Coup de jeune 6

Cela faisait un peu plus de deux semaines qu'ils vivaient ensemble. Ils n'étaient depuis longtemps plus que de simples colocataires. La question de savoir si les quinze jours d'essais étaient concluants ne fût jamais abordée. Sophie n'avait jamais imaginé un jour partager la vie et le lit d'un quadra, mais elle était comblée et éprouvait déjà pas mal de sentiments pour cet homme qui lui offrait une sérénité inespérée.

Hervé avait réservé quelques jours dans un hôtel cossu du bord de mer. Il ne lésinait pas sur les moyens pour offrir une vie agréable à sa belle.

Pour le trajet d'environ deux heures trente, Sophie avait mis un short en jean, un débardeur et ses jolies chaussures à talon. Ils arrivèrent vers seize heures à l'hôtel. Un grand bâtiment de style ancien, avec un parc arboré dont un petit chemin permettait d'accéder à la plage.
"-Whaou, c'est beau! s'exclama Sophie.
-Content que la cadre te plaise" sourit Hervé en gagnant la réception.

La chambre était moderne, avec un grand lit auquel faisait face un grand miroir, un petit coin salon avec deux fauteuils aux larges accoudoirs et une table basse, une salle de bain équipée d'une douche italienne.
"-Oooh, c'est la première fois que je viens dans un hôtel comme ça!" dit Sophie.

Hervé lui sourit en déposant les bagages.
Ils décidèrent d'aller faire un petit tour en ville. En sortant de la chambre, ils croisèrent leur voisin de palier. Un homme d'une soixantaine d'année qui ne se gêna pas pour reluquer Sophie de la tête aux pieds. Ils échangèrent un "bonjour" courtois. Ils se baladèrent sur la jetée, et s'arrêtèrent à la terrasse d'un café. Ils percevaient parfois quelques regards sur leur couple atypique, mais ils y restaient indifférents. Ils rentrèrent vers vingt et une heure après un resto de fruits de mer.
Sophie se doucha en premier, Hervé attendait en regardant la télévision. Elle sortit en peignoir, une serviette sur la tête.
"-Tu peux y aller, je vais me sécher les cheveux ici" dit Sophie
-Je peux t'aider? la taquina Hervé.
-Nan naaaan!" répliqua-t-elle avec malice.

Hervé prit son temps, quand il eût finit, il passa un caleçon et un t-shirt. Le séchoir s'était tût. Quand il sortît, Sophie était assise sur l' accoudoir d'un fauteuil, habillée d'une nuisette de satin beige et de dentelle blanche, chaussée d'escarpins à talon d'un ton assez clair. Elle avait un sourire radieux, attendant les premiers mots de son compagnon.
Hervé était subjugué par cette vision.
"-Ooooh, Sophie ….. quelle classe". Il lui tendit la main pour qu'elle se lève. La nuisette était superbe les parties de satin couvraient un peu la poitrine mais la plus grande partie en dentelle laissait transparaître l'intimité de sa douce. Les escarpins joliment découpés avaient un motif style peau de serpent.
Il l'emmena devant le miroir et se plaça derrière elle. Ils se regardaient.
"-C'est vraiment joli … mais …" Il posa les mains sur ses hanches
"-Mais?" fît-elle interrogative.
"-Il manque … attends, bouge pas!" lui dit-il en lui embrassant le cou.

Elle ne bougea pas en attendant le retour d'Hervé qui était bien mystérieux. Il fût rapidement de retour, se replaça derrière elle, puis doucement lui passa une petite chaîne en or, avec un petit chat stylisé en pendentif. Un frisson la parcourût alors qu'elle ouvrait grand les yeux.
"-Ah! c'est bien aussi avec ça non? dit Il tout content.
-Hervé!, …... mon dieu, …..c'est fou ça, si je m'attendais!" Elle se retourna, lui passa les bras autour du cou pour l'embrasser. Il la saisit par la taille pour la serrer contre lui.
"-Merci mon amour, C'est superbe!" lâcha-t-elle. Au moins ça lui plaisait, et il était fier de lui.

