Coquine et son cocu 3

Lucie a tendu à Dave et moi un gobelet en plastique et les a remplis de vodka. Puis elle s'adossa au bord de la piscine et but directement au goulot à la bouteille. La petite lueur que projetait de la guirlande de lumières colorées qui entourait la piscine, était juste suffisante pour mettre en valeur la silhouette superbe des seins de Lucie. La surface de l'eau chaude léchait ses bouts, encore durs par les intense orgasmes atteint quelques instant plus tôt.
Elle n'avait pas le moindre sentiment d'embarras à ce sujet. Elle semblait tellement à l'aise, debout nue et visiblement excitée, à côté de deux hommes qui étaient prêts à tout faire avec son corps. Après une seconde ou deux, Lucie a rapidement pris une autre gorgée de vodka, a posé la bouteille sur le bord de la piscine et s'est déplacée entre nous.

-Allez, vous deux, montrez dans quel état sont vos queue, dit-elle en les saisissant...hum...venez.
-A tes ordres, sourit Dave

Que ferions-nous d'autre ? Ma femme nous a pris tous les deux par nos bites, et nous a emmené vers les larges marches moulées de la piscine.

-Assieds-toi là-bas, m’ordonna-t-elle.

Elle me conduisit à l'endroit où elle me voulait, toujours en me tirant par la bite. Je m'assis sur l'une des marches, les jambes toujours dans l'eau. Lucie se tenait face à moi, puis se pencha en avant au niveau des hanches, appuya ses bras sur mes épaules et passa ses mains autour de mon cou. Il était évident que Dave était déjà impatient d'aller à nouveau prendre ma femme. Je pouvais voir sa queue à nouveau tendu, surfer à la surface de l’eau. Je me demandais si elle l'avait vu aussi. Il se tenait à côté d’elle, et avait immédiatement pris son sein droit dans sa main, pressant et pétrissant la chair et tirant sur le bourgeon comme si c'était une chose la plus naturelle pour lui. Sachant à quel point ma femme était excitée, et à quel point elle avait été chaude cette la nuit, cela m'a surpris quand elle a repoussé Dave loin d'elle. Mais je me suis vite rendu compte que je m'étais trompé de mouvement. Elle ne le repoussait pas, elle le déplaçait derrière elle. Encore une fois, elle avait les deux mains derrière mon cou, puis s'est penchée près de mon oreille.

-Es-tu à l'aise mon amour ? J'aurai peut-être besoin de m'appuyer contre toi pendant un moment.

Lucie avait à nouveau ce sourire lascif sur ses lèvres et j'ai senti une bouffée d'adrénaline me traverser, tirant instantanément sur mon estomac. Un mélange sauvage d'émotions me parcourut alors que je pouvais voir le désir dans ses yeux. J'ai commencé ressentir du plaisir à son égard, en voyant un autre homme utiliser son corps.
Le visage de Lucie n'était plus qu'à quelques centimètres du mien maintenant et je pouvais sentir la respiration lourde de son excitation accrue sur mes lèvres. Ses yeux regardaient sur le côté, comme pour essayer de voir ses mouvements, d'anticiper son toucher. J'ai alors réalisé que je n'avais même pas été à l'intérieur de ma femme cette nuit-là. J'ai commencé à penser au niveau inhabituel d'excitation que Lucie avait ressenti, avec cet homme, à l'intensité de sa passion.
Nous a-t-elle pas dit, qu’on lui avait déclenché cinq orgasmes ?
Elle n'en avait jamais eu autant avec moi, j'en étais sûr. Oui, je commençais à être jaloux, je voulais éloigner ma femme de cet étalon. J'avais maintenant vu son calibre à l'extérieur d'elle et même seulement à moitié dur, il semblait qu'il pourrait devenir quelque chose qui ne ferait que m’humilier. Je ne voulais pas être comparé défavorablement, que ce soit en taille ou en technique ou simplement en termes d'attrait masculin. J'étais sur le point de me lever et de traîner Lucie loin de là, quand sa bouche a commencé à s'ouvrir, et elle a laissé échapper le plus étrange genre des hoquets, comme si elle essayait de faire sortir la toute dernière gorgée d'air de ses poumons. Ses yeux s'ouvrirent grand, les blancs apparaissant tout autour de ses pupilles pendant une seconde, avant que les paupières ne s'affaissent et ne se ferment à moitié. Je savais qu'il avait commencé à la pénétrer.

-Oh mon dieu, ça va être si bon, me souffla-t-elle. Laisses-moi faire ça, s'il te plaît. Juste une fois, que je puisse m'en souvenir pour toujours.

Peut-être que je n'avais toujours pas l'air convaincu, je ne sais pas, mais Lucie a évidemment décidé d'adopter une approche différente à ce stade. Elle appuya sa joue contre la mienne et murmura.

-Dois-je te dire ce qu'il me fait ?
-Dis toujours...
-Il me sodomise...
-Tu y avais déjà pensé, n’est-ce pas ?

