n'était pas non plus extensible. Il avait d'abord été formaté, avec installation des emplacements puis des bornes pour les branchements divers, et enfin le travail de monter les maisons avait débuté.
C'était là qu'ils étaient intervenus. Et je les avais remarqués pour la première fois un matin. Ils étaient une bonne demi-douzaine. Ils arrivaient au travail, en discutant. Ils avaient une trentaine d'années. Bleus de travail, T-shirts laissaient deviner ou entrevoir des corps musculeux. De quels pays venaient-ils ? On avait l'habitude, c'était une tradition en France, de faire venir de la main d' oeuvre étrangère sous-payée, mais pour qui ce maigre salaire représentait bien ce qu'ils ne pouvaient toucher chez eux pour quelque chose d'équivalent.
Il était six heures du matin, on était à l'époque des beaux jours, le soleil se levait. J'arrivais à un croisement qui était sur la gauche du chantier. Je m'étais arrêtée, il n'y avait personne derrière ou devant moi. Je les regardais. En me rendant compte que j'avais du chaud dans le ventre, et que je commençais à me mouiller la culotte, mon sexe s'entrouvrant. J'étais une grosse obsédée, et, en ce moment, une grosse obsédée en manque. Le sexe avait une part importante dans ma vie, je ne comprenais pas ceux qui pouvaient vivre sans plaisir, et ces derniers temps le manque de partenaires me rendait à moitié folle.
Il s'est passé deux ou trois jours encore avant que je ne décide de me garer sur le côté, il y avait une bande de terre suffisante pour qu'on puisse se parquer sans gêner personne, et que je me laisse aller à mes démons, tout en les regardant, et en imaginant des moments torrides avec eux. Ca calmait mes envies, mon manque, que de glisser ma main sous ma robe, sous ma jupe, voire je défaisais un pantalon, je fourrais ma main dans mon slip, dans mon collant, et je me masturbais frénétiquement, le regard fixé sur eux, me figeant quand une voiture arrivait au carrefour, à cette heure-ci, elles étaient rares...
Ca me faisait énormément de bien de me donner ainsi du plaisir, même si je ne jouissais pas forcément. Frotter mes chairs sensibles, sentir mes liquides inonder ma main, mouiller le siège...Quand je jouissais c'était encore meilleur.
Je ne m'attendais pas à ce qui s'est passé le quatrième jour.
Je n'avais pas calculé qu'ils n'arrivaient pas tous ensemble, et qu'ils arrivaient de plus de tous côtés. Y compris du mien.
Les yeux mi-clos, en plein trip, je ne regardais plus autour de moi. Je me suis rendue compte à posteriori que j'avais senti à un moment une présence. Mais sans y prêter réellement attention, occupée à me donner du plaisir. Le gars m'avait matée et ma position était sans équivoque. Ca l'avait suffisamment inspirée pour que, regardant sur la gauche, je voie devant la vitre une silhouette d'homme et surtout une queue en pleine érection.
C'était un peu comme un cadeau de Noël avant l'heure. Le plus merveilleux cadeau qui soit pour moi, pour qui les queues étaient vraiment essentielles. Je crois que si on m'avait donné le choix entre une rivière de diamants et une queue, mon choix aurait été vite fait.
J' ai baissé la vitre. Dehors il faisait encore frais, même si on était fin mai, et, au cas où j'aurais pensé avoir rêvé, avec l'obstacle de la vitre baissé, c'était bien une queue que j'avais sous les yeux. Une queue en pleine érection. Longue et épaisse.
Je suis venu donner un premier coup de langue en travers de son gland, en même temps que ma main glissait jusqu'à ses couilles pour les caresser doucement. Il y avait en moi le plaisir infini de retrouver une queue, de pouvoir jouer avec, et sans doute aussi derrière l'orgueil de montrer que j'étais experte. Mais sans doute que le gémissement qu'il a poussé quand ma langue a traversé pour une deuxième fois son gland, en même temps qu je malaxais ses couilles était la preuve que je me débrouillais bien et qu'il reconnaissait mes compétences.
On n'avait pas trop de temps, mais quand même suffisamment pour bien profiter de cette queue et varier les techniques. J'ai bien frotté son gland de ma langue, il a inondé ma bouche de ses liquides pré-sementiels, avant de descendre caresser ses couilles de la langue. Il y avait peu de filles qui faisaient ça, et je savais que c'était une partie vraiment sensible pour les hommes. Le gars a gémi pendant que je baladais ma langue sur lui, en même temps que je faisais aller et venir ma main sur sa tige bien chaude et bien épaisse. Le gars pourrait partir satisfait. Il aurait joui, mais des fellations comme ça, il n'en avait pas tous les jours. J'ai fini par le reprendre dans ma bouche. Je voulais que sa jouissance y éclate et c'est bien ce qui s'est passé. Je l'avais calé dans mon palais, et je frottais son gland de ma langue. Je l'ai senti frémir, et il a déversé, jet après jet un torrent de sperme dans ma gorge. J'ai relâché la pression, il s'est rengainé et est parti travailler, me laissant la gorge pleine de sperme.