Elle ne finissait plus de le galocher. Elle inspira profondément quand il lui caressa les seins, frottant son bassin contre lui. Il s'accroupît face à elle, lui caressant les jambes et les chevilles. Il glissa ses mains sous la nuisette pour lui saisir les fesses, couvrant ses cuisses de baisers. Elle écarta un peu les jambes pour lui laisser le champ libre et ne tarda pas à sentir un souffle chaud sur son intimité. Les premiers coups de langue la firent soupirer bruyamment. Elle lui passa la main dans les cheveux pour le garder contre elle. Il la poussa vers un fauteuil et elle s'assit sur un accoudoir. Il passa une jambe sur son épaule et écarta l'autre en la caressant. Le sexe rose de Sophie lui était offert, et il y plongea la langue et se délectait de ce nectar intime, Sophie ne retenait plus ses expressions de plaisir.
"-Oooh ouuiii, lèche moi encore, huuummmm, c'est bien!" Elle agrippa Hervé par les épaules quand elle eut un orgasme. Ses jambes s'étaient enroulées autour des épaules d'Hervé, elle le serrait contre lui, la chatte trempée de plaisir. Hervé se releva, il baissa son caleçon et enleva son t-shirt. Il avait un gourdin d'enfer. Sophie le regarda.
"-Viens mon amour, prend moi!" Elle était toujours assise sur l'accoudoir du fauteuil, et Hervé s'introduisit facilement en elle. Il lui avait relevé une jambe, lui embrassant la cheville. Ces escarpins sexy le rendait fou, elle se remît à gémir fort quand il la pilonna.
Il se retira, l'aida à se relever, et la conduisît vers le lit où il la mît à quatre pattes. Il l'embrassa et se plaça derrière elle. Il fît glisser la nuisette pour découvrir la croupe de sa belle, et s'introduisit délicatement.
"-Haaaannn, ouii, comme ça, c'est bien" souffla Sophie.

Il effectua quelques va et viens doucement, glissa une main sous le ventre de Sophie puis lui caressa les seins. Elle contractait son vagin sentant le plaisir l'envahir à nouveau, et l'exprimait à haute voix. Hervé ne tenait plus.
"-Je vais jouir! dit-il
-Ouiiii, vas-y, encore mon amour!" Sa queue se raidit, et il se déversa dans un râle de satisfaction. Elle s'effondra sur le lit, haletante. Il resta à genoux pour regarder sa belle en nuisette et talons hauts. Il lui enleva ses chaussures, en lui baisant les pieds. Sophie fût surprise et se mît à rire. Il s'allongea sur le dos à côté d'elle, et ils échangèrent un regard complice.
"-Merci pour le collier" dit-elle en se redressant sur lui.

Elle l'embrassa, s'assit et ôta sa nuisette. Elle lui chevaucha les hanches et entrepris de lui caresser le torse en lui baisant le cou. Il se laissait faire, c'était agréable. Peu à peu elle glissa, lui pinça les tétons avec les lèvres, et le couvrait de bisous. Elle s'était un peu relevée, pour se balancer d'avant en arrière, ses seins glissants sur le corps d'Hervé. Elle descendit si bas que la queue de son homme apparût au milieu de sa poitrine. Elle compensait leur manque de volume en s'appuyant un peu contre lui. Il s'était un relevé sur ses coudes pour admirer le spectacle. Il sentait naître une nouvelle érection, Sophie leva la tête et lui sourit. Il fût surpris quand elle lui saisit le sexe, ferma les yeux puis entra le gland dans sa bouche. Il ne pût retenir un grognement de satisfaction, en la regardant. Elle le suçait doucement, en le caressant. Il était dur.
"-Oooh, Sophie , ça vient !"