Ma bite était subitement devenue plus dure, et était sortie de l'eau jusqu'à ce qu'elle se dresse directement vers les seins de ma femme. Maintenant, elle avait repris le contrôle, redevenue la prédatrice sexuelle, comme elle l'aimait. Sa bouche gémissait contre mon oreille, insufflant son désir en moi.

-Ses doigts ont pénétrés ma chatte... si tu ne savais pas à quel point, il me fait mouillé...on oui...continue...c’est tellement bon de se faire enculer, et se faire branler en même temps…

Son corps se balançait d'avant en arrière, en réponse au passage de sa queue dans son petit trou. Je comprenais qu’il était difficile de me parler maintenant alors que son niveau d'excitation augmentait à nouveau.
Soudain, Dave se retira, plongea sous l’eau. Je vis Lucie sursauter.

-L’enfoiré...il est en train de lécher mon petit bouton...il est si sensible maintenant...il utilise ses doigts aussi, pour m'ouvrir en grand…hum...le sentir en moi comme ça... j'adore...

La tête de Julie était maintenant rejetée en arrière et ses longs cheveux noirs étaient mouillés le long de sa colonne vertébrale profondément arquée. Ses fesses étaient hors de l'eau, présentant à la bouche de Dave le noyau doux et accueillant de son sexe. Les bougeons durs et saillants de ses seins, frottaient contre ma poitrine alors que ma femme se tortillait en réponse à cet assaut de la langue et des doigts de Dave. J’essayais de mêler ma queue à la fête. Il semblait que Julie allait bientôt jouir à nouveau et je voulais la rejoindre dans sa passion. Mais elle avait bien sûr d'autres idées. Elle a giflé ma main, et repoussé ma bite.

-Pas encore, j'ai d'autres projets pour toi.
-A oui...et lesquels…

Sans répondre, elle a éloigné ses fesses de la bouche de Dave sans aucun regret apparent, ni sentiment de perte, s'est retournée et s'est assise sur moi. Maintenant, ma queue en érection était coincé entre le dos de Julie et mon propre ventre. Elle a placé ses longues jambes le long des miennes et a saisi l'arrière de mes poignets avec ses mains.
Maintenant, Dave se tenait face à nous, debout entre nos jambes, son sexe, dressé se tenait droit et touchait presque son torse musclé. Je ne peux pas dire avec certitude si c'était un mouvement conscient ou non, mais mes genoux repliés, se sont légèrement écartés, de même que ceux de Lucie. Ce n'était pas grand-chose, mais c'était suffisant. Lucie leva nos bras pour l'inviter et nos genoux s'écartèrent davantage.

-Viens ici et baises-moi, amant.

La voix de Lucie était plus grave que d'habitude et semblait trembler dans son urgence et son besoin. Dave a fait un pas de plus et a attrapé son membre en érection, le maintenant de manière à ce qu'il pointe vers la chatte de ma femme. Alors qu'il penchait son corps vers nous, je pouvais sentir ses cuisses musclées se presser contre l'intérieur des miennes et les écarter.
J'ai essayé de regarder par dessus l'épaule de ma femme, pour voir où était sa bite mais j'étais trop loin derrière elle. Il n'y avait cependant, pas besoin de voir quand il la pénétrait. Ce long gémissement haletant qui s'échappa des lèvres tremblantes de Lucie, ne me laissa aucun doute. Je savais le moment exact où sa bite écartait ses lèvres chaudes et accueillantes. J'ai senti les jambes de Lucie se soulever en réponse à son invasion et les miennes ont suivi. Je voulais être avec elle dans la passion qu'elle vivait, comme une autre partie de son corps. Je voulais sentir son excitation et la suivre partout où elle allait dans ce voyage sauvage et érotique dans lequel elle se trouvait. Alors que Dave se penchait en avant et pressait sa poitrine contre les seins de ma femme, nous avons tous les deux levé davantage nos genoux pour qu'ils soient finalement relevés par ses épaules. Je savais par expérience que lorsque Lucie se sentait particulièrement excitée, elle aimait être dans cette position d'ouverture et de soumission, cela semblait l'amener à un autre niveau d'excitation.
Dave avait mis en place un rythme régulier de baise avec ma femme, presque avec désinvolture, levant et abaissant ses fesses, enfonçant facilement son mandrin profondément en elle à chaque poussée.
Peu à peu, j'ai senti mes mains descendre le long du dos de son amant alors que ma femme les glissait sous l'eau, pour se reposer sur son cul ondulant. Elle voulait que je sente chaque pénétration d'elle alors que ses hanches bougeaient rythmiquement d'avant en arrière.
Chaque mouvement vers l'avant de son bassin était maintenant accentué par nos efforts conjugués pour l'amener plus profondément en elle. J'ai senti les débuts de mouvements réactifs dans les hanches de Lucie alors que les pénétrations de Dave devenaient plus longues, plus profondes. J'ai essayé de compléter ses girations en soulevant mon propre corps, l'aidant à répondre à ses poussées avec ses propres mouvements.
J'ai alors commencé à me sentir plus proche de Lucie, comme si j'étais presque dans sa peau et savais exactement ce qu'elle vivait et ce qu'elle désirait le plus. Je pouvais sentir l'euphorie qu'elle ressentait alors qu'elle laissait volontairement envahir son être. Je savais qu'elle adorait s’abandonner à cette domination masculine agressive.
Je remuais mes hanches maintenant, plus vite pour suivre son rythme croissant. J'ai agrippé les fesses de Dave, et l'ai tiré vers nous, poussant avec mon dos pour enfoncer la chatte de Lucie contre lui.
Jusque là silencieuse, son désir recommença à sortir de sa bouche.

