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Je veux me faire sodomiser

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Lue : 16077 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 28/12/2013

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C’est elle qui m’a demandé un soir quand nous faisions l’amour de la lui mettre au cul. Je n’osais pas le lui demander, c’est une question trop intime. Je sortais ma queue de son sexe, encore pleine de ses sécrétions. Je pensais qu’elle allait se retourner, me donner ses fesses en levrette. Non, elle prenait ma bite dans une main, la caressais à peine, la posait juste sur son cul. Je n’avais qu’à entrer sans frapper : elle ouvrait les muscles de son anus. Je me sentais entrer dans son mystère plus qu’intime. J’étais dans un endroit serré, fait pour me donner des orgasmes supérieurs. Le gland était à son aise, entouré par des endroits inconnus. Je le mettais le plus profond possible. Elle geignait au début d’un peu de douleur, sans doute, et enfin de plaisir.

J’étais au plus profond de son ventre quand je sentais ses spasmes : je la faisais jouir avec la bite dans le cul. Je voulais sortir d’elle : elle me l’interdisait : je devais moi aussi jouir là. Je lui donner mon sperme avec plaisir. C’était à mon tour d’avoir des spasmes violents.

Nous baisons presque tous les soirs. Au moins deux fois par semaine je dois visiter ses fesses. Nous en jouissons toujours autant, sinon plus. Elle perfectionne son ascension vers l’orgasme en se masturbant. Elle reste sur le dos, une jambe sur moi qui suis perpendiculaire à son corps. Je suis tout près d’elle, ma queue tendue. Je m’approche de ses fesses, elle me laisse venir contre. Je dois la chatouiller un peu avec mes poils. Je passe ma pine dans ses fesses. Quand je suis tout près, elle s’ouvre. Sa main commence une sarabande sur sa chatte. Elle lève la tête pour espionner mon arrivée. Je caresse son cul avec le gland. Elle n’attend pas toujours : il faut que je l’encule rapidement.

J’aime toujours, cette sensation d’abandon, des soupirs quand j’entre. Nous entamons des va-et-vient lents puis rapides. C’est elle qui dirige la manœuvre. Elle veut que je fasse durer la sodomie le plus possible : elle me gronde presque si je jouis trop vite.

Un jour, bien longtemps après lui avoir payé un gode dont elle se sert souvent pour ses plaisirs solitaires, Elle se sodomisait elle-même devant moi. Je voyais le gode entrer dans l’anus, le ressortir, le remettre, l’enfoncer très profond. Je la voyais jouir au moins aussi fort que quand c’était ma pine qui était en elle.

Elle venait sur moi pour que je la baise. Elle en profite pour se mettre le gode dans les fesses : c’est ainsi qu’elle a pris gout aux doubles pénétrations.

Pour elle la jouissance anale était primordiale. Elle pouvait facilement se passer de ma queue dans son con mais pas de l’avoir dans le cul.

A force de la voir s’adonner à la sodomie, j’ai voulu moi aussi connaitre la chose. Nous en avons longuement parlé. La seule façon de faire était qu’elle s’occupe de moi. Ainsi un soir, je venais de la branler, puis de la lécher. Je lui donnais mes fesses. Elle venait me lécher l’anus comme je le lui fais souvent. J’avoue que la sensation de sa langue sur mon cul me faisant du bien. Je lui demande de ce faire ce que je lui faisais : me mettre le gode.

Oh, elle le fait avec méfiance, elle commence par le passer sur l’anus sans oser y entrer. Elle me branle à la fois, comme elle se fait. Bien sûr elle me donne l’orgasme, pas celui que je voulais. Nous attendons que mes batteries se rechargent. Elle entre notre gode dans son con, elle le mouille après s’être branlée. Je suis sur le ventre, j’attends son bon vouloir. Je sens le gode dans la raie des fesses. Je frémis : elle va ma sodomiser, enfin. Elle le fait de telle façon que je ne sens le gode que quand il est dedans. Elle le fait aller et venir, elle me fait du bien. Je me branle lentement : je ne veux pas jouir rapidement. J’y suis contraint par les mouvements de va-et-vient de ma femme. Elle a dû le mettre en entier : il me semble avoir le cul totalement bouché, c’est extra de se faire sodomiser par sa femme. Elle continue la sodomie en venant sous moi. Elle prend ma queue dans sa bouche. Le paradis pour moi : avoir le cul ouvert, avoir ma bite dans sa bouche. Elle ajoute sa main sur mes couilles. Je suis béni par les dieux : mon orgasme est dévastateur.

Mon rêve : avoir une vraie bite dans le cul, pas un petit machin, non une vrai bite de déménageur (pourquoi pas, ils l’ont grosses non ?). C’est elle qui a la solution : un hammam. D’après elle je pourrais trouver un type capable de m’enculer.