Elle retira sa bouche et le branla un peu plus fort. Hervé eût un soubresaut et Sophie n'eût que le temps de couvrir le gland avec sa main. Elle regarda Hervé un peu confuse, les mains pleines de sperme.
"-Oh pardon mon amour! dit-elle en rougissant. Attends, je vais chercher une serviette."

Elle revînt rapidement et nettoya le bas ventre d'Hervé. Il releva le buste pour l'embrasser.
"-Merci pour ce moment ma jolie!" fît il avec un clin d'œil.

Ils s'endormirent enlacés.
Le lendemain matin, ils descendirent pour le petit déjeuner. Elle avait son short en jean, ses talons de bois, un t-shirt à large encolure qui laissait apparaître une épaule et la bretelle de son soutien-gorge. Elle sentait bien quelques regards se poser sur elle, mais ne se formalisait pas.
Ils avaient décidé d'aller faire une tour en ville. Hervé était parti de la chambre en avance chercher la voiture, elle fût surprise de recroiser le voisin de palier qui sortait au même moment.
"-Bonjour" dit-elle poliment en fermant la porte.
-Bonjour mademoiselle, belle journée en perspective" retourna le monsieur.
-Oui, il faut en profiter.
-En tout cas, vous avez un bien joli timbre de voix mademoiselle" ajouta-t-il en la regardant tout sourire. Elle rougît, et comprît que leur voisin de chambre avait entendu une bonne partie de leurs ébats.
-Oh, merci !" bredouilla-t-elle en s'éloignant.

Elle sortit de l'hôtel et s'engouffra dans la voiture, encore toute rouge.
"-Haannn, Hervé, la honte!
-Quoi?
-Notre voisin de chambre, il m'a dit que j'avais une jolie voix, la honte, il a dû nous entendre hier soir!
-Et alors? j'espère que ça lui a plu!" dit Hervé en riant. Il démarra.

Sophie voulu entrer seule dans quelques magasins, lui flânait en l'attendant.
L'après-midi sur la plage permît à Sophie de montrer son bikini à Hervé.
Lorsqu'ils rentrèrent, ils passèrent sous la douche avant d'aller diner. Hervé était entré le premier.
"-Je peux venir avec toi?" demanda Sophie. C'était la première fois qu'elle voulait partager la douche. Elle ne laissait pas trop le choix à Hervé, puisqu'elle s'y présenta en bikini.
"-Tu m'aides à l'enlever?" dit-elle en se tournant.

Rapidement dégrafé, elle se retrouva nue avec lui sous l'eau de la douche. Ils s'amusèrent à se frotter le dos et un peu plus l'un l'autre. Alors qu'elle lui faisait face, Sophie prît le pommeau de douche et lui arrosa le torse. Le jet descendit et elle le retourna pour lui asperger les parties intimes. Hervé ne pût contenir un soupir de contentement.
"-Tu aimes? demanda Sophie
-Aaaah, ouais, c'est bien!"

Elle dirigea le jet sous les boules, et commença à le masturber. Il attrapa vite une jolie érection, et Sophie s'agenouilla. Elle le prît en bouche tout en l'aspergeant. La sensation était absolument sublime, le massage du jet sur les boules, et la bouche autour de son membre. Elle le besognait doucement, et sentît que ça allait partir. Il s'appuya aux parois de la douche, et regarda Sophie. Elle s'aspergeait la figure en le suçant quand il éjacula. Elle prît la semence en pleine bouche et regarda Hervé, toute rouge. Elle s'empressa de la recracher et Hervé la releva.
"-Oh, woow, dis-donc" dit-il en la serrant contre lui. Il l'embrassa. Elle se sentait fier d'avoir surmontée son appréhension.

Il décidèrent d'aller dîner au restaurant de l'hôtel, Sophie avait mis sa jupe en jean, une chemise courte à carreaux et ses talons de bois.
"-Tu es splendide ma chérie" dit Hervé en sortant de la chambre.