J'aurais pu me caresser en même temps, mais je ne l'avais pas fait, me consacrant à sa queue. J'avais maintenant une furieuse envie de jouir, et j'ai amené mon index et mon majeur sur mon gland clitoridien, que l'excitation avait dilaté. J'ai joui quasiment immédiatement, mais j'ai continué de me frotter. Je voulais épuiser tous les orgasmes possibles, et j'ai joui, plusieurs fois, jusqu'à l'épuisement. J'avais trempé mes chairs, ma jupe, ma culotte, et le siège. J'ai redémarré, et un peu plus loin sur un parking, je me suis changée, et j'ai posé une serviette sous mes fesses. J'avais toujours des vêtements de rechange avec moi, pas forcément pour de telles opportunités d'ailleurs.
Le lendemain, je me suis garé à nouveau au même endroit. Je ne sais pas très bien ce que j'espérais. Simplement, à la base, les voir, quelques instants, et me donner du plaisir. Je ne demandais pas grand chose au final. Juste un peu de plaisir à regarder. Et puis je me suis tournée vers la vitre, sentant une présence, alors que j'avais les doigts enfoncés dans le sexe, et que je les faisais aller et venir, j'ai vu deux glands congestionnés, tout près de la vitre, gonflés et bien fendus.
J'ai éprouvé de la joie, à ce moment. La joie d'une fille qui est en manque de queues et qui en découvre au moment où elle n'espérait plus rien. J'ai baissé la vitre. Deux queues, c'est toujours mieux qu'une, et j'allais en profiter au maximum. Et leur montrer aussi toute l'habileté dont je pouvais faire preuve. La fierté n'était jamais très loin. Je ne me demandais pas comment faire, je le savais. Ma main gauche est venue envelopper la queue du type à ma gauche, pour la masturber doucement, pendant que je faisais glisser l'autre queue de quelques centimètres dans ma cavité buccale, et que je me mettais à frotter son méat de la pointe de ma langue. Est-ce cette sensation ou celle de ma cavité buccale, chaude et humide autour de lui qui l'ont fait craquer très rapidement ? Ca ne me gênait pas qu'il jouisse sans attendre, c'était bon d'avoir déjà son sperme couler dans ma bouche, descendre dans ma gorge, chaud, crémeux, après avoir jailli en venant taper contre mes joues. J'aimais boire le sperme des hommes, sentir leur chaleur couler en moi, et me remplir le ventre.
Je me suis concentrée sur l'autre queue. Qui semblait devoir tenir plus longtemps. Il m'a semblé que c'était la queue de la veille. J'étais experte en queues, je n'étais pas le genre de fille pour qui elles se ressemblaient toutes, au contraire, je repérais vite ce qui faisait leurs caractéristiques. On m'en aurait présenté dix, j'aurais su la seconde fois les identifier sans problème.
J'ai baladé ma langue le long de sa tige. Le gars s'est mis à gémir. Je suis revenue sur son gland, et je l'ai frotté de la langue. Sa chair était sèche jusqu'à ce moment, un flot de liquide pré-sementiel est monté, a arrosé sa chair et rempli ma bouche. J'ai tourné sur son gland. J'ai glissé ma main dans sa raie, et j'ai appuyé mon doigt contre sa muqueuse anale. Je me suis mis à frotter doucement. Il a poussé un gémissement, et il a joui dans ma bouche, son sperme venant se rajouter à celui de son camarade de travail qui s'était éclipsé. J'ai redémarré, la bouche pleine de sperme, partant sur ma route habituelle, mais m'arrêtant un peu plus loin, sur une place de parking, pour me caresser. J'avais pris la précaution cette fois de placer une serviette sous mes fesses, mais ça n'avait pas changé grand chose. Je m'étais ruisselée dessus, et j'avais trempé ma petite culotte et ma jupe. J'avais heureusement de quoi me changer dans la voiture. Je me suis frotté les lèvres, me faisant jouir dans cette configuration de caresse, et inondant encore plus mes chairs. Ce moment si particulier, dans sa fragmentation, me donnait du plaisir.
Je savais pourtant que ce n'était pas suffisant pour moi. J'avais envie d'autre chose. Mais je savais aussi comment l'obtenir. Il fallait juste que je sois mûre pour cela.
Ca a été le cas au début de la semaine suivante. La construction montait vite, et je savais que je ne devais pas traîner. Les chantiers étaient souvent bouclés rapidement, ou bien il y avait des pauses longues avant qu'un autre corps de métier ne prenne la suite.
Ils garaient leurs véhicules, personnels et de travail sur l'entrée sud du terrain, bloquée par des plots de béton avec juste suffisamment d'espace pour laisser passer des personnes, mais pas des véhicules, fermée la nuit par une chaîne. Les bâtiments étaient à présent montés, et je redoutais leur départ. La pose de portes, de fenêtres ne serait sans doute pas de leur ressort. Ils avaient fait le gros œuvre.
J'arrivais en fin d'après-midi, et certains étaient déjà partis. Il restait deux gars qui étaient là, un grand type vraiment baraqué avec une fine moustache, et un autre plus fin, blond. Tous les matins, ils étaient maintenant plusieurs à venir me présenter leur queue, quatre ce matin, et je repartais comblée, le bouche et le gosier pleins de semence, après avoir caressé ces verges dures qu'ils offraient à moi.