-Hum, oui, encules moi...enfonces bien ta bite...elle est si dure. Oh, mon dieu, j'aime la sensation de ta queue dans mon petit trou…

Je ne m’étais même pas rendu compte, que Dave avait changé de trou.
Nos putains de mouvements créaient des vagues entre nos corps et je pouvais entendre l'eau clapoter contre les seins de Lucie qui étaient pressés contre la poitrine de Dave.

-Doux Jésus, tu sais comment me baiser toi... tu es le meilleure baiseur, la meilleure queue que j’ai rencontré...oh oui, continue de me baiser…

Je commençais à me perdre dans un tourbillon d'émotions et de passion. J'ai perdu le sens d'où j'étais, de qui j'étais. Un instant, je faisais l'amour avec ma femme alors qu'elle me poussait à l'exciter davantage, l'instant d'après, je l'écoutais parler comme une salope à un inconnu qui lui enfonçait sa bite dans le cul. J'avais les yeux fermés, alors que je répondais aux secousses dures et masculines du bassin de Dave.
J'ai senti la poussée musculaire forte entre mes cuisses et j'ai déplacé mes jambes derrière son dos. J'ai commencé à utiliser mes jambes pour le forcer contre nous, le tirant plus près de son petit trou, jusqu'à ce que je puisse sentir ses énormes couilles cogner contre les miennes, bien plus petites. Il tapait de plus en plus fort, m’arrachant des petits cris de douleurs. Il me regardais en souriant par dessus l’épaule de Lucie.
Il me faisait savoir qu’il était le mâle dominant. Malgré cette humiliation, je voulais qu’il aille jusqu'au bout. J’ai verrouillé mes jambes derrière ses fesses et j'ai tiré plus fort pendant que je poussais.

-Oh putain, gémissait Lucie, vous m’écrasait ...oh mon dieu...continue de me baiser... plus fort... plus fort.

Julie déplaça ses mains sous ses bras, agrippa les épaules de Dave, les doigts s'enfonçant profondément dans sa peau. Ses jambes étaient maintenant complètement enroulées autour de lui, essayant presque d'avoir tout son corps en elle. Sa respiration devenait un halètement inégal, alors que la bite de Dave la pénétrait de plus en plus vite.

-Allez...donne-moi cette grosse bite si dure. Oui, oui... baise-moi fort, je veux que tu jouisses en moi maintenant... donne-moi tout ton sperme... fais-moi jouir... c'est ça... plus fort... oh oui... je jouis... oh oui...

Je pouvais sentir le poids du corps de Dave se répercutait sur le mien, alors qu'il continuait sa chevauchée sur ma femme.
Les cris presque incohérents de Lucie, implorant de se faire remplir par l’énorme bite, m'ont rempli les oreilles. Je faisais partie du corps de Julie, poussant, me tordant contre lui, écartant largement les jambes, implorant d'être comblé par lui. Mes jambes étaient pressées contre ses fesses, le tirant profondément en nous encore et encore jusqu'à ce que je me surprenne à crier. Une libération sans fin de jouissance, qui semblait émaner d'une autre réalité et a fait irruption dans ma conscience comme un rêve dont je me souviens. Mais je ne reconnais pas ma voix. Non, ce n'était pas moi qui criais, c'était Lucie. Elle relâchait son désir refoulé, dans une série de gémissements et de jappements décroissants.
Dave se branlait enfin, jusqu'à l'achèvement et forçait son calibre plus profondément dans ma femme, alors que le sperme jaillissait dans le petit trou béant de Lucie.
Mon visage était à côté du sien alors qu'elle enfonçait ses dents dans son épaule, étouffant ses cris, tandis qu'elle continuait à réagir aux spasmes qui secouaient le corps de son amant. Chaque grognement signalait une autre giclée de son sperme entrant en elle. Elle glissait ses hanches d'avant en arrière pour mieux l’aspirait.
Ma tête bourdonnait, mes membres tremblaient, je pouvais à peine réfléchir alors que je sentais mes muscles se bloquer, pressant ma femme et son amant l'un contre l'autre. Les instants suivants furent flous. Je me souviens être sorti de la piscine et aider Lucie.
Nous avons, d'une manière ou d'une autre regagné notre bungalow, puis je me souviens d'avoir suggéré à Lucie de prendre un bain.
Alors que l'eau remplissait la grande baignoire, la pièce se remplissait de vapeur. Ma tête commença à s'éclaircir et je me souvins de deux choses.
Le fait de n’avoir jamais baisé Lucie, et n’avoir jamais joui cette nuit là.