Elle cherche je ne sais où pour m’emmener vers le lieu de mon sacrifice. Elle tient à me voir pendant le don de mon cul. Rien que de le savoir je bande, elle me calme en me suçant au cours du repas : elle a eu son dessert, j’ai eu le mien. J’étais particulièrement gouteux ce soir avoue-t-elle.
Le lendemain nous sommes dans un endroit étranger pour moi. Elle me laisse seul et part toute nue. Elle revient deux minutes plus tard avec un type bien bâti. Fièrement elle me présente le type : ton futur amant. Me voilà avec un amant devant ma femme Je regarde la constitution du mec : bien musclé, sa queue est un peu grosse, large, ses couilles descendent un peu avec une légère tendance à remonter.

Elle me fait coucher, s’allonge près de moi, m’embrasse sur la bouche, commence à me branler. J’allais le lui rendre quand le sens la main du type sur ma bite. Waouh : Qu’elle douceur, qu’elle maestria. Il me branle aussi bien sinon mieux que ma femme qui regarde. Elle fait plus que regarder, elle se caresse aussi. La vache, elle se branle devant un autre. Je me dis qu’après tout je ne risque rien à moi aussi chercher la bite de l’autre. Je le lui prends dans la main. Je fais comme pour moi en le caressant. Il me laisse faire, il ferme même les yeux. Le voilà qui prend ma queue dans sa main, il me branle aussi. Il le fait bien, fort bien. Il pose sa bouche sur la mienne. Il me colle un patin des familles devant ma femme qui nous regarde. C’est bon.

Il me tourne sur le côté. Je dois oublier sa queue pour ce que je lui faisais. Il me fait ouvrir les jambes, passe sa main entre les cuisses. Je me sens devenir une femme. Il caresse en venant chercher mes couilles : il le fait bien, j’ai envie qu’il m’encule.

Ma femme passe sa main pleine de cyprine sur mon anus. Elle y enfonce un doigt. L’autre, mon futur amant la regarde dans rien dire. Il remplace son doigt par un des siens. La vache, c’est bon, il est plus gros. Je sens mon anus se transformer en une bague. Il commence un va-et-vient qui me donne des frissons. Ma femme me tient la main comme pour un enfant chez le dentiste. Je lève la jambe. Je le sens venir se coucher contre moi. Sa poitrine est contre mn dos. Son pubis se colle à mes fesses. Il va m’enculer.

Elle vient m’embrasser sur la bouche, elle caresse un peu la queue que j’ai dure, trop dure. Puis elle me laisse seul. Lui derrière passe sa queue entre mes fesses. J’ai peur brusquement : il va me faire mal, il va m’ouvrir en deux. Il écarte ma raie, il arrive sur mon derrière. Je le sens se poser sur mon petit cul. Il force un peu, je me détends. Là il commence à entrer doucement, comme je le faisais au début à ma femme. Je le sens à peine. Il m’encule, c’est agréable. Non, c’est bon, il la mise en entier. Il la ressort en partie : je suis enculé : mon rêve.

Je sens ma pine se gonfler encore plus. Je pourrais lui demander une foule de chose, me branler, me caresser les seins, prendre mes couilles. Je ne dis rien, je suis enculé, c’est bon, mon rêve se réalise. Ma femme tient la main. Qu’est-ce qu’elle dit ? Qu’elle est contente que je sois enculé comme je veux. Elle se met sur le côté, contre moi. Elle prend ma queue la met dans sa raie, la fait entrer dans son cul. Je le sens se branler.

Ainsi ma femme se masturbe, je l’encule et le plus fort je suis enculé près à jouir dans le cul de ma femme. Je sens les spasmes de mon amant dans l’anus. J’ai fait jouir un homme. Je gicle dans l’anus de ma femme qui me promet de revenir pour que je sois encore enculé avec elle. Je lui propose d’avoir elle aussi une bite bien à elle pour se faire mettre, dans le cul si elle veut : ce sera pour la prochaine fois, juré.

J’ai la chance d’avoir une femme qui comprend mes besoins. Si elle me le demande elle pourrait aller avec une femme, même à la maison.
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Histoire de baiserjouir

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Commentaires du récit : Je veux me faire sodomiser

Le 27/01/2024 - 07:34 par Aletick77
Très beau récit bien écrit que tous les hommes bisexuels ont dû adorer.la préparation et lubrification à la première sodomie est plus qu importante.Tous les sodomisé es, hommes ou femmes le savent. Qu'il y bon ce partage !
Le 14/07/2023 - 15:55 par lasemelle
Ah oui, en ce 14 juillet 2023, John La Semelle se fait un immense plaisir à la lecture de ce récit. Mille mercis et à bientôt.
Le 18/04/2023 - 14:04 par Songo
Tu as de la chance. J'ai demandé à ma femme la même chose. Elle m'a sodomise avec un gode. J'aimerais qu'elle me trouve aussi une belle bite....j'en rêve aussi. Merci pour ce récit très agréable

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