Difficile de savoir si les deux hommes qui étaient là me l'avaient offerte, leur quéquette. Une chose était sûre, en tout cas, qu'ils m'aient approchée ou qu'ils aient simplement entendu parler de moi, ils m'ont identifiée. Quelque chose s'est allumé dans leur regard, et dès lors, tout a été de soi. Je me suis approchée, et campée devant eux. Ils venaient de finir je ne sais quoi. J'ai soulevé la robe que je portais et tourné sur moi-même, me dévoilant. Quand j'ai eu fait un tour complet sur moi-même, mon regard a accroché le leur et j'ai lu dans leur regard quelque chose sans ambiguïté, du désir. Je me suis approchée d'eux, et, allant droit au but, j'ai mis leurs queues à nu. Elles étaient semi-roides, et je les ai caressées doucement pour les faire durcir. Mon regard sur elles, je me suis dit qu'il y avait l'une d'entre elles que j'avais déjà vue le matin...Je connaissais déjà l'une des queues...C'était bien moi. Ne pas savoir reconnaître le visage d'un homme, mais sa queue...Ils se sont laissés branler, avant que je ne tire de la poche de ma veste une boite de préservatifs. Je les ai gainés l'un après l'autre de latex.
Ca a été plutôt rapide. J'ai roulé ma robe, coinçant le tissu dans la ceinture qui entourait ma taille. Les plots de béton seraient parfaits pour nous et pour ce que j'avais envie de faire. J'ai guidé l'un des gars vers l'un de ces plots et je l'ai fait se poser. Sa queue raide, enveloppée de latex ne demandait qu'une chose : une muqueuse chaude et souple. Je me suis faite descendre au-dessus de lui, j'ai attrapé sa queue, et je l'ai guidée vers ma muqueuse anale. J'ai frémi quand j'ai senti son gros gland appuyer contre mes plissements anaux. J'étais souple par là, j'aimais jouir par le cul. Il m'a remplie et la vague de plaisir qui m'a saisi a été intense. Quand il a été au fond de moi, j'ai pris le temps de bien me sentir remplie, avant de me faire monter et descendre sur lui, et d'en tirer du plaisir.
Mais ce n'était qu'une étape.
Je me suis penchée en avant, j'ai attrapé l'autre gars par les hanches et je l'ai attiré vers moi. Il fallait bien manoeuvrer, une question de position, d'angle, et je me suis donc légèrement penchée en arrière, lui offrant mon sexe dilaté d'excitation. Je n'ai pas eu besoin de le guider, il est rentré en moi tout seul, me remplissant, allant aussi loin qu'il le pouvait. J'ai fermé les yeux, me laissant envahir par la sensation de leurs deux queues en moi. La peau qui séparait mon vagin et mon rectum était très fine, et j'avais la sensation que leurs verges durcies s'étaient rejointes dans mon ventre, pour me donner un maximum de plaisir.  Ils sentaient sans aucun doute la queue de l'autre à travers le membrane fine et ça devait les exciter, même s'ils ne l'auraient jamais avoué.
Ils se sont mis à bouger en moi, j'avais un peu plus basculé en avant pour permettre au gars qui était en dessous de faire bouger sa queue dans ma muqueuse anale. D'abord pas synchronisés, mais ça me plaisait bien comme ça, ils ont trouvé un rythme commun, et sentir leurs queues bouger à l'unisson, démultipliées, c'était quelque chose de vraiment intense. Il me semblait être habitée par une seule queue, mais une queue énorme, qui écartait mes chairs et montait de plus en plus haut. J'étais en plein trip, et un point de fusion s'est allumé en moi. Je me suis mise à jouir, secouée de spasmes, et criant, chavirée de jouissance et d'orgasmes...Je les ai sans doute entrainés avec moi, leur sperme est parti dans le latex, venant taper contre les parois de mes muqueuses, me faisant jouir plus, et plus fort.
La magie ne pouvait tenir que le temps d'un moment de plaisir. Ils se sont retirés de moi et nous sommes redevenus des étrangers. Ils se sont éloignés, vaquant à leurs occupations ou prétendant vaquer à leurs occupations le temps que je me rajuste et que, titubante, mais comblée, je m'éloigne, me mette au volant et redémarre.
Mon instinct était sûr, plus sûr que je n'aurais imaginé. Le lendemain, je me suis calée à mon endroit inhabituel, le chantier était mort, et il n'y avait personne. Pareil les jours suivants.
Mais je suis pleine d'espoir. Il y a les finitions à faire, les fenêtres et les portes à poser, crépir, peindre...Ca me promet de bons moments encore.
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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Une femme sur un chantier

Le 26/11/2023 - 08:00 par nana08000
très excitant ces ouvriers étrangers. Dommage qu'à la fin ils n'étaient plus que 2. Bonne chance pour la suite des travaux.
Le 21/11/2023 - 17:15 par OlgaT
Cette femme s'en est donnée à coeur joie!

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