Ils dînèrent, elle jetait de temps en temps un coup d'œil à son voisin de palier qui était à une table non loin d'eux. Il ne perdait pas grand-chose du jeu de jambes de Sophie, et elle s'en amusait beaucoup.
Le dîner fût suivit d'un petit tour dehors en se tenant par la taille comme des amoureux.
"-C'est déjà notre dernière nuit ici, c'est dommage, j'aime bien cet endroit, dit Sophie en posant sa tête contre Hervé.
-On reviendra quand tu veux tu sais.
-Ah ouais, ça serait chouette ça!"

Ils rentrèrent. Sophie fût la première à se préparer mais réservait une surprise à Hervé qui était dans la salle de bain.
"-Euuhh, attends un peu s'il te plaît avant de venir!" dit-elle. Il se demandait bien ce qu'elle faisait, mais attendît sagement.
"-C'est bon, tu peux venir!"

Il trouva Sophie enveloppée dans un des peignoirs de l'hôtel, avec ses escarpins.
"-Oh ooh, tu me caches quelque chose?" dit Hervé avec un air malicieux.

Elle ouvrit le peignoir et le laissa glisser à terre. Elle était nue, enfin, pas vraiment, elle portait une parure de corps en strass, attachée à son coup, faisant le tour de ses seins, descendant jusqu'à sa taille. C'était très érotique, un appel au sexe. Subjugué, il ne dit mot. Sa douce Sophie avait pris beaucoup d'assurance, depuis qu'ils étaient ensemble, il en était ravi.
"-Ça te plaît? J'ai trouvé ça ce matin au magasin" dit Sophie qui s'inquiéta d'en avoir trop fait.
"-Tu m'étonnes que oui, oh la la, tu es pfffff...." Il s'avança pour l'embrasser.
"-Nan nan nan!, ce soir c'est moi qui décide mon amour".

Il sourit et la regarda ramasser le peignoir et l'étaler sur un fauteuil. Elle s'installa en travers de celui-ci, une jambe par-dessus l'accoudoir. Elle exhibait les escarpins qu'il aimait tant. Elle ne cachait rien de son intimité non plus, elle était simplement hyper sexy.
"-Déshabille toi, et vient me faire des bisous, euuuh là!" dit-elle en montrant sa poitrine.

Il s'exécuta, et s'accroupît face à elle, s'appuyant sur ses cuisses pour atteindre ses seins qu'il embrassa doucement. Il s'attarda sur ses tétons qu'il aspirait en les pinçant légèrement. La poitrine se soulevait un peu. Elle lui caressait le dos pendant qu'il lui caressait l'intérieur des cuisses et les jambes.
"-Plus bas les bisous!" murmura-t-elle. Il ne mît pas longtemps à lui titiller le minou avec sa langue. Elle gémît. Il la sentait déjà couler, et lui dévora le sexe. Elle poussa un cri, et lui releva la tête.
"-Attend, viens!"

Elle glissa son bassin sur le bord du fauteuil, les jambes toujours écartées, elle lui saisit le sexe. Elle le fît rapidement durcir et l'approcha d'elle. Elle passait le gland sur son pubis puis l'appuyait contre ses lèvres. Hervé la laissait faire, elle se servait de lui comme un sextoy, le laissait pénétrer, puis le ressortait. Elle leva la tête pour qu'il l'embrasse en même temps.
"-Lèche moi encore!" murmura-t-elle.

Il ne se fît pas prier pour retourner entre les cuisses de sa belle. Il enfonça sa langue, puis ressorti pour aller trouver son clitoris.
"-OOOHHH OUUIII OUiiiii, continue!" Elle se mordillait les lèvres, et son bassin se soulevait. Elle resserra les cuisses sur lui pour jouir sans retenue.
"-Enfonce moi mon amour!" dit-elle en reprenant son souffle.

