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Entre voyeurisme et exhib, le jardin de la voisine

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Lue : 4812 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 05/04/2016

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Durant l'été, il m'arrivait souvent de passer chez mes grands parents pour faire leur jardinage. Avec leur âge pour le moins avancé, il leur était difficile de tenir en état leur jardin bien que celui-ci n'était pas très grand. Ce fameux jour, j'arrivai chez eux en vélo sous les coups de seize heures trente, le temps de prendre un café et discuter un peu. J'entrepris ensuite de m'occuper d'arroser les plantes quand je vis soudain leur voisine Denise marcher tranquillement dans son jardin, mitoyen à celui de mes grands parents, téléphone à l'oreille. La belle trentenaire portait une minijupe et un sweat. En conversation, elle me fit un petit coucou accompagné d'un sourire. La belle blonde au corps élancé me connaissait en effet depuis quelques années déjà, bien que je n'étais pas si souvent que ça chez mes grands parents. Alors que je m'apprêtais à arroser les fleurs, je la vis poser le téléphone sur un fauteuil de jardin et devant moi, elle ne tarda pas à ouvrir le zip de son sweat, se retrouvant en minijupe et en brassière en dentelle rouge. Sans doute avait-elle chaud et s'apprêtait-elle à se poser sur ce fauteuil transat situé à côté d'elle. Pour ma part, j'étais simplement vêtu de mon microshort. J'arrosais les plantes de la haie séparant les deux terrains et mon coeur passa à la vitesse au-dessus lorsque je vis les doigts de ma voisine farfouiller les boutons de sa jupette pour finalement ouvrir celle-ci. Les pouces de Denise glissèrent jusqu'à ses hanches et là, lentement, l'air de rien, comme si je n'étais pas là alors qu'elle m'avait salué quelques dizaines de secondes avant, la belle blonde se sépara de sa jupette, se retrouvant en string assorti à son haut. Je n'en croyais pas mes yeux et ne regardais même plus où j'arrosais, captivé par ce que ma voisine m'offrait. Je restai bouche bée lorsque je la vis ôter sa brassière, un léger sourire aux lèvres. La belle se retrouva ainsi les seins l'air devant moi. De jolie seins pointus avec des mamelons et des tétons dardant comme s'ils étaient parcourus d'un courant électrique permanent. Je perçus à cet instant Denise jeter un oeil en ma direction, son sourire amusé toujours aux lèvres. Elle me faisait face. Ses tétons dardaient pile en ma direction. Mon coeur se pétrifia quand je vis les pouces de Denise se faufiler entre ses hanches et son string pour finalement le retirer devant moi en même temps que ma voisine vénérée s'assît sur le fauteuil de jardin. J'eus tout juste le temps de percevoir son pubis orné de jolis poils blonds. Non, je ne rêvais pas : ma voisine était à poil à dans son jardin, juste là, à quelques mètres de moi. Une vision suffisante à éveiller en moi une érection aussi virulente que soudaine et impossible à cacher. Le coeur battant à la chamade, aussi bien dans mon sexe, dans ma poitrine que dans mes tempes, je vis Denise finir de retirer son string, assise sur le fauteuil, le quittant ainsi définitivement. S'installant confortablement dans son fauteuil, jambes croisées, la belle ferma les yeux pour donner son corps aux joies de la nature. Légèrement à l'ombre, la belle se laissait emporter par le chant des oiseaux, sentant son corps nu caressé par une légère brise. Etait-ce elle qui faisait darder ses tétons et ses mamelons avec autant de force ? La belle, qui se tenait de trois quart devant moi, rouvrit les yeux pour déplacer son fauteuil. Elle se retrouva assise pile en face de moi, son corps légèrement au soleil. Changeant ainsi de position, je pus voir sa belle chatte avant qu'elle ne recroise les jambes. Une belle minette aux lèvres lisses et charnues et au clito gonflé de désir. Voir la voisine si sexy ainsi nue devant moi, parfaitement offerte, couplé aux élans de la nature me fit bouillir intérieurement. Je bandais comme un âne sous mon shorty. Je coupai l'eau discrètement, pris des plus grands doutes. Je profitai que ma voisine avait les yeux fermés pour discrètement me pétrir le manche et constater avec stupeur à quel point je bandais fort. Si gros, si dur... Je n'arrivais pas à croire que la belle Denise était là, à poil devant moi. La belle me faisait en tout cas bander terriblement fort. Alors, sans doute pris par les mêmes élans qu'elle, la panique en plus, je baissai et quittai mon shorty, me retrouvant moi aussi parfaitement à poil. Cela me faisait tout drôle de me retrouver nu ainsi dans le jardin en présence de ma voisine qui heureusement avait les yeux fermés. Mais mon coeur battait à tout rompre à l'idée qu'elle les ouvre, à l'idée qu'elle m'aperçoive nu, et surtout en érection totale. Vingt centimètres d'un chibre dur et épais qui ne désirait qu'une chose : se glisser dans sa belle chatte bien lisse. Je vis alors la main gauche de Denise caresser discrètement son sein avant que, soudain, la belle blonde ne se décide à écarter les cuisses en grand. Je ne pus réprimer un "oh bordel !" en admirant sa belle chatte aux lèvres lisses et gonflées. A la partie de la clôture où je me situais, il n'y avait pas de haie. Juste des plans de fleurs. Voir la belle chatte de la jolie voisine me mit dans un tel état que je ne pus me retenir de prendre mon manche en rut à pleine main pour le pétrir, et ce malgré tout le risque et l'interdit de la situation. A moitié allongée dans son fauteuil, la belle m'offrait une vue directe sur son entrejambes et malgré que la belle avait les paupières fermées, son sourire coquin me laissait envisager que peut-être celles-ci ne l'étaient pas autant que cela. Je me masturbais donc nu et à pleine main à quelques mètres de ma voisine en la reluquant comme un porc. Du haut de mes vingt ans, je me sentais plus confus que jamais : excité par le désir de ce corps de femme parfaitement nu, paniqué à l'idée que la belle s'aperçoive de ma nudité bien moins innocente ; gêné de me montrer nu devant elle et fier d'exposer mon membre que les quelques filles qui l'avait vu qualifiaient de bien fourni. Alors que je me pétrissais le manche en silence, je remarquai que les pommettes de la belle Denise tendaient à rougir de plus en plus. Les yeux a priori toujours fermés, je vis la belle caresser ses tétons du bout de ses pouces, rendant ceux-ci aussi raids que ma queue. Ils dardaient vers le ciel, donnant une forme conique à ses seins. Denise finit par lentement redresser la tête et ouvrir les yeux en croisant les cuisses. Assez de temps pour moi pour relâcher de justesse l'étreinte de ma main puissante sur mon membre en rut. Résultat des courses : Denise ne put que me voir nu et en érection totale dans mon jardin. Je feignis à mon tour faire comme si de rien n'était alors que mon coeur battait à tout rompre dans ma poitrine, dans mes tempes et jusqu'au bout de ma queue. Je scrutai mes fleurs ci et là, mes parties bien à l'air et en érection totale devant ma voisine qui me scrutait l'air de rien, cuisses serrées. Soudain, nos regards se croisèrent, se fixèrent, alors que la seconde précédente, la belle blonde avait les yeux rivés sur mon sexe.