Elle n'avait pas changé de position, offerte avec les strass qui brillaient sur son corps. Il s'enfonça doucement, en la regardant. Puis il entreprît de longues et profondes pénétrations en lui pelotant les seins. Elle s'était abandonnée à lui, la tête posée sur l'autre accoudoir prenant du plaisir. Il la pilonna plus fort, elle l'attrapa par les épaules, en le regardant dans les yeux, puis enroula ses jambes autour de lui. Il ne pouvait pas aller plus loin dans son intimité, elle se mît à crier à chaque coup de rein. Il essayait de se retenir pour prolonger ce moment, puis il se libéra. Agrippée à lui, elle l'enserra dans ses jambes en contractant son vagin pour ne plus le lâcher. Il l'embrassa de nouveau et la sentit se décontracter. Elle fît un petit sourire coquin, et il l'aida à se relever. Il admira à nouveau ce corps de demoiselle habillé de quelques strass et de hauts talons.

Il s'approcha à nouveau et lui murmura:
"-Tu peux remettre cet ensemble quand tu veux ma chérie, j'adore!
-Coquin!"

Ils passèrent la nuit, l'un contre l'autre.
Dernier petit déjeuner à l'hôtel. En débardeur moulant, mini-jupe et talons de bois, elle était au buffet pour se servir. Le voisin de palier se mît à côté d'elle, alors qu'Hervé était déjà assis à table. Cette rencontre n'était pas fortuite.
"-Bonjour!" dit-elle
-Tiens!, comment allez-vous mademoiselle? dit le voisin en la saluant et lui matant les jambes. Il avait encore dû les entendre
-Bien, merci.
-J'ai encore pu apprécier votre jolie voix, monsieur doit être comblé!" murmura-t-il.

Elle rougît un peu, le type était vraiment gonflé, mais elle eût de la répartie
"-Oh, vous savez, j'ai tout fait pour ça! Mais, je dois y aller, mon fiancé attends ses croissants! dit-elle avec un sourire malicieux.
-Bonne journée alors mademoiselle" fît le voisin, ne se cachant pas de la regarder partir.

Arrivée à table, elle raconta sa nouvelle rencontre avec le voisin.
"…. et tu sais, pour m'en débarrasser, je lui ai dit que … tu étais mon fiancé!! dit-elle avec une moue coquine.
-Oooh, je suis flatté ma chérie!!" fît il avec un clin d'œil.

Ils quittèrent l'hôtel dans la matinée, mais restèrent au bord de la mer jusqu'en début d'après-midi. Sophie avait passé des habits plus confortables pour le retour.
Ils arrivèrent en début de soirée à destination. Ils mirent peu de temps à ranger leurs affaires, dinèrent rapidement une pizza et prirent une douche. Hervé fût le premier, puis se mît à son ordinateur pour consulter ses mails. C'est Sophie qui vînt l'interrompre une fois sortie de la douche.
Elle se tenait dans l'encadrement de la porte quasiment nue, en escarpins et sa parure de strass. Elle sourit et s'avança.
"-Je crois que tu aimes bien, alors, je veux encore en profiter mon amour!"

Il pivota sur sa chaise pour la regarder et sourît. Elle s'approcha et se mît à califourchon face à lui. Elle passa les mains autour de son cou pour lui faire une galoche mémorable. Il ne pût résister de lui caresser les seins. Elle commença à onduler du bassin, et s'en trouva tout émoustillé. Elle se leva pour qu'Hervé puisse se déshabiller avant de s'assoir à nouveau. Elle se remît sur lui frottant son sexe contre le sien. Il la laissait faire, lui caressant les flancs et les seins. Quand il fût bien dur, elle se leva, lui saisit la queue et s'empala doucement dans un long soupir, en levant les yeux. Il la regardait, lui caressant les cuisses. Elles étaient plutôt musclées, il adorait. Elle continuait ses mouvements de haut en bas, le regardait dans les yeux et l'embrassait entre deux soupirs.
"-Emmène-moi dans la chambre" murmura-t-elle.

Il la bascula en arrière, toujours en elle. Il se leva en lui soutenant les fesses. Elle avait enroulé ses jambes autour de lui. Il esquissa quelques mouvements de bassins pour la prendre debout. Elle se mît à rire.
"-Waouw mon amour, quel homme!" Elle l'embrassa, taquine.

Arrivés dans la chambre, il la mît debout, lui enleva sa parure de strass, puis s'accroupît pour lui retirer ses escarpins. Elle sentait les douces caresses d'Hervé sur sa peau. Elle se retrouva rapidement allongée, la tête de son homme entre les cuisses. Elle était toute humide et ne tarda pas à jouir sous les coups de langues experts de son compagnon. Il glissa sur elle, la couvrant de caresses et de baisers. Elle se laissait envahir, gémît quand elle se sentît pénétrée. Il allait doucement, et faisait durer le plaisir, Sophie fût un peu surprise car pour la première fois, il lui disait des mots doux en lui faisant l'amour. Il accéléra pour se laisser partir dans l'intimité de sa douce. Elle l'enserra de ses jambes pour le garder en elle. Tout son être chavira quand il lui murmura:
"-Sophie, je … je crois que je suis amoureux" …

Deux mois passèrent. Sophie avait depuis fait son entrée sur le campus où elle pouvait souvent voir Valérie en dernière année d'études. Bien que très copines, elles n'avaient pas comme avec Manon développé de relation intimes.
Un jour, Sophie partît pour la fac, vêtue d'un short noir, d'une veste, de collants foncés et de bottes.
"-Oooh, ma chérie, c'est joli de que tu portes, j'aime bien les collants et les bottes, dit Hervé.
-C'est vrai, ça te plaît?
-Ouais, beaucoup, je crois que c'est la première fois que je te vois avec des collants d'ailleurs."

Elle sourît
"-Val m'attend, j'y vais!" Elle l'embrassa, et sentît les mains d'Hervé sur ses fesses.
"-Houu la la! petit coquin!, je vais être en retard!"

Il la regarda monter dans la voiture de Val a qui il fît signe. Il était tout excité, et se prépara à partir au boulot lui aussi.
Il rentra vers dix-huit heures. Sophie était déjà là depuis longtemps, et elle ouvrit la porte avant qu'il n'actionne la poignée.
"-Coucou mon amour!" lança-t-elle en ouvrant la porte. Il marqua un temps d'arrêt, puis sourît.
"-Bonjour mademoiselle!" dit-il taquin en la regardant de haut en bas.
"-Ben rentre gros malin!
-Whaow, qu'est-ce qui me vaut cet accueil ma chérie? dit-il en passant le pas de la porte.
-Rien, juste que, d'après ce que tu m'a dit ce matin, tu ne m'avais jamais vue en collants, alors voilà!" dit-elle en refermant la porte.

Il y avait du Val là-dessous. Sophie portait une jupe courte rouge foncé, un pull léger moulant très décolleté qui offrait une vue plongeante sur sa poitrine soutenue par un soutien-gorge push-up noir en dentelle. Le string assorti complétait ses dessous. Ses jambes étaient gainées de bas noirs, et elle était chaussée d'escarpins noirs bridés à la cheville. Il ne la quittait pas des yeux, émoustillé.
"-C'est vraiment superbe tu sais, je ne sais pas trop quoi dire."
Elle s'approcha, lui passa les mains autour du cou et l'embrassa.
"-Douche toi vite, je t'attends" lui murmura-t-elle à l'oreille.

Il ne se fît pas prier, et passa rapidement sous la douche. Son membre se dilatait déjà à l'idée de retrouver sa belle. Il enfila un t-shirt et un jean, sans caleçon. Elle l'attendait appuyée sur le bord de la table de la salle à manger. Il s'approcha d'elle, passa une main autour de sa taille, et l'embrassa. L'autre main caressa le décolleté de sa douce. Elle inspira profondément, et le serra contre elle. Il lui massait la poitrine, puis ses baisers arrivèrent sur le décolleté. Il s'accroupît pour lui caresser les jambes et passa les mains sous sa jupe. Il fît glisser le string pour le retirer, et se releva souriant. Elle plaça une main sur son jean, et commença à caresser la bosse qui apparaissait.
"-Oooh, on ne va pas laisser passer ça, dit!"