- Il fait vraiment beau aujourd'hui, tu ne trouves pas ?

- Si si, très beau ! Et très chaud !

- Oui, en effet ! Sur ces mots, Denise baissa les yeux et se caressa les tétons, en les regardant.

Et lentement, elle rouvrit les cuisses en grand, cette fois-ci délibérément, devant moi, en reprenant position et ne fermant les yeux. Je ne croyais pas ce que je voyais. Comment diable pouvait-elle oser m'offrir une vue aussi directe sur son intimité. Emporté par l'excitation et le désir, je me mis à me pétrir le manche de plus belle devant elle. Denise avait ses paupières pas tout à fait fermées, je le voyais. Ses joues se mirent à rougir plus encore et sa respiration s'accélérer, s'amplifier. Son petit jeu me rendait dingue et me faisait bander comme pas permis. Malgré toute la folie et l'interdit de la situation, voir cette jolie femme nue et la minette bien offerte suffisait à me guider dans mes actes les plus primaires en grognant mes râles de plaisir et de frustration. Oui, la vue de sa belle chatte me rendait fou et j'imaginais aisément mon chibre dur et épais fendre son fruit. Les petites lèvres rose clair de sa chatte dépassaient des grandes, gonflées comme jamais d'excitation. Facile de deviner sa minette mouiller à l'intérieur tant son clito était gonflé d'excitation. Denise ouvrait les cuisses lui le refermait, sentant très certainement sa fente réclamer caresse voire une bonne queue comme celle que je lui offrais. Ton pubis rasé en ticket de métro ne faisait que décupler mon excitation pour cette magnifique petite chatte. Denise ouvrit soudain les yeux alors que je me pétrissais le manche en la dévorant du regard. Elle m'offrit un beau sourire, avant de resserrer les cuisses, pour les rouvrir ensuite en refermant les yeux et en se mordant les lèvres. La coquine savait très bien ce que je me permettais, faussement à son insu, excité comme un âne à reluquer ses seins et sa chatte. Elle ne faisait que se trémousser plus encore sur son fauteuil, sentant sa minette fondre de désir.