Elle lui déboutonna son jean et le laissa glisser à terre, libérant le sexe durcit de son homme. Elle s'amusa de le voir sans caleçon et l'astiqua un peu. Il lui releva sa jupe jusqu'en haut des fesses, l'assit sur le bord de la table en se plaçant entre ses jambes. Elle bascula le bassin pour mieux lui offrir sa chatte qu'il ne tarda pas à pénétrer. Elle écartait les cuisses au mieux, les mains accrochées au cou de son chéri. Elle soupirait à chaque coup de boutoir. C'était la première fois qu'il la prenait sur une table, toute habillée. La position n'était pas des plus confortable, mais elle le sentait bien. Il lui saisît fermement les hanches, la galocha profondément et se déchargea. Elle le regarda, en souriant.
"-Hé ben, pfiou … mais …. encore!" fît elle avec une moue incendiaire.

Elle se remît debout contre lui, il déboutonna la jupe et la fît glisser, elle enleva son pull, et lui son t-shirt. Il la regarda, son soutien-gorge push-up magnifiait sa poitrine, et les bas noir lui faisaient des jambes divines. Il ne pût résister à lui caresser de nouveau les seins.
"-Viens, on va dans la chambre!" Il la prît par la taille, les escarpins raisonnaient dans la maison. Ils s'allongèrent sur le lit pour se faire des caresses, ce qui permît à Hervé de se recharger. Quel joli corps elle avait. Elle s'était allongée sur le ventre, il lui enleva ses escarpins, pour lui masser les pieds et les chevilles. Ses mains montèrent le long de ses jambes, la texture des bas l'émoustillait. Il s'attarda sur ses jolies fesses et ne manqua pas d'y déposer quelques baisers, avant de poursuivre sur ses reins. Le long de son dos, après avoir déclipsé le soutien-gorge, il arriva aux épaules. Elle se retourna pour l'embrasser. Elle le poussa pour qu'il s'allonge et se mît sur lui en sens inverse. Elle lui embrassa le torse, puis descendit sur ses abdos. Il pouvait voir le corps de Sophie défiler au-dessus de lui et ne manquait pas de relever la tête pour y poser un baiser. Il frémît quand elle lui prit la queue, et qu'il sentît sa langue jouer avec son gland. Elle était aussi à sa portée, il avait la tête était entre deux cuisses gainées de nylon. Il posa ses mains sur ses fesses et leva la tête pour lui dévorer la chatte. Elle gémît, et le suça un peu plus fort. Après quelques minutes, elle explosa quand il lui pinça le clito avec ses lèvres. Il était à nouveau vigoureux. Il prît l'initiative, la plaça sur le dos, le bassin tourné et les cuisses relevées et serrées. La sensation de pénétration était sublime. Il pouvait admirer ses jambes, elle lui souriait. Elle avait fermé les yeux, se mordillait la lèvre pendant que lui se regardait s'enfoncer dans son minou. Il gémissait, et se sentant venir, il la mît à quatre pattes pour la prendre en levrette. Elle haletait quand il la pénétrait, et ne fût pas long à éjaculer à nouveau. Elle tourna la tête pour avoir un bisou, puis ils s'affalèrent sur le lit, elle sur lui, un sourire radieux.
"-Whaow mon amour!" fît-elle en l'embrassant. Il était éperdument amoureux, et la serrait contre lui.
"-Ça te dit un resto ce soir ma chérie? Tu choisis, et bien entendu, tu remets ton joli ensemble.
-Ok pour le resto, chinois alors! ...mais attention au dessin au fond du verre mon amour …" murmura-t-elle taquine.

Ils s'habillèrent, elle avait passé un petit top sous son pull décolleté qui ne laissait voir que la naissance de ses seins. Il lui redit combien elle était jolie. Il n'employait pas de mots trop crus comme avec Manon, Sophie était plus romantique. Ils partirent vers vingt heures…