Denise se leva soudain sans crier gare en me regardant, mon dard long et épais à la main. Elle se mit à dandiner lentement, nue, au beau milieu de son jardin, me contraignant une nouvelle fois à relâcher l'étreinte de ma main sur mon sexe, par semblant de décence. Je ne savais plus où me mettre à ouvrir ainsi ma queue en érection totale à ses yeux qui se posaient dessus par intermittence. Denise, de son pas lent, mirant la nature tout autour d'elle, finit par s'approcher de moi. Je n'avais jamais vu des seins darder avec autant de force. Mes yeux se baissèrent sur mes fleurs, par pudeur. Une pudeur que Denise respectait de moins en moins, fixant mon chibre en rut sans aucune gêne avec toujours ce sourire amusé aux lèvres. Tant qu'elle me faisait face il m'était décemment impossible de me masturber devant elle. La coquine le savait très bien et en profitait pour se rincer l'oeil le plus possible. Jusqu'au moment où, lentement, elle pivota et me fit dos. Denise, la belle Denise, trentenaire, dans fleur de l'âge et de la féminité, me présentait son cul parfait, si lisse, si rebondi, se tenant là, debout, devant moi. Je repris mon chibre aussitôt à pleine main en imaginant pétrir ces belles fesses, les écarter... baiser la belle Denise en levrette à grands coups de queue. L'envie d'éjaculer à grands jets sur ce cul parfait me prit à la vitesse de l'éclair. Je ne pus réprimer de petits gémissements, contenus au maximum. Denise était là, nue au beau milieu de son jardin, ses fesses parfaitement offertes, prenant le temps de de démêler son string enroulé sur lui-même. Denise allait donc se rhabiller. Pour ma part, ma queue en érection totale dressée devant moi, je me paluchais à pleine main, au risque d'être pris en flagrant-délit à tout moment. Soudain, Denise se pencha en avant pour enfiler une jambe dans son string, fesses bien offertes en arrière. Je ne pus me retenir plus longtemps. Alors que la belle enfilait son string en tournant la tête en ma direction, je me mis à éjaculer de puissants jets de sperme droit devant moi. En l'espace de deux secondes tout au plus, Denise pivota sur elle-même pour me regarder éjaculer puissamment et copieusement droit devant moi. Je la vis me regarder en coin, sourire aux lèvres, et tétons toujours aussi pointu. Comble de la honte, je ne pus réprimer mes gémissements de plaisir. Pour la première fois de ma vie, je me retrouvais à éjaculer devant une femme qui n'était pas ma petite amie, et qui plus était à moitié à son insu. Malgré tout, cela ne semblait pas déranger la belle blonde qui avait très certainement dû voir jouir plus d'un homme devant elle. Le fait que j'étais bien plus jeune qu'elle l'excitait-elle ? Honteux et excité, je pétrissais lentement mon sexe plus gros, long et dur que jamais en cet instant magique. La belle blonde tourna lentement sur elle-même, me permettant de jouir encore et encore en matant son cul parfait. Pour couronner le tout, la coquine se pencha bien en avant, jambes à peine fléchies et fesses outrageusement cambrées pour s'emparer de sa jupette posée là sur le fauteuil. Une façon très suggestive de m'offrir une dernière son beau cul avant de se rhabiller. Pour ma part, je demeurais nu, la queue gonflée d'excitation, alors que la voisine finissait de se rhabiller. Elle me reluquait du coin de l'oeil, toujours son maudit sourire en coin. Nul doute que me voir céder à mes pulsions avait dû satisfaire son égo personnel sur sa capacité à exciter les jeunes hommes. Elle m'adressa un simple "bonne soirée" en partant, reluquant une dernière fois mon chibre. Le reste de ma journée fut couvert de honte, et même de peur qu'elle ne raconte mon moment de folie complète à mes grands parents. Dans le fond, j'en doutais, tant elle avait tout fait pour me pousser dans mes retranchements. Une expérience aussi étrange qu'unique que curieusement, je revis maintes et maintes fois dans mes rêves les plus coquins avec l'espoir de revivre cet instant à nouveau.
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